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  • Acte XVIII des Gilets Jaunes – en direct

    Acte XVIII des Gilets Jaunes – en direct
  • Un faux « grand débat » qui occulte le bien commun

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    Le Grand Débat, dont Macron a souligné qu'il ne l'obligerait en rien, pose une série de questions techniques qui empêchent qu'on discerne le sens de la chose publique, la philosophie du bon gouvernement. 

    420945253.jpgFace à la gronde du peuple français dont la manifestation bruyante est médiatisée sous l’appellation des Gilets jaunes, le Gouvernement a cru devoir lancer un Grand Débat pour faire croire aux mécontents qu’ils étaient entendus et pour leur laisser penser qu’ainsi les choses iront mieux puisqu’ils pourront – dans une certaine mesure – peser sur les choix politiques à venir. Mais, comme il n’était pas possible non plus de laisser chacun partir sur n’importe quel sujet dans une véritable cacophonie, le Président a tout normalement fixé des limites… quitte à risquer de tout fausser.

    Il a commencé par imposer de ne pas revenir sur les « acquis » récents (ce qui concerne aussi bien la loi Taubira que la réduction de l’assiette de l’impôt sur la fortune au seul patrimoine immobilier), puis il a adressé à tous les Français un message (baptisé « lettre », mais uniquement disponible sur Internet, ce qui méprise les 20 % de la population qui n’y a pas accès), enfin il s’est lancé à travers la France dans une tournée de politique-spectacle où il tient la scène tout seul pendant plusieurs heures devant un public trié sur le volet, pour expliquer ce que les Français doivent penser. Quant au débat proprement dit – si débat il y a –, il ne peut vraiment s’engager qu’à partir des trente-trois questions, regroupées en quatre chapitres, posées dans la fausse lettre, faussement envoyée aux Français.

    Compte tenu des modalités retenues pour ces cahiers des doléances d’un nouveau genre, il n’est absolument pas possible que ce débat permette de mieux appréhender le bien commun. En effet, en se limitant à quelques conséquences secondaires mais visibles, on occulte le fond des problèmes, comme s’il n’y avait pas d’autre politique possible. Pour les hommes au pouvoir c’est tout bénéfice. Cela leur permettra de redorer leur image en faisant penser qu’ils sont à l’écoute des préoccupations de la population sans pour autant remettre en cause les options qu’ils ont choisies et qu’ils imposent à tous. De plus, si les résultats ne satisfont pas les attentes des mécontents, ils pourront se décharger sur le peuple de la responsabilité des mesures parcellaires et technocratiques qui découleront de cette fausse concertation.

    Quelques exemples tirés de chacun des quatre chapitres ouverts à la discussion suffiront à montrer pourquoi ce faux débat ne conduira pas à faire progresser la politique sur la voie de la recherche du bien commun.

    Nos impôts, nos dépenses et l’action publique

    En demandant aux Français quels sont les impôts qu’il faut « baisser en priorité » ou « comment pourrait-on rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ? », on est sûr d’obtenir une masse impressionnante de réponses contradictoires, chacun se référant à sa situation personnelle pour répondre. Mais le bien commun n’est pas la somme des intérêts individuels ; il en est la combinaison harmonieuse. Quelle que soit la décision finalement retenue, il y aura donc des déçus et il n’est pas sûr qu’ils se contenteront, comme explication, du fait que cette décision résulte de la volonté de la majorité. Si l’on veut faire un pas dans le sens du bien commun, il faut commencer par rechercher à quoi servent les impôts, autrement dit quelle politique l’on veut suivre. Il faut ensuite tenir compte du besoin fondamental de liberté de chacun qui se traduit ici par la maîtrise d’un certain pouvoir d’achat. Or, celui-ci se mesure par la différence entre le revenu versé (pour les salariés, le montant total du salaire brut à la charge de l’entreprise, toutes charges comprises) et les dépenses contraintes, soit les prélèvements de toutes sortes et les dépenses obligatoires (assurance, chauffage, frais de transport pour aller travailler ou conduire les enfants à l’école…). Il faut encore définir ce qui, dans les missions de l’État lui appartient en propre et qu’il peut seul assumer, dans le respect du principe de subsidiarité, et à quelle cadence il peut les mener à bien, c’est-à-dire dans le respect de l’équilibre budgétaire qui n’est qu’une simple application du principe de solidarité envers les générations futures. À partir de là seulement, on peut définir le niveau de pression fiscale acceptable et discuter ensuite de la façon de la répartir au mieux en tenant compte des facultés contributives de chacun.

