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  • La droite nouvelle doit sortir du politiquement correct, miser sur les classes moyennes et voir le monde tel qu’il est

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    Ligne Droite cliquez ici

    Depuis leur élection, M. Macron et les membres de la Nouvelle Gauche qu’il incarne occupent tout le champ politique de la pensée unique. Dès lors, pour construire une alternative véritable, la droite doit sortir du politiquement correct et proposer un projet de rupture avec l’idéologie mondialiste, déconstructiviste et ultralibérale du Système. Elle doit de plus reconstituer sa base électorale en s’appuyant sur les classes moyennes et populaires. Il lui faut enfin porter une vision qui prenne en compte le monde multipolaire d’aujourd’hui.

    Pour la première fois, le président est issu directement du Système et non d’un parti politique

    La situation créée par l’élection de M. Macron est tout à fait nouvelle et marque un tournant dans l’histoire politique de notre pays. Un tournant qui était au demeurant prévisible car le Système, ayant assis sa domination sur la classe politique, il était en effet logique qu’il finisse par imposer comme président un homme qui ne vienne plus d’un parti mais qui soit directement issu de son sein et donc totalement acquis à sa cause. Tel est le cas de M. Macron, pur produit de l’oligarchie et entièrement dévoué à l’idéologie du Système. Aussi, avec ses amis, occupe-t-il la totalité de l’espace du politiquement correct, ce qui veut dire que toute position conforme à la pensée unique sera nécessairement perçue comme un ralliement à la politique de Macron. Une configuration nouvelle qui devrait contraindre les partis et plus particulièrement ceux de droite à une profonde mutation.

    Macron et la Nouvelle Gauche monopolisent l’espace du politiquement correct

    Les formations de droite se retrouvent en effet dans la situation de ne plus pouvoir s’opposer à Macron sans rompre avec la pensée unique. Ainsi, par exemple, les Républicains doivent-ils faire ce choix ou prendre le risque de disparaître purement et simplement. Dans le champ du politiquement correct à l’intérieur duquel ils ont toujours voulu se cantonner, il n’y a en effet plus d’espace pour eux puisque M. Macron l’occupe en totalité.

    S’étant déjà alignée sur la pensée unique pour toutes les questions concernant l’identité et les valeurs, refusant d’encourir la diabolisation sur la question de l’immigration comme sur celle des réformes sociétales, la droite LR pouvait encore se distinguer sur la question économique avec des positions plus libérales que celles du parti socialiste. Mais Macron, en tirant les conséquences du ralliement de la gauche au mondialisme économique, occupe aussi le créneau de l’ultralibéralisme international. Dès lors, si elle reste politiquement correcte, la droite LR n’a plus rien à opposer à M. Macron.

    Quant au FN, il doit lui aussi se préoccuper de ne pas céder à la tentation d’une respectabilité proche de la pensée unique qui le normaliserait et pourrait même le neutraliser.

    Pour s’opposer, la droite nouvelle doit rompre avec la pensée unique

    Pour retrouver un espace électoral, la droite doit donc se libérer du carcan politiquement correct et proposer une véritable alternative à la politique du Système. Une alternative qui cette fois ne peut pas être symbolique et factice comme avec Sarkozy en 2007. Elle doit se traduire par des prises de position tranchées sur quatre sujets clés.

    La droite nouvelle doit notamment se prononcer pour la défense de notre identité et donc pour l’arrêt de toute nouvelle immigration. Sur la question des valeurs, elle doit être intransigeante et annoncer l’abrogation de la loi Taubira. Sur la question du mondialisme économique, elle doit préconiser une régulation des échanges aux frontières de l’Europe. Et, sur la question européenne, elle doit se faire le champion d’une nouvelle Union érigeant l’Europe en un pôle de puissance.

    L’élection de Macron a provoqué des reclassements électoraux de grande importance

    Il est par ailleurs essentiel pour une droite rénovée de faire les mêmes choix drastiques, s’agissant de sa base électorale. Car là aussi des reclassements importants se sont produits. Ainsi, par exemple, la droite LR, qui avait déjà perdu les couches populaires pour avoir refusé de prendre en compte les questions identitaires et qui avait déçu l’électorat conservateur en refusant de soutenir la Manif pour tous lors du débat sur le mariage homosexuel, vient maintenant de perdre une troisième catégorie d’électeurs, celle des Français attachés prioritairement au dynamisme économique.

    Ceux qui, en phase avec la mondialisation économique, aspirent à créer, à innover, à entreprendre et à réussir économiquement, sont aujourd’hui séduits par Macron. Il en va de même de la grande bourgeoisie : très soucieuse de préserver ses biens et de valoriser son capital et fort peu concernée par la question de l’identité et des valeurs, elle s’est, elle aussi, ralliée à Macron qui défend les intérêts de la superclasse et de tous ceux qui en dépendent ou aspirent à en faire partie.

