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  • La mascarade Greta Thunberg

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    Par Franck Deletraz

    Insultant et donc inadmissible par son ton, insupportable par sa mise en scène pleurnicharde, et totalement inepte sur le fond, le violent discours prononcé lundi par la Suédoise Greta Thunberg à la tribune de l’ONU, en offrant le spectacle consternant de dirigeants de la planète à la tête chenue écoutant sagement avant de l’applaudir en chœur la ridicule leçon d’une écolière de 16 ans, restera peut-être dans les annales de l’organisation internationale comme le symbole de l’inversion des valeurs qui caractérise, hélas, notre époque. Culpabilisation, accusations, menaces : tout y est passé, sans même susciter la moindre réaction d’agacement de la part d’un auditoire visiblement béat d’admiration devant cette gamine insolente. Question : pendant combien de temps encore allons-nous devoir supporter les états d’âme et les invectives de cette marionnette du GIEC ?

    Greta, à la limite de l’hystérie

    Pour détendre un peu l’atmosphère, et aussi nous faire rire, on aurait aimé que cette brave Greta nous raconte encore une fois comment sa venue très médiatisée aux Etats-Unis à bord d’un voilier zéro carbone, censé polluer moins, avait en réalité produit davantage de CO2 que si elle et son entourage avaient pris l’avion. Mais la nouvelle égérie des écolos était là pour tout autre chose. Particulièrement agressive, elle n’a pas hésité à réprimander les dirigeants de la planète pour leur pseudo inaction contre le prétendu « réchauffement climatique ». En effet, a-t-elle déclaré, « vous avez volé mes rêves et mon enfance avec vos paroles creuses. [...] Des écosystèmes entiers s’effondrent, nous sommes au début d’une extinction de masse, et tout ce dont vous parlez, c’est d’argent, et des contes de fées de croissance économique éternelle ? Comment osez-vous ! » Et Thunberg de menacer alors : « Vous nous avez laissés tomber. Mais les jeunes commencent à comprendre votre trahison. [...] Je vous le dis : nous ne vous pardonnerons jamais. Nous ne vous laisserons pas vous en sortir comme ça. »

    La France visée par une plainte

    Une menace que la Suédoise et ses petits camarades en culottes courtes n’ont pas tardé à mettre à exécution puisque, dans la foulée, on apprenait que 16 jeunes, dont Greta Thunberg, conseillés par le cabinet international d’avocats Hausfeld et avec la bénédiction de l’Unicef, venaient de déposer une plainte auprès du Comité des droits de l’enfant de l’ONU contre la France, l’Allemagne, l’Argentine, le Brésil et la Turquie, pour... violation et non-respect de la convention de l’ONU sur les droits de l’enfant ! Une information que le président de la République, invité mardi matin sur Europe 1, s’est, hélas, abaissé à commenter en expliquant que si « toutes les mobilisations de notre jeunesse ou des moins jeunes sont utiles », « il faut qu’elles se concentrent maintenant sur ceux qui sont le plus loin, ceux qui essaient de bloquer ». Or, a-t-il ajouté, « je n’ai pas le sentiment que le gouvernement français ou le gouvernement allemand, aujourd’hui, sont en train de bloquer ». Et le chef de l’Etat, après avoir appelé les jeunes à agir concrètement sur le terrain, de lancer alors en direction de la harpie suédoise : « Là, des positions très radicales, c’est de nature à antagoniser nos sociétés. »

    Source : Présent 25/9/2019

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/25/la-mascarade-greta-thunberg-6178218.html

  • La scandaleuse affiche de la FCPE : "Et alors ?" Alors, NON !

    Si cette femme veut  vivre "à l'islamique", qu'elle aille vivre dans un pays islamique...

    En France, on est dans un vieux pays de tradition gréco-romaine, chrétienne et européenne, où les femmes n'ont jamais eu ce code vestimentaire.

    Le Système nous impose un changement de peuple, dont nous ne voulons pas, par une immigration massive délibérément voulue pour "casser" notre Société traditionnelle : il trouve des collabos chez les révolutionnaires pour qui l'immigré remplace l'ancien ouvrier, parti au Rassemblement national; chez les faiseurs de fric, qui veulent une main d'oeuvre bon marché; et chez des "idiots utiles" (le mot est de Lénine) comme cette FCPE et son affiche qui nous répugne : honte à elle !

    Nous, comme pour le burkini ou tout autre signe visible de prosélytisme musulman, nous refusons de mettre le doigt dans l'engrenage de l'islamisation progressive et continue de l'espace public, prélude au basculement dans une nouvelle société régie par des lois, moeurs et règlements dont nous ne voulons pas...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Quel est le regard des Français sur les questions d’immigration?

