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Changement de ton présidentiel sur l'Immigration ? : Macron va-t-il vraiment "faire quelque chose" ou seulement "faire semblant" ?
Les chaînes de radio/télé nous le ressassent presque en boucle depuis plusieurs jours : vous allez voir ce que vous allez voir, le Président a changé, du moins son discours; il a compris qu'il fallait faire quelque chose sur l'Immigration, qu'il fallait répondre aux inquiétudes des gens etc... etc...On pourra nous reprocher ce qu'on voudra, mais nous, à lafautearousseau, ce n'est pas hier ou avant-hier que nous avons découvert, pour parler clair, qu'avec l'immigration, il y avait un problème.
Et même, beaucoup plus qu'un simple problème...
Notre page facebook a bien été "bloquée" vingt fois (au moins, et pour une semaine à chaque fois) à la suite de notes, pourtant ni outrancières ni même contestables, mais qui disaient toutes que la politique menée depuis les décrets Chirac de 1976 était folle; que l'irruption ininterrompue depuis plus de quarante ans d'un flot très majoritairement issue de l'Afrique noire et du Maghreb aboutissait à concentrer dans des banlieues devenant de plus en plus des "zones de non-droit" (doux euphémisme !) des populations désireuses de conserver leurs différences, au lieu de s'intégrer; ce qui créait toutes sortes de tensions (aussi bien économiques que culturelles, religieuses, démographiques... ) partout en France...
Donc, pour nous, parler de l'immigration, découvrir "le problème de l'immigration", c'est bien loin d'être du nouveau... : "Ca finira mal !" disait le perroquet du conte de Jacques Bainville. Gérard Collomb, ne disait pas autre chose, en fait, lorsqu'il quittait - désabusé - son Ministère de l'Intérieur : "Aujourd'hui on vit côte à côte... Je crains que demain on vive face à face"
Voilà donc que Macron (enfin ! enfin ?...) a découvert l'eau tiède !
Et qu'il s'est mis à "virer à droite" (dixit BFM ) : il n'a quand même pas appelé à voter Le Pen, mais si l'on écoute les chaînes de radio/télé susnommées il va être énergique, avancer des propositions, dire et faire du concret...
Façon de reconnaître - soit dit en passant - que, jusque là, il ne l'avait pas fait : les journalistes n'ont, semble-t-il, pas mesuré la portée de leur propos ! Mais passons... et revenons à l'essentiel.
Mais, à bien y regarder, à bien lire et relire ses propos, que trouve-t-on ? Certes, une reconnaissance bienvenue du fait qu'il y a un problème avec l'immigration et que, donc, il faut en parler, sous peine d'être "un parti bourgeois". Et puis... eh, bien ! c'est à peu près tout...
Au fond, au lieu d'aller au fond des choses, le Président s'est surtout centré sur l'AME... pour dire ce que l'on s'attendait à entendre, vu que...
En réalité, Le Monde en avait parlé dès le jeudi 1er août (et nous nous en sommes fait l'écho ici-même) : le gouvernement a commandé à deux services étatiques un rapport sur l'aide médicale d'État (un milliard d'euros versé chaque année pour soigner les migrants illégaux, soit 300.000 étrangers : un comble, qui revient à favoriser ceux qui se mettent hors-la-loi et qui envoie un curieux message à tous : plutôt que de respecter la loi, les lois, bravez-les, vous ne serez pas perdants...).
Ces deux services sont l’inspection générale des finances (IGF) et l’inspection générale des affaires sociales (IGAS); les conclusions de ces travaux, débutés cet été, devaient être rendues en octobre, soit au moment de l’examen parlementaire du budget de l’État : nous y sommes. Et voilà pourquoi Macron parle de l'immigration...