    Force est alors de constater qu’aujourd’hui, la droite LR n’a plus de base électorale. Quant au FN, sa surenchère gauchisante pour tenter de séduire au second tour de l’élection présidentielle les électeurs de Mélenchon lui a fait perdre une fraction importante de son électorat potentiel.

    La droite nouvelle doit reconstruire sa base électorale avec les classes moyennes et populaires

    La droite nouvelle doit donc redéfinir entièrement sa base électorale. Pour cela, il lui faut tenir compte de la fragmentation de la France en trois grandes entités. L’oligarchie et les immigrés sont acquis au Système et soutiennent la Nouvelle Gauche de Macron. Mais la troisième composante de la société française, celle constituée des classes populaires et des classes moyennes et moyennes supérieures, est de son côté très réservée à l’égard du Système et très proche des idées d’une droite rénovée. Aussi est-ce en s’appuyant sur elle que la droite nouvelle devrait former sa nouvelle base électorale. Une base, qui, si elle se cristallise, représente encore dans notre pays une majorité de Français.

    La droite nouvelle doit prendre en compte le monde tel qu’il est

    Encore faut-il éviter l’erreur majeure qui consisterait à opposer à Macron un projet passéiste. Ce dernier, qui cherche à accélérer les processus mondialiste et déconstructeur actuellement en cours, prétend engager notre pays dans une voie d’avenir. Rien n’est plus faux mais, pour le contrer, il ne faut donc pas préconiser un retour au passé à la fois utopique et nostalgique comme l’a fait le Front national pendant la campagne présidentielle. En prônant, sur le plan économique et social comme sur la question européenne, le retour à la France des années cinquante, Marine Le Pen a conduit son parti à l’insuccès. Aussi la droite nouvelle doit-elle construire son projet pour l’avenir à partir des réalités du monde actuel. Elle doit apporter des réponses au choc des civilisations et à l’émergence sur la scène mondiale des grands pôles de puissance. Bref, tout en restant fidèle à ses valeurs, il lui faut proposer une vision nouvelle de la France et de l’Europe.

    La droite nouvelle dispose d’un espace politique potentiellement considérable

    Si donc la droite réagit, si elle prend en compte le monde tel qu’il est, si elle s’affranchit du politiquement correct et s’appuie sur les classes moyennes, elle peut espérer voir s’ouvrir devant elle un espace politique important. Car si M. Macron représente le Système dans son ensemble, sa légitimité repose cependant sur un électorat limité, comme le démontre d’ailleurs le score modeste qu’il a réalisé au premier tour de la présidentielle avec seulement 18 % des inscrits. Et, surtout, les idées de la droite nouvelle disposent d’une assise populaire considérable, qu’il s’agisse de la défense de notre identité et de nos valeurs ou encore de la contestation du mondialisme économique. Aussi, la droite nouvelle peut-elle devenir en quelques années une force politique capable de l’emporter lors des prochains scrutins nationaux.

    La droite nouvelle est une nécessité qui reste à concrétiser

    Reste à savoir qui incarnera cette force politique et électorale nouvelle. La logique aurait voulu que, les Républicains se trouvant dans une impasse, le FN incarne cette droite nouvelle et occupe tout l’espace politique ainsi libéré. Mais la stratégie qu’il a adoptée, le programme qui était le sien et la candidate qui le représentait ont rendu impossible ce basculement politique. Aujourd’hui, cependant, rien n’est joué. La droite nouvelle peut émerger d’une refondation du FN ou d’une rénovation de LR ou encore de l’apparition d’une force nouvelle créée de toutes pièces.

    Une chose est sûre cependant, cette droite nouvelle est nécessaire. Elle correspond à l’attente secrète des Français et, une fois au pouvoir, elle pourrait réussir un redressement spectaculaire de la France et de l’Europe.

  • L’invasion n’avance pas au hasard. Le général Gomart patron du renseignement militaire, l’explique.

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    Général Gomart

    Rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles. Le général de corps d’armée (quatre étoiles) Christophe Gomart, patron de la DRM (Direction du renseignement militaire) est chargé de recueillir toutes les informations susceptibles d’aider la France à prendre ses décisions d’ordre militaire. Le général 4 étoiles a expliqué,  en ouverture du colloque Geoint, qui s’est tenu à la Société de géographie, à Paris, les 11 et 12 septembre derniers, comment rien du trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappe au Renseignement français. 

