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  • Quelle est l’alternative au projet de transformation de notre pays en terre d’islam ?

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    La République ? Vous y croyez vraiment ? Comment le pourra-t-elle, dès lors qu’elle ne se donne comme objectif que de laïciser l’islam ?

    Sans doute obtiendra-t-elle la neutralité bienveillante d’une majorité de musulmans de France, mais elle sera impuissante devant l’hydre islamiste qui s’est donné comme objectif de nous conquérir au prix d’un combat mené à coups d’attentats. La minorité fondamentaliste qui représente 10 à 20 % des musulmans de France ne sera jamais « laïcisable ». Et la majorité silencieuse des laïcisés sera toujours susceptible de les rejoindre à un moment charnière de bascule. Ajoutons à cela l’argument démographique, le combat semblerait perdu d’avance si la France n’était, de toutes les nations de la terre, sans doute celle à laquelle notre Dieu chrétien a apporté la plus grande attention. Cette France « fille aînée de l’Église » !

    Sauf que les chrétiens sont en train d’abjurer, ou à tout le moins de renoncer à ce destin peu commun et exemplaire. Pourquoi ? Comment ? C’est la grande question des années écoulées depuis 1789…

    Il demeure que notre peuple est encore modelé par le christianisme.

    Mais le conformisme ambiant fait qu’il est devenu de règle de critiquer l’Église, de refuser ses dogmes, son intolérance supposée. Il suffit de participer à un dîner en ville où que ce soit, et même de lire les articles de l’excellent Boulevard Voltaire, pour rencontrer ces hommes et ces femmes qui vous assènent leurs jugements fruit d’un anticléricalisme ancien. Pour certains (ils sont une majorité), leurs modes de vie les ont éloignés des dogmes dont ils ne veulent plus, incapables de revenir en arrière et trop jaloux de leurs conquêtes sur le supposé obscurantisme du christianisme. D’autres, moins nombreux, se disent encore catholiques mais vivent en dehors d’une Église qu’ils ne fréquentent plus que de manière épisodique, irrégulière et sans aucun esprit sacrificiel ni sacramentel. Les derniers, enfin, sont simplement indifférents ou ignorants du christianisme.

    Imaginons pourtant, un instant, qu’une majorité de cette France encore catholique retourne à l’Église, qu’elle aille à la messe le dimanche, remplissant à nouveau ses églises, qu’elle retourne au confessionnal. Je sais, je rêve. Mais imaginons quand même…

    Ne serait-ce pas la seule alternative crédible à l’islam en conquête ? Ne serait-ce pas un électrochoc d’une puissance redoutable pour les musulmans qui nous méprisent parce que nous sommes devenus sans religion. La seule opposition qu’ils craignent, c’est celle de Jésus-Christ et ses saints. C’est, en même temps, la seule opposition pour laquelle ils auraient de la considération et du respect.

    Alors oui, je rêve, mais la France n’a-t-elle pas connu d’autres retournements dans son histoire ?

    Il suffirait que tout ce peuple piégé dans son conformisme moderniste comprenne que l’amour ne se réalise pleinement qu’autour du Christ vivant, présent dans ses sacrements, et que si son enseignement est exigeant il est également la seule voie de la paix véritable.

    Le blog de Bernard Hawadier : ICI.

    Bernard Hawadier

    https://www.bvoltaire.fr/quelle-est-lalternative-au-projet-de-transformation-de-notre-pays-en-terre-dislam/

  • Jordan Bardella sur les tirs à la mosquée de Bayonne : "Vous avez tort de nous pointer du doigt"

  • Greta Thunberg, Extinction Rebellion… Une révolution verte très bourgeoise

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    Par Françoise Monestier, journaliste pour Présent ♦ Les mouvements radicaux appelant à un changement de société semblent se répandre dans tous les pays occidentaux à mesure que les prophéties apocalyptiques sur l’avenir de la Terre et de l’humanité se multiplient. Mais que cachent réellement ces personnalités et ces organisations quasi-révolutionnaires ? Un début de réponse avec cet article de Françoise Monestier.
    Polémia

    Toujours présents

    Les descendants des grands pontes soixante-huitards devenus sénateurs comme Henri Weber ou cinéastes comme Romain Goupil, délateur zélé de tout ce qui est franchouillard, rêvent – comme leurs parents d’ailleurs — de nouvelles barricades et du grand frisson tandis qu’ils sont bien au chaud dans leurs appartements parisiens devenus bientôt aussi chers que l’immobilier londonien ou new-yorkais. Alors, dès que la délétère Greta est apparue avec sa pancarte sur les écrans et que les activistes londoniens, à l’origine de la création d’Extinction-Rebellion, ont occupé des ponts pour protester contre le prétendu réchauffement climatique, tout ce beau monde parisien a sauté de joie. Rebelote quand le coup de la ZAD (zone à défendre) du Châtelet a été monté de main de maître par des professionnels de l’agitation révolutionnaire. Le tout en continuant de bénir le groupe Sleeping Giants (Géants endormis) qui mène la guerre aux médias de réinformation en incitant les grandes entreprises à leur couper les vivres de la publicité. On remarquera que ces deux lobbies sont deux produits d’importation, américain pour l’un, anglo-saxon pour l’autre, mais qu’ils portent tous les deux la marque de Sörös et de la finance internationale.

