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  • Un centre sicilien pour immigrés servait de base à la mafia nigériane

    Un centre sicilien pour immigrés servait de base à la mafia nigériane

    Ce n’est pas par la presse immigrationniste de gauche (pléonasme) que l’on apprend cela :

    Le centre de Mineo était une base d’opérations pour la mafia nigériane. Mais aucune trace de la nouvelle dans les journaux – 10 arrestations de fugitifs en France et en Allemagne avec la circonstance aggravante d’association de malfaiteurs de type mafieux. Leur base était le centre sicilien pour migrants. On en parle dans Il Giornale, Libero, Verita et QN. Zéro dans La Reppublica, Il Corriere, La Stampa, Messagero etc… Ce doit être parce que la dernière circulaire de la bien-pensance impose de reclasser cette histoire de mafia nigériane en « fake news inventée par les xénophobes ».

    Une douzaine de citoyens nigérians, tous fugitifs en Italie et considérés comme appartenant à une organisation criminelle qui opérait depuis quelque temps en Sicile, ont été arrêtés en France et en Allemagne […] ils sont tenus pour responsables, sous diverses formes, d’association de type mafieux, association visant le trafic illicite de drogue, de violences sexuelles et de violences sexuelles en groupe. Selon les enquêtes de l’équipe mobile de Catane et de Sco, ils appartiennent à une organisation criminelle nigériane disséminée dans divers pays européens et non européens, d’une matrice sectaire appelée ‘Vkings’ ou ‘Supreme Vikings Confraternity’. Tous les dix auraient fait partie de la cellule sicilienne qui opérait à Catane et dans la province et qui avait sa base dans la centre de Mineo. Dans ce centre, selon l’enquête, il y a eu plusieurs fois des affrontements avec d’autres groupes afin de maintenir la prédominance parmi les communautés étrangères. […]

    Il était dans le « Cop » (Conseil des professeurs), l’un des principaux organes de la secte secrète. Il révèle les rites, les hiérarchies et les affaires du dôme noir. Il est maître du trafic de drogue – de la cocaïne à la marijuana, échangée avec les Albanais -, de la prostitution et du trafic humain, du clonage de cartes de crédit et de la falsification de documents. Des hommes de la rue et des cols blancs. Machette et iPhone. Les dirigeants sont généralement des immigrants légaux. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/un-centre-sicilien-pour-immigres-servait-de-base-a-la-mafia-nigeriane/

  • Les nouveaux talents : Théo à l’assaut des armes russes

     

    Ils se veulent indépendants et libérés du politiquement correct. Ils font un tabac sur les plateformes vidéos. Ils représentent un ton nouveau. Avec sa rubrique « Les nouveaux talents », TV Libertés donne « carte blanche » aux nouvelles générations. Aujourd’hui, TVL offre à nouveau la parole à un jeune qui « recherche la vérité » : Théo. Ses vidéos veulent participer à une meilleure compréhension du monde : « Un homme qui comprend est un homme qui lutte armé face aux impostures dominantes ». Découvrez Théo et sa vidéo sur un thème de grande actualité : Après les crypto-monnaies. un sujet passionnant : « Les armes russes » .Et n’oubliez pas : faites passer l’info.

    https://www.tvlibertes.com/les-nouveaux-talents-theo-a-lassaut-des-armes-russes

  • « Mineurs isolés » : l’Etat organise lui-même sa submersion migratoire

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    Par Etienne Lahyre, haut fonctionnaire, analyste politique ♦ L’Etat français organise-t-il lui-même la submersion migratoire de son territoire et de son peuple ? C’est l’avis – entre autres ! – d’Etienne Lahyre, pour qui les élites gouvernement clairement contre le peuple.

    C’est le 16 juillet 1971 que tout a commencé. Le père de la constitution de la cinquième république mort depuis plus de six mois, on pouvait commencer à danser sur son cadavre.

    Bal tragique rue de Montpensier : une morte, la Constitution de la Cinquième République

    De la promulgation de la constitution jusqu’au début des années 1970, le Conseil constitutionnel s’en tenait à la lettre et à l’esprit des institutions gaulliennes : sa principale mission se bornait à garantir la constitutionnalité des lois. Il était, pour le Général de Gaulle, un outil parmi d’autres, contribuant à la « rationalisation » du parlementarisme. Ces parlementaires dont de Gaulle s’était toujours méfié. Il était hors de question pour le Conseil d’envisager une seule seconde de déboulonner la statue du commandeur.