    L’organisation de l’État et des collectivités publiques

    Là encore les questions posées sont trop précises pour ne pas donner lieu à l’expression de souhaits particuliers. Ainsi, par exemple, on ne peut pas demander à un fonctionnaire territorial de dire que la collectivité pour laquelle il se dépense sans compter n’a pas d’utilité. Quand on sait le poids que représente, en France, la fonction publique totale, on comprend bien que les réponses ne pourront pas être exclusivement pesées à l’aune du bien commun. La seule question qui se pose ici est celle de savoir si les collectivités publiques, qu’elles soient nationales ou locales, ne sont pas plus au service de l’État qu’au service des citoyens. Car le bien commun suppose que toutes les collectivités publiques soient au service des citoyens et non de l’État qui ne peut en aucun cas être une fin sinon il « ne pourrait que nuire à la vraie et durable prospérité de la nation » (Pie XII, Summi Pontificatus, 20 octobre 1939). 

    La transition écologique

    Avec ce chapitre, on atteint des sommets dans le déni du bien commun. Les questions posées ne portent que sur des « solutions concrètes » pour mettre en œuvre des décisions non discutables. Mais ces décisions sont-elles vraiment non contestables ?

    Prenons l’exemple de l’énergie éolienne qui est imposée pour le plus grand bien des industriels étrangers et qui coûtera de plus en plus cher aux Français. En effet ces éoliennes sont essentiellement produites par des sociétés allemandes à partir de matériaux dont les plus stratégiques (terres rares) sont importés de Chine. Elles nécessitent pour leur ancrage au sol des tonnes de béton qui stérilisent des terres cultivables et perturbent les nappes phréatiques, et qu’il faudra bien éliminer lorsqu’au bout de vingt ans ces éoliennes seront en fin de vie. De plus ces machines émettent des ultra-sons qui troublent dangereusement le vol des oiseaux portant ainsi atteinte à la biodiversité. Enfin, dans le meilleur des cas ces éoliennes ne fonctionnent qu’à 25 % du temps ce qui suppose de développer parallèlement des centrales suffisamment souples pour prendre le relais en tant que de besoin, c’est-à-dire aujourd’hui des centrales à charbon – puisque le nucléaire est exclu. C’est ainsi que l’Allemagne a augmenté ses émissions de gaz à effet de serre et de particules fines. Sans parler des autres nuisances provoquées par ces machines.

    Redonner plus de force à la démocratie et à la citoyenneté

    Comme dans les chapitres précédents les questions posées sont parcellaires et n’abordent pas les questions de fond. La reconnaissance du vote blanc intéresse plus les politologues qui ont envahi les chaînes de télévision et sont payés grâce à la redevance, que le citoyen. « Dans quelle proportion diminuer le nombre des Parlementaires ? » n’est qu’anecdotique. Quant à savoir quel rôle faire jouer au Conseil Economique, Social et Environnemental alors que la plupart des Français ne savent même pas qu’il existe, ce n’est pas ainsi que l’on va rétablir la confiance. La seule question importante est celle de savoir quel doit être le rôle réel du chef de l’État. Il n’est pas le chef du Gouvernement ; il ne doit pas être l’homme d’un parti que celui-ci soit majoritaire ou minoritaire. Son rôle est de représenter le pays, de l’incarner. Il doit être le garant des institutions, l’arbitre de toutes les factions, le défenseur de l’identité nationale. C’est à lui qu’incombe le respect du bien commun ce pourquoi il doit fédérer tout le monde autour de sa personne. Ce n’est pas en se disputant sur les réponses à apporter à des questions de détail qu’on y arrivera.

    Ces quelques pistes de réflexion suffisent à montrer que le Grand Débat ne peut au mieux qu’accoucher d’un consensus mou, au pire séparer un peu plus les Français les uns des autres et distendre ainsi le lien national. Quel est donc le but poursuivi avec ce Grand Débat ? Favoriser la poursuite du bien commun ou diviser pour mieux « régner » ?    

