La nouvelle émission du Média pour Tous est la vôtre : La parole au peuple. Pour ce premier épisode, nous ouvrons nos colonnes numériques à ceux qui, tous les jours, travaillent en pleine pandémie pour soigner les malades, assurer la sécurité dans les magasins, dans les rues, distribuer notre courrier... Face au Coronavirus, ils sont en première ligne et témoignent. N'hésitez pas à nous contacter pour témoigner vous aussi : contact@lemediapourtous.fr Vous êtes l'information.
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http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html -
Comment la France se prive de 150 000 à 300 000 tests par semaine
Depuis le 13 mars, le gouvernement dispose d’une solution pour augmenter considérablement les capacités de tests de la France. Mais rien n’a bougé.
Les biologistes médicaux sont des gens polis. Lorsque Le Point les a contactés il y a 10 jours, ils ont hésité à parler. « Nous sommes en contact avec le gouvernement, la situation va forcément se débloquer… » Et puis ? Et puis rien. Silence radio. Un silence « incompréhensible », pour plusieurs des directeurs de laboratoires départementaux que Le Point a entendus. Les Français les connaissent mal, mais ils sont un rouage essentiel de notre système de santé. Implantés sur tout le territoire, 75 laboratoires publics (et leurs 4 500 employés) dépendent des départements, et assument la lourde tâche d’effectuer les analyses de contrôle des eaux, d’hygiène alimentaire ou de santé animale. Contrairement aux laboratoires de santé humaine, qui ne traitent ordinairement qu’un faible nombre d’analyses, ils sont dimensionnés pour travailler « par troupeaux », à la chaîne : pendant les crises de la vache folle ou de la peste aviaire, ils ont réalisé des dizaines de milliers de tests… par jour ! Et justement : c’est cette spécificité qu’ils pensaient que le gouvernement prendrait en compte.
https://www.tvlibertes.com/actus/comment-la-france-se-prive-de-150-000-a-300-000-tests-par-semaine
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LE DÉCONFINEMENT Covid-19
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Jean-Frédéric Poisson : « L’Union européenne a prouvé qu’elle ne sert à rien en temps de crise, elle est inutile et nuisible »
Au micro de Boulevard Voltaire, Jean-Frédéric Poisson revient sur le rôle de l’Union européenne dans la gestion de la crise sanitaire du Covid-19. Il dénonce l’inaction flagrante de l’institution et le manque de solidarité à l’égard des pays les plus touchés.
Il suggère également de « tirer des enseignements » de manière individuelle et collective, à l’issue de cette crise sans précédent.
Alors que l’épidémie de Covid-19 continue de faire des ravages, cette crise sanitaire nous ferait-elle prendre conscience de la désindustrialisation de la France ?
Est-il encore possible de faire machine arrière ?Il est bien sûr temps de faire machine arrière. Premièrement, il n’est jamais trop tard pour bien faire. Deuxièmement, cette crise fait émerger de tels besoins industriels pour notre pays que les Français doivent être convaincus de la nécessité de restaurer notre appareil industriel.
Troisièmement, la dépendance à l’égard d’un certain nombre de pays étrangers doit nous faire réfléchir sur notre souveraineté industrielle. C’est le cas par exemple sur la question des masques à l’égard de la Chine. C’est aussi un des enjeux de cette crise. Là encore, je pense que les éléments sont réunis pour que les Français comprennent. -
3 avril 2010 : il y a 10 ans, Eugène Terre'Blanche était assassiné
Aujourd'hui, c'est le triste anniversaire de l'assassinat, le 3 avril 2010, de Eugène Terre'Blanche, leader du Mouvement de résistance afrikaner (Afrikaner Weerstandsbeweging - AWB).
Il combattait pour l'établissement d'un Volkstaat, (État du peuple) concept politique visant à la création d'un État souverain ou d'une province autonome, linguistiquement et culturellement blanche afrikaans. Plusieurs embryons de Volkstaat existent depuis le début des années 1990 avec Orania située dans le désert du Karoo dans la province du Cap-du-Nord ou Kleinfontein, située près de Pretoria dans la province du Gauteng (ancien Transvall), villes qui sont des havres de paix et de civilisation dans le monde de la violence barbare des extrémistes noirs en Afrique du Sud.
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Emmanuel Macron veut rebâtir une souveraineté française ? Chiche, relançons Fessenheim
En période de crise, rien ne vaut la Nation. Dans tous ses discours, et Dieu sait que, dans ce domaine, il n’y a pas pénurie, Emmanuel Macron a récemment jeté aux orties la fameuse république pour se concentrer sur la Nation.
