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  • «Folie complète» : l’UE veut dépenser 100 milliards d’euros pour une économie «climatiquement neutre»

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    La Commission européenne annonce via Twitter qu’elle «mobilisera» 100 milliards d’euros pour «changer» l’économie de l’Union dans ce qu’on appelle #EUGreenDeal. «Une folie pure» selon beaucoup.

    La Commission européenne écrit qu’elle pense que leur «accord vert» entraînera jusqu’à 1 billion d’euros d’investissements.

    Mais leurs espoirs se sont rapidement heurtés à des oppositions. Entre autres, le membre de l’UKIP, Chris French, souligne que les chefs d’entreprise ne sont pas disposés à investir en Europe car leurs «lois sur l’énergie» sont les plus chères au monde.

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  • Macron, ou l’art de la fracture

     
    Le mouvement social, qui a débuté le 5 décembre de l’année dernière, n’en finit pas et a même dépassé les 42 jours : un record absolu dans notre histoire.
    Parce qu’à l’évidence, la suppression (provisoire) de l’âge pivot, dans l’instauration du régime de retraite universel par points, a divisé le front syndical, ceci provoquant des tensions entre la CFDT et l’UNSA, d’un côté, puis la CGT et SUD Rail de l’autre.
    Quant au personnel hospitalier et aux avocats, sans oublier les enseignants dans une moindre mesure, les négociations avec les cabinets ministériels respectifs n’avancent franchement pas.
    Comme si toutes ces contestations avaient été savamment calculées par le Président Macron.
    Comme si le grand remplacement des salariés avait été magnifiquement orchestré : les contrats à durée déterminée et autres vacations ayant été intronisés progressivement, depuis des décennies, pour mettre fin aux contrats à durée indéterminée et aux différents régimes spéciaux.

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  • BON, LE GOUVERNEMENT A DÉCIDÉ DE TRUQUER LES PROCHAINES ÉLECTIONS...

  • Michel Onfray sur la réforme des retraites: «C’est une décision de Bruxelles. Il s’agit juste de faire payer les plus modestes comme d’habitude» (Vidéo)

    Entretien du 16/1/2020 avec Michel Onfray, philosophe, essayiste, auteur de «Grandeur du petit peuple» (Albin Michel). Il analyse le mouvement de grève, en rejetant la thèse selon laquelle les grévistes feraient preuve d’incompréhension face à cette réforme. Il dresse aussi un tableau sociologique des manifestants, et revient plus généralement sur la crise sociale et ses expressions depuis le mouvement des Gilets jaunes (RT News).

    https://www.tvlibertes.com/actus/michel-onfray-sur-la-reforme-des-retraites-cest-une-decision-de-bruxelles-il-sagit-juste-de-faire-payer-les-plus-modestes-comme-dhabitude-video

  • De Renan à Maurras

    Article paru en 2008 dans L'Action Française 2000, dans la rubrique "Grands textes politiques", sous le titre "Qu'est-ce qu'une nation ?". Cette rubrique, qui a pris la suite de celle consacrée au "Trésor de l'Action française", propose dans chaque numéro le commentaire d'un texte tiré d'un classique de la science politique. Le commentaire est toujours précédé du texte en question.
    « Une nation est une âme, un principe spirituel. Deux choses qui, à vrai dire, n'en font qu'une, constituent cette âme, ce principe spirituel. L'une est dans le passé, l'autre dans le présent. L'une est la possession en commun d'un riche legs de souvenirs ; l'autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l'héritage qu'on a reçu indivis. L'homme, Messieurs, ne s'improvise pas. La nation, comme l'individu, est l'aboutissant d'un long passé d'efforts, de sacrifices et de dévouements. Le culte des ancêtres est de tous le plus légitime ; les ancêtres nous ont faits ce que nous sommes. Un passé héroïque, des grands hommes, de la gloire (j'entends de la véritable), voilà le capital social sur lequel on assied une idée nationale. Avoir des gloires communes dans le passé, une volonté commune dans le présent ; avoir fait de grandes choses ensemble, vouloir en faire encore, voilà les conditions essentielles pour être un peuple. On aime en proportion des sacrifices qu'on a consentis, des maux qu'on a soufferts. On aime la maison qu'on a bâtie et qu'on transmet. Le chant spartiate : «Nous sommes ce que vous fûtes ; nous serons ce que vous êtes» est dans sa simplicité l'hymne abrégé de toute patrie.

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  • Pour réussir une grande politique, il faut avoir une vision à long terme...

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    L'avis de Jean-François Touzé

    Après bientôt 20 ans passés sans interruption à la tête de la Russie —soit en tant que Président, soit comme Premier ministre en charge effective des responsabilités — Vladimir Poutine vient d'ouvrir un vaste chantier constitutionnel destiné à renforcer la la fois les pouvoirs de l'exécutif et ceux de la Douma. Mais l'objectif réel de cette réforme est bien plus ambitieux. Il est clair. Il est légitime. Il est vital pour la Russie et sans doute pour l'Europe : créer les conditions du maintien de Poutine au pouvoir au delà de la fin de son mandat que l'actuelle constitution ne permet pas de renouveller.