    François Reloujac

    Journaliste, spécialiste des questions économiques

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/03/15/un-faux-grand-debat-qui-occulte-le-bien-commun-6136097.html

  • Joachim Véliocas : « La direction d’Etam a exclu une employée résistant à l’entrisme islamiste »

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    Dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, une femme voilée s’est plainte d’avoir été discriminée à l’embauche dans un magasin Etam, ce qui a valu une mise à pied à la responsable du magasin.

    Joachim Véliocas, de l’Observatoire de l’islamisation, analyse ce qu’il considère comme une « offensive islamiste ».

    Après Décathlon®, nouvelle polémique autour des vêtements islamiques. Une femme voilée prétend avoir été discriminée à l’embauche par une employée de la marque Etam. Que pensez-vous de cette polémique ?

    Cette polémique intervient une semaine après la sortie d’Emmanuel Macron sur le sujet, lors du grand débat dans le Sud-Ouest. Il avait répondu à une femme voilée qui s’inquiétait de ne pas trouver d’emploi qu’il ferait tout pour faire cesser la discrimination à l’embauche des femmes voilées en particulier. Il avait dit qu’il ferait même du testing pour traquer les entrepreneurs qui refuseraient d’embaucher des femmes voilées.
    J’avais expliqué à votre antenne que les règlements intérieurs peuvent tout à fait interdire le port du voile.
    Dans le cas d’Etam, c’est une Marocaine voilée jusqu’aux oreilles qui, deux jours après la Journée de la femme, se plaint de ne pas avoir obtenu un entretien d’embauche auprès de la responsable d’une boutique Etam. Dans une vidéo, cette femme dit qu’elle avait envie de gifler la responsable en raison de son racisme. Au passage, je ne savais pas que l’islamisme était une race… L’erreur technique de la responsable du magasin est, en fait, d’avoir balayé d’un revers de main tout entretien.
    Etam doit certainement avoir un règlement intérieur sur les tenues, en particulier pour les vendeuses. Or, le règlement intérieur commence au moment où le salarié commence à travailler. Il faut donc tout de même accepter un entretien pour leur expliquer le règlement intérieur. Après cela, la direction d’Etam a été harcelée. Ça a pris la forme d’une chasse en meute par les officines anti-islamophobie. Le directeur général d’Etam s’est excusé platement et a annoncé une enquête interne et la mise à pied de la responsable du magasin. C’est incroyable ! Cette dame est victime d’une offensive islamiste face à laquelle la direction d’Etam a été totalement poreuse.

    La puissance des réseaux sociaux induit finalement que l’e-réputation d’une société prime sur son règlement intérieur et sur le droit au sens large…

    Avec les réseaux sociaux, les choses vont très vite. Et l’e-réputation d’une société est, en effet, importante. Néanmoins, les messages ne sont venus que d’un seul camp. S’il y avait eu plus de messages du camp des républicains et des clients Etam eux-mêmes, ils n’auraient probablement pas réagi comme cela. C’est l’effet de sidération. Ils ont été sidérés face à cette attaque soudaine et massive.
    Je pense qu’ils ont fait un très mauvais choix. Je pense que certaines femmes françaises vont désormais refuser d’aller chez Etam pour avoir mis à pied un employé qui résiste à l’entrisme islamique.

    On a l’impression que ce milieu-là sait se mobiliser sur les réseaux sociaux. On l’a vu encore dernièrement avec l’élu du 18e arrondissement Pierre Liscia qui a refusé de serrer la main de Rachid Nekkaz. On a l’impression que ce réseau-là sait formidablement bien se mobiliser sur les réseaux sociaux.

    En France, il y a environ deux millions de binationaux Algériens, plus des Algériens tout court. Les Algériens, en Algérie, peuvent également interagir sur les réseaux sociaux à distance. Le pauvre Pierre Liscia, pour avoir simplement dit à Rachid Nekkaz qu’il était complice des islamistes en payant les amendes des femmes en niqab, a été en effet victime de cette attaque. Pourtant, c’est vrai. Du moment où Rachid Nekkaz s’oppose à la loi française, qui interdit ce voile qui cache même le nez et ne laisse entrevoir que la fente des yeux, et vient au secours financier des islamistes, il est complice. Même les islamistes n’ont pas nié les faits. Ils en sont tout à fait contents. On peut donc légitimement s’interroger sur l’ampleur que cela a pris. Derrière Rachid Nekkaz, il y a toute une jeunesse. Il ne faut pas oublier que 40 % des Algériens ont moins de 25 ans. Ça représente une force énorme, d’autant que ces jeunes sont très connectés.

