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  • En s’attaquant aux médias, les Gilets Jaunes ont posé un acte authentiquement révolutionnaire

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    Jean-Yves Le Gallou, Président de Polémia cliquez ici

    Discours de clôture de la Xe cérémonie des Bobards d'Or.

    Castigat ridendo mores : “elle (la comédie) corrige les mœurs par le rire” disait le poète latin Horace. C’est cette idée qui a inspiré la démarche des Bobards d’Or. Quel était notre objectif ? Rire et faire rire des mensonges des médias pour les inciter à ne plus recommencer. Mais les médias, hélas ! sont incorrigibles. Ils retombent toujours dans les mêmes travers.

    Les bobards de guerre se suivent et se ressemblent : les méchants Irakiens, les méchants Serbes, les méchants Syriens sont accusés de disposer d’armes chimiques. Et quand les démentis arrivent, il est trop tard. Les mensonges ont produit leurs effets. Des morts par centaines de milliers. Des pays détruits. Et les médias passent au suivant… au mensonge suivant.

    Les bobards antiracistes se reproduisent aussi selon un schéma identique. Dans l’histoire de l’  « ophtalmo raciste » comme dans celle du soi-disant viol de Théo Luhaka on retrouve le même mécanisme : un mythomane « racisé » – pour parler comme nos médias – lance un bouteillon. Et celui-ci est repris en cœur par tous les médias. Sans la moindre vérification. Je dis bien TOUS les médias officiels, c’est le bobard total.

    Et c’est ainsi qu’ils fabriquent une réalité alternative : soit pour justifier des aventures guerrières contre des peuples qui ne nous ont rien fait ; soit pour imposer une guerre de propagande massive contre notre propre peuple pour le culpabiliser et le désarmer moralement.

    Cela, c’est la Xe année que nous le dénonçons.

    Hélas, je nous reconnais une part d’échec : nous n’avons pas réussi à corriger les médias par le rire.

    En vérité ils sont incorrigibles et en état de récidive permanente.

    Au lieu de traquer leurs propres erreurs, ils se sont lancés dans la chasse aux « fake news » sur internet : quand TF1 ment à 8 millions de téléspectateurs cela n’intéresse ni l’AFP factuel ni les Décodeurs du Monde. Ils préfèrent « débunker » l’embrouille d’un compte twitter à 40 abonnés. C’est l’éternelle histoire de la paille et de la poutre.

    Au lieu de se réformer, de faire leur média-culpa, les médias ont choisi de s’en prendre à la concurrence d’internet et des réseaux sociaux.

    Peine perdue ! Leur crédibilité est en berne ! Les « MédiasMenteurs » suscitent une hostilité croissante de l’opinion.

    A juste titre car ils exercent une véritable tyrannie sur l’opinion.

    Les médias disent pour qui on a le droit de voter ou non : après s’être fait la main en diabolisant les Le Pen père et fille, ils ont entrepris de liquider Fillon avant de s’acharner sur Wauquiez et Bellamy, pas assez soumis au politiquement correct à leur goût.

    Les médias fixent aussi la liste des sujets dont on a le droit de débattre ou non : 70% des Français trouvent qu’il y a trop d’immigration, mais il n’y a pas de débat libre possible sur l’immigration dans les médias.

    Mais là où les médias se sont surpassés c’est dans le traitement des Gilets Jaunes, une révolte populaire qu’ils ont tentée de casser par tous les moyens.

    Par la minoration d’abord : pauvres Gilets Jaunes dont la mobilisation ne cesse de faiblir depuis 14 semaines. Avec une technique très simple : reprendre toute la journée les chiffres que Castaner communique à midi sur la base du comptage de la matinée et les comparer aux … chiffres définitifs de la semaine précédente C’est ce qu’on appelle le « bobard calculette », une technique éprouvée qui a valu, dans le passé, plusieurs distinctions aux Bobards d’Or à l’AFP.