    La DRM, qui est leader en France sur le renseignement d’origine imagerie (ROIM) fourni par les satellites-espions militaires, a inauguré le 19 janvier dernier un très discret centre d’expertise, le CRGI (Centre de renseignement géospatial interarmées). Pluridisciplinaire, il intègre une trentaine de spécialistes civils, militaires et réservistes de haut niveau dont la principale fonction consiste à fusionner le renseignement recueilli par la DRM à partir d’une multitude de capteurs (interceptions, satellites, sources ouvertes, cybersurveillance, etc.). C’est ainsi que la DRM peut aujourd’hui présenter aux dirigeants français une situation précise de la présence des migrants subsahariens en Libye, ainsi que les identités exactes, les modes opératoires et les stratégies des passeurs de migrants. Ces informations sont transmises par la France à l’état-major de la mission européenne en MéditerranéeEunavfor Med, lancée en mai dernier.

    Le général Gomart a ainsi pu confier lors du colloque que les militaires français ont repéré les principaux points d’entrée des filières de trafic humain sur le territoire libyen, notamment à partir de la zone des trois frontières (Libye, Soudan, Égypte). Le renseignement français sait où les passeurs échangent leurs cargaisons humaines, où ils les hébergent. Il les voit également préparer les départs vers l’Europe depuis les plages de Tripolitaine et de Cyrénaïque, imposant aux migrants un processus immuable. (SourceLe Point 13/09/2015)

    Avant tout départ en mer les passeurs appellent le Centre de Coordination Italien des Secours Maritimes, explique-t-il, et c’est ainsi que les bateaux européens vont recueillir directement en mer les masses immigratoires, pour les transporter à bon port, de crainte qu’ils ne s’égarent sur les côtes africaines…

    le Geoint est devenu « l’outil idéal pour valoriser des données massives géolocalisées. Il joue le rôle d’un accélérateur de prises de décisions en donnant une vision claire et complète aux chefs militaires et aux décideurs politiques », précise le général. (Source)

    L’invasion est donc une affaire qui n’avance pas au hasard. 

    Voilà, il n’y a aucun mystère. Lorsque les passeurs vont acheter un zodiac au siège du Consulat honoraire de Bodrum, chez Madame le consul Françoise Olcay, les renseignements français le savent… Sans le reportage de France 2, le consul serait toujours en poste. Il est à noter que Madame Olcay a perdu son poste de consul,  mais qu’elle continue d’alimenter le trafic vers la France en poursuivant son commerce illégal et que les autorités françaises le savent, de même qu’elles savent que la Turquie délivre de faux passeports, que les capitaineries ferment les yeux etc. etc.

    Et si le Renseignement français est capable de voir le trafic migratoire en Afrique jusque dans ses détails, comment ne pourrait-il pas le voir en Europe et plus encore en France ? Mais qui sait sur qui la surveillance s’exerce en France ? Sur les opposants à l’immigration ?

    Cette invasion est voulue.

    articles de référence:

    emiliedefresne@medias-presse.info

    http://www.medias-presse.info/linvasion-navance-pas-au-hasard-le-general-gomart-patron-du-renseignement-militaire-lexplique/38823/

  • L’inquiétude de ce qu'on appelle les territoires

    6a00d8341c715453ef022ad36d9684200c-320wi.jpgDepuis le 21 juin 2017, Jacqueline Gourault exerce d'assez imprécises fonctions de "ministre auprès du ministre de l'Intérieur". Cette sénatrice du Loir-et-Cher avait été nommée deux jours après que, le 19 juin, ses trois camarades du Modem, Marielle de Sarnez, Français Bayrou et Sylvie Goulard furent partis du gouvernement. Il s'agissait pour elle de représenter la sensibilité centriste, mais aussi, au sein du ministère en charge des collectivités locales, l'espoir de ce fameux pacte girondin qui allait être promis solennellement quelques jours plus tard, devant le Sénat en juillet, par le président nouvellement élu.

    Tout la disposait donc, dans notre système qui reste d'essence jacobine à piloter une opération de compensation pseudo-régionaliste. Aussi délicate que psychologiquement nécessaire, sa mission actuelle tend à rendre une personnalité administrative à l'Alsace laquelle s'est trouvée engloutie dans l'artificiel ensemble appelé Grand Est, par la faute de l'aberrante contre-réforme territoriale imposée par François Hollande en 2015.[1]

    La manœuvre en cours donne l'apparence d'une vague reprise du référendum alsacien saboté en 2013 par une partie de la classe politique locale. Or, si depuis 5 ans les œillères centralistes des dirigeants parisiens n'ont pas changé, le contexte financier des collectivités territoriales, lui, s'est totalement modifié sous l'effet des contraintes budgétaires.

