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  • Rouen : la quantité de produits chimiques brûlés lors de l’incendie revue à la hausse

    Une large partie du site de « Normandie Logistique », une entreprise située à côté de l’usine chimique de Lubrizol, a aussi été touchée par les flammes le 26 septembre. Plus de 4000 tonnes de produits Lubrizol (12 700 fûts) et 139 tonnes de produits Total y étaient entreposées. Alors, 5 000 tonnes ou le double ? la quantité exacte de produits partis en fumée reste inconnue alors que Lubrizol et Normandie Logistique se rejettent la responsabilité de l’origine de l’incendie catastrophique.

    En tout cas, en plus des 5 253 tonnes de produits de chez Lubrizol partis en fumée, la préfecture de Seine-Maritime a publié le 4 octobre une nouvelle liste de 9 050 tonnes de produits entreposés par l’entreprise voisine, partiellement touchée par l’incendie.

    Chez Normandie Logistique, on affirme toutefois qu’il n’y avait «pas de stockage de produits explosifs ou dangereux».

    RT News

    https://www.tvlibertes.com/actus/rouen-la-quantite-de-produits-chimiques-brules-lors-de-lincendie-revue-a-la-hausse

  • Watergate suite à l’attentat de la préfecture de police de Paris : la conférence de presse du parquet national antiterroriste est juste effroyable.

    castaner nunez lallement attentat préfecture de police de paris.png
     Tout le monde savait mais personne n’a rien fait.. Le syndicat France Police – Policiers en colère sort de son silence et livre un constat sans concession
    1. Le naufrage des services de renseignement a été rendu possible par deux facteurs :
    – La destruction du renseignement par l’absurde fusion Renseignements Généraux (RG) et Direction de la Surveillance du Territoire (DST) imposée par Nicolas Sarkozy à des fins politiciennes.
    – La police politique de la pensée unique qui interdit de soupçonner un converti de radicalisation et d’enquêter sur lui, faute de quoi l’on est immédiatement traité d’islamophobe.
    2. La politique en matière de renseignement conduite par l’ancien directeur de la DGSI et actuel n°2 du ministère de l’Intérieur, Monsieur Nunez, qui a orienté les missions des services secrets vers la lutte contre ses opposants politiques en tant que militant Lrem, à savoir les Gilets jaunes, au détriment de la lutte antiterroriste.
    3. L’obsession du gouvernement à ordonner systématiquement des enquêtes IGPN dès qu’une banale intervention de police critiquée nuit à ses intérêts politiques plutôt que de se concentrer sur les collègues présentant une réelle menace pour la société.
    4. Un système législatif très protecteur des personnes radicalisées qui rend particulièrement compliqué leur révocation de la fonction publique.
    5. Une hiérarchie médiocre, en dessous de tout, obsédée par les primes et les avancements, qui ne veut surtout pas faire de vague et produire du chiffre pour favoriser la carrière.
    Si les oppositions appellent à la démission de Christophe Castaner, il va de soit que sa démission ne réglera pas tout.
    Monsieur Nunez doit également faire sa valise.
    En outre, c’est toute l’organisation des renseignements qui doit être revue de fond en comble, à commencer par l’IGPN, transformée en arme de communication massive par la Macronie.
    On comprend mieux pourquoi le président Macron ne voulait plus être protégé par la police nationale mais plutôt par des gardes du corps privés à la sauce Benalla.
    Lorsque l’on voit le degré d’infiltration de nos services par des personnes radicalisées, l’affaire Riss en octobre 2018 en est la preuve, on s’aperçoit de l’ampleur du chantier..
    Michaël Harpon était notre frère d’arme, du moins le croyait-on.
    Aujourd’hui le syndicat France Police Policiers en colère ne demande pas de faire la chasse à nos collègues musulmans dans la police nationale mais uniquement de révoquer ceux qui sont en lien avec la mouvance radicale.

  • Le cancer islamiste n’a pas fini de frapper

    Le drame de la préfecture de police est un coup de semonce terrible qui va ébranler durablement tous les services de renseignement et nous obliger collectivement à une remise en cause des certitudes en matière de sécurité.

    Face au cancer de l’islamisme, le moindre doute est coupable : il faut écarter des services de police et de gendarmerie tout suspect.

    Prendre le moindre risque, c’est à l’évidence mettre en péril la vie d’hommes et de femmes, mais c’est aussi fragiliser les services en dépit des règles de cloisonnement, axiome de base de tout service de renseignement.

    En juin 2019, le rapport parlementaire d’Éric Diard et Éric Poulliat avait souligné que la radicalisation dans les services publics n’était pas alarmante mais qu’il était nécessaire d’être vigilant. Nous en avons la preuve aujourd’hui !