    Seulement voilà, le souffle de mai avait fait vaciller ladite statue, qui avait fini par s’effondrer un an plus tard sous les coups de boutoir de la gauche, mais surtout de la droite orléaniste. Le climat intellectuel était propice à une révolution juridico-politique, à un coup d’état institutionnel. Gaston Monerville s’était cassé les dents face au Général de Gaulle : saisi par le Président du Sénat, le conseil constitutionnel avait refusé de contrôler la conformité avec la Constitution de la loi relative à l’élection du Président de la République au suffrage universel direct et adoptée par le Peuple dans le référendum du 28 octobre 1962, au motif, fort légitime au demeurant, qu’il ne lui appartenait pas d’apprécier la conformité d’une loi adoptée par le Peuple à la suite d’un référendum, en tant que celle-ci « constitue l’expression directe de la souveraineté nationale ». En France, la Cour suprême, c’est bien le peuple, pour paraphraser de Gaulle.

    Son successeur à la présidence du Sénat, Alain Poher, largement défait par Georges Pompidou à l’élection présidentielle de 1969, aura sa revanche face à l’exécutif. Le conseil constitutionnel, saisi par Poher, censure les dispositions d’un texte destiné à compléter la loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d’association, en se fondant sur le préambule de la Constitution : la décision du 16 juillet 1971 constitue l’acte de naissance du premier des fameux « principes fondamentaux reconnus par les lois de la République », auxquels le Conseil donnera désormais valeur constitutionnelle. Depuis des décennies, elle est présentée à tous les étudiants en droit comme le cœur nucléaire de la « jurisprudence audacieuse » (sic !) du Conseil constitutionnel, garant de l’état de droit et protecteur des « libertés individuelles ». En France, la Cour suprême n’est plus le peuple : elle se nomme désormais Conseil constitutionnel, Conseil d’Etat ou Cour de Cassation. Et la justice n’est plus rendue « au nom du peuple français », mais au nom des dogmes de l’idéologie dominante, post-démocratique et post-nationale, aux antipodes de la conception originelle de l’office du juge.

    Le rapport de force s’est inversé : le Président de la République n’est plus la clé de voûte des institutions voulue par Michel Debré. Il court sans cesse derrière l’idéologie dominante dont les effets sont gravés dans le marbre par la jurisprudence : sa légitimité politique issue du suffrage s’efface progressivement face à une autorité prétendument morale des Juges.

    Les « principes fondamentaux reconnus par les lois de la République » sont les nouvelles tables de la loi ; à la différence près qu’aucun Moïse ne se risquerait à les briser, cela serait péché mortel. Et la funeste « question prioritaire de constitutionnalité » (QPC), introduite dans la Constitution en 2008 par Nicolas Sarkozy, se révèle un puissant outil de déconstruction de notre droit.

    L’Etat n’a pas la volonté de lutter efficacement contre les fraudes à l’identité

    C’est dans le cadre d’une QPC que le Conseil constitutionnel, saisi par la Cour de Cassation, a été amené à se prononcer, le 21 mars dernier, sur la conformité à la Constitution de l’article 388 du code civil. La loi du 14 mars 2016 a introduit dans cet article les dispositions suivantes : « Les examens radiologiques osseux aux fins de détermination de l’âge, en l’absence de documents d’identité valables et lorsque l’âge allégué n’est pas vraisemblable, ne peuvent être réalisés que sur décision de l’autorité judiciaire et après recueil de l’accord de l’intéressé.

    Les conclusions de ces examens, qui doivent préciser la marge d’erreur, ne peuvent à elles seules permettre de déterminer si l’intéressé est mineur. Le doute profite à l’intéressé.

