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  • NOTRE FEUILLETON ESTIVAL : UN ETE AVEC JACQUES BAINVILLE... (32)

    Aujourd'hui : 34. Prévision de la guerre civile espagnole...

    Prévision de la guerre civile espagnole...

    Bainville écrit les lignes suivantes dans L'Action française du 16 janvier 1936, juste avant les élections espagnoles.
    Il lui reste 24 jours à vivre; la Guerre civile qu'il "annonce" commencera 6 mois et 2 jours plus tard, avec le "Soulèvement national" du 18 juillet.
    Jusqu'au bout, jusqu'aux derniers instants, il aura gardé ses facultés et sa lucidité, ainsi que son engagement à "servir", par sa plume..."...Un bloc de droite d'un côté, un bloc de gauche de l'autre, les partis du centre écrasés entre ces deux blocs, Gil Robles en face de Largo Caballero, les radicaux de Lerroux réduits à l'état de fossiles, le canapé républicain conservateur de Miguel Maura encore rétréci; tel est l'aspect sous lequel se présentent les prochaines élections d'Espagne.

    Le journal La République s'en alarme à Paris. Tout cela, dit-il, ne peut finir que de deux manières. Ou bien un dictateur de la réaction, ou bien un dictateur de la révolution, et aucun des termes de l'alternative ne vaut mieux que l'autre pour la France qui n'a pas besoin de ces exemples à ses portes.

    Etant donné ce qu'on sait de leur caractère et de leur tempérament, il est peu probable que les espagnols subissent sans révoltes une dictature bolchéviste qui appliquerait les procédés de l'insurrection socialiste et communiste dans les Asturies (en 1934, ndlr). Il y aurait pour la guerre civile de grandes probabilités...
    ...Supposons maintenant qu'il existe à Paris un gouvernement de Front populaire, un vrai. Il serait conduit à prendre parti dans les affaire d'Espagne en faveur de ses frères de Révolution..."

    Tiré de notre Album "Maîtres et témoins"... (II) : Jacques Bainville" (186 photos)

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/23/notre-feuilleton-estival-un-ete-avec-jacques-bainville-6170453.html

  • Open Arms: Pour Eric Ciotti, Emmanuel Macron « trahit les Français » en acceptant les clandestins

    Open Arms.jpgÉric Ciotti refuse l’ouverture des ports français aux clandestins de l’Open Arms « aucun bateau ne doit accoster en France. Emmanuel Macron trahit les Français en acceptant que des clandestins soient répartis sur notre sol sans aucune concertation parlementaire et populaire. »
    L’équipage illégal de l’Open Arms a débarqué dans la nuit de mardi à mercredi sur l’île de Lampedusa avec, à son bord, plusieurs clandestins.
    Au nom de la France Emmanuel Macron, tout comme cinq autres pays européens, s’est engagé à les accueillir alors même que la crise migratoire frappe l’Europe depuis plusieurs années. Cette position de pseudo solidarité est irresponsable et trahit les Français qui refusent cette immigration massive pour laquelle ils n’ont jamais été consultés. C’est cette fausse générosité qui est à l’origine de tels drames alors que seule la fermeté peut être gage d’humanité. Le rôle des États est de sauver des vies mais pas de se faire les complices répétés et aveugles des passeurs.
    Un an après le chantage de l’Aquarius le problème reste entier : des clandestins sont accueillis en Europe alors que nos capacités d’intégration sont largement saturés et sans aucun consentement populaire et parlementaire. Je regrette que le projet de hotspots promis par Emmanuel Macron pour étudier les demandes d’asiles dans les pays d’origines soit toujours lettre morte.
    Les associations d’extrême gauche qui réclament que les maires des villes portuaires ouvrent leurs ports aux migrants font preuve d’une irresponsabilité confinant à l’inconscience. Les ports français ne doivent pas devenir de nouveaux Lampedusa. Je m’y refuse. Ce sont en priorité les ports d’Afrique du Nord qui doivent accueillir ces clandestins. Ceux qui se félicitent de l’arrivée en Europe de clandestins sont les complices des passeurs.
    Cet édito est à titre informatif seulement. Les points de vue exposés dans ce texte représentent uniquement l'opinion de l'auteur et nullement la rédaction de peupledefrance.com 

  • Aude Mirkovic : « Si nous ne voulons pas du business de la fabrication des bébés, il faut dire NON à ce projet. »

    Boulevard Voltaire vient de publier un entretien intéressant avec Aude Mirkovic qui dénonce le projet de remboursement de la PMA – par la Sécurité sociale – à toutes les femmes.

    1) Le ministre de la Santé Agnès Buzyn a confirmé, fin juin, que la PMA, qui sera ouverte à toutes les femmes, serait remboursée à toutes. Les députés Valérie Boyer et Pierre-Henri Dumont (LR) dénoncent un dévoiement des principes de la Sécurité sociale. Partagez-vous leur avis ?

