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  • Zemmour : « Il faut inverser la politique d’immigration. Il faut que les banlieues redeviennent françaises. Les policiers y sont vus comme une puissance étrangère » (MàJ)

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  • Les personnes âgées privées de soin : l’épidémie a explosé dans ces tranches d’âges

    Les personnes âgées privées de soin : l’épidémie a explosé dans ces tranches d’âges

    Le Canard enchaîné publie les chiffres de ce que l’on craignait, à savoir l’abandon des personnes âgées, suite à une circulaire du ministère de la santé. Ce qui explique la hausse de mortalité dans cette catégorie de la population.

  • Quel scénario de sortie de crise économique

    Les Français au creux de la vague ! Comme l’a dit le premier ministre dimanche, « la crise ne fait que commencer ». En réalité elle n’a même pas encore commencé et durera des années. Il faudra donc trouver un chemin pour la reprise économique. Mais le scénario proposé par le gouvernement d’un déconfinement progressif laisse penser que tout ira lentement.

  • Une vie de combat pour la France et les Français

    2111549677.jpgGeorges Feltin-Tracol

    Jean-Marie Le Pen, président d’honneur du Front national, a sorti à l’automne 2019 le second tome de ses mémoires. Après la surprise de Fils de la Nation dans lequel on découvrait l’homme Le Pen, ce nouveau volume, intitulé Tribun du peuple, relate sa vie politique, d’où la relative déception de tous ceux qui ont participé de près ou de loin à l’aventure frontiste. L’ouvrage commence à la fondation du Front national (FN) et va jusqu’à nos jours.

    Tout au long du récit, Jean-Marie Le Pen s’en prend avec une virulence rare et légitime à ce qu’il désigne comme l’« Établissement » ou le « Système ». « J’appelle système, par définition, la mécanique qui régente la vie politique française par l’alternance de partis complices. Qu’importe le nom qu’on lui donne, bande des quatre ou UMPS, l’important est qu’il ne se cantonne pas à la stricte politique : il déborde sur les médias, la publicité, etc. C’est une machine qui s’empare de la société tout entière pour la diriger à sa convenance (p. 311). » C’est une pieuvre dont les tentacules investissent le journalisme, les universités et l’histoire. C’est un bonheur de voir l’auteur s’attaquer en page 113 à ces chercheurs et plumitifs militants (les Igounet, Albertini, Doucet et Lebourg) qui ne cessent de traquer leurs fantasmes et qui sans l’existence de l’« extrême-droite » seraient contraints d’écrire dans la rubrique des chiens écrasés ou d’enseigner dans un collège paumé dans une banlieue de l’immigration. Jean-Marie Le Pen les fait vivre.

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  • De l’urgence d’arrêter l’immigration après la période de confinement

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    Depuis que le coronavirus s’est propagé dans le monde, de nombreux gouvernements ont pris des mesures de restriction des déplacements. En France, elles ont été trop tardives et n’ont pas empêché une progression rapide de l’épidémie. On aurait pu s’attendre à ce que ces restrictions amènent à une remise en cause du dogme de l’ouverture des frontières et de l’immigration de masse. De nombreux exemples nous montrent qu’il n’en est pour l’heure rien. En dépit de déclarations de façade, nos dirigeants ne veulent rien lâcher de leur idéologie sans frontières. Pourtant, à l’issue de cette période de réclusion, il y aura urgence à inverser les flux migratoires.
    Découvrez cette tribune de Paul Tormenen.

    La condamnation de pays d’Europe de l’Est

    Hasard du calendrier, en pleine période de propagation du coronavirus, trois pays d’Europe de l’Est, la Hongrie, la Pologne et la République tchèque, ont été condamnés le 2 avril par la Cour de justice de l’Union européenne pour n’avoir pas pleinement pris leur part à la répartition de migrants extra-européens décidée par le Conseil de l’Union européenne le 22 septembre 2015, en pleine « crise des migrants » (1).