L'une des personnes auditionnées a déclaré : "Ils répondent à une commande politique, qui est de réformer l’AME pour en limiter les abus... Ils estiment que la France a le système le plus généreux en Europe. Ils posent des questions sur les filières d’immigration et nous ont parlé des Géorgiens, des Albanais et des Algériens qui viennent se soigner, notamment pour des pathologies coûteuses comme le cancer et l’hépatite B."
Une autre de ces personnes auditionnées a déclaré : "J’étais étonné de constater à quel point le discours des inspecteurs était politique. Ils veulent rendre le dispositif plus acceptable pour éviter que le Rassemblement national ne s’empare du sujet."Parmi les pistes envisagées, écrivait déjà Le Monde, en août, "la mise en place d’un ticket modérateur (un reste à charge pour le patient, ndlr), des centres de santé dédiés ou encore la réduction du panier de soins pris en charge". La dernière mesure pourrait inclure, par exemple, l'exclusion des soins psychiatriques de l'AME.Pour nous, tout ceci n'est que poudre aux yeux : c'est l'AME elle-même, dans son principe, qu'il faut supprimer, et il faut renvoyer immédiatement tout clandestin vers son pays d'origine. Mieux, il faut les empêcher de venir chez nous, en décrétant qu'une demande d'asile se fait dans le pays d'origine, EXCLUSIVEMENT.Voilà une mesure qui ne coûterait rien, qui serait d'une application très aisée et qui réduirait considérablement le flot de réfugiés purement économiques, qui ne viennent en France que pour toucher des allocations.Quand "le tam-tam de Jonathan" - pour reprendre le titre du livre de Jean Raspail - avertira les candidats au départ en Afrique ou ailleurs que "en France, c'est fini", la pression migratoire diminuera forcément, chez nous...Et cela sera bien plus efficace que les paroles, manoeuvres et gesticulations de Macron : quoi qu'il dise et fasse, maintenant, c'est trop peu, trop tard...Et en fait de "durcir le ton", le Président, en ne parlant quasiment que de l'AME, et pas de l'Immigration "au fond", on peut dire, en parodiant le titre d'un roman célèbre :"A la tête de l'Etat, rien de nouveau..." -
Serge Ayoub et ses amis ont défilé dans Paris avec plus de 200 motos en passant par Saint-Nicolas
Jan, trop jeune, comme beaucoup de motards, a été mis à l'honneur par notre ami Serge Ayoub, patron France de Gremium. Il a organisé un run Mémoire dans Paris avec 200 de ses copains.
Arrivée à Saint Nicolas pour une bénédiction des 200 Harleys par l'abbé Boubée.
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Pas de majorité en Espagne
D’Olivier Bault dans Présent :
Depuis la victoire à la Pyrrhus du parti socialiste espagnol (PSOE) aux élections d’avril dernier, Pedro Sánchez n’a pas su trouver la majorité nécessaire pour former un nouveau gouvernement. Les Espagnols seront donc appelés à revoter le 10 novembre. Le roi Philippe VI a en effet annoncé, après ses consultations avec les dirigeants des différents partis représentés au Parlement lundi et mardi, qu’il ne présenterait aucun candidat à la présidence du Conseil des ministres puisque personne ne dispose des soutiens nécessaires. Ce seront les quatrièmes élections législatives depuis décembre 2015. […]
La moyenne des sondages calculée par le journal El País montre que les deux grands partis traditionnels, le PSOE socialiste et le Parti populaire (PP) de centre droit, peuvent espérer un résultat un peu meilleur que le 28 avril, en hausse de 2,5 points. Or si ce résultat se confirme aux élections, ce sera insuffisant pour faire sortir l’Espagne de l’impasse, alors que son budget 2018 va devoir, dans cette situation, être reconduit à nouveau, cette fois pour l’année 2020. C’est Ciudadanos, parti centriste à l’idéologie proche de celle de LREM en France, qui risque de perdre le plus, avec une chute de près de trois points dans les sondages par rapport aux élections d’avril. La coalition d’extrême gauche Unidas Podemos et le parti libéral-conservateur Vox perdent chacun un point de pourcentage environ.