    Les deux députés reconnaissent qu’en l’état du droit, il est difficile d’agir pour déplacer l’agent d’un service sur de simples soupçons, l’agent bénéficiant de garanties légales en raison de son statut de la fonction publique.

    C’est très certainement sur ce point que le législateur devra se pencher à nouveau. Il ne s’agit pas de mettre en place une « loi sur les suspects » comme au temps de la Convention nationale, loi du 17 septembre 1793, mais bien de prévenir. Écarter des postes sensibles tout individu en voie de radicalisation est une nécessité.

    Il reste à découvrir cette radicalisation, tant il est vrai que la dissimulation est l’art des djihadistes, la « taqiya » qui n’est pas seulement pratiquée par les chiites mais par les sunnites également.

    Le cancer de l’islamisme n’a pas fini de frapper, il faut en avoir conscience, le meilleur remède contre cette idéologie fanatique et mortelle est de sortir des béatitudes des bien-pensants et de la naïveté du politiquement correct !

    Vaste programme !

  • La Nouvelle Librairie vandalisée avant la venue de Jean-Marie Le Pen

    jean-marie le pen.JPGL'établissement spécialisé dans les publications nationalistes situé dans le VIe arrondissement de Paris a été attaqué avant la venue de Jean-Marie Le Pen. La librairie, déjà dégradée en février dernier, a néanmoins maintenu la venue du «Menhir».

    La Nouvelle Librairie, située dans le VIe arrondissement de la capitale, a été victime, ce 4 octobre, d’une attaque alors qu’elle devait recevoir le jour même l’ancien président du Front national Jean-Marie Le Pen pour une séance de dédicaces et de rencontre avec le public.
    «Dans la France de 2019, on attaque une librairie ! Heureusement, nous ne déplorons que des dégâts matériels (nos vitrines brisées). Nous ne nous tairons pas !», pouvait-on lire sur le compte Twitter de la librairie.
    [...]
    En savoir plus sur francais.rt.com
  • Terrorisme/Préfecture Paris : une "faille immense dans le système" pour le syndicat Unité SGP Police FO

    Des véhicules de polices garés près de la préfecture de police de Paris, après l'attaque au couteau qui s'est produite le 3 octobre 2019. 

    (Samedi matin, à 7 heures, sur France info)

    Attaque au couteau à la préfecture de police de Paris : une "faille immense dans le système" pour le syndicat Unité SGP Police FO

    Après l'agression au couteau à la préfecture de Paris qui a fait quatre morts plus l'assaillant, le parquet national antiterroriste s'est saisi de l'enquête. Invité de franceinfo, Yves Lefebvre, secrétaire général du syndicat Unité SGP Police FO a exigé des réponses.

    Le parquet national antiterroriste s'est saisi vendredi 4 octobre de l'enquête sur l'agression au couteau à la préfecture de police de Paris, qui a fait quatre morts jeudi, en plus de l'assaillant. Invité de franceinfo, Yves Lefebvre, secrétaire général du syndicat Unité SGP Police FO, dénonce une "faille immense dans le système". Il estime "qu'on a sous-évalué la menace" et "exige des réponses".

    Franceinfo : Quelle est votre réaction alors que le parquet national antiterroriste a annoncé se saisir de l'enquête ?

    Yves Lefebvre : Une profonde tristesse. On s'aperçoit qu'on a eu une faille immense dans le système, une faille criminelle, terroriste. Et aujourd'hui, la question à se poser c'est comment cela a-t-il pu arriver ? On va attendre de voir un peu plus loin dans l'enquête, mais aujourd'hui ça crée un climat encore plus anxiogène. On savait que la menace était particulièrement palpable depuis 2015, mais à l'intérieur on ne pensait pas que ça puisse nous arriver, même s'il y avait quelques cas de radicalisation signalés.

    Ce qui frappe encore plus, c'est que l'attaque vient de l'intérieur même de la préfecture de police...

    Manifestement il y a eu des loupés, mais des loupés qui sont peut-être compréhensibles. Il faut savoir pourquoi ça s'est passé pour que ça ne puisse pas se renouveler. Mais le problème qui se pose aussi, c'est la conversion [à l'islam] à un âge avancé de cette personne. Comment se fait-il que cela n'ait pas attiré l'attention de sa hiérarchie ? On a sous-évalué la menace, et pour cela j'exige des réponses, tant pour mes collègues que pour l'opinion publique.

    Le fait que l'assaillant travaillait à la direction du renseignement, cela vous inquiète ?

