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  • Journaliste de gauche à propos de l’immigration en Suède: «Tout le monde savait que cela finirait par un désastre»

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    Mais elle a toujours soutenu l’immigration de masse.

    Une journaliste suédoise de gauche qui a soutenu avec véhémence l’immigration de masse a changé de ton, admettant que, dans les zones de non-droit suédoises, «tout le monde savait que cela finirait par un désastre».

    Lena Mellin, de Aftonbladet, reconnaît à présent que la tentative de la Suède d’intégrer un nombre considérable de migrants d’Afrique et du Moyen-Orient a échoué.

    «Tous les partis, à l’exception peut-être du parti de gauche et des démocrates suédois [SD], qui ont à peine affecté la réalité sur ce point, devraient avoir honte», écrit Mellin, âgé de 64 ans.

    Elle accuse les politiciens d’avoir «largement négligé le développement de certaines de nos banlieues», malgré le fait que «tout le monde savait que cela finirait par un désastre».

    De nombreuses personnes ont souligné l’hypocrisie de Mellin, admettant qu’elle savait que l’intégration échouait tout en refusant d’abandonner son soutien à l’immigration de masse.

    « Incroyable! Lena Mellin, l’une des plus grands défenseurs de l’immigration de masse et du multiculturalisme, l’une des pires détracteurs du SD, affirme que l’on sait que cela finira par être l’enfer », a tweeté Ted Ekeroth.

    « Depuis plus d’une décennie, la classe dirigeante suédoise – y compris les dirigeants politiques et les médias – a nié l’existence de problèmes dans les banlieues du pays causés par l’importation massive d’immigrants du tiers monde », écrit le blog Gates of Vienna .

    « Maintenant, il semble que la vérité sur l’enrichissement culturel soit devenue tellement flagrante qu’on ne peut plus le nier.

    La réponse de la presse suédoise? « Nous avons toujours su que les choses finiraient mal. Nous avons juste oublié de vous le dire, tout en accusant les politiciens. »

    La Suède continue de se heurter à d’énormes problèmes de crimes violents, de tirs, des explosions et des attaques à la grenade, résultant principalement de guerres de territoire entre gangs de migrants rivaux.

    Les autorités de Malmö ont réagi en invitant les chefs de gang locaux à venir manger des pizzas.

    Le gouvernement suédois a récemment accordé une contribution de 175 000 dollars au financement d’événements Drag Queen Story Time où des hommes déguisés en femmes lisaient et se présentaient devant des enfants.

    Paul Joseph Watson pour Summit News

    Traduction: alter INFO

    https://www.alterinfo.ch/2019/11/19/journaliste-de-gauche-a-propos-de-limmigration-en-suede-tout-le-monde-savait-que-cela-finirait-par-un-desastre/

  • Gilets jaunes : le général de Villiers sort du bois, par Ivan Rioufol

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    Enterrer les Gilets jaunes ? Pas si vite ! En apparence, l’essoufflement de la contestation signe sa fin. Samedi, 28.000 personnes ont répondu à l’anniversaire du mouvement, dont 4 700 à Paris. Ils étaient dix fois plus le 17 novembre 2018. Des scènes de violences urbaines, qui ont mis à sac la Place d’Italie à Paris, ont contribué à caricaturer la révolte populaire et à décourager ses sympathisants. Cette stratégie du chaos, menée par l’extrême gauche depuis des mois, est une aubaine pour le parti de l’Ordre. Dimanche, le premier ministre a ainsi pu assurer, droit dans ses bottes, que la “volonté de transformer” la France est “intacte”. Déjà, à l’issue de la première mobilisation motivée par la hausse des taxes sur le carburant, Edouard Philippe avait déclaré : “La trajectoire carbone, nous allons la tenir“.

    Il avait alors annoncé pour le 1er janvier 2019 une augmentation de la taxe sur le diesel de 6,5 euros par litre, et de 2,9 centimes pour l’essence. Est-il besoin de rappeler la suite des événements et les reculades du gouvernement ? C’est à ce risque que s’expose à nouveau Philippe, quand il feint de considérer la colère française comme résorbée. En réalité, elle est toujours présente et ne demande qu’à renaître. Un de ses ressorts est justement la morgue de la macronie, qui persiste à vouloir “transformer” la France, alors que de nombreux citoyens attendent d’abord, au-delà de la fronde fiscale, d’être protégés d’une mondialisation qui fragilise les peuples et les civilisations. Le pouvoir ne semble pas vouloir comprendre que la concorde ne s’achètera pas avec de l’argent mais par une ouverture de la démocratie à ceux dont les voix demeurent inaudibles.