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Immigration : Macron n’est pas crédible, par Ivan Rioufol
Miracle ! Emmanuel Macron a recouvré la vue ! Il a dit, lundi devant les élus de La République en Marche !, parlant d’immigration : “Nous n’avons pas le droit de ne pas regarder ce sujet en face“. Le chef de l’Etat laisse comprendre qu’il entend désormais venir sur le terrain de Marine le Pen, dans un manichéisme qu’il a déjà construit : à elle “le repli” ; à lui “une solution ouverte mais pas naïve”. S’il fallait démontrer l’absence de doctrine du macronisme, ce revirement en serait une illustration. Au prétexte de suivre l’air du temps, voici Narcisse qui ferraille un jour contre les populistes, se fait leader de la planète le lendemain, épouse la cause écologiste le jeudi et finit sa semaine en se découvrant attentif aux détresses des “classes populaires”, laissées en première ligne face à la diversité bénie. C’est sous sa présidence que l’immigration a explosé : en 2018, le pays a reçu 122.000 demandeurs d’asile et a délivré 255 .000 titre de séjour.
Ce mercredi, Macron rencontre le nouveau gouvernement italien, qui s’est débarrassé de Mattéo Salvini au prétexte qu’il réclamait la consultation du peuple. Sous sa politique, l’arrivée des clandestins a chuté de 80% en Italie. Mais Macron exècre cet antimondialiste qui dit que l’immigration non désirée pose un problème. En revanche, le président avait soutenu Angela Merkel quand, en 2015, elle avait unilatéralement ouvert l’Allemagne à plus d’un million de clandestins venus du Moyen- Orient.
Mais, après tout, Macron aurait bien le droit de changer d’avis. Cependant, il se garde de reconnaître ses erreurs d’analyse sur l’immigration vue comme une “chance”, et sur la ringardise des nations souveraines. Son combat contre les populistes s’en prend à ceux qui se confrontent aux réalités et tentent d’y apporter des remèdes pragmatiques. En réalité, Macron reste un immigrationniste. Son progressisme, construit sur la protection des nouvelles minorités ethniques ou sexuelles, l’empêche de remettre en cause le modèle multiculturel qui effrite la cohésion nationale. Il se dit que le président aurait dans l’idée de réduire l’assiette de l’Aide médicale d’Etat (AME) et d’être plus vigilant sur le droit d’asile, détourné à des fins économiques.
Très bien. Mais l’immigration ne se résume pas à ces cas annexes. Si elle est vue comme un problème par les Français, c’est parce qu’elle s’accompagne d’un refus d’adhésion à la culture d’accueil. 66% des sondés estiment que les immigrés ne font pas d’efforts pour s’intégrer en France (Le Monde, mardi). Or Macron se garde d’aborder ce terrain, qui nécessiterait de réduire les facilités d’accession à la nationalité et de combattre l’idéologie islamiste qui pousse à la sécession des cités musulmanes. En fait, le cynisme de Macron montre un homme prêt à tout pour sa survie politique face à la droite. Mais son insincérité devient débordante. Il n’est pas crédible.
Ivan Rioufol
Texte daté du 18 septembre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol
https://fr.novopress.info/215552/immigration-macron-nest-pas-credible-par-ivan-rioufol/
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Greta et Ségolène sont dans un bateau. Greta tombe à l’eau…
Voilà une photo qui ne manquera pas de figurer dans les livres d’histoire : Greta Thunberg et Barack Obama ont échangé, mardi, un « check ». Poing contre poing, comme les rappeurs. Entre djeuns, ex et futur prix Nobel de la paix. La classe…
Pour l’occasion, la jeune fille avait troqué ses tresses contre une longue longue longue queue de cheval, symbole d’une coiffure bio nourrie aux embruns. Elle poursuit donc son périple sur le territoire américain, rencontrant à Washington le président d’hier puisqu’elle refuse de discuter avec un Trump en exercice. En ligne de mire, le sommet sur le climat de l’ONU, qui rassemblera tous les dirigeants (ou presque) de la planète. Une manifestation monstre est prévue samedi à New York, encouragée par les époux Obama. Barack a rassuré la sainte climatique – « Toi et moi, on forme une équipe ! » – avant d’échanger un second « fist bump ».