    L’Assemblée nationale débattra lundi prochain de la politique migratoire. Voulue par Emmanuel Macron, cette initiative a été annoncée parmi les conclusions du grand débat national. «Ce sera l’une des questions majeures de la présidentielle de 2022», a confié le chef de l’État. C’est pour cela qu’il a invité sa majorité à s’en emparer pour ne pas en faire un thème réservé au seul Rassemblement national. À la veille de ce débat, quel est le regard de l’opinion?

    Deux sondages récents confirment l’intérêt porté par les Français à la question de l’immigration, sans la placer pour autant en tête de leurs préoccupations. Selon l’enquête Ipsos sur les «Fractures françaises», réalisée pour la Fondation Jean-Jaurès et l’Institut Montaigne, et publiée dans Le Monde, 32 % des Français font du «niveau de l’immigration» l’un des trois sujets sur lesquels le gouvernement devrait «intervenir en priorité». C’est plus que le chômage, longtemps souci numéro un, les inégalités ou le terrorisme ; mais c’est nettement moins que la protection de l’environnement (48 %), le pouvoir d’achat (46 %) ou l’avenir des systèmes de retraite et de santé (45 %).

    Le Figaro

    https://www.tvlibertes.com/actus/quel-est-le-regard-des-francais-sur-les-questions-dimmigration

  • Interdire l’abattage rituel : après le bio, l’OABA attaque le label rouge halal et casher

    La guerre que mène un groupe d’associations animalistes contre l’abattage rituel n’est pas nouvelle. On compte parmi elles l’OABA (Oeuvres d’assistance aux bêtes d’abattoirs), qui, en l’espèce, a choisi comme angle d’attaque l’aïd al-adha et le sacrifice rattaché à cette fête musulmane en privilégiant toutes les situations qui pouvaient politiquement et médiatiquement servir sa cause. […]

    Après l’abattage rituel bio, faire interdire l’abattage rituel tout court

    Aujourd’hui, l’OABA se sent pousser des ailes grâce à ce qu’elle considère être une “éclatante victoire” et “véritable camouflet infligé au ministère de l’Agriculture, à l’INAO et à Ecocert”, en l’occurrence l’interdiction d’associer la mention “Agriculture biologique” à toute viande issue de l’abattage rituel, casher et halal donc. […]

    Al Kanz

    http://www.fdesouche.com/1266603-interdire-labattage-rituel-apres-le-bio-loaba-attaque-le-label-rouge-halal-et-casher

  • Zemmour - Comment la mafia mediatico politique prépare les esprits

  • L'étrange victoire de la gauche travailliste

    6a00d8341c715453ef0240a487ef7c200c-320wi.jpgComparée à celle de la Grande Bretagne, la vie politique de Florence des XVe ou XVIe siècle peut paraître aujourd'hui d'une simplicité exemplaire. Essayons quand même d'y voir plus clair.

    Pour les rares médias qui s'entrouvrent à ce qui se passe en dehors des frontières de l'Hexagone, la faillite de Thomas Cook et l'exclamation grotesque de Greta Thunberg à l'ONU ont sans doute éclipsé les méandres du Brexit. Reconnaissons à vrai dire que le brouillard de ce débat inextricable a, par ailleurs, de quoi lasser l'opinion, tel un assommant feuilleton télévisé.

    Voici 3 ans, déjà, que les partisans du Brexit l'ont emporté par référendum. On éprouve depuis le sentiment d'un piétinement d'opéra. On entendrait "marchons, marchons" mais on ne verrait rien : impression fausse car beaucoup de travail a été effectué à Bruxelles et le sablier nous rapproche de l'échéance.

    Dans le même temps, c'est toute la vie politique européenne dont on peut déplorer qu'elle demeure, sourdement mais largement, déterminée par l'incertitude britannique. On nous parle, presque tous les jours depuis 2016 de cette catastrophe annoncée, et aucune décision sérieuse ne semble pouvoir être prise, même urgente, en matière de défense ou même d'immigration, tant que l'abcès n'a pas été crevé.

    C'est dans ce contexte que l'on doit apprécier la conférence annuelle du parti travailliste qui vient de se conclure à Brighton, ce 23 septembre, par un vote – en partie trafiqué - en faveur du duo gauchiste Corbyn-Mc Donnell ce que nous pressentions dans notre chronique du 22 septembre[1] et dont nous dénoncions le danger.