    Tout à fait. Le but de l’assurance maladie est de permettre aux assurés de faire face à des maladies, des pathologies. Déjà, parmi les soins pris en charge, il est nécessaire d’opérer une hiérarchisation des dépenses en raison de la croissance des dépenses et du déficit récurrent : on assiste à une baisse tous azimuts de l’offre de soins au fil des années. Demandez, par exemple, aux parents des enfants autistes s’ils ont de quoi payer l’ergothérapie dont leurs enfants ont besoin, aux personnes âgées qui n’ont pas de mutuelle complémentaire si elles peuvent remplacer leurs lunettes, et à de nombreuses personnes pourquoi elles ne remplacent pas les dents qui leur manquent. Autant de soins que l’assurance maladie ne prend pas ou peu en charge, faute de moyens. En dernier lieu, la fin du remboursement de l’homéopathie vient d’être décidée au motif que l’efficacité thérapeutique de l’homéopathie ne serait pas prouvée. Je ne me prononce pas sur le point de savoir si l’homéopathie est efficace ou pas, ce n’est pas de ma compétence. En revanche, chacun peut percevoir l’injustice qu’il y a à dérembourser des médicaments au motif que leur efficacité thérapeutique n’est pas prouvée, tout en prévoyant le remboursement total de PMA qui ne s’inscrivent dans aucune démarche thérapeutique, ni prouvée ni même alléguée, puisque les intéressés ne souffrent pas d’infertilité.

    2) Le remboursement de la PMA à toutes les femmes susciterait-il d’autres problèmes que cette dérive de la fonction de la Sécurité sociale ?

    Il y aurait, notamment, un détournement du rôle de la médecine, dénoncé par plus de 1.700 médecins dans une tribune en ce sens (https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Ethique/petition-contre-PMA-signee-1-700-medecins-2018-06-01-1200943665). Les médecins deviennent des prestataires de service, sans compter qu’inséminer une femme fertile par un donneur fertile ne requiert aucune compétence médicale : la blouse blanche ne suffit pas à donner un caractère médical à une prestation devenue un business. Et cela ne concerne pas seulement les femmes seules ou en couple de femmes : le projet de loi offre la PMA non seulement à toutes mais à tous, y compris les couples fertiles qui pourront recourir à la PMA et au don de gamètes dans une branche ou les deux si tel est leur choix. La PMA pour les femmes est l’arbre qui cache la forêt : le projet est celui de la « procréation sans sexe pour tous », comme le dit explicitement le rapport parlementaire du député Jean-Louis Touraine. Le but est d’organiser la production industrielle de l’humain avec, bien entendu, programmation et sélection des enfants pour réaliser le projet du ou des adultes en désir d’enfant. En effet, si un couple fertile recourt à la PMA, ce n’est pas pour avoir un enfant sans plus – ce qu’ils peuvent faire tout seuls. C’est pour avoir tel enfant qui correspond à tel projet. Si nous ne voulons pas du business de la fabrication des bébés, il faut dire NON à ce projet.

    3) Une manifestation nationale unitaire contre le projet de loi bioéthique est prévue, le 6 octobre 2019, à Paris. Pensez-vous que cette mobilisation puisse contribuer à enrayer le mouvement « progressiste » qui nous entraîne aujourd’hui vers la PMA pour toutes remboursée par la Sécurité sociale, demain vers la GPA ?

    Bien sûr qu’elle le peut ! Ce projet va à l’encontre de la justice en privant légalement certains enfants de père, et de la dignité humaine par la programmation et sélection des enfants en fonction du projet parental qu’ils sont sommés de satisfaire ou de telle ou telle préférence personnelle recherchée par les adultes. Il est encore possible de contribuer à une prise de conscience, encore faut-il que chacun s’y mette : il est possible, par exemple, de commander gratuitement un petit livret explicatif sur le site www.pmagpa.fr. À chacun de le lire et de le donner ensuite à quelqu’un. C’est à la portée de tous ! Et offrir ne serait-ce qu’un seul livret à une seule personne sera plus efficace que des heures de lamentations !

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Youtube veut faire taire la Dissidence française

    Communiqué de la Dissidence Française 

    Le 14 août dernier, nous avons été informé de la suspension de notre chaîne YouTube. Sans avertissement préalable ni justification claire, YouTube a ainsi délibérément fait le choix de censurer la chaîne officielle de la Dissidence Française qui comptait plusieurs milliers d’abonnés et des dizaines de vidéos auxquelles nous n’avons désormais plus accès.

    Les motifs invoqués par YouTube pour justifier cette décision sont flous et mensongers : en aucun cas la Dissidence Française n’a publié un contenu qui « encourage ou glorifie la violence ou la haine contre une personne ou un groupe de personnes ». D’ailleurs, notre organisation n’a jamais fait l’objet de poursuites ou de condamnations pour ces faits, ni pour aucun autre.