Il faut dire que la frêle enfant bénéficie, aujourd’hui, de toutes les attentions. Pas un chef d’État, pas une tête couronnée, pas un politique en campagne qui ne rêve, désormais, de poser avec elle sur la photo envoyée illico à ses millions de followers. Non seulement il faut en être, mais il faut le faire savoir, toutes choses qui, on le sait, remplacent avantageusement l’absence de savoir-faire.
Ainsi notre nationale Ségolène Royal, qui court déjà les plateaux de télé pour laisser supputer une candidature en 2022. Elle aura alors 69 ans, l’âge de toutes les promesses, et compte bien défier son ancien compagnon Hollande et, derrière lui, tous les vieux éléphants du marigot PS.
Et Ségolène aime Greta. Elle l’a dit, samedi soir, sur le plateau d’« On n’est pas couché » : « Je la trouve formidable, extrêmement brillante », et du coup, elle « trouve scandaleux les attaques qui sont dirigées contre elle-même par certains intellectuels ». D’ailleurs, ajoute-t-elle, « ce que ne supportent pas un certain nombre d’adultes c’est qu’elle soit très jeune et qu’elle sache parfaitement ce qu’elle dit ». Pas comme elle, mère de famille nombreuse au regard critique sur ses concitoyens : « C’est comme des parents qui ne tolèrent pas que leurs enfants leur disent leurs quatre vérités. Elle vient, elle dit ses quatre vérités, elle arrive à soulever des lycéens à travers la Terre entière. »
Ségolène Royal est une femme de combat. De combat écolo. C’est pour cela qu’Emmanuel Macron l’a nommée ambassadrice des pôles, un job qui l’occupe autant qu’il lui tient à cœur. Elle l’affirme chez Ruquier : « Que dit la France ? Qu’est-ce que je dis au nom de la France dans ces instances, et notamment dans ce qu’on appelle le Conseil de l’Arctique ? C’est d’attirer l’attention sur les conséquences du dérèglement climatique. » Ah ségolène, quelle bravitude !
Sauf qu’un certain Mikaa Mered, spécialiste des pôles, chercheur et enseignant à l’Institut libre d’étude des relations internationales censé fréquenter notre pasionaria, est formel : l’ancien ministre de l’Environnement, ambassadrice des pôles, a séché absolument tous les rendez-vous du Conseil de l’Arctique. « En deux ans, Ségolène Royal ne s’est JAMAIS rendue à la moindre réunion de la moindre instance diplomatique arctique officielle et n’a mené AUCUNE action contre les fuels lourds… Mais qui vérifie ? », s’indigne-t-il sur Twitter. Et de conclure : « Ce n’est pas juste hallucinant. Ça fait peur… »
Vérifications faites par « Checknews » (émanation du service Desintox de Libération, pas vraiment à droite, donc), l’ex-présidente de Poitou-Charentes n’a effectivement honoré de sa présence aucune des quatre rencontres des « Senior Arctic Officials ».
Justification de son cabinet : « Ségolène Royal décide de ses déplacements en fonction de ses engagements et de son empreinte carbone. »
Qu’en dit sainte Greta ?
https://www.bvoltaire.fr/greta-et-segolene-sont-dans-un-bateau-greta-tombe-a-leau/
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Sortie cette fin de semaine du nouveau numéro de Réfléchir et Agir
08:30 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Rentrée 2019 Pierre Yves Rougeyron : Trump - Epstein - Brésil - HK -Inde - Ecologie - Pierre Péan
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Selon une enquête IFOP, le communautarisme musulman progresse en France
La bien-pensance répète que les musulmans sont des Français comme les autres. C’est vrai pour une partie d’entre eux. Mais les autres ? Dans un entretien au Point, Jérôme Fourquet, l’auteur de L’Archipel français, tire les enseignements d’une enquête IFOP sur les musulmans en France.