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Dix raisons pour venir dimanche aux Assises de la France des Gilets jaunes, à Rungis

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    Le prochain week-end sera très chargé pour quiconque suit l’actualité qui, depuis 4 mois, tourne autour des Gilets jaunes. La guerre des chiffres continue, Castaner n’a vu que 30 000 manifestants samedi dernier, continuant sa stratégie de mensonges pour dénigrer un mouvement qui menace ce régime, depuis le 17 novembre.

    Ce samedi 16 mars, les porte-paroles des Gilets jaunes, que par ailleurs nous n’apprécions guère, Drouet, Nicolle et Ludosky, appellent l’ensemble des Français à monter sur Paris, et à entamer une épreuve de force avec ce régime, dans des formes qui ne paraissent pas avoir été encore définies. Tout au long de la semaine, nous y reviendrons.

    Certains patriotes, écœurés par l’évolution du mouvement, et sa récupération par la gauche et l’extrême gauche, ne veulent plus entendre parler de lui, et s’éloignent en silence, désabusés. D’autres choisissent d’y rester, parce qu’ils savent que notamment sur les ronds-points, nombre de Gilets jaunes restent fidèles aux idées originales du mouvement : la baisse des taxes et des impôts, et la demande du départ de Macron.

    Aujourd’hui, alors que nous avons annoncé cette initiative depuis plusieurs semaines, nous appelons toute notre mouvance, qu’elle se retrouve dans le premier exemple ou dans le deuxième, à s’inscrire pour ces Assises de la France des Gilets jaunes, et nous expliquons les dix raisons qui justifient cet appel cliquez là.

    1 -  Il y a 18 mois, à l’occasion des 10 ans de Riposte Laïque, que nous n’avons pas donné rendez-vous à nos amis. À chaque initiative de ce type, que cela ait été les Assises internationales contre l’islamisation de nos pays, les Assises de la Liberté d’expression, les Assises « Sauvons notre pays », notre public nous a toujours remercié de l’excellente journée qu’ils avaient passée. Ils y ont toujours trouvé une ambiance fraternelle exceptionnelle, un bon esprit gaulois, le plaisir de côtoyer des gens qui pensent comme eux sur l’essentiel. La disponibilité de Pierre et Christine pour discuter avec nos amis (malgré le poids de l’organisation), leur simplicité est également toujours appréciée. On y mange bien et on boit bien, si on le souhaite, et on rigole avec finesse, ensemble. Enfin, et c’est là l’essentiel, les organisateurs ont toujours invité des intervenants d’une qualité très au-dessus de la moyenne, parfois exceptionnels, qui délivrent un message aux antipodes de ce que les Français entendent à longueur de journée sur les médias de propagande.

    2 - Ces Assises rendent fous les gauchistes, qui, sur les réseaux sociaux, hurlent à la récupération de l’extrême droite. Cela ne manque pas d’air de la part de ceux qui, au début, insultaient le mouvement, avant, au service de Macron, de multiplier les actes de vandalisme et les agressions contre les policiers pour mieux le discréditer. Certains ont même menacé de venir nous apporter la contradiction à Rungis, avec les méthodes démocratiques qu’on connaît. Nous rassurons nos amis, nous avons toujours fait ce qu’il fallait pour assurer leur protection, et la police sera dans les alentours, des fois que…

    3 - Ces Assises auront lieu le lendemain de l’Acte XVIII, où tout paraît possible, le pire comme le meilleur. Elles seront également l’occasion de faire le point, le jour anniversaire des 4 mois des Gilets jaunes, sur les perspectives, s’il y en a, à donner à ce mouvement, aujourd’hui gangrené par des récupérations politiciennes qui visent à le détruire de l’intérieur.