    Ces dernières années une nouvelle pratique de l'État central consiste à reporter sur les structures locales l'effort de diminution des dépenses. Ceci pourrait, vu de loin, paraître de bon sens. Mais le mécanisme tend en fait vers l'absurde dans la mesure où l'on demande aux communes, aux circonscriptions intermédiaires, aux départements, aux régions, de rogner sur des dépenses, qui dépendent hélas de décisions centralisées, alors qu'elles ne disposent elles-mêmes d'aucune liberté quant à leurs ressources.

    Mme Gourault ose quand même déclarer qu'elle "ne sent pas la défiance des territoires"[2] (…) "Il peut y avoir, concède-t-elle, des interrogations, voire des inquiétudes, mais sur le terrain nous nous employons à répondre à toutes les préoccupations concrètes des élus locaux."

    Voilà sans doute un effet de la mode, hélas probablement passagère, des bonnes nouvelles auxquelles personne ne peut plus croire.

    Vieille entreprise de ménagement très parisienne, Le Figaro, annonçait pourtant deux jours plus tard ce 23 septembre[3] que [le président] Macron atteint son niveau le plus bas de popularité. Dans le baromètre mensuel de l'Ifop publié par Le Journal du dimanche, 70 % des personnes interrogées se disent mécontentes de son action. Passant de 34 % de citoyens et contribuables satisfaits en août à 29 % en septembre, son score apparaît comme le plus bas depuis le début du quinquennat.

    Remarquons que cette nouvelle chute de 5 points intervient alors même que l'on commence à se lasser de l'affaire Benalla et que l'on mesure encore mal en France, aussi bien l'effet des interventions de la diplomatie présidentielle dans le dossier du Brexit que la portée, difficile à évaluer, du scandale apparu autour de la vente de 36 avions Rafale en Inde et auquel personne ne comprend rien.

    Est-il donc interdit de penser que l’inquiétude de ce qu'on appelle les territoires, c'est-à-dire celle de la France profonde, entre pour beaucoup dans cette nouvelle baisse de popularité.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] cf. loi du 7 août portant sur la Nouvelle Organisation Territoriale de la République.

    [2] cf. Entretien avec Emmanuel Galiero pour le Figaro le 20 septembre.

    [3] cf. "Popularité : Emmanuel Macron atteint son niveau le plus bas" en ligne le 23, publié dans l'édition papier datée du 24.

    http://www.insolent.fr/

  • La France, 6e plus gros fardeau fiscal du monde

    L’index 2018 sur la liberté économique publiée par Héritage n’est toujours pas flatteur pour la France. Avec un taux de fardeau fiscal (tax burden en VO) de 47.3, la France est uniquement dépassée par le Tchad, la Belgique, la Suède, le Danemark et bien sûr hors-concours, la Corée du Nord avec un indice 0. A l’autre extrémité, plusieurs pays dépassent les 99 en indice : Bahreïn (99.9), l’Arabie Saoudite (99.7) et le Qatar (99.6), les Emirats Arabes Unis étant à 90.4, la Russie à 85.8, le Nigeria à 84.4, l’Indonésie à 83.7, l’Inde à 79.4, le Canada à 76.7, le Mexique à 75.7, la Turquie à 74.7, le Brésil à 70.6, la Chine à 70.4, le Japon à 67.4, le Royaume-Uni à 65.2, les Etats-Unis à 65.1, l’Australie à 63, l’Allemagne à 61.3 et l’Italie à 55.2.

    Sur le plan de la liberté économique, la France est 71e mondial, pays considéré comme « modérément libre ». 6 pays sont considérés comme « libres » (indice total supérieur à 80) : Hong-Kong, Singapour, Nouvelle-Zélande, Suisse, Australie, Irlande.

    En « pratiquement libres » (supérieur à 70), 28 pays : Estonie, Royaume-Uni, Canada, Emirats Arabes Unis, Islande, Danemark, Taïwan, Luxembourg, Suède, Géorgie, Pays-Bas, Etats-Unis, Lituanie, Chili, Ile Maurice, Malaisie, Norvège, Tchéquie, Allemagne, Finlande, Corée du Sud, Lettonie, Qatar, Japon, Israël, Autriche, Macédoine, Macao.

    En « modérément libres » (supérieur à 60), 58 pays : Botswana, Vanuatu, Roumanie, Uruguay, Rwanda, Jamaïque, Kazakhstan, Colombie, Pérou, Arménie, Pologne, Malte, Bulgarie, Chypre, Saint-Vincent-et-Grenadines, Bahreïn, Sainte-Lucie, Belgique, Thaïlande, Panama, Hongrie, Kosovo,  Costa Rica Turquie, Slovaquie, Espagne, Philippines, Jordanie, Mexique, Slovénie, Albanie, Dominique, Azerbaïdjan, Monténégro, Indonésie, Brunei, France, Portugal, Guatemala, Bahamas, Salvador, Tonga, Afrique du Sud, Kirghizistan, Italie, Serbie, Koweït, Paraguay, Ouganda, Fidji, Côte d’Ivoire, Maroc, Bhoutan, Seychelles, République Dominicaine, Samoa, Bosnie-Herzégovine, Croatie, Oman, Honduras, Burkina Faso, Cap Vert.