On y apprend que, parmi les musulmans français de naissance, « seuls 18 % estiment que la charia devrait s’imposer ». Proportion qui monte à 26 % chez ceux qui ont acquis la nationalité française et à 46 % chez les musulmans venant de l’étranger. Ces chiffres sont parlants. Selon le politologue, « cette revendication d’une suprématie de la charia est donc d’abord portée par les nouveaux arrivants qui viennent de pays où l’empreinte de l’islam est très forte ». Autrement dit, même s’il ne prononce pas le mot, la montée de l’islamisme est bien liée à l’immigration et une forte minorité, depuis longtemps sur le sol français, est acquise à ses principes.
On apprend également qu’« un petit tiers de femmes d’origine ou de confession musulmane disent porter le voile » aujourd’hui. Elles étaient 24 % en 2003. Jérôme Fourquet précise que 19 % portent toujours ce vêtement. On se souvient de la polémique suscitée, en mars 2019, par Aurélien Taché, député LREM qui avait, sur France 5, comparé le port du voile islamique à celui d’un serre-tête par une jeune fille catholique. Contraint de présenter ses excuses pour ce rapprochement incongru, il n’en continue pas moins de défendre l’idée d’une laïcité « inclusive ». Que veut-il signifier par cette épithète ?
Lors de sa conférence de presse à l’Élysée, en avril 2019, Emmanuel Macron, tout en mentionnant l’existence d’un « islam politique, qui veut faire sécession avec notre République », utilisa le même adjectif en prônant un patriotisme ouvert et « inclusif ». Autant dire que la laïcité doit savoir s’adapter à la culture islamique. C’est, précisément, ce qui ressort de cette enquête IFOP. Les musulmans « ne sont que 41 % à estimer que la pratique de l’islam doit être adaptée et aménagée pour se conformer à la laïcité à la française », mais ils sont 37 % à juger que « c’est au contraire la laïcité française qui doit s’adapter » : une progression de 8 points par rapport à 2011 !
Libre à chacun de penser que cette progression objective des valeurs musulmanes est naturelle, qu’elle n’est qu’une manifestation d’un multiculturalisme souhaitable et ne représente aucun danger pour l’unité de notre nation. Mais cette enquête semble donner raison à ceux qui estiment que l’islam est une religion conquérante, qui veut étendre son emprise politique sur le maximum de territoires. Le nier, c’est accepter d’avance la défaite, c’est se soumettre.
Le devoir de nos gouvernants n’est-il pas de favoriser l’intégration de tous les Français de confession musulmane qui sont fiers d’être français, mais de s’opposer fermement à toutes les pratiques communautaristes qui détruisent progressivement la cohésion sociale ?
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Féminicide : histoire d’une mascarade – Journal du vendredi 20 septembre 2019
Féminicide : histoire d’une mascarade
Entre culture de l’émotion et surenchère, le “féminicide” envahi l’espace public. Loin de protéger les femmes, cette nouvelle marotte médiatico-politique met une nouvelle fois en exergue les contradictions féministes.
La Vapoteuse dans le collimateur
La cigarette électronique est-elle dangereuse pour la santé? L’état de New-York et l’Inde ont interdit sa commercialisation à des fins sanitaires.
Nigéria : un autre drame de l’immigration
Chaque année des centaines de milliers d’Africains tentent de rejoindre l’Europe. Parmi eux, de nombreux nigérians qui restent à quai en Libye dans des conditions déplorables. Les plus chanceux rentrent chez eux, mais sont ruinés et parfois même brisés.
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/feminicide-histoire-dune-mascarade-journal-du-vendredi-20-septembre-2019
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