    En cas de doute sur la minorité de l’intéressé, il ne peut être procédé à une évaluation de son âge à partir d’un examen du développement pubertaire des caractères sexuels primaires et secondaires. »

    La première chambre civile de la Cour de cassation estime dans son arrêt du 21 décembre 2018 que « les questions posées, en tant qu’elles invoquent une atteinte aux droits et libertés garantis par les articles 2, 4, 5, 6 et 16 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, les alinéas 1er, 10 et 11 du Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946, l’alinéa 1er du Préambule de la Constitution du 4 octobre 1958 et au principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine, présentent un caractère sérieux ». C’est, une nouvelle fois, le respect du « bloc de constitutionnalité » qui est invoqué, au travers des principes de dignité humaine et de protection de la santé.

    La lecture de la décision du Conseil constitutionnel (https://www.conseil-constitutionnel.fr/decision/2019/2018768QPC.htm) permet de relever, en premier lieu, que ce ne sont pas moins de dix associations qui sont intervenues à l’appui de la requête. Et que bon nombre de ces officines vivent principalement de subventions publiques : tel le sapeur Camember, l’Etat finance les associations pour mettre en pièce sa propre législation relative à l’immigration.

    Le Conseil répond à chacun des points soulevés par le requérant en se bornant à une exégèse des dispositions législatives existantes qui témoigne de leur portée somme toute insignifiante : les examens radiologiques osseux comportent une marge d’erreur, ne peuvent être pratiqués qu’après une décision d’un magistrat de l’ordre judiciaire, dans les cas où la personne en cause ne dispose d’aucun titre d’identité et qu’elle allègue un âge invraisemblable, et sous réserve de son consentement formel. Etant entendu que le fait  de refuser de se soumettre à l’examen ne saurait être regardé ne saurait établir, à lui seul, la majorité de l’intéressé. On a connu dispositif plus aisé à mettre en œuvre et plus probant.

    Le conseil rappelle par ailleurs les dispositions de l’article 47 du code civil aux termes desquelles « tout acte de l’état civil des Français et des étrangers fait en pays étranger et rédigé dans les formes usitées dans ce pays fait foi, sauf si d’autres actes ou pièces détenus, des données extérieures ou des éléments tirés de l’acte lui-même établissent ». Celles-ci ne permettent pas à l’Etat de lutter efficacement contre le fléau de la fraude documentaire : un rapport parlementaire datant de 2005 (https://www.senat.fr/rap/r04-439/r04-4391.pdf) indiquait déjà que dans certains pays d’Afrique, une grande partie des actes d’état civil étaient falsifiés. Ce phénomène ne peut que s’amplifier eu égard à l’étendue de la corruption en Afrique, et surtout au boom démographique que connaitle continent.

    « Tyrannie de la faiblesse » et volonté d’extinction du politique

    De la Goutte d’or à Rennes, de Vannes à Montpellier, des bandes de « mineurs isolés étrangers», quel que soit leur âge réel, commettent en toute impunité des actes de délinquance. Tant l’analyse de la réglementation existante que les témoignages unanimes des forces de l’ordre révèlent les failles béantes dans les dispositifs de contrôle qui caractérisent l’aboulie de la puissance publique face à l’immigration.

    Le principe de « l’intérêt supérieur des droits de l’enfant » figurant dans la Convention des Nations Unies sur les droits de l’enfant est en tout à fait tout à fait respectable, voire louable. En pratique, son dévoiement conduit à la prolifération de réseaux criminels et à la mise en danger de certains mineurs en les laissant à la merci de ces réseaux. Ce principe est rappelé dans la directive « Retour » du 24 décembre 2008 (https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32008L0115&qid=1434632244825&from=FR#page=6), mais la rédaction de ce texte laisse une marge de manœuvre certaine aux Etats dans le recours à l’éloignement de mineurs non accompagnés. Et la France a, sans surprise, fait le choix de ne pas inscrire dans sa législation la possibilité d’un tel éloignement (cf. Loi du 16 juin 2011 relative à l’immigration, à l’intégration et à la nationalité et  décret n°2011-820 en date du 8 juillet 2011, élaborés sous Présidence Sarkozy). Ce sont donc les conseils départementaux à qui l’Etat a confié ce fardeau (40.000 mineurs concernés selon l’Assemblée des Départements de France). Ces jeunes sont pris en charge par les départements, même si leur minorité n’est pas établie. Un décret du 31 janvier 2019 crée bien un fichier biométrique recensant ceux-ci, mais il fait l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le Conseil d’Etat, formé par les associations pro-immigrés.