    Bien évidemment. L'enquête devra déterminer s'il a été en lien avec d'autres potentiels terroristes. Mais la problématique se pose aussi sur l'habilitation au secret défense. L'habilitation a une validité de sept années. Cela veut dire qu'un agent, s'il n'y a pas de signe détecté de changement de position, est habilité secret défense pour sept ans. Je considère qu'il faut revoir cette procédure. Il faut qu'on soit beaucoup plus vigilant sur un appareil comme celui du renseignement, qui a démontré toute son efficacité depuis le début de la menace terroriste.

    Rappelons que, peu après l'attaque, jeudi, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner avait indiqué que cet employé atteint de surdité « n'avait jamais présenté de difficultés comportementales » ni « le moindre signe d'alerte ».

    Une incompétence de plus, une raison de plus pour demander à nouveau la DEMISSION de Christophe Castaner, le calamiteux ministre de l'Intérieur...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/05/terrorisme-prefecture-paris-d-enormes-failles-un-syndicalist-6180621.html#more

  • En attendant le krach, les banksters se gavent !

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    Pieter Kerstens

    Plus les mois passent et plus nombreuses sont les autorités financières qui mettent les gouvernements en garde contre une nouvelle crise qui sera bien plus dévastatrice que celle que nous avons connue en 2007/2008. Depuis janvier 2019, ce sont plus de 50.000 emplois qui ont été supprimés dans les banques européennes.

    Les médias et les politiciens nous parlent de « sauver la Planète » ou la forêt amazonienne, en ralliant la bannière du méchant petit troll nordique. Les mêmes monopolisent les antennes avec les dangers d’un Brexit, qui partage les actualités avec une guerre commerciale entre l’Asie et l’Occident, pimentée d’un risque de nouveau conflit au Moyen-Orient.

    Peu de choses en ce qui concerne les bourses surévaluées où l’économie réelle a cédé la place aux algorithmes et aux échanges à haute fréquence, capables de créer le chaos en quelques minutes, mais également d’enrichir en un clin d’œil les spéculateurs avides.

    Quelques rares esprits lucides, comme Nouriel Roubini, Georges Ugeux, Christine Lagarde, Charles Gave, Jean-Claude Trichet et certains autres tirent le signal d’alarme. Car il est faux de croire que les déficits des budgets successifs et la hausse des dettes publiques permettront la mise en œuvre des réformes structurelles indispensables à une bonne gestion des affaires.

    Pour ceux et celles qui en ont encore la possibilité et veulent se préparer à la pire crise financière en gestation, il y a lieu de réduire sa dépendance aux banques et à l’Euro. Comment ?

    • En possédant des espèces (de 3 à 6 mois) afin de couvrir ses dépenses courantes.
    • En convertissant son épargne en or (napoléons) ou en argent métal.
    • En se procurant diverses devises (telles que des francs suisses, des livres sterling, des couronnes norvégiennes ou des dollars)
    • Eventuellement en investissant dans l’économie réelle (immobilier, secteur alimentaire ou encore dans la production d’énergie).

    Les ennemis de l’Europe, les mondialistes, qui nous ont imposé le traité de Maastricht et qui rêvent d’un homo consuméris universel, nous traitent d’oiseaux de mauvais augure et tentent de convaincre les populations d’un risque zéro concernant les finances mondiales.

    Certes, certains secteurs d’activités ont permis une amélioration de notre niveau de vie ces dix dernières années, mais cela au prix de déficits des comptes publics, dont bien sûr nos enfants et petits-enfants vont hériter.

    Après 40 ans de gabegie, il est grand temps de tenir un langage de vérité et de restaurer des mesures de bon-sens. On ne peut pas éviter les problèmes en dépensant plus que l’on gagne. Et ce n’est pas non plus en matraquant les riches de taxes et d’impôts divers que l’on va aider les pauvres.

    Pour revenir à un équilibre sain des comptes publics, il faudra se serrer la ceinture, tout en travaillant plus et plus longtemps. Il y a 40 ans (avant Mitterrand) on pouvait travailler 40 heures/semaine et prendre sa retraite à 65 ans. Est-ce que les gens étaient plus malheureux pour cela ? Les élèves et les étudiants étaient-ils moins éduqués que maintenant ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/05/en-attendant-le-krach-les-banksters-se-gavent-6180746.html

  • Sarcelles : le lycéen qui a sauvagement agressé son professeur d’EPS est un migrant sans papiers

    La vidéo a tourné sur les réseaux sociaux, lancée par des élèves de la classe du jeune homme, trop contents de montrer l’un des leurs en découdre avec son professeur d’EPS qui lui avait demandé de retirer sa casquette. Et qui ne sont pas intervenus pour aider leur professeur à maîtriser leur camarade.