    Par le dénigrement ensuite : les Gilets Jaunes seraient incultes, sous-éduqués, complotistes, feignants, violents et même antisémites. Le mépris de classe des journalistes, des « people » et des crétins En Marche s’en est donné à cœur joie pour dénoncer cette France périphérique des classes moyennes et populaires, cette France européenne des ronds-points.

    Par la diabolisation et l’interdit aussi : vous vous promenez avec des drapeaux tricolores et des emblèmes de nos provinces, c’est bien la preuve que vous êtes d’ « ultra droite ». Et surtout ne vous avisez pas d’aborder la question de l’immigration et du Pacte de Marrakech car alors vous seriez vite catalogués du côté de la « peste brune ».

    Par l’occultation des faits : celle des violences gouvernementales d’une part, celle de l’origine des violences des manifestants, d’autre part. Les médias n’en peuvent plus de dénoncer la casse des Gilets Jaunes , sans presque jamais dire qu’elle est le fait d’ « antifas » connus des services de police mais laissés libres d’opérer depuis deux mois. Ces mêmes médias ont nié jusqu’à mi-janvier – et par là même rendu possible- les violences gouvernementales : 120 blessés graves, des dizaines de gueules cassées, 20 éborgnés, 5 mains arrachées. Une répression policière sans précédent en France depuis la fin de la guerre d’Algérie. Circulez il n’y a rien à voir. Il y a presque pire que le bobard, la « Ghost news », l’Info-fantôme, celle dont on ne parle pas.

    Mais là ils sont tombés sur un os.

    Pour la première fois un mouvement populaire s’en est pris à la toute-puissance médiatique.

    Des actions militantes ont été conduites contre la presse régionale, bloquant parfois la diffusion de journaux régionaux qui, comme Ouest France, ne sont pas des vecteurs d’information mais des organes de désinformation. Les Gilets Jaunes ont eu bien raison de s’en prendre à ces torchons monopolistiques et subventionnés. Comme ils ont eu bien raison sur les Ronds-points de dire leur fait aux spadassins de presse de BFM TV et France 3. Qui sème le mensonge récolte la colère ! Bien sûr les médias se sont indignés de ces quelques prises à partie, essentiellement verbales d’ailleurs. Et quant aux (rares) violences dont certains journalistes du système ont été victimes, je ne les approuve pas mais je les comprends.

    Car qui détient le vrai pouvoir aujourd’hui ? Sinon les médias.

    Qui exerce une emprise sans précédent sur les esprits par la propagande ? Sinon les médias.

    Qui fixe les sujets dont on a le droit de parler et ceux qu’il faut taire ? Sinon les médias.

    Qui décide si un gouvernement doit accepter ou non les revendications de manifestants ? Sinon les médias.

    Des manifestants soutenus par les médias – 1968, 1986, 2006 – finissent toujours par obtenir gain de cause. En revanche des manifestants qui subissent l’hostilité des médias sont méprisés comme ceux de la Manif pour tous ou les Gilets Jaunes.

    D’ailleurs les violences gouvernementales contre les Gilets Jaunes n’ont été possibles que grâce au silence et au déni des médias. Ce sont ces mêmes médias qui rendent impossible l’intervention de la police dans les banlieues de l’immigration en montant en épingle de pseudos bavures.

    Les médias sont une qui rend impossible le maintien de l’ordre républicain dans les banlieues de l’immigration tout en légitimant les violences gouvernementales contre des opposants souvent pacifiques.

    Véritable police de la pensée, les médias dominants livrent une guerre idéologique et une guerre de propagande au peuple français. Pas étonnant que ce comportement l’énerve !

    Les Gilets Jaunes contestent le pouvoir, il est donc normal qu’ils se soient attaqués au vrai pouvoir celui des médias. Bravo à eux de l’avoir fait et d’avoir ainsi posé là un acte authentiquement révolutionnaire. J’entends par là un acte qui s’attaque frontalement au cœur du pouvoir.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/02/24/en-s-attaquant-aux-medias-les-gilets-jaunes-ont-pose-un-acte-6131136.html

  • Allemagne : des policiers berlinois coopèrent avec des clans criminels arabes

    « Nous supposons qu’au moins six collègues, si ce n’est pas plus d’une dizaine, ont et maintiendront continuellement des liens d’informations avec le milieu des clans criminels arabes« , a déclaré Thomas Wüppesahl, lui-même détective et porte-parole de l’Association fédérale des policiers critiques.