    En « pratiquement non libre » (supérieur à 50), 63 pays : Tanzanie, Arabie Saoudite, Tunisie, Nicaragua, Cambodge, Guyana, Namibie, Nigeria, Moldavie ; Tadjikistan, Russie, Belarus, Gabon, Chine, Sri Lanka, Trinité & Tobago, Mali, Iles Salomon, Grèce, Bélize, Barbade, Guinée-Bissau, Madagascar, Bénin, Comores, Ghana, Swaziland, Haïti, Mongolie, Sénégal, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Bangladesh, Kenya, Inde, Pakistan, Zambie, Népal, Mauritanie, Myanmar, Lesotho, Sao-Tomé et Principe, Laos, Egypte, Liban, Vietnam, Ethiopie, Micronésie, Argentine, Gambie, Guinée, République Démocratique du Congo, Malawi, Cameroun, Ukraine, Sierra Leone, Ouzbékistan, Brésil, Afghanistan, Maldives, Iran, Burundi, Libéria, Kiribati.

    En « répressif » (inférieur à 50), 31 pays : Niger, Soudan, Tchad, Centrafrique, Angola, Equateur, Surinam, Timor oriental, Togo, Turkménistan, Mozambique, Djibouti, Algérie, Bolivie, Zimbabwe, guinée Equatoriale, Erythrée, Congo, Cuba, Venezuela, Corée du Nord (notons que cette dernière a un indice de … 5,8 ! )

    Non classés : Iraq, Libye, Liechtenstein, Somalie, Syrie, Yémen.

    Les atouts de la France sont le respect des droits de propriétés, la liberté des affaires, la liberté monétaire et celle du commerce. Ses points faibles : le fardeau fiscal, les dépenses gouvernementales, et la liberté du travail.

    Hriso XIEP

    http://www.medias-presse.info/la-france-6e-plus-gros-fardeau-fiscal-du-monde/98415/

  • L’immigration massive est un mythe…puisqu’ils obtiennent tous la nationalité française

    L’immigration massive est un mythe…puisqu’ils obtiennent tous la nationalité française

    Voici une tribune intéressante suite à la mise en cause par Clément Viktorovitch de Charlotte d’Ornellas, qui avait osé évoqué l’immigration massive “qui n’existe pas” (voir la vidéo dans l’article en lien ici https://www.breizh-info.com/2018/09/24/102727/sy-diallo-benalla-dembele-limmigration-massive-est-un-mythe-tribune-libre) :

    “Le « Docteur en sciences politiques », Clément Viktorovitch l’affirme haut et fort, comme bon nombre de ses collègues « de gôche » et « chercheurs à l’université en lutte » : l’immigration massive est un mythe. Les chiffres le prouveraient même, renvoie-t-il à la journaliste Charlotte d’Ornellas dans un débat de la semaine dernière sur Cnews. Mais puisqu’on vous le dit ! Sur les 200 000 immigrés qui rentrent en France chaque année, ce sont des étudiants Erasmus majoritairement, et Européens avec cela, ou des familles de Français qui rentrent en France… ouf, nous voilà soulagés.

    L’immigration massive est un mythe, une légende, une fake news ! C’est d’ailleurs ce que chacun peut constater, sans être chercheur rat de laboratoire, lorsqu’il s’offre une escapade dans les quartiers nord de Paris, ou bien en Seine Saint-Denis. Non non, on vous le dit, la France n’a pas changé de visage ! Tous ces Africains que vous voyez de plus en plus nombreux dans les grandes villes, et même maintenant dans les villes moyennes ou à la campagne, ils n’existent pas. Vous vous trompez. Vous frisez le fake news ! (…)

    L’immigration massive est un mythe. D’ailleurs, en 1984 dans l’équipe de France de football avait exactement la même composition ethnique que l’équipe championne du monde de 2018. Dembele, Pogba, Kanté, Sissoko, Platini, Giresse, Lacombe, même combat !