    Une place est à prendre, pour celui qui saura conceptualiser et incarner ce rejet d’un monde dépassé, auquel Emmanuel Macron s’accroche avec de plus en plus de brutalité et l’autoritarisme des faibles. C’est dans ce contexte que se lit la postface du général d’armée Pierre de Villiers, à son dernier livre réédité ces jours-ci (1). Analysant la révolte des Gilets jaunes, il écrit : “Loin d’être un mouvement social de plus, elle a révélé une crise sociétale d’une grande ampleur“. Le militaire souligne “le sentiment d’éloignement croissant entre les dirigeants, quels qu’ils soient, et les citoyens, les salariés des entreprises, les membres des associations, etc. L’individu se sent ignoré, laissé-pour-compte, sans pour autant savoir qui décide vraiment de son sort“. Pierre de Villiers aurait-il, malgré ses démentis d’hier, une ambition présidentielle cachée ? En tout cas, il choisit de sortir du bois. Son éloge des chefs et de l’autorité dessine en creux ses critiques contre le chef de l’Etat, dont il fut un des collaborateurs.

    Villiers écrit : “Nos élites sont parfois de bons tacticiens; ils sont souvent de piètres stratèges (…) Nos élites manquent de profondeur (…) Il nous manque des chefs qui incarnent une voix et fixent la voie“. Ce diagnostic n’est pas d’une folle originalité; il ne fait pas un programme électoral. Mais il a le mérite d’être plus lucide que les utopies universalistes et mercantiles dont se berce la macronie, envahie par son adoration d’elle-même. Les Gilets jaunes n’ont pas fini d’être la bête noire de la caste aux abois.

    (1) Qu’est-ce qu’un chef ? Editions Pluriel

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 18 novembre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/216065/gilets-jaunes-le-general-de-villiers-sort-du-bois-par-ivan-rioufol/

  • Amalgame et extrémisme laïcard.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    À Vesoul, une religieuse catholique s'est vue refuser une place dans une maison de retraite tant qu'elle ne quitterait pas son voile et son habit religueux. Celà au nom de la laïcité qui, comme on le sait, est un principe sacré de notre République. Petit père Combes pas mort.
    Nous sommes bien dans le plus affligeant des amalgames, celui dans lequel se vautrent intellectuels dévoyés, gauchardins rouges, roses, noirs, verts, et progressistes de toute obédience.
    La France est chrétienne. Nos religieuses en sont les servantes, elles que nous sommes fiers d'appeler "ma mère" ou "ma sœur". Elles appartiennent à la communauté de destin, spirituelle et nationale que l'on appelle France et les signes extérieurs de leur appartenance moniale ne sauraient être confondus avec l'utilisation/provocation que font des leurs les tenants de l'islamisme politique.
    Ce que nous voyons à l'œuvre dans cette affaire, c'est bien le totalitarisme laïcard anti-chrétien adossé au complexe islamophile.
  • Agnès Thill : la conversion tardive d’une résistante « en marche » !

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    Hier soir, Mme Agnès Thill était invitée par « Marchons enfants » à Marcq-en-Barœul. Soirée très instructive. Cette députée désormais non inscrite a été exclue du parti LREM et du groupe à l’Assemblée en raison de son opposition à la PMA pour les femmes seules et les lesbiennes.

    C’est un premier sujet de réflexion : lorsque je me suis engagé en politique, au RPR, il était convenu que sur les questions qui engagent les valeurs morales ou spirituelles propres à chacun, il fallait admettre une grande liberté. À l’Assemblée, il était logiquement plus grave de voter différemment de son groupe sur le budget que d’avoir une opinion différente sur le PACS, la peine capitale ou l’avortement. Dans le premier cas, cela consistait à passer de la majorité à l’opposition, ou l’inverse, et donc de trahir. Dans le second, chacun estimait que la liberté de conscience devait prévaloir. Le fait qu’aujourd’hui, et j’en ai fait moi-même l’expérience, règne un totalitarisme de la pensée unique sur les sujets dits « sociétaux » est une régression liberticide dont on ne mesure pas les conséquences lorsqu’on prétend encore parler de démocratie.