    Une rébellion bien bourgeoise

    Né à Londres voici un an à peine, ce mouvement a comme soutien des représentants de ce capitalisme financier que les idiots utiles qui ont récemment occupé un centre commercial place d’Italie puis la place du Châtelet vouent d’habitude aux gémonies, mais qui les manipule bigrement dans cette affaire. En effet, ses trois principaux parrains sont des requins de la finance reconvertis dans le caritatif environnemental. A commencer par Rory Kennedy, nièce du défunt président et admiratrice de Nelson Mandela. Autre rejeton qui a porté Extinction-Rebellion sur les fonts baptismaux (mais aussi Greta Thunberg, laquelle a également bénéficié de la sollicitude financières des Grimaldi monégasques) : Aileen Getty, petite-fille du magnat du pétrole Jean-Paul Getty. Le troisième larron ne vaut pas mieux. Trevor Neilson fit ses classes auprès de Bill Clinton avant de devenir un des maillons forts de la Fondation Bill Gates, première fortune des Etats-Unis pendant des années. Après les incendies qui ravagèrent la Californie en juillet 2018, il enfourcha le cheval climatique et crée le Climate Emergency Fund (CEF), un fonds consacré au financement de la désobéissance civile pour le climat. Des millions de dollars vont alors permettre le lancement concomitant d’XR et de Greta Thunberg et expliquent, notamment, que les occupants de la place du Châtelet et autres lieux, soient payés 450 € la semaine.

    Une impardonnable tolérance

    On ne peut que s’étonner de la clémence du gouvernement d’Edouard Philippe à l’égard de ce mouvement. Pas le moindre tir de flash-ball ou de LBD, pas la moindre interpellation comme a pu le constater le gilet jaune Maxime Nicolle. Même mansuétude du côté d’Hidalgo qui a martelé soutenir « les mouvements non- violents ». De l’aveu même des militants d’X-R, ils ne s’attendaient pas à tant de complaisance : « Le blocage se passe trop bien : il n’y a pas de réaction des pouvoirs publics. Nous allons muscler le bras de fer, et tant qu’il n’y aura pas de réponse, on va paralyser Paris. » Avertissement sans frais pour l’instant mais qui peut faire craindre le pire quand on sait que ces prosélytes « veulent créer collectivement les structures nécessaires pour défier le pouvoir ». Leur modèle, l’activiste Roger Hallam, cofondateur d’XR, est d’ailleurs en détention provisoire pour avoir récemment voulu perturber le trafic de l’aéroport londonien d’Heathrow à l’aide d’un drone.

    De drôles de paroissiens

    On a vu roder place du Châtelet des membres du comité de soutien d’Adama Traoré qui ne perdent jamais une occasion de taper l’incruste dans des manifestations de soutien aux migrants ou de parasiter une assemblée de Gilets jaunes. De nombreux gilets noirs – des migrants clandestins — se pressaient ainsi pour faire une ovation à Frau Carole Rackete, le capitaine de navire et activiste allemande poursuivie par la justice italienne pour « aide à l’immigration clandestine ». Et ne parlons de tous ces militants se revendiquant de la France Insoumise ou de Nuit Debout qui espèrent tous voir les antifas reprendre leurs bonnes vieilles habitudes. Et quoi de plus normal quand on sait que, parmi les créateurs de la branche française d’XT, on trouve, par exemple, Corinne Morel-Darlieu, conseillère régionale d’Auvergne de la France Insoumise jusqu’en 2018, chroniqueuse à France-Inter ( « Là-bas si j’y suis ») et qui fait partie des nouveau penseurs de l’écologie radicale ?

    Bref un mouvement qui promet de conjuguer imposture et dictature climatiques.

    Françoise Monestier 26/10/2019

    https://www.polemia.com/greta-thunberg-extinction-rebellion-revolution-verte-bourgeoise/

  • Gilets jaunes : trois quarts des Français estiment que le mouvement n’est pas fini

    Presque un an après le début des manifestations, le mouvement des gilets jaunes n’est pas définitivement et totalement arrêté, jugent 76% des Français, selon le baromètre mensuel Odoxa d’octobre 2019 pour la presse régionale, France Inter et L’Express, publié ce mardi.