    4 - Vous entendrez des témoignages de Gilets jaunes authentiques, venus de différents endroits de France, présents dans le mouvement depuis le 17 novembre. Lors d’une table ronde qui leur sera consacré, Thomas Joly, secrétaire du Parti de la France, Gilet jaune de la première heure, apportera, en complément, son témoignage et sa vision politique. Dans la foulée, Richard Roudier, président de la Ligue du Midi (dont la sympathique Muriel Ressiguier, surnommée Miss Goulag, demande la dissolution) apportera un témoignage d’Occitanie sur l’histoire de ce mouvement, depuis 4 mois, et l’implantation que les patriotes ont su gagner, sur le terrain.

    5 - Le débat sur l’immigration, que Macron et la direction auto-proclamée des Gilets jaunes veulent interdire, sera abordé sans tabou, avec deux interventions complémentaires. D’abord, en fin de matinée, Gérard Pince, économiste, auteur du livre « La France ruinée par l’immigration » expliquera ce qu’aucun des porte-paroles officiels GJ n’a été capable de faire : le réel prix payé par la France des Gilets jaunes pour l’immigration, et ses conséquences dans le quotidien des classes populaires, les plus vulnérables. Et dans l’après-midi, Jean-Yves Le Gallou, infatigable animateur de Polemia, expliquera que les deux axes révolutionnaires, pour les Gilets jaunes, sont les médias de propagande et l’immigration. Une intervention qui sera sans doute un des temps forts de cette journée.

    6 - Ce régime a mobilisé son appareil d’État pour briser, par tous les moyens, ce mouvement. La police, la justice et les médias ont été instrumentalisés au-delà de tout ce que nous avons déjà connu. Qui mieux que le syndicaliste policier Michel Thooris (qui interviendra pour la première fois lors d’une de nos initiatives), notre avocat, maître Frédéric Pichon, qui a défendu des dizaines de Gilets jaunes devant des tribunaux d’exception, et Martial Bild, directeur des programmes de TV-Libertés, pourront expliquer aux spectateurs présents l’ampleur de la répression et de la désinformation quotidienne et agressive qu’a subie « La France des Gilets jaunes ».

    7 - Ce mouvement a été très suivi dans toute l’Europe, et particulièrement par nos voisins les plus proches, les Suisses et les Italiens. Uli Windisch, notre ami, président et fondateur du site helvétique « Les Observateurs.ch » viendra donner son avis sur la revendication du Ric, lui qui vient d’un pays où les votations citoyennes, à trois niveaux, permettent aux électeurs de donner leur avis, quand ils le veulent, et de faire savoir à leurs dirigeants ce qu’ils veulent, et ce qu’ils ne veulent pas. Et côté italien, Mario Borghezio, député européen de la Lega. Un parti dont le leader charismatique, Matteo Salvini, est la bête noire du président de la République Macron. Bien sûr, il n’a pu que se réjouir que celui qui donne des leçons au monde entier se voit contesté à l’intérieur de son pays. Quand Macron ne peut plus se déplacer nulle part sans se faire siffler et insulter, le ministre de l’Intérieur italien reçoit des marques d’amour de son peuple, partout où il passe. C’est ce que Mario – par ailleurs orateur hors pair, qui parle un français parfait, et n’a pas son pareil pour transmettre son enthousiasme à un public – viendra nous dire.

    8 - Vous pourrez faire connaissance de trois intervenants (outre Michel Thooris) qui ne sont jamais intervenus à nos initiatives. Franck Buhler est le vrai fondateur des Gilets jaunes, et il connaît tous les dessous du fonctionnement passé et présent d’une nébuleuse parfois complexe à décoder. Il nous en dira beaucoup, et surtout nous parlera de la suite du mouvement, telle qu’il la voit, sans langue de bois. Nicolas Miguet, président du Rassemblement des Contribuables, avait monté, en visionnaire, une liste aux européennes, en 1999, sur le thème « Moins d’impôts, moins de taxes », que les Gilets jaunes ont reprise, au début du mouvement. Il expliquera ce que recouvre le terrible gaspillage, par l’État français et ceux qui le dirigent, des impôts payés par les Français. Enfin, Emmanuel Crenne, conseiller régional apparenté RN en Occitanie, par ailleurs passionné d’Histoire, expliquera les similitudes qu’il voit entre la France de 1789 et celle de 2019, et sa conviction que les revendications des Gilets jaunes sont porteuses d’une nouvelle révolution française.