    Mme Thill a vécu cette douloureuse expérience avec courage. Elle avait soutenu la réforme du droit du travail, mais sa résistance à l’idée de « fabriquer » des enfants sans père, qui est un cri du cœur, a été écrasée sans pitié. Cette directrice d’école, issue d’un milieu ouvrier, a été socialiste, favorable dans un premier temps aux prétendus « progrès sociétaux ». Brusquement, les écailles lui sont tombées des yeux devant la loi bioéthique et son « innovation » sur la PMA. Elle en est à souhaiter la victoire de la droite, en espérant qu’il n’y en ait qu’une à la prochaine présidentielle, sans doute dans son esprit, une droite conservatrice qui arrêterait le processus délétère dont elle a enfin pris conscience. Il faut l’entendre dire à un public « catho » et de droite : « Ne lâchez rien ! »

    Ainsi, Mme Thill est devenue conservatrice par bon sens. Mais son parcours amène deux autres réflexions. D’abord, il montre à quel point la fraîcheur d’esprit qui la caractérise peut être manipulée sans vergogne par les « progressistes ». Mais, désormais, la résistance intellectuelle est chez elle, si on peut dire, « en marche » ! « Les mots servent à nous contraindre à prendre les choses comme elles ne sont pas », dit-elle. L’idée absurde de la « théorie du genre » qui veut faire du sexe une création sociale est dénoncée par son créateur même.

    Il y a bien, derrière LREM, une idéologie « progressiste » qui est à la fois totalitaire et destructrice du corps social. L’ancienne militante socialiste se rend compte que le progressisme, c’est l’individualisme roi et mondialisé, que l’on va fabriquer des enfants sans père, venus de nulle part, sans passé, sans généalogie, des atomes dans l’espace, des instants toujours au présent, des personnes sans identité charnelle.

    En second lieu, cette conversion tardive devant cet auditoire de vétérans de la lutte contre le mariage unisexe révèle la faiblesse de la stratégie conservatrice dans notre pays. Le conservatisme est un bloc qui doit garder sa cohérence. L’idée que la famille fondée sur le mariage entre un homme et une femme afin de mettre des enfants au monde et de les élever n’est pas une préférence mais une nécessité pour préserver la continuité et la solidité du corps social, c’est-à-dire de la nation, famille et nation étant les deux sources de la solidarité entre les individus. L’absence de reconnaissance juridique du lien entre deux personnes de même sexe est fondée sur l’intérêt social et le long terme. C’était, évidemment, sur cette ligne qu’il fallait se battre, et on est aujourd’hui acculé à vouloir que les enfants aient un père.

    Le progressisme est fondé sur l’extension permanente des « libertés » individuelles, dont Mme Thill s’est aperçue qu’elles confinaient au caprice et qu’elles entraînaient des conséquences odieuses, comme l’achat d’enfants, ce retour à une pratique quasi esclavagiste. La liberté conservatrice n’est pas le caprice d’un individu mais le choix responsable d’une personne qui jouit d’autant mieux de ses libertés qu’il vit dans une société solide et qui le protège. Agnès Thill nous faisait la confidence d’un échange avec son père qui estimait avoir connu une époque où l’on était plus libre. Et il avait, hélas, raison.

    Christian Vanneste

    https://www.bvoltaire.fr/agnes-thill-la-conversion-tardive-dune-resistante-en-marche/

  • Carlos Ghosn : quand TVLibertés avait raison avant les autres – Journal du mardi 19 novembre 2019

     

    Carlos Ghosn : quand TVLibertés avait raison avant les autres

    Depuis un an, TVLibertés expliquait que l’ancien dirigeant de Renault-Nissan, Carlos Ghosn, avait fait les frais d’un complot pour l’évincer de ses responsabilités. Une théorie confirmée désormais par la plupart des commentateurs et… la suite des événements.

    Pont effondré : accident ou négligence des pouvoirs publics?