    À la surprise des observateurs "rationnels", en effet, les deux compères, dont les analyses sur le Brexit ne diffèrent qu'en apparence, ont réussi à surmonter la fronde des survivants du New Labour. Ils s'appuient sur le vote des petits groupes de militants gauchistes qui ont pris en otage le parti en 2015. Les notables travaillistes, à commencer par le maire de Londres, Sadiq Khan, mais aussi probablement la masse des parlementaires, devront se plier à la règle de l'unité, à des votes en grande partie frelatés et à des décisions prises en tout petit comité.

    La résilience du régime bi partisan britannique reste pourtant assez fascinante, comme incompréhensible pour un regard parisien gaullo-bonapartiste. Le recul d'audience des deux forces institutionnelles dominantes, aussi bien à droite qu'à gauche, a beau se mesurer dans les sondages mais aussi dans les pourcentages effectifs des suffrages. Le suffrage uninominal à un tour n'empêche pas non plus un certain émiettement au sein de la Chambre des communes avec l'élection de nationalistes écossais et gallois, ou d'unionistes nord-irlandais, ou de libéraux-démocrates.

    Mais la logique qui l'emporte reste ce dualisme entre conservateurs et travaillistes, lequel s'est emparé du débat, au fil des années, sur l'appartenance à l'Union européenne.

    Dans le camp conservateur, en 2015, le premier ministre conservateur était hostile au Brexit. Le camp du "Leave" était mené par un parti rival, le UKIP, que David Cameron voulait maintenir en dehors du parlement : pour cela il avait accepté une procédure référendaire… tout en se prononçant "personnellement" en faveur du "Remain", position qui, rappelons-le aussi, avait été assumée par sa ministre Theresa May. La victoire largement imprévue du "Leave" en juin 2016 allait certes chasser Cameron du pouvoir. Elle propulsa Theresa May, qui lui succéda, en gestionnaire d'un Brexit qu'elle n'avait pas voulu. Puis, à partir de 2017, elle se retrouva alliée des unionistes d'Irlande du nord. Et, enfin, la loi de la pesanteur imposa, à la tête du parti, plébiscité par ses troupes, Boris Johnson la figure de proue du Brexit.

    En face, dans le camp travailliste, Corbyn, affreux crabe marxiste, ne commet pas les mêmes erreurs. Il semble godiller entre des positions contradictoires. Défenseur très mou de l'appartenance à l'Europe, il est tenu pour un complice sournois du Brexit par les partisans du "Remain". Mais sa préoccupation fondamentale est de s'annexer toutes les voix d'opposition en vue d'une alternance, si Boris Johnson échoue.

    La perspective promise se révèle alors de plus en plus marxiste. On la mesure plombée d'idéologie étatiste et de noyautages d'extrême gauche. Si j'étais Anglais je n'en voudrais pas et je n'aurais d'autre choix sérieux que de soutenir les conservateurs. Il est vrai que je ne suis pas Anglais et que, peut-être je n'y comprends rien.

    JG Malliarakis  

    Un livre à redécouvrir :
    L'Histoire du communisme avant Marx

    Apostilles :

    [1] cf. L'Insolent du 22 septembre "Si la gauche marxiste revient"

    https://www.insolent.fr/

  • Les cinglés de Bercy

    Les cinglés de Bercy

    C’est la journée des déséquilibrés (et je ne parle pas de ceux qui cherchent le bar…). Ceux-là sont gratinés.

    A trois mois de Noël (et oui déjà), la secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, Agnès Pannier-Runacher, a signé mardi 24 septembre une charte avec les différents acteurs du secteur. Le texte vise à promouvoir la mixité entre filles et garçons et à lutter contre les préjugés de genre.

    À ses yeux, cette segmentation par genre est plus particulièrement marquée dans les jouets à connotation scientifique, très souvent dédiés aux petits garçons. Conséquence selon elle : les filles se dirigent peu vers les carrières scientifiques !

    «Aujourd’hui, vous avez 10% de femmes qui codent. Cela fait 90% d’hommes qui font les algorithmes de demain».

    Pour y remédier, les signataires de la charte s’engagent à faire évoluer ses jouets pour mieux y intégrer les filles.

    La charte liste 34 engagements, parmi lesquels :

    • «Préférer les formulations “pour faire comme les grands” à “pour faire comme maman” dans le cas d’un kit de ménage».
    • supprimer la catégorisation entre jouets filles et garçons dans les catalogues ou les magasins.
    • privilégier les emballages neutres ou mixtes.
    • Un travail de formation doit également être fait auprès des commerçants pour les sensibiliser sur leur manière d’aborder le client.

    Les brocantes et les sites de revente en ligne n’ont pas fini d’avoir du succès.