    L’entrée irrégulière en France n’est plus sanctionnée, le refus d’un examen osseux est admis : c’est délibérément que l’Etat a renoncé de lui-même à tout contrôle des flux de mineurs étrangers non accompagnés. C’est délibérément qu’il passe sous les fourches caudines des juges. C’est délibérément qu’il s’obstine à refuser de consulter le peuple sur toute question relative à l’immigration.

    « Les autres avant les nôtres » : tel est le mantra des gouvernements successifs, mus par l’idéologie dominante fondée sur le double postulat que l’immigration est à la fois nécessaire et bénéfique.

    Le droit a perdu sa vocation initiale, purement instrumentale : il n’est plus « l’expression de la volonté générale » du peuple français, au travers de loi ; il est devenu essentiellement prétorien, et au travers de cette construction de règles placées au sommet de la hiérarchie des normes, vise à sortir certains enjeux du débat public. Le droit prétorien est une arme de destruction massive du politique.

    Notre pays est devenu celui dans lequel le droit est élaboré contre l’Etat et dans lequel les représentants de l’Etat gouvernent contre le peuple.

    Etienne Lahyre 01/04/2019

    https://www.polemia.com/mineurs-isoles-etat-organise-submersion-migratoire/

  • Affaire Donald Trump : les médias-menteurs français sans regret

    Affaire Donald Trump : les médias-menteurs français sans regret

    De Nicolas Lecaussin sur l’IREF :

    Très prompts lorsqu’il s’agit de traiter le président Trump de « menteur », les journalistes ont été beaucoup plus discrets lors de la publication du rapport du procureur Mueller le 24 mars dernier.

    Après deux ans d’enquêtes menées par 59 personnes, durant lesquelles plus de 500 témoins ont été interrogés, dont des personnes de 13 nationalités différentes, après avoir délivré plusieurs milliers de mandats, la commission dirigée par le procureur Mueller a conclu qu’il n’y avait aucune preuve d’une quelconque collusion entre le président Trump, les membres de son équipe et la Russie. C’est d’abord une très bonne nouvelle pour la démocratie américaine dont le président a été élu sans aucune influence étrangère. En revanche, le même rapport confirme que la Russie a bien essayé d’influencer les élections de 2016, ce qui est une très mauvaise nouvelle et une mise en garde concernant ce pays dirigé par l’autocrate Poutine.

    Le président Trump sort donc renforcé de ce bras de fer, c’est un fait. Analysant à froid les conclusions du rapport, on peut aussi se poser plusieurs questions. A propos d’abord des démocrates américains qui ont tout tenté pour que cette (fausse) affaire aboutisse à la destitution du président Trump. Attaques ignobles (comme ce fut le cas avec le juge Kavanaugh), accusations complètement infondées dépassant le cadre de la simple politique, voire insultes à répétition à l’adresse d’un président qui, pour eux, réunit pratiquement tous les défauts de l’espèce humaine : ce sont eux qui ont mis en danger la démocratie américaine en menant et en alimentant cette campagne contre un coupable désigné à l’avance.

    Ensuite, au moins aussi grave est le rôle joué par les médias. Les médias américains mais aussi français. Pour certains (la plupart), la culpabilité de M. Trump allait de soi. En pleine vague « fake news » (infox), ils se sont complètement décrédibilisés ! Je n’ai pas encore vu beaucoup de regrets formulés par des journalistes américains et encore moins par les français. Aux Etats-Unis, CNN, le New York Times et le Washington Post ont été le fer de lance des campagnes médiatiques sur cette affaire. Seul, le Wall Street Journal a mis en garde ses lecteurs contre les incohérences qu’elle comportait. Plus le temps passait, plus il était évident que les preuves de la culpabilité de M. Trump manquaient. En France, je ne compte même plus le nombre de correspondants et journalistes qui sont tombés dans le panneau par pure idéologie et par haine de Trump. J’ai écrit plusieurs articles sur Trump et l’économie américaine, y compris dans mon dernier livre et j’ai reçu des messages de la part de plusieurs journalistes français me mettant en garde car « convaincus » de la responsabilité de Trump et de son inévitable destitution. Drôle de façon de concevoir leur travail ! C’est une faute grave, et un échec pour ces journalistes.