    Après l’effondrement d’un pont routier, lundi, à Mirepoix-sur-Tarn près de Toulouse, l’état des infrastructures françaises inquiète. Près de 25 000 ponts seraient en mauvais structurel et les investissements pour y remédier sont aux abonnés absents.

    La SNCF au bord du déraillement ?

    Lundi, la Cour des Comptes a dévoilé un rapport salé sur la mauvaise gestion de la SNCF. Masse salariale exorbitante et productivité en baisse, les conclusions sont sans appel et pourraient bien crisper un peu plus un secteur déjà chauffé à blanc.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/carlos-ghosn-quand-tvlibertes-avait-raison-avant-les-autres-journal-du-mardi-19-novembre-2019

  • Un marchand d'illusion mondialiste

    6a00d8341c715453ef0240a4ec90d1200b-320wi.jpgSans s'en rendre toujours compte, sans le faire exprès, et à force de virevolter, il arrive que le président Macron s'approche de la vérité. Sa récente déclaration sur la règle des 3 % vaut, par exemple, et paradoxalement, le détour.

    Dans l'entretien qu'il a accordé à The Economist il commençait en effet par la considération suivante :"Nous avons besoin de plus d’expansionnisme, de plus d’investissement" ; et le point central de son affirmation, celui que retiennent les commentateurs agréés : "Je pense que c’est pour ça que le débat autour du 3 % dans les budgets nationaux, et du 1 % du budget européen, est un débat d’un autre siècle".

    Immédiatement le "débat", périmé à l'entendre au pied de la lettre, est devenu "règle" surannée dans l'esprit de ses interlocuteurs.

    Notre inspecteur des finances préféré, promu en 2017 à la tête de l'État laisse donc comprendre, en fait qu'il entend abroger, pour le jugement de sa gestion, le maximum de déficit des budgets nationaux fixé par les accords européens en pourcentage du produit intérieur brut.

    Son argument en lui-même relève de l'Absurdie : on aimerait entendre le Maître des Horloges se prononcer sur la loi de Newton et sur les idées de Kepler qui remontent au XVIIe siècle. On pourrait considérer comme plus suspect encore d'obsolescence le principe d'Archimède (287-212), remontant quant à lui à quelque 2 300 ans.

    Ne lui contestons cependant pas cette évidence, cependant : il s'agit bel et bien d'un principe élaboré au cours d'un débat du XXe siècle.

    Peut-il pour autant imaginer de s’en affranchir ?

    Ce serait bien évidemment renier ses déclarations de 2017. Durant la campagne présidentielle, en effet le candidat Macron avait accordé aux Échos un entretien où il promettait très explicitement notamment "le respect de nos engagements européens en restant dans l’épure des 3 % de déficit". Une partie de la confiance que lui a manifestée, depuis, la finance internationale reposait là-dessus, autant que la transformation de l'ISF en impôt sur la seule fortune immobilière. Revenir sur cette déclaration c'est évidemment trahir cette confiance.

    Mais en déclarant en 2019 par ailleurs que "les Allemands sont les grands gagnants de la zone euro, y compris avec ses dysfonctionnements", et qu'il faut "que le système allemand intègre que cette situation n’est pas durable", il ne tourne pas seulement le dos à ses engagements et à son image de marque, il remet de façon précise en cause le principe même de l'union monétaire.

    Darmanin, faisant écho à la voix de son maître fait en effet mine de théoriser qu'en la matière "les règles ont été faites à un moment donné dans les années 90 à l’orée du traité de Maastricht et qu’il convient de se les poser. C’est un débat qui se fera au niveau européen".

    Or, l'adoption de l'euro supposait que les Européens adoptent les disciplines monétaires et budgétaires qui ont assuré la réussite du deutsche mark ou celle du florin néerlandais. Et si l'on veut connaître à nouveau le sort du franc français depuis 1918 et la ruine des épargnants, ce se fera sans nos voisins.

    L'illusion mondialiste dans ce domaine consiste à nous faire croire que "le débat se fera au niveau européen."