    Agnès Pannier-Runacher @AgnesRunacher

    Ce sujet est tout sauf anecdotique : l’égalité femmes-hommes commence avec les jouets. L’enjeu, c’est que les petites filles et les petits garçons puissent s’épanouir et aient le choix de se projeter sur les rôles modèles qui leur permettent de réaliser au mieux leur potentiel. https://twitter.com/agnesrunacher/status/1176496962977325056 

    Agnès Pannier-Runacher
    @AgnesRunacher

    L’imaginaire véhiculé par les #jouets 
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  • Le nouveau numéro de Conflits est consacré à la guerre du droit.

    Le numéro de Conflits n°23, (septembre-octobre 2019) est consacré à la guerre du droit. Affaire Alstom, piège américain, amendes imposées à BNP PARIBAS, le droit est plus que jamais une arme de guerre. Une arme de la guerre économique. Et le droit est utilisé par les grandes puissances, notamment les Etats-Unis, pour faire valoir leur ordre du monde et pour s'imposer à leurs alliés et à leurs adversaires. Le droit entre ainsi dans une configuration plurielle : il y a la question de la fiscalité, qui est une arme géopolitique au service des Etats ; c'est évidemment la question monétaire et en premier lieu le dollar, concurrencé par le renminbi chinois, ainsi que par l'émergence des crypto monnaies. Le droit pose également la question de la guerre et du droit de la guerre, de cette conception militaire qui a été forgée avec le procès de Nuremberg et qui continue aujourd'hui de prévaloir dans un grand nombre de conflits : peut-on intervenir au nom du droit ? Peut-on faire la guerre pour préserver le droit ? Pour rétablir un droit qui a été aboli ? Cela pose aussi la question des différents territoires, notamment l'espace et la mer. Le droit est ainsi pluriel et dans cette guerre du droit, ce sont deux visions juridiques différentes qui s'opposent, une tradition anglo-saxonne et une tradition romaine ; deux visions géopolitiques qui montrent que les idées sont toujours à la conduite de la géopolitique et façonnent le monde qui est le notre. Nous avons aussi voulu montrer dans ce numéro consacré à la guerre du droit qu'il y a la question de l'outil militaire, la question du cyber espace, et qu'il y a aussi la possibilité de répondre à cette guerre du droit, de l'affronter, afin de la gagner.

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  • Donald Trump à l’ONU : « L’avenir n’appartient pas aux mondialistes, l’avenir appartient aux patriotes »

    VOST

    Version Française

    http://www.fdesouche.com/1266459-donald-trump-a-lonu-lavenir-nappartient-pas-aux-mondialistes-lavenir-appartient-aux-patriotes
  • Macron, le donneur de leçons

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    Voilà notre Président super-écolo qui s’en prend aux manifs pour le climat. Selon Le Figaro, il se serait plaint de la mobilisation des jeunes et aurait dit : « Qu’ils aillent manifester en Pologne ! Qu’on vienne m’aider à faire bouger ceux que je n’arrive pas à faire évoluer », visant ainsi la République tchèque, la Hongrie, la Pologne, car ces pays refusent d’appliquer le plan carbone…

    L’écologie, c’est bon pour les Brésiliens, les Polonais, les Tchèques, mais quand ça se passe en France, là, ça ne va plus. Allez donc comprendre… On pourrait aussi pointer du doigt ses responsabilités sur la forêt amazonienne, lui qui a validé l’exploitation de mines d’or en Guyane, ou encore qui soutenait encore récemment le traité avec le Mercosur, jusqu’à son revirement de fin août, un traité qui va infailliblement favoriser les exportations agricoles brésiliennes en Europe, donc accroître la déforestation et l’empreinte carbone.

    Mais à y regarder de plus près, Macron est coutumier du double langage. C’est bien lui qui stigmatisait la politique migratoire de Salvini mais qui, en même temps, refoulait les migrants venant d’Italie. C’est aussi lui qui donne des leçons d’européisme à tous ses homologues de l’Union européenne mais ne respecte pas toujours scrupuleusement les critères de convergence de Maastricht. Le comble avait été atteint l’an passé, lors du bras de fer sur le budget italien, dont le déficit ne devait surtout pas dépasser les 2 %, pendant que celui de la France affichait éhontément plus de 3 %, comme d’habitude…

    Macron, c’est la duplicité érigée en système politique. On pourrait le comparer à Ubu roi si tout cela n’était pas, en réalité, voulu et pensé. Car Macron sait qu’il peut s’accommoder de la vérité, s’arranger avec ses propres principes, ses discours de la veille, au gré de son intérêt du jour : ses incongruités permanentes seront rarement relevées par les médias.

    Olivier Piacentini

    https://www.bvoltaire.fr/macron-le-donneur-de-lecons/