    L’immigration massive est un mythe. Un mensonge. D’ailleurs, cette semaine, les médias évoquaient un certain Monsieur Benallabras droit du Président de la République française, mais aussi une dénommée Hapsatou Sy, guerrière de la diversité des prénoms, défendue sur les réseaux sociaux notamment par une certaine Rokhaya Diallo, pourfendeuse de la blanchitude. L’immigration massive est un mythe. Un si gros mensonge qu’on vous explique à longueur d’année sur le service public qu’il n’y a pas assez de diversité à la télévision, aux postes dits à hautes responsabilités. Qu’à poste égal, il faut embaucher des gens dont les noms ne sentent pas « la vieille France rance ».  Le pire, c’est qu’à force de le répéter, certains commencent à y croire, à s’y habituer (…)

    Non, il n’y a pas d’immigration massive, puisque depuis 40 ans, ceux qui arrivent ici — sans que l’on ait réellement pu les recenser faute de statistiques ethniques autorisées — obtiennent rapidement la Carte nationale d’Identité.

    Une carte plastifiée et siglée RF qui fait de vous un homme nouveau, c’est la magie appliquée à la République française. Et voici que trente ans plus tard, Hapsatou et Omar Sy, Rokhaya Diallo, N’Golo Kante, Ousmane Dembele, Zinedine Zidane, Alexandre « Maroine » Benalla, Mamoudou Gassama, et des millions d’autres individus initialement originaires d’Afrique, sont eux aussi Français. Il n’y a donc pas d’immigration massive, puisqu’ils sont Français, et leurs enfants le seront aussi, vous comprenez ?

    Et pour ceux qui arrivent aujourd’hui, nouveau processus. Bateau, passeurs, ONG, intervention présidentielle, vagabondage, pauvreté, misère, campements de fortune, manipulations associatives, bonne conscience de gauche, gymnase, demande d’asile, papier, asile rejeté, papier quand même après mobilisation, travail, ou pas, et carte d’identité, et tout le monde il est Français !

    Finalement là-dedans, le fautif, ce n’est pas celui qui, par aveuglement (15 ans de scolarité obligatoire dans l’Éducation nationale, ça crève les yeux), militantisme, ou par haine de soi, explique qu’il n’y a pas plus d’immigrés en France qu’il y a cent ans (tout en disant ensuite que l’immigration est une chance pour la France). Pas celui qui nous explique que tout est merveilleux, hormis le racisme et la montée du populisme en Europe qui l’inquiète.

    Non, les fautifs là dedans, ce sont tous ceux qui, trouille mortelle oblige, se refusent à dire que la France, appartient à un continent, à une civilisation, majoritairement de race (tient, on a supprimé ce mot de la constitution puisque l’immigration est un mythe…) blanche. Et que ce pays majoritairement blanc pourrait ne plus l’être dans 50 ou 100 ans, comme au Royaume-Uni, en raison des vagues successives d’immigration (qui n’existent pas bien entendu) et de carte plastifiée attribuées massivement. Et que ce n’est pas raciste de le dire, comme il n’est pas plus raciste ou malsain de préférer vivre majoritairement (le mot est important) avec ses semblables.

    D’ailleurs si le droitard était courageux et se rebellait un petit peu, sans s’excuser sans cesse, son interlocuteur « de gôche » aurait sans doute du mal à argumenter face à la question de savoir pourquoi elle ne respecte pas la carte scolaire et met ses enfants dans le privé… par exemple ! Les « droatards trouillards » se sentent néanmoins plus courageux quand ils évoquent « les racines chrétiennes » de l’Europe. Mais sa blancheur majoritaire, ça leur fait peur. Alors que pour le moment, dans ce pays, on ne va pas en prison (pas encore) ni en centre de rééducation, pour avoir énoncé ces vérités (…)

    Sans changement urgent de logiciel de la part de ceux qui croient niaisement que la France et l’Europe seraient encore la France et l’Europe avec des populations blanches minoritaires, la partie est pliée.

    En attendant, vous êtes des horribles populistes d’extrême droite et il n’y a pas d’immigration massive ! C’est bien compris ?”

    https://www.lesalonbeige.fr/limmigration-massive-est-un-mythe-puisquils-obtiennent-tous-la-nationalite-francaise/

  • Paris et Alger à couteaux tirés

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    Par M. M'Hamed Hamrouch du journal en ligne marocain le 360

    On lira cette analyse [21.09] avec le plus grand intérêt. Elle est naturellement menée selon le point de vue marocain. Mais l'inquiétude extrême qu'elle reflète pour la région, la situation algérienne qu'elle décrit et les menaces que contient cette situation qu'elle signale avec vigueur, concernent aussi la France, pour toutes sortes de raisons très évidentes. Elle aussi est menacée ! LFAR   

    2790593621.jpgL’ancien ambassadeur de France à Alger, Bernard Bajolet, également ex-patron du renseignement extérieur français (DGSE), sonne la charge contre un régime algérien moribond. Décryptage.

