Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 31

  • Emmanuelle Ménard, sur le discours de Jean Castex : « Pas un mot sur l’immigration ! »

    Voici la réaction d’Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, au discours de politique générale du nouveau Premier ministre Jean Castex. « Pas un mot sur l’immigration… ».

    Le Premier ministre Jean Castex vient de présenter son discours de politique générale à l’Assemblée nationale. Vous paraît-il positif ou inquiétant ?

    Ce discours est surprenant. Quand on arrive à lire entre les lignes, il est fréquemment contradictoire. Il annonce beaucoup de choses alléchantes et intéressantes au premier regard, mais en réalité ces choses sont en contradiction avec ce qui a été fait pendant les trois années d’Édouard Philippe.
    Si on prend l’exemple de la Justice, il dit qu’il faut créer des juges de proximité pour lutter contre les incivilités du quotidien, mais en réalité ces juges de proximité s’appelaient à l’époque les juges d’instance et la majorité les a supprimés l’année dernière. Il dit également qu’il veut lutter contre le terrorisme, mais les terroristes sont libérés. Il veut aider les étudiants et travailler sur les problèmes de formation, mais il y trois ans, on a diminué de 5 euros les APL.

    Lire la suite

  • Pour 2022, LR et LREM ne jureront que par un seul homme, et ce ne sera pas Emmanuel Macron

    sarkozy.png

    Il y a des signes qui ne trompent pas. Et ils sont nombreux. Des cartes postales, d’abord. Mais aussi des données de fond politiques, économiques, sociales. Et toutes pointent dans une même direction, un seul homme : .

    La nomination de , l’un de ses proches, la droitisation du gouvernement, les appels soigneusement médiatisés du Président Macron à l’ancien président de la République ont fait de Nicolas Sarkozy l’éminence grise, le parrain d’un Macron incessamment bousculé, depuis trois ans, par les événements. Pour LREM et Macron, il s’agit de poursuivre la captation de l’électorat et des cadres LR. Face à ce siphonnage, le parti LR, allié à LREM, est aux abois : il a perdu Bordeaux et , a échoué à reprendre Lyon qui devait lui revenir. Et, pour , il n’a aucun candidat solide capable d’accéder au second tour. Tous – Baroin, Bertrand ou Pécresse – plafonnent à 12 %. En , le résidu LR n’aura pas d’autre solution, pour exister, que de faire appel à Nicolas Sarkozy.

    Lire la suite

  • Fiction : dans la vertitude de boboland

    Qu’est-ce que ça va être bien, dans quelque temps, Bordeaux, , Lyon, Tours, Poitiers ou Strasbourg ! 
    Jadis, Alphonse Allais suggérait de construire des villes à la campagne, l’air y étant plus pur.
    Plus besoin de cette bonne idée, aujourd’hui : les Boboverts mettront la campagne dans la ville !
    Incroyable ! Aucun immeuble, plus de voitures, plus d’avions, plus de pollution, plus de bruits…
    On aura l’impression d’être dans la ouate, la kiloouate, même !
    Tout ne sera que verdure et petits oiseaux !
    Les fourmis, les abeilles, les papillons, les libellules seront de retour, tous les animaux reviendront et les espèces en voie de disparition qui jadis nous côtoyaient réapparaîtront en toute quiétude, les loups, les lynx et les ours réintégrés ; les autruches, moutons et pigeons sont déjà là, ainsi que vautours et rats.
    Le vivre ensemble enfin épanoui !
    Tout le monde aura son petit chez-soi sans pour autant qu’il n’y ait des murs, portes ou fenêtres : les frontières, pas de ça ici !
    Et ces petits chez-soi ne se verront pas, dissimulés par le feuillage, la mousse et aussi, bien sûr, par les champs de cannabis.

    Lire la suite

  • Gouvernement Castex. Des grandes gueules pour masquer l’ennui

    Il faudra juger Jean Castex aux actes. C’est ce qu’il demande et il a bien raison, surtout que, pour le moment il ne peut compter sur le verbe. Ses interventions sont laborieuses et ennuyeuses, chose étonnante alors que se multiplient les coachs entraînant à une parole convaincante. C’est sans doute pour pallier cette absence de charisme verbal, qui était connue, que son gouvernement a été enrichi de grandes gueules.

    Le retour de Bachelot

    C’est ainsi que sont respectivement nommés à la Justice et à la Culture Eric Dupont-Moretti et Roselyne Bachelot. Les deux ont un point commun : Ils ont juré les yeux dans les yeux aux journalistes que jamais au grand jamais, ils n’accepteraient un poste au gouvernement. Ils l’ont fait dans un grand éclat de rire. Décidément la soupe est bonne et la vanité gouverne les hommes et les femmes à parité égale. Roselyne Bachelot, la femme aux masques, tient une belle revanche sur un départ peu glorieux de son dernier poste ministériel — la Santé. Entre temps elle s’était transformée en amuseuse donneuse de leçon sur les médias et dans la presse. Son apport à la culture a été très limité, même si elle a cru bon d’interpréter au théâtre Les Monologues du vagin, histoire de prouver combien elle était féministe et branchée.