    Ces dérives témoignent des ingérences de plus en plus nombreuses des multinationales étrangères dans la vie politique des États souverains. Il s’agit donc là d’atteintes graves aux libertés constitutionnelles d’expression et d’opinion.

    En effet, au nom de quoi une entreprise privée – a fortiori une entreprise étrangère – s’arroge-t-elle le droit de décider si un parti politique français officiel et déclaré, qui représente plusieurs milliers d’électeurs et siège au sein d’assemblées locales, a le droit de s’exprimer ou non ? Au nom de quoi une entreprise privée s’arroge-t-elle le droit de mettre une oeuvre une discrimination pour des motifs politiques, et faire ainsi le choix de favoriser un courant d’idée plutôt qu’un autre ?

    La décision de YouTube est inique, mais elle est aussi illégale à plusieurs titres :

    • Les dispositions légales relatives au financement des partis politiques indiquent clairement qu’une entreprise privée n’a pas le droit d’intervenir dans le financement d’un parti politique ou d’une campagne électorale, soit directement soit en nature (Art. 11-4 de la loi du 11 mars 1988). Or, en empêchant la Dissidence Française d’utiliser sa plate-forme, YouTube favorise de fait l’audience des autres partis politiques, ce qui s’apparente un financement illégal de partis politiques.
    • L’article 225-1 du Code Pénal, régissant les relations entre personnes morales, précise qu’une entreprise n’a pas le droit d’opérer une discrimination sur le fondement des opinions ou orientations politiques.

    Nous avons fait appel de cette suspension, et n’avons reçu pour le moment aucune réponse de la part de YouTube. En l’absence de réponse et conformément à la Loi, la Dissidence Française se réserve donc le droit d’ester en justice et de poursuivre YouTube au titre des articles pré-cités.

    Nous appelons tous nos militants et sympathisants, et de manière générale tous les Français attachés à la liberté d’expression et au pluralisme démocratique, à nous soutenir en signant la pétition que nous avons mis en ligne

    Afin de nous prémunir contre d’autres tentatives de déstabilisation et de censure, nous vous invitons également à nous suivre sur Telegram et à vous inscrire à notre newsletter.

    On ne lâche rien !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/21/youtube-veut-faire-taire-la-dissidence-francaise-6171177.html

  • Donald Trump souhaite que la détention des mineurs migrants soit illimitée dans le temps

    Donald Trump Onu

    Le président américain Donald Trump veut s’attaquer à une décision judiciaire dite “loi Flores” : les mineurs qui passent la frontière des États-Unis pourraient être mis en détention pour une durée illimitée.

    https://fr.novopress.info/

  • Marlène Schiappa et l’affaire Epstein

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    Lorsque, le 12 août dernier, deux jours après la mort de Jeffrey Epstein, Marlène Schiappa, avec son collègue Adrien Taquet, secrétaire d’État chargé de la Protection de l’enfance, a réclamé l’ouverture d’une enquête en France car « l’enquête américaine a mis en lumière des liens avec la France », on a disserté sur la légitimité de cette demande : un membre du gouvernement est-il dans son rôle en demandant l’ouverture d’un enquête ?

    Le garde des Sceaux, Nicole Belloubet, tacla « gentiment » les deux secrétaires d’État en rappelant les principes de séparation des pouvoirs et d’indépendance de la Justice. Certes. Et on a pu sourire, aussi, de l’apparente cacophonie du gouvernement : la très professorale Nicole Belloubet tapant sur les doigts des deux gamins.

    Bien sûr, il y a sans doute beaucoup à dire et redire sur ce personnage clé de la Macronie qu’est Marlène Schiappa. Si elle a demandé cette enquête, c’est pour se faire remarquer, faire parler d’elle – cela faisait longtemps ! -, c’est évident, diront certains. Peut-être, peut-être pas. Mais sur le fond, quelle mère digne de ce nom – mais aussi, quel père digne de ce nom ! – ne s’est pas senti, instinctivement, un petit peu en accord avec Marlène Schiappa ?

    Rappelons que, le 12 août, l’association Innocence en danger publiait, dans L’Obs, une lettre envoyée le jour-même au procureur de la République de Paris, dans laquelle elle affirmait que « de source fiable », elle avait eu « confirmation récemment que plusieurs victimes du réseau prostitutionnel, créé par Jeffrey Epstein et ses complices, sont également de nationalité française ». Alors, certes, on peut disserter à l’envi sur la question de la séparation des pouvoirs (d’ailleurs, soyons puriste, il n’y a pas de pouvoir judiciaire mais une autorité judiciaire !) comme on dissertait sur le sexe des anges à Constantinople. Entre nous, Mme Belloubet ne semblait pas avoir une approche aussi stricte de cette sacro-sainte séparation des pouvoirs lorsqu’elle parcourait, sous les regards des caméras, au plus fort des manifestations des gilets jaunes, les couloirs de la permanence du parquet de Paris. Un précédent !

