Partout sur le territoire, la tension grimpe dans les quartiers dits sensibles. Après 5 semaines de confinement, des épisodes de violence urbaine sont relevés chaque jour dans les banlieues françaises. Alors que les forces de police ont reçu l’ordre d’agir avec discernement dans ces quartiers à forte densité d’immigrés pour maintenir un semblant de paix sociale, les petits délinquants s’en donnent à coeur joie. Conscients du laxisme des autorités publiques à leur égard, ces individus n’ont qu’un seul objectif : prouver qu’ils sont maîtres de leur territoire. Ainsi, ils n’hésitent pas à multiplier les provocations face aux forces de police et les prendre à partie lors de guet-apens soigneusement organisés. En effet, les attaques sont préparées de façon méthodique avec, à chaque fois, des incendies de mobilier urbain ou de véhicules pour faire venir policiers et pompiers. S’ensuivent jets de projectiles et autres tirs de mortiers.
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Les Templiers, lieux mythiques et légendes
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Du discrédit de la parole publique
Alors que l'Allemagne entreprend aujourd'hui, méthodiquement et franchement, son déconfinement, les représentants du meilleur système du monde, celui de l'Hexagone, s'exprimaient hier sur les ondes du service public. La longueur de leur communication n'a d'égal que le nombre de questions sans véritables réponses.
Humainement, on peut les plaindre de leur douleur, visible en ce moment, dans leur rôle de ministres, c'est-à-dire serviteurs, d'un État aussi lourd, aussi centralisé, aussi coûteux et en même temps aussi impuissant, hésitant et cafouilleux.
Mais, autant nous souffrons tous de cet étatisme, autant nos bons esprits faiseurs d'opinion suggèrent d'en guérir les maux par un surcroît d'étatisme.
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De leur «inutilité» à une possible obligation… la volte-face de l’exécutif sur les masques
En l’espace d’un mois, l’exécutif a donné des consignes contradictoires au sujet du port du masque. De quoi mettre à mal sa capacité à gérer l’épidémie.
C’est un virage à 180 degrés dont les effets risquent de se faire sentir bien après la crise. Depuis l’arrivée du coronavirus en France, l’exécutif a radicalement changé de discours sur la question des masques. De leur inefficacité, martelée au début, le gouvernement envisage désormais le port obligatoire «dans certaines situations», dont les transports en commun. Ces propos contradictoires en quelques semaines ont semé l’indignation. Beaucoup y ont vu une stratégie de l’exécutif pour camoufler une pénurie non anticipée. Début avril, selon un sondage Odoxa, trois Français sur quatre (76%) pensaient même que le gouvernement leur avait «caché la vérité». Au sommet de l’État, on se défend en rappelant que chaque prise de position a été fondée sur des avis scientifiques. Le Figaro revient sur cette volte-face.
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Contre-courant
Universitaire atypique, Xavier Martin n'en a pas moins un parcours exemplaire qui a renouvelé notre vision du XVIIIe siècle, de Voltaire au Code Civil. Portrait d'un professeur émérite à l'occasion de la parution d'un opuscule qui retrace une vie de chercheur faite de curiosité et d'étonnements.
« Au commencement était le Code Civil. » telle se présente à peu près la Genèse à laquelle les pontifes du Droit ont sommé (ou somment encore) des générations d'étudiants de donner leur foi. Ce Code émancipateur, paré de tous les oripeaux du Progrès, sanctifié par une Révolution dont il devait être le fruit le plus appréciable, Xavier Martin se souvient d'avoir eu très tôt l'audace un peu inconsciente d'en interroger les fondements. La mise au jour d'une série de contradictions tenaces et d'occultations manifestes, particulièrement dans les fondements anthropologiques les plus valorisés et les moins discutés de l'édifice, détermina pour lui une autre genèse : celle d'une carrière de recherche et d'enseignement entièrement consacrée à l'homme du Code Civil, cette fois placé dans sa lumière véritable, non plus figure absolutisée du Droit mais produit d'un ensemble doctrinal et philosophique lui-même prenant naissance dans l’ « ambiance » (comme disait Léon Daudet) intellectuelle et morale où baignèrent les Lumières et l'Idéologie.
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Covid-19 : Alain Bauer recadre Apolline de Malherbe sur les mensonges du gouvernement
Sur BFMTV, Alain Bauer a recadré Apolline de Malherbe au sujet des nombreux mensonges du gouvernement dans la gestion de la crise sanitaire qui touche le pays.