    Plus encore, cette gauche et ces journalistes hystériquement anti-Trump, qui nous donnent des leçons à longueur de journée, ne font qu’alimenter la méfiance du public à l’égard des élites et des médias, contribuant à exacerber le populisme ambiant. Comment peut-on encore leur faire confiance quand ils se laissent aller au dénigrement et au mensonge, plutôt que de travailler à dégager la réalité, ce qui demande un peu plus d’efforts ? Ils ont consacré leur temps à se moquer des « tweets mensongers » de Trump. Ils ont cautionné tout et n’importe quoi, tout ce qui tirait sur lui était bon. Ils ont pataugé, en faisant plein d’éclaboussures, dans la mare aux mensonges pour débusquer LE grand mensonge. Beaux gribouilles.

    Depuis l’élection du président Trump en 2016, cette affaire a outrageusement investi la très grande majorité des émissions et des articles sur Trump. Rares ont été les medias qui ont souligné les réformes économiques et fiscales du président, la suppression des réglementations (pour une réglementation votée, 12 ont été supprimées !), les créations d’emplois et la baisse du chômage. Il est illusoire de croire que leur approche changera après cet échec. Au grand détriment de la démocratie.

    https://www.lesalonbeige.fr/affaire-donald-trump-les-medias-menteurs-francais-sans-regret/

  • Chiffres de l’immigration – Jean-Paul Gourévitch : « L’INSEE manipule les chiffres du solde migratoire »

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    L’INSEE manipule-t-il les chiffres de l’immigration ? Oui, accuse Jean-Paul Gourévitch, qui avance les mêmes chiffres que ceux de l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration : 11% des résidents en France seraient nés à l’étranger et 23% seraient d’origine étrangère.

    Un entretien-choc autour de l’essai « Le Grand remplacement, réalité ou intox ? ».

  • macron, la stratégie de mensonge

    La stratégie de mensonge du Gouvernement se met en place!
    On commence à entendre sur les médias TV la suppression de la taxe audiovisuel, allègement de l'impôt sur le revenu, le reste à charge 0% pour les prothèses dentaires, pas d'augmentation de tarif de gaz avant Juin, etc...
     Ne vous laissez pas manipuler à nouveau par ces mensonges qui ne sont que d'ordre électoral!

    Gilets Jaunes, mettez vous en campagne contre la liste Macron! 
    Je ne le répéterai jamais assez, la première bataille à gagner c'est les Européennes 2019. 
     Il faut pulvériser la liste Macron, et faire de cette élection un vote anti-Macron!
     Organisez vous, faites des tracts et investissez les marchés, les lieux commerciaux, etc....
    Je me répète mais c'est très important! 
    C'est ce que préconise aussi François Boulo, qui est une très bonne référence pour les GJ.
     Allez courage mes amis, si nous nous bougeons, nous gagnerons!

  • Explosions à venir des bulles boursières, du système bancaire et des États

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    Après la dégringolade de fin 2018, suite au brusque revirement laxiste de la Fed et de la BCE en janvier 2019, les bourses mondiales avaient redémarré en fanfare. Le CAC 40 était à 5.445, le 19 mars, soit une progression de 17 % par rapport au début de l’année. Il semble que la belle mécanique se soit de nouveau enrayée à 5.300 depuis trois semaines. Les signaux de ralentissement de l’économie mondiale se multiplient et la peur hante de nouveau les marchés.

    L’immobilier, qui fut à l’origine, aux États-Unis, de la crise des « subprimes » en 2008, montre de nouveau des signes sérieux de faiblesse tandis que la croissance globale n’a été que de 2,2 % au quatrième trimestre : forte chute des mises en chantier de logements en février avec un repli de 10 % sur un an, diminution des ventes de maisons neuves de 7 % en janvier alors que les taux de l’immobilier sont très bas.

    En Chine, la chute de la production industrielle est tombée, lors des deux premiers mois de l’année 2019, à son plus bas niveau depuis 17 ans, tandis que les résultats des firmes industrielles ont décliné de 14 % en janvier-février en rythme annuel.