    Lire la suite

  • Robert Ménard désigné président de sa Communauté d’agglomération avec 35 voix contre 18 pour son adversaire

    Après la mairie, Robert Ménard prend l’Agglo. Triomphalement réélu dès le premier tour des élections municipales en mars dernier avec 68% des voix, il vient d’être désigné président de la Communauté d’agglomération Béziers-Méditerranée pour la première fois avec 35 voix contre 18 pour son adversaire et 2 votes blancs.
    […]
    « Notre agglomération c’est une France en miniature, et cette France, nous avons en commun de tous y tenir, a répondu Robert Ménard, quelques minutes plus tard lors de son propre discours. _ L’agglomération ne doit pas être au-dessus des communes _ , mais elle doit être au service des communes. Son président n’est pas au-dessus des maires, mais il doit être au service des maires, de tous les maires « .
    […]

    France Bleu

    https://www.fdesouche.com/1401669-robert-menard-designe-president-de-sa-communaute-dagglomeration-avec-35-voix-contre-18-pour-son-adversaire

  • Les deux 14 Juillet.

    mariannefragment-1024x456.jpg

    Il y a toujours eu deux 14 Juillet. La Fête nationale commémore une autre fête qui eut lieu en 1790, la Fête de la Fédération qui s’est déroulée sur le Champ de Mars un an après la prise de la Bastille. Le Roi revenu à Paris depuis octobre la préside. La Fayette est le grand homme du jour. Il commande la garde nationale de Paris et c’est lui qui organise ce rassemblement des fédérations des gardes nationales  venues de toute la France. Il prête serment à la Nation, à la Loi et au Roi qui lui même jure fidélité à la Constitution. Talleyrand célèbre la messe. La France est devenue une monarchie constitutionnelle. La famille royale est acclamée avec une ferveur qui semble unir les Français dans cette adhésion à une France nouvelle. A quelques jours près, l’année suivante, La Fayette et Bailly, le premier maire de Paris, font tirer sur la foule au même endroit. Le pays descend la pente vers la Terreur, dont les germes étaient apparus l’autre 14 Juillet, celui de 1789, lorsque après la reddition de la prison-forteresse, la foule avait massacré le gouverneur De Launay, tandis que l’on assassinait le prévôt des marchands De Flesselles, les têtes de l’un et de l’autre étant ensuite « promenées » dans la ville au bout d’une pique. Quand en 1880 cette date devint celle de la Fête Nationale, la gauche y voyait la commémoration de la révolte populaire qui commença la révolution conduisant à la république. La droite, au contraire, voulait que ce soit la célébration de l’union nationale dans un pays ayant retrouvé un équilibre de ses institutions. Les uns pensaient à 1789, les autres à 1790.

    Lire la suite

  • Des militants antiracistes français recrutés et formés par le Département d’Etat américain ?

    VA – Le New York Times révèle qu’après le 11 septembre 2001, les Etats-Unis ont commencé à tendre la main aux minorités ethniques et raciales en France, par le bais de l’ambassade américaine à Paris.

    Avec la mort de George Floyd aux Etats-Unis, le mouvement antiraciste s’est rapidement propagé dans le monde entier. En France, il a eu un écho particulier, porté par la famille d’Adama Traoré, qui a profité de ce regain pour remettre l’affaire de la mort du jeune homme au centre des débats. Plus largement, depuis de nombreuses années, l’Hexagone voit émerger de nombreux figures se prévalant de l’antiracisme et du décolonialisme, Rokhaya Diallo en tête. D’après le New York Times, cette nouvelle politique raciale en France est en fait directement importée des Etats-Unis, parfois même par l’entremise du Département d’Etat, le ministère des Affaires étrangères américain.

    Lire la suite

  • Mois du (meurtre du) Blanc, des médias pudiques

    Nous avons parlé du meurtre de Thomas, de celui de Philippe, la liste s’allonge avec la mort de la gendarme Mélanie Lemée le 6 juillet 2020 à Port Sainte Marie en Haute-Garonne, percutée par un « chauffard », sur lequel les médias de grand chemin sont bien discrets.

    Les faits et leur relation

    Lors d’un contrôle routier un automobiliste fait un écart et percute avec une extrême violence la gendarme Mélanie Lemée, 26 ans, qui se trouvait sur le bas-côté. La jambe arrachée à la hauteur de l’aine, elle mourra pendant le transport à l’hôpital. Comment les médias relatent-ils le drame et quelles informations donnent-ils sur le chauffard ?
    Discrétion, très grande discrétion

    Lire la suite

  • Michel Onfray : "Les Verts sont des pro-palestiniens, communautaristes. Ce sont des islamo-gauchistes..."