    Jusqu’à présent, la lutte contre la criminalité clanique s’était principalement concentrée sur les grandes familles arabes. À la mi-janvier, la police a notamment arrêté les frères Arafat et Yasser Abou-Chaker. Ils sont soupçonnés d’avoir projeté l’enlèvement des enfants du rappeur Bushido. Il est toutefois très difficile pour les enquêteurs de connaître les structures et l’organisation internes de ces clans et il est presque impossible d’y infiltrer des enquêteurs.

    Un autre problème a été identifié: des policiers de Berlin sont manifestement en contact avec les membres des clans familiaux arabes et ils leur fournissent des informations.

    En effet, les relations familiales sont "plus importantes que celles de l’État de droit". Cela vaut également pour de nombreux "Allemands de souche", a déclaré M. Wüppesahl. Les policiers en question n’ont heureusement pas toujours un accès immédiat à l’information qui pourrait être importante pour eux. «Toutes les fouilles, descentes ou arrestations ne sont pas révélées à l’avance.»

    Dans l’ensemble, Wüppesahl est très critique à l’égard de la police de Berlin. Lui-même a été policier pendant 30 ans et parle de "transformation profonde", dûe à la formation et à la sélection du personnel. A Berlin, le niveau de recrutement aurait été considérablement réduit. «Beaucoup de ceux qui suivent actuellement une formation de policier n’auraient jamais été acceptés il y a 20 ou 30 ans de cela.»

    Welt

    Merci à Nick

    http://www.fdesouche.com/1164651-allemagne-des-policiers-de-berlin-cooperent-avec-des-clans-criminels-arabes
  • Le poids des retraités

    Entre réquisitoire contre un état boursouflé et discrète promotion de la politique d’Emmanuel Macron, la récente note de Bercy sur la fiscalité et les dépenses publiques a été jugée incroyable et insolite par les médias.

    Le tableau que présente Bercy des dépenses publiques est édifiant. Pour la simplicité, les proportions s'expriment par rapport à 1 000 euros dépensés. La dépense de loin la plus importante se révèle être celle des retraites. Le budget de l'État y contribue à hauteur de 268 euros sur chaque millier d'euros dépensés. Plus du quart ! La famille, qui est l'avenir, demeure un parent pauvre, puisque seulement 42 euros sur mille lui reviennent. Et pour ce qui est des « services publics régaliens » - défense, sécurité, justice - on atteint péniblement les 60.

    L'assurance-maladie constitue le deuxième poste, avec 191 euros pour mille dépensés, prix de « prestations sociales importantes » au contraire de citoyens d'autres pays « moins généreux leurs citoyens reçoivent moins de prestations et paient donc moins d'impôts, de cotisations ou de taxes en contrepartie, ils recourent pour leur couverture maladie ou pour la retraite à des systèmes d'assurance privée auxquels ils cotisent par ailleurs ».

    La note de Bercy pointe également l'extrême lourdeur des ponctions publiques sur les finances privées en France 45 3 % de prélèvements obligatoires sur le PIB en 2017 et une dépense publique qui a atteint les 56,5 % du PIB cette même année. C'est du socialisme pur et dur où l'État décide de plus de la moitié des dépenses des richesses créées par les Français, au prix de leur liberté. La redistribution est au premier plan « Le niveau de vie des 20 % des Français les plus pauvres est augmenté de près de 75% grâce à la redistribution ». L'histoire ne dit pas ce qu'il en est des non-Français, qui bénéficient largement de cette redistribution.