    L’Express

    https://www.tvlibertes.com/actus/gilets-jaunes-trois-quarts-des-francais-estiment-que-le-mouvement-nest-pas-fini

  • Islam : oui, Macron est bien « complice de la confusion collective »

    Islam : oui, Macron est bien « complice de la confusion collective »

    De Bernard Antony :

    Ce lundi matin, Emmanuel Macron rencontrait à l’Élysée les représentants du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), cet organisme jadis créé à l’initiative (malheureuse) de Nicolas Sarkozy.

    Feu le cardinal Lustiger exprima alors sur ce fait une juste réprobation, regrettant que ce dernier ait ainsi fait de l’islam en France une sorte de « religion d’État ».

    Ce n’est en effet que par la reconnaissance de l’État que l’islam en France existe en tant que religion !

    Or, combien de fois faudra-t-il répéter qu’ils se trompent lourdement, les laïques qui fondamentalement ne voient l’islam que comme un phénomène religieux somme toute très semblable au catholicisme en particulier et au christianisme en général,  dont les églises s’appelleraient mosquées, les curés imans, et dont la bible s’appellerait Coran ?

    Cela, alors que l’islam est avant tout une « orthopraxie », c’est-à-dire une pratique de vie conforme au modèle du prophète Mahomet, et non une « orthodoxie », c’est-à-dire d’abord une doctrine théologique juste.

    Emmanuel Macron affirme préférer parler de laïcité que d’islam pour n’être pas « complice d’une espèce de confusion collective ».

    En termes chrétiens, cela se traduirait par une affirmation de volonté de ne pas mélanger ce qui relève de l’État et ce qui relève de la religion (« Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu ! »). Et donc, en termes laïques, de ne demander aux musulmans que de respecter les lois de la République.

    Mais c’est là qu’est l’erreur et même une macro-erreur !

    Car l’islam est une gouvernance sociale totalitaire, depuis le gouvernement de Médine par le prophète Mahomet, à la fois chef politique, chef de guerre, chef religieux, chef des mœurs.

    Sa constitution fondamentale, régissant tous les ordres, est la charia, c’est-à-dire la loi tirée, pour tous les aspects de la vie, du Coran et des Hadîths, les actes et les paroles du prophète.

    Emmanuel Macron hélas s’inscrit totalement dans la confusion collective en croyant que l’on peut établir dans l’islam la distinction entre le religieux et la politique, entre ce que l’on appelle en terme chrétien « le spirituel » et « le temporel ».

    Ce serait là vouloir un islam sans la charia !

    Mais sans la charia, l’islam ne serait plus l’islam ou deviendrait un autre islam. Et dans ce cas, il n’y aurait certes plus, et très heureusement, « d’islamisme » !

    Nous avons été heureux de lire sous la plume de Rémi Brague, grand historien et philosophe des religions, grand scientifique de l’islam, « qu’entre l’islamisme et l’islam, il y a différences de degrés, non pas de nature ».

    C’est ce que nous écrivions en 2006 dans notre livre « L’islam sans complaisance ». C’est ce que nous n’avons cessé de répéter au long des années. Quant au recteur de la mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, ancien président du CFCM, aujourd’hui comme si souvent, reçu à l’Élysée, qui prétend défendre un islam non politique, n’écrivait-il pas :

    « L’islam est à la fois une religion, une communauté, une loi et une civilisation. (…) Ne sont pas seulement musulmans ceux qui pratiquent les cinq piliers de l’islam, mais tous ceux qui appartiennent à cet ensemble identitaire ».

    Ainsi la France selon M. Dalil Boubakeur doit-elle accueillir et intégrer un ensemble qui est à la fois religion, communauté, loi et civilisation !

    Mais cet ensemble, selon lui, serait étranger à toute dimension politique !

    Bon courage à monsieur Macron qui veut d’un islam non communautariste !

    https://www.lesalonbeige.fr/islam-oui-macron-est-bien-complice-de-la-confusion-collective/

  • Élection régionale en Ombrie : Salvini donne sa « première giffle » à l’exécutif italien !

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    Au moment où cet article est écrit, une dépêche de l’agence de presse Reuters vient de confirmer une large victoire de la Ligue, alliée aux partis Forza Italia et Fratelli d’Italia, lors de l’élection régionale de dimanche, en Ombrie. Cette union de droite était opposée à la coalition entre le Mouvement 5 étoiles et le Parti démocrate. Selon un sondage sorti des urnes, le trio de droite, mené par Donatella Tesei, sénatrice de la Ligue, obtiendrait entre 56,5 et 60,5 % des voix, devançant les deux partis associés au gouvernement depuis septembre dernier. « Une première giffle » à l’exécutif, a annoncé Matteo Salvini. En attendant la raclée électorale qui le conduira au pouvoir ?