    9 - Sans doute un des grands moments de cette journée sera la présence du major Alain Bonte, que Pierre Cassen interrogera sur le message contenu dans son livre « L’espérance, notre rêve pour la France », où un militaire prend le pouvoir en France, et se met à diriger le pays dans l’intérêt des Français, en menant une guerre impitoyable à tous les traîtres qui ont coulé le pays depuis quarante ans. Il nous dira s’il croit possible, actuellement, le scénario de son livre, disponible sur les tables, qui fera rêver nombre de nos compatriotes.

    10 - Partisans acharnés de l’Union des patriotes, au-delà de nos différences, bien sûr vous aurez l’occasion de voir, sur les tables, tous nos amis qui ont réservé leur place pour exposer leur matériel militant, et vendre leurs livres : nos amis de TV-Libertés, de Présent, de Synthèse nationale, Philippe Randa, les éditions Daniel Conversano, le Parti de la France, le Siel, Vigilance Halal, la Ligue du Midi, le Rucher Patriote, Deux temps d’avance, et quelques autres compagnons de route.

    Les occasions sont trop rares pour la famille patriote de se réunir, et la situation politique est trop exceptionnelle, à deux mois des élections européennes, pour que vous laissiez passer une telle occasion de passer une belle journée. Nous comptons sur vous.

    NDLR SN : Pour notre part, nous nous permettons d'en ajouter une onzième : celle d'avoir le plaisir de vous recevoir sur le stand de Synthèse nationale.

    Diapositive1.jpg http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • LR veut encore plus d’avortements

    LR veut encore plus d’avortements

    Le député LR Bérengère Poletti a déposé un amendement au projet de loi santé qui vient d’être accepté par la commission des affaires sociales. Elle propose d’étendre la compétence des sages-femmes pour qu’elles puissent réaliser des avortements par voie chirurgicale, et non plus uniquement par voie médicamenteuse…

    220 000 avortements par, cela ne leur suffit pas.

    https://www.lesalonbeige.fr/lr-veut-encore-plus-davortements/

  • Bosnie-Herzégovine : immigration, la coupe est pleine

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    Pour plaire à Bruxelles, les pays des Balkans seraient prêts à faire n’importe quoi : renoncer à leur monnaie, abandonner leur souveraineté, calibrer la taille de leurs tomates… Il y a, cependant, une pilule qui ne passe plus dans les rues de la péninsule : celle de l’immigration.

    En ouvrant massivement ses portes à l’immigration illégale pour obtenir des salariés bon marché, l’Union européenne a demandé à la Bosnie-Herzégovine, entre autres, d’ouvrir ses frontières pour laisser passer les colonnes d’immigrés. L’Union européenne a promis qu’en faisant ainsi, Sarajevo améliorerait ses chances d’être un jour candidat au sésame bruxellois. Les Bosniens avaient compris que les migrants ne feraient que passer, ils s’étaient dit « ça ne sera pas notre problème » mais, à la veille des élections européennes, les pays de l’Union européenne ferment leurs portes et cela n’amuse plus du tout les locaux.

    Si ces immigrés avaient été guidés, par exemple, vers l’Arabie saoudite ou le Qatar, cela n’aurait pas posé de difficultés. Ces deux pays, parmi les plus riches du monde, auraient pu les accueillir convenablement, leur trouver un logement, un travail, soigner les malades… Mais la Bosnie-Herzégovine, ce n’est pas le golfe Persique. En Bosnie-Herzégovine, le taux de chômage est de 35 %, le taux de chômage des jeunes est de 60 %, et ceux qui ont la chance de travailler gagnent, en moyenne, 422 euros par mois. De plus, la Bosnie-Herzégovine est en proie à d’autres difficultés internes : la République serbe, qui forme 49 % du territoire, réclame de plus en plus son indépendance et les djihadistes, venus aider l’OTAN dans les années 1990 contre les Serbes, sont restés sur place et diffusent leur doctrine wahhabite dans des villages musulmans…

    Il y a peut-être un seul sujet qui met toutes les communautés au diapason : les migrants. Le ministre de la Sécurité Dragan Mektić annonce que 70.000 migrants en provenance de la Grèce vont arriver dans le pays. Il est très clair : « Les problèmes liés à l’immigration illégale vont croître. » Bruxelles a donné 9,2 millions d’euros à la Bosnie pour gérer les migrants, mais cela ne suffit pas et des centres d’hébergement comme à Bihać, au nord-ouest du pays, explosent littéralement. 4.000 immigrés y sont installés et la population locale, majoritairement musulmane, ne supporte plus les bagarres, l’insécurité et les trafics en tout genre.