    C'est Bercy qui le dit

    L'un des plus puissants verrous qui maintiennent le système en place, comme le suggère la note, est le coût du travail en France 38 3 € de l'heure en France en moyenne dans l'industrie et les services marchands, contre 25,6 euros au Royaume-Uni. Le choix est vite fait. « La France peut-elle continuer de supporter un tel niveau de dépenses, le système de fiscalité est-il juste ? » demande la note de Bercy.

    Mais on peut ergoter à l'envi, il reste que les dépenses liées au système de retraites par répartition constituent aujourd'hui de facto la plus importante variable d'ajustement (268 pour mille euros dépensés, nous l'avons dit) toute modification aurait un impact incomparable par rapport à, par exemple, une économie faite sur la culture (22 euros pour 1 000 dépensés) ou sur l'administration publique (66 pour 1 000).

    Mais pour que le système de retraites par répartition fonctionne, il faut renouveler les générations.

    Or les chiffres officiels de FINSEE ont révélé lors de la publication de son bilan démographique 2018 que la France connaît une baisse de fécondité depuis quatre ans il y a eu, en 2018,12 000 bébés de moins qu'en 2017 et l'indicateur conjoncturel de fécondité est retombé à son plus bas niveau depuis 2002 à 1,87 enfant par femme, bien en-deçà du taux de renouvellement des générations qui s'établit à 2,1 enfants par femme dans les pays développés. Pendant ce temps, le nombre des femmes en âge de procréer ne cesse de baisser pour 100 femmes âgées de 20 à 40 ans en 1995, on n'en compte à. peine un peu plus de 90 en 2018. L'âge moyen des mères atteint désormais les 30,6 ans, âge où la fécondité naturelle est déjà en baisse.

    Si la France connaît toujours un solde naturel positif- la différence entre les nombres de naissance et de décès - soit 144 000 âmes de plus en 2018 par rapport à l'année précédente, « il n'a jamais été aussi bas depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale », et encore, il a été tiré vers le haut par un solde migratoire positif de 58 000 en 2018 (différence entre ceux qui partent, Français ou étrangers, et ceux qui arrivent). Or on sait que les nouveaux migrants extra-Européens sont souvent gros consommateurs d'allocations et d'aides publiques, et qu'ils ont moins de chances d'atteindre un emploi fortement rémunéré et donc fortement contributeur au système de retraites.

    Cela veut dire qu'au fil des ans, le nombre des futurs contributeurs au système de retraite continue de baisser, alors que la population vieillit on n'a pas fini de voir les départs à la retraite de la génération du baby-boom, autant dire que les besoins augmentent et vont croissant.

    Seule "bonne nouvelle" au chapitre des dépenses de retraites le nombre de morts annuelles augmente, notamment au fur et à mesure que les baby-boomers atteignent des âges avancés 614 000 personnes sont mortes en France en 2018, c'est 8 000 de plus qu'en 2017 - autant de pensions dont le versement s'est arrêté. Mais ce n'est pas pour autant qu'on peut envisager une hausse généralisée du montant des retraites à moins de ponctionner les retraités les mieux dotés.

    Jeanne Smits monde&vie 8 février 2019

  • Bistro Libertés avec Philippe Pascot, responsable des Gilets Jaunes

    Martial Bild et les sociétaires reçoivent l’une des principales figures des Gilets Jaunes, Philippe Pascot. Homme de gauche et pourfendeur de la corruption, il est l’auteur de plusieurs ouvrages dont « Pilleurs d’Etat » et le dernier « Pilleurs de vie ». Ils débattent de la dernière enquête de l’IFOP sur le conspirationnisme en France et de l’état de léthargie générale, 100 jours avant les élections européennes.

    https://www.tvlibertes.com/bistro-libertes-avec-philippe-pascot

  • "Ils" veulent dissoudre le Bastion social... Sommes-nous chez les fous...