    Vladimir Poutine est un homme d'Etat. Il sait que les grandes choses ne se font que dans la durée. Un temps long que le totalitarisme démocratique occidental ne peut appréhender.
    Pour leur salut, la France, l'Europe et la civilisation ont besoin, elles aussi, de disposer de cette maîtrise dans la stabilité que seuls les pouvoirs forts sont en capacité d'assurer.
    En France, la monarchie de droit divin a permis cette vision haute et pérenne de l'État. D'une certaine façons, la troisième République, au delà des crises politiques inhérentes à la démocratie, a su installer dans la durée un régime certes altéré et corrompu par la philosophie qui y présidait, mais encore imprégné d'une volonté nationale et patriote marquée par la grande aventure coloniale, le développement de l'Empire et l'élan bleu blanc rouge de 14/18 hélas tourné vers une guerre fratricide. En Italie, en Allemagne, en Espagne, des régimes d'autorité ont voulu inscrire leur action dans une perspective millénaire.
    La Cinquième République, mystification absolue de l'organisation de la chose publique, par le caractère bancal et illusoire de ses institutions, par ses alternances et ses ruptures, n'a dans les faits su, quant à elle, que conforter l'instabilité de la République qui l'avait précédée. En pire !
    Il existe pourtant un temps long que le Système a institué : celui de la dictature de la finance, de la spéculation, des lobbies, des droits de l'homme, du mondialisme et de l'immigrationnisme. Un Reich prévu pour durer mille ans.
    Nous devons nous aussi nous engager dans une perspective longue d'action en profondeur par l'instauration de modes de gouvernement d'autorité durable dégagés des aléas d'alternances hasardeuses. 
    Notre combat politique n'est pas un combat politicien. Il est un engagement de long terme destiné à substituer un Système à un autre, un régime à un autre, un édifice à un autre 
    Pleinement... Et durablement.
  • Municipales : Jean-Marie Le Pen lance un appel solennel pour l’unité des forces nationales et de droite

    Municipales : Jean-Marie Le Pen lance un appel solennel pour l’unité des forces nationales et de droite

    Jean-Marie Le Pen s’est exprimé dans son journal de bord hebdomadaire :

    Je voudrais lancer un appel le plus solennel possible aux forces nationales, aux forces de droite qui sont souvent éparpillées dans des groupements ou des groupuscules différents, de pratiquer la politique de non agression. On ne doit pas présenter une liste nationale contre une autre liste nationale.

    Il faut se parler, c’est le moment où jamais. Car ce qui les sépare ce sont souvent que des nuances ou des ambitions. Mais cela doit être banni avec une grande fermeté. Il faut absolument faire l’unité des nationaux, l’unité de liste

    https://www.lesalonbeige.fr/municipales-jean-marie-le-pen-lance-un-appel-solennel-pour-lunite-des-forces-nationales-et-aux-forces-de-droite/

  • « Marine Le Pen est-elle la candidate idéale pour briser “le plafond de verre” au deuxième tour en 2022 ? » Un entretien avec Guillaume Bernard

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    Source Boulevard Voltairecliquez ici

    Durant ses traditionnels vœux à la presse, Marine Le Pen a annoncé qu’elle serait bel et bien candidate à la présidentielle en 2022. Pourquoi ici et maintenant ?

    Je crains que pour Marine Le Pen ce soit une preuve de fébrilité et de faiblesse et non pas d’affirmation de sa puissance.

    Le fait de présenter sa candidature très longtemps à l’avance, avant les municipales, les cantonales, et les régionales, c’est d’une certaine manière vouloir s’imposer comme candidate quoiqu’il arrive. C’est aussi vouloir éliminer les candidatures possibles qui pourraient essayer de rassembler, y compris le Rassemblement national. Par conséquent, c’est un aveu de faiblesse que de vouloir s’imposer comme candidate et non pas être la candidate naturelle d’un rassemblement politique.

    Cette déclaration intervient juste avant les municipales et quelque temps avant l’événement qu’organise Patrick Buisson. Est-ce une façon de rassembler son camp avant les municipales autour d’elle ? Est-ce un moyen détourné de répondre à Patrick Buisson ?

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  • Bistro Libertés avec Philippe David : La République sans partis

    Pour ce premier numéro de l’année 2020, Martial Bild et les sociétaires reçoivent Philippe David, journaliste à Sud Radio. Au programme des débats :

    Faut-il brûler Matzneff en place publique ?

    L’affaire Matzneff secoue le monde intellectuel français qui, pendant des décennies, a considéré qu’il fallait prudemment dissocier littérature et morale.
    Mais le scandale emporte tout sur son passage. Dès lors, faut-il brûler Matzneff en place publique ? Ou plus encore, ouvrir le « procès de Nuremberg » de la pédophilie ?

    2020 : La République sans partis

    Les partis sont inexistants dans le débat sur la réforme des retraites tant dans la rue que dans les assemblées…
    Ils sont incapables d’intéresser les Français aux enjeux des Municipales…
    Les partis politiques se rabougrissent, se fissurent, explosent puis disparaissent.
    De Gaulle combattait les partis qui ne « pouvaient pas gouverner le pays ». 60 ans plus tard, les faits lui donnent-ils raison ?

    https://www.tvlibertes.com/bistro-libertes-avec-philippe-david-la-republique-sans-partis

  • Bilan d'actualité 2019 et perspectives pour 2020 (avec André Gandillon)