    Il ne faut alors pas s’étonner que c’est peut-être vers la Hongrie que se tournera Sarajevo sur ce sujet. Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a, en effet, proposé d’envoyer des patrouilles pour aider à contrôler les frontières du pays. Ce même Orbán, que la droite parlementaire européenne du PPE menace d’exclure de son groupe, a compris que cette campagne d’immigration massive n’apporterait rien de bon ni à l’Europe ni aux immigrés qui se retrouvent entassés dans des bivouacs de fortune sans avenir. Il n’y a que Bruxelles qui pense que cela soit une bonne idée, et en Bosnie-Herzégovine, en ce moment, on se demande si Bruxelles a vraiment tout compris.

    Nikola Mirkovic

  • Marine Le Pen : “Je soutiens les gilets jaunes depuis la première heure”

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    “L’Emission politique” de France 2 recevait Marine Le Pen jeudi 14 mars.

    Accompagnée par Guillaume Daret, la présidente du Rassemblement national (RN) est allée à la rencontre de quatre membres des “gilets jaunes”.

    Bas salaires, violences policières, dépenses de l’Etat, tous les sujets ont été mis sur la table. Un entretien “sans filet” à retrouver en intégralité.

  • Nouvelle-Zélande : attaque d’une mosquée, près de cinquante victimes – Journal du vendredi 15 mars 2019

     

    Nouvelle-Zélande : attaque de deux mosquées, près de cinquante victimes

    Une attaque visant deux mosquées en Nouvelle-Zélande a fait près de 50 victimes. Le terroriste, âgé de 28 ans, avait publié un manifeste avant de passer à l’acte.

    Gilets jaunes : l’acte décisif

    Pour le 18ème samedi consécutif de manifestations, les gilets jaunes entendent marquer les esprits. Attendu depuis plusieurs semaines, le 16 mars pourrait être le point final de quatre mois de contestation sociale alors que le grand débat national vient de s’achever.

    Immigration : Emmanuel Macron en trompe l’oeil

    Alors que les élections européennes approchent à grand pas, Emmanuel Macron se sait particulièrement attendu sur un sujet : l’immigration. Pour parer les éventuelles attaques, le chef de l’état multiplie les effets d’annonces.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/nouvelle-zelande-attaque-dune-mosquee-pres-de-cinquante-victimes-journal-du-vendredi-15-mars-2019

  • Jean-Marie Le Pen a reçu une délégation du Bastion social

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    Comme nous l'annoncions mardi dernier sur Synthèse nationale, suite à l'appel que nous avons lancé contre la menace macronienne de dissolution du Bastion social cliquez ici, appel auquel a immédiatement répondu Jean-Marie Le Pen, une délégation du BS a été reçue à Strasbourg où il siège actuellement au Parlement européen par le président d'honneur du Front national.

    Ce fut l'occasion pour nos jeunes camarades de présenter à Jean-Marie Le Pen le sens de leur combat et les actions qu'ils mènent à travers la France.

    Les nombreux soutiens que cet Appel reçoit quotidiennement prouvent que, au-delà des sensibilités diverses, lorsque l'on s'en prend à l'une des composantes de la famille, chez les nationaux, les nationalistes et les identitaires la fraternité et la solidarité militantes ne sont pas de vains mots.

    Vous aussi, rejoignez les signataires, cliquez ici

    ou écrivez à roland.helie@sfr.fr

    ou imprimez et retournez ce bulletin cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Têtes à Clash n°45 avec Jean Messiha

     

    Franck Tanguy reçoit Laurent Artur du Plessis, Benoît Dumoulin, Olivier Piacentini et Jean Messiha du Rassemblement National. Ils débattent du rôle que doit avoir la France face au printemps algérien, de l’égalité des salaires entre hommes et femmes et du rapatriement des enfants de djihadistes.