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  • La minimisation par omission et la maximisation par la sur-médiatisation sont des formes de fake-news

    La minimisation par omission et la maximisation par la sur-médiatisation sont des formes de fake-news

    Pendant que l’on nous abreuve de chiffres et de données variées sur le coronavirus et que certains se scandalisent d’une messe à Saint-Nicolas du Chardonnet, les médias français oublient bien pudiquement ces faits graves rapportés par les médias étrangers

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  • Le monde d’après : en pire ?

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    En charge du Quai d’Orsay,  n’est certes pas le plus mauvais ministre du troupeau gouvernemental. Ce n’est pas Hubert Védrine ; mais pas Bernard Kouchner non plus. Dans un entretien accordé au Monde du lundi 20 avril, il dessine ce que pourraient être les contours du monde de demain. Avec ce qu’il faut d’angélisme et de langue de bois, mais non sans quelque bon sens et cette interrogation : « Ma crainte, c’est que le monde d’après ressemble au monde d’avant, mais en pire. »

    Ainsi : « Il me semble que nous assistions à une amplification des fractures qui minent l’ordre international depuis des années. » Fort bien, mais cet « ordre international » n’ayant « d’ordre » que le nom n’est-il pas, de fait, « fracturé » depuis la chute de l’URSS, en 1991 ? Année à l’occasion de laquelle les USA ont cru pouvoir incarner un leadership mondial, à la faveur de cette « fin de l’Histoire » annoncée par l’essayiste américain Francis Fukuyama.

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  • Nouvelle nuit de tensions en banlieue parisienne. Une école endommagée par un incendie

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    De nouvelles tensions ont été observées dans la nuit de mardi à mercredi en banlieue paris, pour la quatrième nuit consécutive. Une école a notamment été endommagée par un incendie à Gennevilliers. L’accident d’un motard samedi soir à Villeneuve-la-Garenne, impliquant un véhicule de police, a provoqué de nouvelles violences ces dernières nuits. Des incidents ont éclaté dans plusieurs quartiers des Hauts-de-Seine. Cependant, pour cette quatrième nuit de tensions, les incidents ont été globalement de plus faible intensité par rapport aux nuits précédentes, a assuré la préfecture.

    Les faits les plus graves ont eu lieu à Gennevilliers, où l’école primaire Paul-Langevin a été touchée par un départ de feu rapidement maîtrisé. « Le bureau de la directrice a été détruit et deux salles ont été endommagées », a indiqué la préfecture des Hauts-de-Seine. L’incendie, dont les circonstances restent encore floues, a eu lieu « en dehors de la zone des violences urbaines », a-t-elle précisé.

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  • Rokhaya Diallo : « Le coronavirus révèle un autre virus : le privilège blanc »

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    Pendant la crise, le business victimaire de Rokhaya Diallo reste ouvert ! Rokhaya Diallo a encore frappé. Dans une tribune destinée à TRT World, média d’État turc pro-Erdogan, elle déclare solennellement : « Le coronavirus révèle un autre virus : le privilège blanc. »

    Avant d’aller plus loin et d’analyser ce qui fonde cette déclaration tonitruante, rappelons quelques hauts faits antiracistes de Dame Diallo.

    Racistes un jour, racistes toujours

    Personnalité médiatique proche du Parti des Indigènes de la République d’Houria Bouteldja, Rokhaya Diallo lutte contre le racisme. De quelle manière ? En justifiant les réunions ou festivals non mixtes, c’est-à-dire sans Blancs : « Les réunions afroféministes non mixtes n’ont en aucun cas vocation à proposer un projet de société ségrégationniste définitif puisqu’elles s’inscrivent dans la temporalité d’un événement ponctuel. Elles offrent à leurs participantes une échappatoire, une zone de respiration dans une société oppressive », écrit-elle sur le site Slate.fr le 2 juin 2017. Bon. Et lorsque certains lui font remarquer que sa conception de l’antiracisme ressemble furieusement à celle du racisme, Madame Diallo retourne l’argument en citant une spécialiste de la mouvance décoloniale et anti-raciste à la mode des indigénistes, Françoise Vergès : « Ce n’est pas la non-mixité qui dérange, c’est qu’elle soit pratiquée par des femmes noires. » Racistes un jour, racistes toujours, tels sont les Blancs de ce pays qui pratique un « racisme d’État », selon elle.

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