    Lors des discussions qui ont donné naissance au traité de Maastricht le ministre allemand des Finances, Théo Waigel préconisait pour règle un déficit prévisionnel maximal égal 1 % du produit intérieur brut. Il ne faisait en cela que continuer un ordre politique remontant, 40 ans plus tôt à la loi fondamentale allemande de 1949. L'article 110 de cette constitution dispose en effet que les recettes et les dépenses doivent s'équilibrer. L'article 115 précise que le produit des emprunts ne doit pas dépasser le montant des crédits d’investissements inscrits au budget et qu'il ne peut être dérogé à cette règle que pour lutter contre une perturbation de l'équilibre économique global, ce que, depuis 1970 l'Allemagne a fait en certaines circonstances. Cela, c'est pour le XXe siècle.

    Au XXIe siècle un paragraphe 3 de l'article 109 dispose désormais qu'à partir de 2016, le déficit structurel du budget fédéral ne doit pas dépasser 0,35 % du produit intérieur brut, soit beaucoup moins que les 3 % de déficit public maximal convenu par le pacte de stabilité de 1997.

    Les constituants français de 1958 voulaient eux aussi, à leur manière, effacer le désastre monétaire de la IVe république. Ils ont ainsi de leur côté introduit l'article 40, qui tente d'interdire à un député de proposer aucune loi créatrice de déficit.

    Les années Pinay, la création du nouveau franc, etc. ne sont pas étrangères au redressement du pays avant le déferlement des désordres et les concessions gouvernementales de 1968. Depuis lors, d'une part la pratique parlementaire a imaginé une contorsion constitutionnelle [1] ; d'autre part, la pratique gouvernementale a fait que les déficits ne sont plus provoqués par la démagogie des élus, mais par les projets de lois de finances, rédigés par l'administration elle-même.

    On pourrait certes citer d'autres pays qui ont adopté les principes d'ordre monétaire et qui les ont appliqués au bénéfice de leur prospérité.

    Ce "débat"est donc fort ancien c'est vrai. Aussi ancien que la loi de la chute des corps.

    JG Malliarakis  

    Mercredi 27 novembre Conférence de JG Malliarakis sur la Naissance de l'Illusion mondialiste à l'occasion de la réédition du livre d'Emmanuel Beau de Loménie "La Ratification du Traité de Versailles"
    de 18 h à 20 h au Café du Pont Neuf 14, quai du Louvre M° : Louvre, Pont Neuf ou Châtelet

    Une publicité de bon goût pour les livres du Trident

    6a00d8341c715453ef0240a4b54a99200d-120wi.jpgFrançois-René de Chateaubriand : "Le Moment Conservateur".

    Au gré de ces textes, choisis et présentés par JG Malliarakis, on découvre en Chateaubriand, au-delà de son génie littéraire inégalé, un penseur politique méconnu. Dans un contexte de reconstruction du pays, 15 ans avant que les Anglais s'emparent du mot conservateur, 20 ans avant La Démocratie en Amérique de Tocqueville, il définissait les bases d'un régime représentatif durable dans le cadre de la monarchie parlementaire.
    ••• Un livre de 104 pages au prix de 15 euros.
    • à commander sur la page catalogue des Éditions du Trident
    • ou par chèque en téléchargeant un bon de commande

    Apostilles.

    [1]Celle-ci consiste à faire semblant d'équilibrer le coût des propositions par une augmentation "à due concurrence" de la taxation des tabacs et allumettes.

    https://www.insolent.fr/2019/11/un-marchand-dillusion-mondialiste.html

  • Grand Entretien de Pierre Yves Rougeyron partie 3 : Brexit, UE, conflits, Turquie, Trump

  • Les retraités fantômes étrangers coûteraient 1 milliard d’euros aux caisses françaises