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    Un communiqué de Thomas Joly

    Secrétaire général du Parti de la France

    Parfois, on se demande si on n’est pas chez les fous. Mercredi soir, au dîner du CRIF, Emmanuel Macron évoquait « une résurgence de l’antisémitisme sans doute inédite depuis la Seconde Guerre mondiale ». S’il le dit. La veille, Gilles-William Goldnadel déclarait : « Depuis 1945, toute goutte de sang juif qui a coulé en France vient de l’islamisme, personne d’autre », et l’avant-veille, la journaliste Judith Waintraub soulignait qu’« aujourd’hui, l’antisémitisme qui tue et qui a tué depuis 2003, ce sont des crimes qui ont été perpétrés par des arabo-musulmans, ce n’est pas l’extrême droite ».

    Alors, sans doute un peu naïf, on imagine qu’Ils vont taper un grand coup. Par exemple, fermer quelques salles de prière où l’on prêche – pas en latin – la haine de la France, des croisés, des juifs, expulser quelques imams étrangers. Mais non, pas du tout. Le Président annonce qu’il a demandé au ministre de l’Intérieur d’engager la procédure pour dissoudre trois groupuscules d’extrême droite, dont le Bastion social. « Une annonce d’opportunité », affirme Mediapart, révélant que la décision était dans les tuyaux du ministère de l’Intérieur depuis plus de deux mois. Dans opportunité, il y a opportunisme, que voulez-vous… Et, toujours selon Mediapart, le motif de dissolution du Bastion social ne serait pas l’antisémitisme mais son incitation à la constitution d’un groupe armé...

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/02/23/sommes-nous-chez-les-fous-6130980.html

  • De la paupérisation des Français aux Gilets Jaunes – Revue Militant

    21ème entretien-vidéo de la revue Militant réalisé en février 2019 entre MM. André Gandillon et Florian Rouanet.

    Sommaire :
    Régime républicain, 2 siècles de sophisme, droit et personnalisme, majorité silencieuse, code génétique d’une nation, lutte des classes, inégalités territoriales, bourgeoisie et judaïsme, légitimité : la durée entre gouvernement et peuple, complotisme et populisme, souveraineté, mondialisme bancaire, prison ferme contre Christophe Dettinger, énucléation des manifestants, migrants et insécurité, Grand Débat National médiatique, élections européennes, révolte sociale au Vénézuela, situation allemande dans l’Union Européenne, Gilets Jaunes à l’international, Revue Militant…

    https://florianrouanet.wordpress.com/2019/02/21/de-la-pauperisation-des-francais-aux-gilets-jaunes-revue-militant/

  • Quel est le poids des francs-maçons sous l’ère Macron?

    Quelle est la vraie nature des liens entre Alexandre Benalla, membre de la loge des Chevaliers de l’Espérance à la Grande Loge Nationale Française (GLNF), et le conseiller d’Emmanuel Macron, bientôt exfiltré, Ismaël Emelien, formé à l’école très maçonnique de Stéphane Fouks (tendance Grand Orient), chez Havas? Comment comprendre les pluies de contrats que signe l’ancien garde du corps, son amitié avec l’affairiste Alexandre Djouhri, réfugié à Londres, comme avec Philippe Solomon, qui l’a introduit auprès de plusieurs chefs d’Etats africains francs-maçons? […] 

    « Sans verser dans la parano, chaque fois qu’une décision illogique est prise dans le monde des affaires, on peut suspecter qu’il y a solidarité maçonnique », affirme le conseiller du tout-Paris du business, Alain Minc. Contrairement à une idée reçue, les réseaux maçons ne sont pas une survivance des IIIe et IVe Républiques. Ils se développent au même rythme que le nombre de francs-maçons en France, multiplié par cinq en cinquante ans, pour atteindre aujourd’hui 180.000 membres, réunis dans une vingtaine d’obédiences, où élus locaux, médecins, petits patrons, avocats, enseignants, policiers et militaires sont surreprésentés. […]

    Challenges

    http://www.fdesouche.com/1164611-quel-est-le-poids-des-francs-macons-sous-lere-macron

     
  • La naissance de la République – 6/8

    La préparation des massacres

     http://re-histoire-pourtous.com/la-naissance-de-la-republique-episode-6-la-preparation-des-massacres/

  • Critiquer Mahomet : un interdit inscrit dans la charia et la CEDH ?