    Au-delà du débat byzantin, il y a la réalité sordide et le Daily Mail, journal britannique, vient, en quelque sorte, d’étayer les allégations faites par Innocence en danger en révélant que des fillettes de douze ans, venues de France, auraient été offertes à Epstein comme cadeau d’anniversaire par le fameux Jean-Luc Brunel, patron d’une agence de mannequinat. Ces trois gamines, trois sœurs, issues d’un milieu pauvre, auraient été vendues par leurs parents. Des faits dont Epstein se serait, en quelque sorte, vanté en les racontant à une certaine Virginia Giuffre, l’une de ses anciennes victimes devenue, par la suite, sa complice, faits qu’elle aurait par la suite rapportés lors d’une audition par la Justice américaine en 2015.

    Que Marlène Schiappa, mère de deux filles, comme elle se plaît à le mentionner sur son compte Twitter, ait pu, ou pas, déroger au principe de séparation des pouvoirs n’en devient que plus secondaire.

    Précision : l’auteur de ces lignes n’est pas devenu schiappolâtre.

    Georges Michel

    https://www.bvoltaire.fr/marlene-schiappa-et-laffaire-epstein/

  • Héléna Perroud : « La France et la Russie ont tout pour s’entendre »

    Emmanuel Macron a reçu Vladimir Poutine au fort de Brégançon. Désaccords sur les manifestations des Gilets jaunes et à Moscou, sommet du G7 et crise ukrainienne…

    Que retirer de cette rencontre au sommet ? Entretien avec Héléna Perroud, analyste et auteur de l’essai ‘Un Russe nommé Poutine‘ (Le Rocher, 2018).

    https://fr.novopress.info/215205/helena-perroud-la-france-et-la-russie-ont-tout-pour-sentendre/

  • A qui profite la crise ?

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Contrairement à la raison, la crise est la chose du monde la moins bien partagée. En témoignent les montants records de dividendes versés aux actionnaires qui atteignent le chiffre vertigineux de 514 milliards de dollars au deuxième trimestre 2019.
    Le capitalisme, on le voit, se porte bien malgré la conjoncture internationale, et les entreprises françaises cotées en bourse, viennent, elles aussi, de franchir un nouveau record d'attribution de dividendes: 54 milliards, ce qui les place, et de loin, au rang de meilleurs payeurs d'Europe.
    On ne peut bien sûr que se féliciter de ce que nos entreprises dégagent bénéfices et profits.
    Mais l'on préférerait que ces profits soient, pour une part bien plus large quelle ne l'est, utilisés pour l'investissement et le développement technologique, et pour une autre part, certes plus minimes, redistribués aux salariés sous forme d'intéressement.
    En versant plus de 46 % de dividendes à leurs actionnaires, les entreprises hypercapitalisées du CAC 40 rémunèrent à la fois les sommes investies, ce qui est naturel mais devrait se faire sur le temps long, tout en versant une sorte de prime de risque immédiate aux actionnaires dont la voracité cupide va s'accroissant.
    En ces temps d'iniquité et de désarroi, pouvoirs publics et présidents de grandes sociétés devraient réfléchir aux moyens les plus sûrs de raffermir les liens sociaux entre français, liens qui garantissent seuls la cohésion nationale, tout en assurant l'avenir et l'essor de leurs entreprises.
    La prospérité nationale ne viendra que de la synergie des forces entrepreneuriales, de la sagesse des actionnaires et de l'énergie participative des salariés, sous la houlette d'un État fort.
    L'esprit national en matière économique et sociale est, lui aussi, à réinventer.

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  • G7 : un sommet contre les inégalités ? – Journal du jeudi 22 août 2019

     

    G7 : un sommet contre les inégalités ?

    Le sommet du G7 qui s’ouvre samedi à Biarritz a pour thème principal la lutte contre les inégalités. Un sujet qui devrait vite être éclipsé par une actualité internationale chargée.

    Uber à l’assaut des transports publics

    L’entreprise américaine Uber lorgne sur les services publics ! A la recherche de nouveaux débouchés pour maintenir son développement, l’application commerciale noue des partenariats avec des structures publiques… une approche qui suscite de vives inquiétudes.

    Amazonie : le poumon part en fumée

    La forêt amazonienne en proie à des incendies sans précédent. Depuis 17 jours un feu ronge la jungle devant l’impuissance des secours. Un drame qui s’inscrit dans une année particulièrement meurtrière pour le poumon de la planète.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/g7-un-sommet-contre-les-inegalites-journal-du-jeudi-22-aout-2019

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