    La Turquie est en récession et la croissance en Inde ne va pas durer (niveau d’éducation trop faible, effort de recherche insuffisant, infrastructures défaillantes et faible taux d’épargne). En France, l’indice de confiance des ménages a atteint, en décembre, son plus bas niveau depuis novembre 2014 et reste encore, selon l’INSEE, en dessous de sa moyenne de long terme. Le taux de création de dettes dans le monde dépasse celui de la croissance économique tandis que la démographie diminue ainsi que les facultés de remboursement.

    Le Belge Georges Ugeux, ancien numéro deux de la bourse de New York, prédit un tsunami financier d’ici fin 2020 avec un livre prémonitoire La Descente aux enfers de la finance, préfacé par Jean-Claude Trichet, ancien président de la BCE. Les dettes publiques et privées menacent l’équilibre mondial. Il faut, selon l’auteur, que les banques centrales relèvent les taux et diminuent les encours de dettes souveraines, tandis que les États doivent équilibrer leurs dépenses, c’est-à-dire exactement le contraire de qui est pratiqué actuellement pour éviter que les Bourses ne s’écroulent et que les banques fassent faillite !

    Christine Lagarde, présidente du FMI, lance de sérieux avertissements à la zone euro, exhortant ses membres à renforcer son système bancaire face au risque systémique. Selon la liste publiée par le FSB (Financial Stability Board) en novembre 2018, 29 banques dans le monde représentent un risque systémique, dont 4 françaises : BNP-Paribas, BPCE, Crédit agricole et Société générale. La valeur des actifs des banques systémiques dans le monde, soit 48.000 milliards de dollars en 2016, représente 14 fois celle de leurs fonds propres ! La France est donc, après les États-Unis, vice-champion du monde des banques systémiques, géants aux pieds d’argile avec des bénéfices insuffisants pour reconstituer leurs fonds propres, suite à la baisse de leurs marges provoquées par la baisse des taux d’intérêt. Il n’y a donc pas que les bulles boursières pour faire exploser le système !

    Enfin, les Français se sentiront aussi très rassurés lorsqu’ils apprendront que les banques européennes cotent environ la moitié de leurs fonds propres, que les créances douteuses représentent 40 % des actifs des banques grecques et, surtout, que le Fonds de garantie européen des dépôts ne dispose que de 53 milliards d’euros tandis que le Fonds de garantie français des dépôts et des résolutions (FGDR) ne dispose que de 4 milliards d’euros ! Le remboursement annoncé par le président de la BCE, Mario Draghi, des taux d’intérêt négatifs, pour aider les banques à reconstituer leurs fonds propres, n’est qu’une goutte d’eau dans la mer à boire !

    Et, bien évidemment, l’explosion du système bancaire entraînera la banqueroute des États et l’effondrement complet du système monétaire mondial. L’hyperinflation, c’est-à-dire le schéma de l’Allemagne en 1923 ou du Venezuela actuel, est le seul scénario envisageable, la création monétaire démesurée par les banques centrales avec des prêts aux États et aux banques étant la seule façon possible de pallier les urgences immédiates à venir du système.

    Marc Rousset

    https://www.bvoltaire.fr/explosions-a-venir-des-bulles-boursieres-du-systeme-bancaire-et-des-etats/

  • Remaniement : les copains d’abord – Journal du lundi 1er avril 2019

     

    Remaniement : les copains d’abord

    Dimanche, Matignon a annoncé un remaniement pour remplacer les trois ministres sortants. On retrouve des personnalités du premier cercle d’Emmanuel Macron…

    Gilets Jaunes : la stratégie de l’éteignoir

    La mobilisation se poursuit, la stratégie du gouvernement aussi. Interpellations préventives, sous-estimation des chiffres et interdictions de manifester… Le bras de fer entre les Gilets Jaunes et Emmanuel Macron n’en finit plus.

    Ukraine : qui est Volodymyr Zelenski ?

    Les Ukrainiens étaient appelés aux urnes pour élire leur nouveau président de la République. 5 ans après la crise, c’est Volodymyr Zelenski un humoriste qui arrive en tête au 1er tout. Porochenko et Timochenko se disputent quant à eux la deuxième place pour être au second tour.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/remaniement-les-copains-dabord-journal-du-lundi-1er-avril-2019