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    La conférencière autrichienne Elisabeth Sabaditsch-Wolff, condamnée pour avoir blasphémé contre Mahomet, a demandé à la Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l’homme le réexamen de son affaire. Une pétition en ligne signée par plus de 58.000 personnes soutient cette demande.

    Elle s’était contentée d’une question rhétorique. Elle avait pris soin de s’appuyer sur des faits historiques. Elle s’exprimait dans le cadre d’une conférence… Qu’importe : elle a osé vouloir rendre le « prophète de l’islam » indigne de « vénération », elle pouvait donc être condamnée.

    C’est, en substance, ce que la Cour européenne des droits de l’homme avait conclu dans un retentissant jugement en octobre 2018 : ces propos outrepassent la liberté d’expression car ils « ne pouvaient être compris que comme cherchant à démontrer que Mahomet n’était pas digne d’être vénéré ». Un zèle bien surprenant puisque les musulmans ne prétendent pas adorer ni même vénérer Mahomet.

    Il était reproché à la conférencière de ne pas avoir été « neutre » et « objective » dans ses remarques, mais malveillante. Son appartenance au FPÖ, le parti autrichien d’extrême droite, n’a certainement pas joué en sa faveur.

    Voici deux extraits de ce que la conférencière a effectivement dit : « Un des plus gros problèmes auquel nous faisons face aujourd’hui est que Mahomet est perçu comme l’idéal, l’être humain parfait, le parfait musulman. […] C’était un guerrier, il eut beaucoup de femmes, et pour ainsi dire, il aimait faire ça avec des enfants. Et selon nos valeurs, ce n’était pas l’homme parfait. » Et, un peu plus tard, tandis que la conférencière relatait une conversation qu’elle avait eue avec une autre personne, elle demanda : « Un homme de 56 ans avec une fille de 6 ans, comment appelles-tu cela ? Donne-moi un exemple ? Comment appeler cela autrement que de la pédophilie ? »

    Selon la Cour et les juridictions autrichiennes, ces propos ne reflètent pas des faits mais un « jugement de valeur » car la conférencière a « subjectivement attribué à Mahomet la pédophilie comme sa pratique sexuelle principale préférée et n’a pas informé de manière neutre son auditoire du contexte historique ».

    À l’encontre de la conférencière, la Cour souligne que « le mariage a perduré jusqu’à la mort du prophète, lorsque Aïcha venait d’avoir 18 ans et avait donc dépassé l’âge de la puberté ». Nous voilà rassurés, on ne peut pas dire comme cela que « le prophète » était un pédophile ; la preuve : il est resté avec Aïcha bien qu’elle fût pubère !

    Ainsi, sous prétexte d’imprécisions et de manque de neutralité, la Cour valide l’interdit de critiquer le comportement de Mahomet.

    Plus encore : au nom de la paix religieuse et de la tolérance, la liberté de critiquer l’islam est restreinte ; alors même que la Cour protège, simultanément, les attaques les plus offensantes contre les chrétiens en Europe.

    La Cour européenne accepte rarement les demandes de réexamen en Grande Chambre. Pourtant, ici, cela paraît essentiel, tant le jugement rendu est contraire aux propres principes de la Cour suivant lesquels, il faut le rappeler, la liberté d’expression « vaut non seulement pour les “informations” ou “idées” accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent l’État ou une fraction quelconque de la population ».

    Alors que la Cour européenne a récemment posé le cadre d’application de normes de la charia en Europe, va-t-elle accepter de réexaminer le blasphème contre Mahomet ? On en doute, mais on peut l’espérer.

    Christophe Foltzenlogel Juriste

    http://www.bvoltaire.fr/critiquer-mahomet-un-interdit-inscrit-dans-la-charia-et-la-cedh/

  • Hervé Juvin : "Energie, alimentation, territoires : quels enjeux pour la France et l'Europe ?"