    « Le président Bouteflika, avec tout le respect que j’éprouve pour lui, est maintenu en vie artificiellement. Et rien ne changera dans cette période de transition ». Le constat est sans appel et, tenez-vous bien !, il a été dressé par l'ex-patron de la DGSE (de 2013 à 2017). 

    Dans une interview au quotidienLe Figaro, Bernard Bajolet, (photo)également ancien ambassadeur de France en Algérie (2006-2008), insinue que le pronostic vital du régime algérien moribond est engagé. Lisez bien que c’est le régime algérien qui « est maintenu « en vie artificielle », Abdelaziz Bouteflika et ce régime ne faisant qu’un seul corps et la maladie de ce dernier implique forcément celle de la nomenclature qui ne doit sa survie qu’à la force de la poigne qu’elle continue de resserrer autour du peuple algérien frère, au nom d’une certaine « légitimité historique » !  « La nomenclature algérienne, issue ou héritière de la guerre d’Algérie, a toujours besoin de se légitimer en exploitant les sentiments à l’égard de l’ancienne puissance coloniale », charge l’ancien patron du renseignement français. 

    Une charge (officieuse) d’une crudité inédite et qui démontre à quel point Paris est agacée par ce régime-voyou, que ses apparatchiks octogénaires tentent, bon an mal an, de maintenir sous perfusion, tout comme Bouteflika qu’ils veulent introniser à vie à la tête de l’Etat algérien, ou ce qu’il en reste, dans le seul but de préserver leurs intérêts, au détriment d'un peuple livré en pâture à l'incurie et en proie à la voracité des hommes en uniforme. 

    La charge de l'ancien patron de la DGSE intervient quelques jours après une vive passe d’armes entre Paris et Alger, qui a ordonné, mercredi dernier, la levée du service de sécurité en faction devant les édifices diplomatiques français en Algérie, dont l'ambassade, les consulats, à l'exception des écoles. Une mesure de rétorsion qui fait suite au refus des autorités françaises de mettre en place une garde statique au niveau de la résidence de « son excellence monsieur l'ambassadeur d'Algérie à Paris, Abdelkader Mesdoua » ! 

    Pour préserver l’intérêt de ce diplomate, le régime algérien est prêt à sacrifier ceux, bien plus importants, de tout un peuple !  Il suffit que l’un des hommes liges de « Fakhamatohou » le Raïs soit inquiété, pour que tout l’appareil de l’Etat, en déliquescence avancée, sonne l’hallali et rue dans les brancards ! 

    L’expérience a démontré que rien ne vaut « Fakhamatohou Monsieur Bouteflika », qui veut battre des records de longévité au pouvoir, pas même l’avenir de son peuple, à plus forte raison celui, commun, des peuples de la région, que ce régime veut séparer, notamment les peuples marocain et algérien frères, en verrouillant systématiquement les frontières, entretenant à coups de milliards de dollars piqués dans « la gamelle du pauvre » citoyen algérien, une entité séparatiste nommée « RASD » et qui n’a d’existence que le nom ! 

    N’est-il pas temps pour ce tant attendu sursaut de conscience collectif du danger que représente ce régime despotique, qui ne peut continuer d’hypothéquer impunément le droit d’une région à la paix, à la stabilité, à un avenir meilleur ? Jusqu’où peut-on laisser ce régime-voyou jouer avec la sécurité d’une région qui a déjà fort à faire avec le péril terroriste, les mafias de la drogue et de la traite des êtres humains ?

    Les rapports de ce régime biberonné à la haine ne sont pas tendus qu’avec la France, ils le sont aussi avec le Maroc, la Tunisie, la Libye, le Mali, le Niger… Alger entretient des relations exécrables avec tout le monde ! A-t-elle raison contre tous ? Qu’attend donc le monde pour sauver l’Algérie et la région de ce régime assassin ?   

    M'Hamed Hamrouch

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  • S’estimant humiliée, Theresa May n’exclut pas un Brexit sans accord

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    De retour de Salzburg où se tenaient des négociations entre l’Union Européenne et le Royaume-Uni à propos du Brexit, le Prremier ministre britannique n’a pas caché sa déception, suite au rejet du « plan de Chequers » pourtant difficilement négocié avec son parti. A six mois de la date butoir que se sont fixés les protagonistes pour la mise en place du Brexit, aucun accord n’a été trouvé. La pierre d’achoppement semble bien être la résurgence d’une frontière entre l’Ulster et l’Irlande que l’Union Européenne veut éviter en proposant le maintien de l’Irlande du Nord dans l’Union. Un démembrement inacceptable pour Londres qui refuse une situation même provisoire dans laquelle le régime douanier serait différent en l’Irlande du Nord et dans le reste du pays.

    Et quels étaient les principaux axes du plan de Chequers ?