C’est encore évident dans deux discours récents (encore plus de 4000 mots !) : son allocution à Mulhouse le 25 mars dans l’hôpital militaire de campagne et, plus belle encore, sa récente allocution dans l’usine de l’entreprise Kolmi-Hopen à Saint Barthélémy d’Anjou, produisant des masques chirurgicaux et FFP2, le 31 mars.
Le score est sans appel : République = 0 (hormis le traditionnel vive la République, vive la France de fin de discours), France = 18 et Nation = 17. Un renversement de paradigme.
D’autant plus renversant qu’il y a aussi le mot souveraineté, cité quatre fois dans le discours dans l’usine de masque. Cette souveraineté, vue par E.Macron, est double :
« Nous devons rebâtir notre souveraineté nationale et européenne ».
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La droite médiatiquement incorrecte
Non seulement les médias ne font plus l'opinion, mais ils s'en coupent de plus en plus. En cause, une grille de lecture idéologique, presque exclusivement orientée à gauche.
N'est-il pas curieux que les journalistes français s'intéressent à tout et à tous… sauf, à eux-mêmes ? Cette profession qui fait si souvent du star-système sa façon d'être, répugne tant à se regarder le nombril qu'il faut remonter jusqu'au mois d'avril 2001 pour trouver un sondage la concernant - il avait fait, lors de sa publication dans l'hebdomadaire Marianne, quelque bruit dans le Landerneau médiatique. Judicieusement intitulé « Le clan des clones », le dossier montrait en effet que nos journalistes sont loin d'être au-dessus de tout soupçon de parti-pris idéologique, et beaucoup plus sujets que la moyenne des citoyens au complexe du mouton. « Tout se passe comme si, de plus en plus, la réalité divorçait d'avec ses médiateurs », écrivait Thomas Vallières en introduisant le sujet. « Comme si l'on assistait à une dérive, mais en sens inverse, de deux continents, le continent médias et le continent opinion. » Cette distance, le journaliste de Marianne la chiffrait : « en cas de second tour d'élection présidentielle, constatait-il, 7 % seulement des journalistes (4 % au premier tour) choisiraient Jacques Chirac, contre 52 % des Français, soit un rapport de un à huit. » À la question de savoir pour quel candidat ils avaient le plus de chance de voter au premier tour, les confrères répondaient à 32 % Lionel Jospin à 13% Noël Mamère à 8 % Jean-Pierre Chevènement à 5 % Arlette Laguiller et autant pour Robert Hue; mais seulement à 4 % pour Jacques Chirac à 1 % pour Alain Madelin; autant pour François Bayrou et à 0 % pour Jean-Marie Le Pen. Au total, 6% seulement de la profession pensaient donc voter à droite. Un an plus tard, Lionel Jospin était éliminé dès le premier tour de l'élection présidentielle et l'on voyait au second Jean-Marie Le Pen affronter Jacques Chirac. « Comment en est-on arrivé là ? », se demandait gravement Thomas Vallières. « Car un autre constat s'impose : jamais sans doute, dans notre pays, les médias phares n'ont été aussi libres, et les journalistes, préoccupés de déontologie, aussi indépendants. » Patatras ! Où Thomas Vallières avait-il pris que les journalistes français fussent préoccupés de déontologie ? Le spectacle de l'entre-deux tours, en 2002, devait montrer le contraire. Et indépendants ? Sans craindre de se contredire le journaliste de Marianne les décrivait au contraire « Issus du même milieu, formés à la même école, fréquentant les mêmes espaces, porteurs des mêmes valeurs, imprégnés du même discours, façonnés par la même idéologie, structurés par les mêmes références, ayant connu la même évolution ou le même cursus », et finissant « par penser presque tous pareil ». Autrement dit à gauche, ou à l'extrême gauche. Son analyse est d'ailleurs partagée par Jean-Yves Le Gallou. Dans La Tyrannie médiatique(1), le directeur de la Fondation Polémia évoque lui aussi cette évolution en vase clos de nos médiacrates, « coupé de nombreuses réalités sociologiques mais dépendant financièrement de grandes entreprises mondialisées le conformisme politiquement correct s'impose alors avec d'autant plus de force que beaucoup de journalistes - économiquement et sociologiquement contraints de toute façon de s'y soumettre - choisissent finalement de le faire de manière militante par souci de réduire les dissonances cognitives : il est en effet plus confortable d'aligner ses croyances profondes sur celles qu'on est obligé de professer publiquement. » Il en résulte une grille de lecture médiatique commune, un « carré carcéral », analyse Jean-Yves Le Gallou, reposant sur quatre postulats : les bienfaits de la mondialisation; la culpabilisation de la France et de l'Europe continentale; la rupture avec les racines et les traditions; et enfin, la conviction « que la gauche est moralement meilleure que la droite; elle a donc moins à se justifier car elle risque moins d'être mise en accusation. » Étonnez-vous, après cela, de la popularité de Besancenot au sein des rédactions.