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Les élites du Pays légal, par Germain Philippe (La technocrature, maladie sénile de la démocratie : 6/8).
Résumé : En 2017 la technocrature à pris le pouvoir pour sauver la démocratie disqualifiée par son élite politique. Ne pouvant se satisfaire de la dénonciation complotiste de l’ultragauche, ni du référentiel populiste, l’Action française analyse la technocrature comme un phénomène de physique sociale. Utilisant la loi historique « du développement d’oligarchies nouvelles », elle découvre que Bonaparte a crée une nouvelle classe de privilégiés, nommée suivant les époques : Oligarchie ou Nomenklatura ou Pays légal. Cette classe est soudée par l’enrichissement résultant de le maîtrise de l’appareil d’Etat.
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Notre grande enquête "Aller au-delà du mondialisme" (1ère contribution) : Une guerre sans responsable ?
Nous l'avons annoncé en fin de semaine dernière, Synthèse nationale lance une grande enquête sur l'après-mondialisme.
La crise que nous vivons montre en effet les limites de la globalisation planétaire, cette idéologie mortifère imposée depuis des décennies par le Système. Il est temps d'imaginer un autre avenir pour la planète ; un avenir salvateur dans lequel les mots "nations", "civilisations" et "identités" retrouveront leur sens...
Pour cela, nous donnons la parole aux esprits libres. Chacun, avec sa sensibilité, tentera d'ouvrir des pistes. Le premier intervenant est notre ami l'écrivain normand Franck Buleux, collaborateur au site Metainfos et directeur de la collection Les Cahiers d'Histoire du nationalisme.
S.N.
Une guerre sans responsable ?
Franck Buleux
La France, le monde vit, depuis le mois de février (le 16 mars, pour notre pays), dans l’angoisse de la progression d’une pandémie liée à un coronavirus (un virus qui a l’apparence d’une couronne, quel beau symbole !) que les spécialistes médicaux (donc les journalistes et les politiques, tous mus en spécialistes de la santé publique) nomment, très pompeusement, Covid-19. Ce nom scientifique prouve, en tout cas, qu’il a été découvert en 2019. Je ne sais pas si le fait de le caractériser ainsi entraîne l’existence potentielle d’un « 20 », voire d’un « 21 », ce qui permettrait aux pouvoirs publics de suspendre toute liberté, ou presque, un trimestre par an, ce qui n’est pas négligeable surtout si l’on se réfère à nos droits fondamentaux (inscrits dans la Constitution, les conventions internationales des droits de l’homme…). Cette époque aurait tendance à prouver qu’une caste médicale peut mettre à bas, avec le soutien des pouvoirs publics totalement débordés par une situation accidentelle, les règles les plus élevées, les piliers, de nos démocraties libérales. J’ose émettre un bémol uchronique en matière politique : si le candidat de l’extrême centre, Emmanuel Macron avait été battu en mai 2017 par sa concurrente, je ne suis pas persuadé que nous ayons compter autant de gens fragiles en France. Mais bon, pensant les gens fragiles dans la rue à défiler contre un régime totalitaire doit être une caractéristique, de ma part, d’un mauvais état d’esprit. Probablement.
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Le fonds de solidarité aux entreprises a reçu un million de demandes
L’État a directement versé les sommes dues aux entreprises, a indiqué Édouard Philippe.
Le dispositif connaît un franc succès : le fonds de solidarité de 7 milliards d’euros pour soutenir les entreprises pendant la crise sanitaire a reçu à ce stade plus d’un million de demandes, a déclaré dimanche Édouard Philippe lors d’une conférence de presse.
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Un autre ennemi invisible
On se souvient du singulier appel à la mobilisation du Président Macron au soir du 16 mars dernier :
« Nous sommes en guerre, en guerre sanitaire certes. Nous ne luttons ni contre une armée ni contre une autre nation, mais l’ennemi est là, invisible, insaisissable, et qui progresse. Et cela requiert notre mobilisation générale. »
En omettant d’évoquer toute transcendance face à cette pandémie nouvelle, avec la nécessité d’une autre mobilisation, spirituelle celle-là, le chef de l’Etat prenait malgré tout des accents et des images évoquant par analogie cette autre mobilisation. On pense à saint Paul :