    Cette région, contrôlée par la gauche depuis plusieurs décennies, va donc passer aux mains de la droite. Il faut dire qu’elle est confrontée à une crise économique, à laquelle s’est ajouté un scandale de corruption touchant des personnalités régionales du Parti démocrate. La présidente du conseil, Catiuscia Marini, avait elle-même été poussée à la démission pour son implication présumée dans cette affaire. Ironie du sort, le M5S avait été particulièrement critique envers l’ex-présidente de région, ce qui avait poussé Salvini à dire : « En Ombrie, on vote d’abord parce que le M5S a mis fin au conseil dirigé par le PD. Maintenant, ils sont ensemble sur le bulletin de vote. »

    Les Italiens, comme les Français, n’aiment guère les gens corrompus, ni les girouettes qui, par opportunisme, chérissent aujourd’hui ceux qu’ils détestaient hier. C’est, sans doute, une explication des résultats du vote. Mais c’est surtout la confirmation que la stratégie politique conduite par Salvini, en démissionnant de son poste de ministre de l’Intérieur, est en passe de réussir. Il est de plus en plus populaire, tandis que le crédit du nouveau gouvernement, issu d’un marchandage entre parlementaires, s’amenuise de jour en jour.

    Bien sûr, comme d’habitude en pareil cas, les vaincus cherchent à minimiser leur défaite : « On vote ici pour des régionales », avait anticipé Nicola Zingaretti, secrétaire du Parti démocrate italien. Dans un meeting précédant le scrutin, le Premier ministre Giuseppe Conte, pressentant la déconfiture, a assuré que « pour lui, rien ne changera lundi. Nous irons de l’avant avec détermination. » Belle occasion, pour , de lui répondre que le vote de l’Ombrie est celui de « la vraie Italie ».

    Cet épisode électoral devrait donner à réfléchir à la droite française. Non pas celle qui s’est trop facilement ralliée au camp macronien, mais celle qui reste soucieuse de la souveraineté et de l’identité de la France. À défaut des cadres du parti Les Républicains, beaucoup de ses électeurs, qui n’en peuvent plus de la politique actuelle, seraient prêts à joindre leur vote à celui de la droite nationale. Il n’est que de voir l’enquête menée par l’IFOP pour le JDD : l’inquiétude sur la question de laïcité est majoritaire, 80 % des sondés pensent qu’« [elle] se pose aujourd’hui différemment en France s’agissant de la religion musulmane », ils sont même 61 % à estimer que « l’islam est incompatible avec les valeurs de la société française ».

    Emmanuel Macron, refusant de prendre clairement position, préfère rencontrer à l’Élysée le Conseil français du culte musulman, éludant les questions que se posent les Français quand ils se rendent compte que leur culture et leur identité sont menacées. Ce n’est pas en faisant l’autruche qu’on peut répondre à ces menaces, mais en saisissant le problème à bras-le-corps, pour sauvegarder la cohésion des Français, y compris les Français de confession musulmane qui ne souhaitent que l’assimilation. À quand un Salvini français ?

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/election-regionale-en-ombrie-salvini-donne-sa-premiere-giffle-a-lexecutif-italien/

  • Laurent Obertone : "Le drame [de l'attentat à la préfecture de Paris] aura encore lieu"

  • Les représailles de Macron contre un journal de La Réunion

    En visite sur l’île de La Réunion, Emmanuel Macron a fait l’objet d’une Une acerbe du JIR (Journal de l’île de La Réunion) qui titrait « Pour l’instant, c’est du vent ». Réponse immédiate : le quotidien régional a été mis à l’écart d’un déplacement du président. Nouvel exemple du rapport contrarié du pouvoir à la liberté de la presse…

    Le 24 octobre, le JIR publiait une Une mordante concernant la visite présidentielle dans le département d’outre-mer [1] :


    La réaction de l’équipe présidentielle ne s’est pas faite attendre : suite à la publication de cette Une, l’Élysée a mis à l’écart le quotidien d’un déplacement organisé dans le quartier des Camélias à Saint-Denis. Le quotidien ne s’est pas démonté pour autant. Dans le numéro du 25 octobre, il publie une page blanche à propos de la visite présidentielle :

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  • Royalistes : Formation et militantisme : GAR, Rennes, Saint Etienne...

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/29/formation-et-militantisme-gar-6185467.html#more

  • Les Brigandes: Concert entier au weekend Bleu Blanc Rouge de Synthèse Nationale

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    Pour terminer notre série de reportages du weekend Bleu Blanc Rouge nous vous proposons de finir en beauté avec ce concert de nos amies Les Brigandes !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/