1) La Tyrannie médiatique, Fondation Polémia, téléchargeable sur : www.polemia.com/pdf/LaTyranniemediatique.pdf
Le Choc du Mois octobre 2009
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Crise sanitaire – La sidération, antichambre du flicage
Restez chez vous, demeurez confinés, écoutez religieusement Jérôme Salomon – qui, conseiller de Macron au moment de la campagne présidentielle, avait mis en garde ce dernier contre l’impréparation de notre pays en cas de crise sanitaire – asséner méthodiquement les chiffres de la progression du Covid-19 dans notre pays, et vous êtes chaque jour un peu plus gagnés par la peur, terrorisés et paniqués par cette accumulation d’images macabres et de propos alarmistes, alors que, voici deux mois à peine, ledit virus ne devait pas passer par nous, foi de Buzyn et consorts. Question bobardement, il faut dire, comme le rappelle Marine Le Pen, qu’ils sont champions toutes catégories.
La manipulation des esprits
L’émotion prend donc le pas sur la raison chez nos compatriotes terrés chez eux à l’idée qu’ils pourraient être frappés à leur tour. C’est le moment pour le pouvoir médiatique et politique de distiller alors savamment son venin et de nous mettre dans un état de sidération psychique en alignant des chiffres. Un décompte qui crée une ambiance anxiogène comme celle qui s’installa à Auschwitz-Birkenau au moment de l’épidémie de typhus. Pas de quoi réjouir le péquin moyen qui tire sur sa clope et sirote une bière en regardant la télé. Mais chaque année, la Grande Faucheuse rafle plus de dix mille personnes, mortes du virus grippal, sans la mise en place du moindre isolement et de la restriction des libertés fondamentales à laquelle nous sommes soumis depuis maintenant plus de quinze jours.
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La foire aux vanités politiques
Par Ivanne Trippenbach
Jupiter convoque les animaux. Le singe, l’éléphant, l’ours et la baleine viennent apporter leur pierre, chacun critiquant les autres pour tirer comiquement la couverture à soi. Jean de La Fontaine, dans sa fable La Besace, taquine ainsi les vanités : « Nous nous pardonnons tout, et rien aux autres hommes/On se voit d’un autre œil qu’on ne voit son prochain. »
Dans la crise sanitaire, la besace des responsables politiques semble pleine. Chacun y puise les clés qui valident les thèses qu’il porte — c’est le piquant de la politique. Quitte, par- fois, à faire prospérer des explications un peu trop simples. Un virus circule ? Fermons les frontières. Des entreprises délocalisent ? Nationalisons-les. L’hôpital public souffre du manque de lits de réanimation ? Abandonnons la discipline budgétaire. L’adversaire est, pour tous, tout trouvé : le libéralisme et la mondialisation.
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Du palais d'Hiver à Porto Alegre Les idiots utiles du mondialisme
Les altermondialistes rêvent d'une nouvelle Internationale, la Ve du nom. Beaucoup d'entre eux viennent d'ailleurs de l'extrême gauche et espèrent trouver dans les forums sociaux le ferment d'une nouvelle révolution. De l'internationalisme à l'altermondialisme, histoire d'une greffe réussie.
Vu de droite, l'altermondialisme fait parfois figure de simple avatar du bon vieux bolchevisme d'antan. Il est vrai qu'à certains égards, il constitue une idéologie de substitution pour tous ceux qui, après la chute de l'URSS, se retrouvent en manque d'utopie. L'altermondialisme, méthadone des vieux drogués du marxisme ? Ce serait trop simple. D'autant que les principaux leaders du mouvement affirment avoir changé de dope et de trip. « À Seattle, se réjouit José Bové, personne ne brandit le drapeau rouge de la révolution chinoise, ni le portrait du Che, ni la victoire révolutionnaire dans un pays devant bouleverser les autres; c'est bien fini et c'est porteur d'espoir. »(1)