    Le gouvernement de Theresa May proposait de créer une zone de libre-échange encadrée par un ensemble de règles communes pour les biens et les produits agro-alimentaires. Le plan proposait aussi le maintien de normes communes entre l’Union Européenne et le Royaume-Uni, l’abandon des politiques communes en matière d’agriculture et de pèche, et l’abandon de la libre circulation des personnes afin de pouvoir reprendre le contrôle de sa politique migratoire.

    Mais quelle issue politique est possible pour sortir de cette impasse ?

    Les partisans d’un second référendum se mobilisent. Après le maire de Londres Sadiq Khan, les anciens premiers ministres Tony Blair et John Major souhaitent une nouvelle consultation populaire qui éviterait un divorce avec l’Union Européenne jugé désordonné et coûteux. Mais seul le parti libéral-démocrate de Vince Cable s’est prononcé clairement pour cette solution qui recueille pourtant officieusement l’approbation d’un certain nombre de chefs d’Etat européens, dont le Premier ministre maltais Joseph Muscat qui s’est publiquement exprimé sur la question. Mais pour le moment Theresa May y est fermement opposée.

    https://fr.novopress.info/212025/sestimant-humiliee-theresa-may-nexclut-pas-un-brexit-sans-accord/

  • Aujourd’hui, en France, certains semblent assez nostalgiques de ce modèle de liberté à la soviétique… Très peu pour moi !

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    Entretien avec Philippe Randa

    Propos recueillis par Guirec Sèvres, publiés sur le site Synthèse nationale

    Une pétition, initiée par Hapsatou Sy, demande l’interdiction d’Éric Zemmour dans les médias ; il lui avait reproché que son prénom était une insulte à la France… C’est votre avis ?

    Prénommer son enfant « Ivan », « Giovanni », « Donald », « Luigi », « Kevin », « Érika » serait alors tout autant une « insulte »… Sans oublier « Éric », prénom scandinave (du germain aina qui signifie « unique, total » et de rik qui signifie « roi »)… Cela en fait des insultes, dites donc ! Moi-même, je suis d’ailleurs une double insulte au pays où je suis né, puisque mon véritable prénom composé est Philippe-André, deux prénoms d’origine grecque tous les deux… De plus, un enfant n’est jamais responsable de ce choix, ce sont ses parents. Le « mal » (selon Zemmour) étant donc fait, il est aussi inutile qu’assez déplacé de l’utiliser comme argument.

    Éric Zemmour considère que le prénom est important lorsqu’on veut s’intégrer, s’assimiler à un peuple… Vous ne partagez pas cet avis ?

    Si, bien sûr… mais son argument d’y voir selon les cas une « insulte » ne tient pas. C’est une formule choc qui a fait le buzz… Reste à savoir si c’était voulu ou non. Le « buzz », c’est comme le crime : à qui profite-t-il ? Peut-être à tous, en l’occurrence… Au journaliste polémiste dont le dernier livre paru Destin français est la 6e meilleure vente du Top 20 GFK/Livres Hebdo dès la semaine de sa sortie (semaine de l’émission, heureux hasard !)… à la chroniqueuse Hapsatou Sy, parfaite inconnue soudainement très connue… ou encore à l’émission Salut les Terriens ! dont on parle beaucoup à cette occasion… Thierry Ardisson a, certes, censuré ce passage de son émission, ce qui le met à l’abri d’éventuelles suites judiciaires… mais il s’est tout de même immédiatement retrouvé diffusé par les bons soins de Hapsatou Sy… D’ordinaire, on méprise ce qu’on considère comme des insultes ou on les cache tant que faire se peut ; il est plus inhabituel qu’on soit le propre artisan de leur diffusion.

    Ne nous dîtes pas que vous avez signé la pétition, tout de même…

    Si, bien sûr… mais pas celle exigeant l’interdiction d’antenne d’Éric Zemmour, celle pour qu’il puisse continuer à s’exprimer librement. Et qu’on puisse tout aussi librement le contredire sans l’insulter. J’ai récemment rappelé dans un billet pour le quotidien Présent, cette histoire qui faisait beaucoup rire dans les années quatre-vingt du siècle dernier : on croyait alors l’URSS au faîte de sa puissance (le régime soviétique s’écroulera début des années quatre-vingt-dix) ; un Américain et un Russe s’entretenaient de la liberté dans leurs pays respectifs. Le premier affirmait qu’aux USA, on pouvait librement dire de son président qu’il était un imbécile. Ce à quoi le Russe rétorquait que la même liberté existait dans son pays : on pouvait parfaitement dire que le président américain était un imbécile, assurait-il !

    Aujourd’hui, en France, certains semblent assez nostalgiques de ce modèle de liberté à la soviétique… Très peu pour moi !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/