    La casquette. Pour qui exerce notre profession, la casquette de nos élèves est un sujet délicat et l’on sait qu’elle peut vite devenir le casus belli. Donc, le règlement est strict : tout couvre-chef est interdit dans les bâtiments. Et nous rappelons tous les jours à certains que, dès qu’ils en franchissent les seuils, ils doivent la retirer. En général, cela se passe bien. Mais pas toujours, et pas partout, comme cette agression du lycée de la Tourelle, à Sarcelles, l’a montré. On vous laisse imaginer la scène et le cours si ce n’était pas son professeur d’EPS musclé mais la fluette professeur de lettres qui avait demandé à ce lycéen d’obtempérer, ou qui ne le lui aurait pas demandé.

    Avec la casquette, un autre objet occupe le même statut identitaire et conflictuel : le portable. Jeudi soir, à Osny, dans le Val-d’Oise, un autre lycéen, qui aurait fait tomber son professeur qui lui demandait son portable, a été placé en garde à vue. À l’Éducation nationale, les choses vont mal, même si beaucoup de collègues, par peur ou par idéologie, refusent de le reconnaître. Cette semaine, entre les suicides d’enseignants et les agressions, jusqu’au meurtre, vendredi, d’un jeune dans le 93, le bilan est terrible. Mais M. Blanquer essaie de passer entre les vagues, sauvé par les gros soucis que son collègue Castaner rencontre en ce moment à la préfecture de police de Paris.

    Mais revenons à la casquette de Sarcelles. Qui est ce lycéen rebelle, violent, capable de se battre avec son professeur ? Sa comparution immédiate nous en a appris un peu plus : d’après Le Parisien, il s’appelle Dio, il a 19 ans, il est arrivé clandestinement en France en 2013. Il a été condamné à huit mois de prison, dont quatre avec sursis. Mais il ne sera pas expulsé…

    Il paraît que l’enseignant agressé, qui a pourtant porté plainte, a tenté, lui, de minimiser les faits ! Croit-il que c’est ainsi qu’il combattra ce genre de comportements et qu’il aidera les collègues dans la même situation ? Sa réaction, pour étonnante qu’elle soit venant d’un homme qui a montré un réel courage physique, peut se comprendre quand on connaît les pressions multiples de l’administration dans ce genre de circonstances. Et la culpabilisation insidieuse qu’elle instille. Vous vous souvenez du mouvement #Pasdevagues ? C’était il y a un an.

    Faut-il rappeler que nos établissements scolaires, avec la complicité du ministère de l’Éducation nationale, et de multiples associations, comme RESF, accueillent des milliers de migrants sans papiers, parfois clandestinement, c’est-à-dire sans que l’autorité préfectorale ou judiciaire en soit informée, qu’il nous est parfois demandé de falsifier des bulletins, des résultats, pour que « le jeune » n’ait pas de problème, que cela ne va pas sans poser de nombreux autres problèmes, de discipline et de sécurité ?

    L’Éducation nationale, pour les migrants, est devenue une zone de non-droit. Avec la complicité de beaucoup trop d’enseignants. Complices. Et victimes.

    Frédéric Sirgant

    https://www.bvoltaire.fr/sarcelles-le-lyceen-qui-a-sauvagement-agresse-son-professeur-deps-est-un-migrant-sans-papiers/

  • Expliquez moi pourquoi?

    Donc, après qu’un joueur de poker ayant frayé avec le milieu marseillais a été nommé Ministre de l’Intérieur de la République française pour une raison qui échappe au cerveau normal et que personne n’a jamais comprise de façon rationnelle, après qu’il a passé des mois à gérer la crise des Gilets Jaunes n’importe comment, après qu’il a soufflé sur les braises en montant la police républicaine contre son propre peuple, après qu’il a cautionné en les niant les violences policières encouragées par un exécutif devenu fou, après qu’il n’a strictement rien fait pour améliorer les conditions de travail des forces de l’ordre hormis les instrumentaliser au service d’une caste retranchée sur la préservation de ses intérêts, après qu’il a couvert la noyade de Steve à Nantes, après qu’il a menti délibérément sur la fausse attaque de la Pitié Salpêtrière, après qu’il a menti éhontément sur le profil prétendument nickel de l’agent islamiste à la Préfecture de Police où l’on apprend que des pressions ont été exercées sur certains policiers afin qu’ils dissimulent les infos au sujet des signalements de l’individu, Christophe Castaner est donc toujours Ministre de l’Intérieur ce samedi à 11h30.