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    Les faux retraités étrangers coûteraient 1 milliard d’euros aux caisses françaises.
    C’est le chiffre avancé par le magazine économique Capital, dans son dernier numéro.
    Sur 6,5 milliards de retraites versées à l’étranger en 2015, notamment à d’anciens travailleurs immigrés retournés au pays, il y aurait 15 % de fraude. 
    Ce milliard d’euros représenterait 83 euros par mois en plus pour un millions de petites retraites.
    En cause, des retraités qui s’obstinent à ne pas mourir…une immortalité suspecte : les familles enverraient aux caisses françaises des faux certificats de vie tamponnés par l’administration locale corrompue et continueraient à toucher une rente après la mort de l’ayant-droit.
    L’Algérie serait la première concernée.
    Au Sénégal et au Mali, ce serait plutôt par le biais des pensions de reversion que l’arnaque fonctionnerait.
    Car à l’heure de Mee-Too, la France reconnait la polygamie des retraités africains.
    Et dans ce mic-mac, de vraies-fausses pensions de reversion peuvent être versées, sur un temps très long à de très jeunes veuves.
    Un système de protection sociale incompatible avec la mondialisation
    La mondialisation du marché du travail est une cause de ce genre de fraude, puisqu’il est difficile d’enquêter dans des coins perdus à l’autre bout du monde.
    Mais même légalement le système migratoire mine le principe de la retraite par répartition.
    Cette dernière repose en effet sur une économie circulaire, les rentes des retraités étant réinjectées dans l’économie nationale et produisant ainsi des cotisations pour les caisses de retraite.
    Avec la délocalisation des retraités vers d’autres pays moins taxés, les rentes sont versées à fonds perdus…

     

    Ces 6.5 milliards représentent tout de même 2.2 % des dépenses de retraite, et à l’heure où les réformes vont réduire les retraites futures des Français, ils constituent une perte nette non négligeable pour un système de solidarité qui fuit de toute part.
    Telle est l’impression que donne la lecture du dernier Capitalconsacré au pillage organisé de la solidarité nationale.
    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine 
  • Immigration illégale en Europe, par Jean Rouxel

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    Une récente étude du think tank américain Pew Research Center évalue la population d’immigrés clandestins en Europe un peu au-dessous de 1% de la population globale en 2017: entre 3,9 et 4,8 millions d’immigrés clandestins sur 500 millions d’habitants dans les 32 pays d’Europe étudiés.

    Ce chiffre est déjà, à lui seul, extravagant. J’ai beau être conscient de la gravité du problème, j’ai été ébahi de lire une telle estimation – surtout sous l’autorité d’un organisme qui ne passe pas vraiment pour être d’«extrême droite»!

    Plus grave encore, le Pew Research Center explique que 70% des immigrés clandestins sont répartis parmi 4 principaux pays: l’Allemagne, le Royaume-Uni, la France et l’Italie.

    La France, loin de s’opposer à l’immigration illégale, refuse en effet de garder ses frontières, de condamner sévèrement les trafiquants de chair humaine qui font passer des dizaines de milliers de clandestins chaque année, et réserve même des prestations sociales (notamment la fameuse Aide médicale d’État) aux personnes n’ayant aucun droit d’être sur notre territoire.

    Il aurait donc été surprenant que les clandestins ne soient pas nombreux chez nous.

    Pourtant, il est très vraisemblable que les chiffres du Pew Research Center soient nettement minimisés.

    D’abord, un rapide calcul montre une différence de 5% environ entre les chiffres de clandestins indiqués pour chacun des 4 pays les plus « accueillants» et 70% de l’ensemble: si l’on additionne les populations de clandestins entre Angleterre, Allemagne, France et Italie, nous serions entre 2,6 et 3,5 millions, alors que 70% de la population globale donne un intervalle de 2,73 à 3,36 millions.

    Surtout, pour la France, l’étude indique 300000 à 400000 clandestins en 2017, dont 38000 demandeurs d’asile en attente de décision. Ces 38000 ne devraient, par définition, pas être (enco­re) des clandestins. Pourquoi d’ailleurs ne pas comptabiliser tous les plus de 100000 demandeurs d’asile enregistrés en 2017? Il est donc probable que ces 38 000 «demandeurs d’asile» soient en réalité des déboutés du droit d’asile devenus clandestins.

    J’ajoute qu’il y a si longtemps que l’on estime à 300 000 le nombre de clandestins, sachant qu’au moins 100000 entrent chaque année en France, qu’il me semble peu vraisemblable que nous soyons encore à ce chiffre.

    La fourchette basse consiste à prendre la proportion de clandestins en Europe (0,87%) et à l’appliquer à la population française. Soit au minimum 565 000 clandestins. Et, sans doute deux fois plus puisque la France est l’une des destinations préférées des clandestins!

    Jean Rouxel

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/216067/immigration-illegale-en-europe-par-jean-rouxel/