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  • Le Bien Commun n°22 d'Octobre 2020 disponible.

    667092701.9.pngLe numéro sera bientôt disponible en ligne ici : https://lebiencommun.net/kiosque/

  • Passé Présent n°284 avec Bernard Lugan – La vérité sur les esclavages

    Philippe Conrad reçoit Bernard Lugan pour deux de ses ouvrages.

    Dans « L’esclavage, l’histoire à l’endroit », sujet suscitant la polémique actuelle, l’africaniste s’appuyant sur des sources irréfutables, rend compte de ce phénomène universel pratiqué par la plupart des civilisations humaines et compare les chiffres relatifs aux traites arabo-musulmane et européenne afin de déconstruire le discours officiel qui s’impose aujourd’hui.
    Dans « Les guerres du Sahel, des origines à nos jours », Bernard Lugan ouvre les clés de compréhension de ces conflits en les situant sur la longue durée et replace les événements actuels à travers les permanences historiques qui commandent ces régions, notamment les plaies ethniques consécutives à la révolte des peuples de cultures différentes cohabitant sur un même territoire.
    L’esclavage, l’histoire à l’endroit – Editions Bernard Lugan – 196 p. – 25 €
    Les guerres du Sahel, des origines à nos jours – Editions de l’Afrique réelle – 260 p. – 29 €

    Dictionnaire Napoléon

    Eminent spécialiste du Consulat et du 1er Empire, directeur de la Fondation Napoléon, Thierry Lentz est l’auteur d’une véritable somme sous la forme d’un dictionnaire historique consacré à Napoléon 1er. Trois cents entrées sur les personnalités et les événements de la période jalonnent les mille pages de ce monumental ouvrage.
    Au cours de son entretien avec Philippe Conrad, Thierry Lentz s’interroge aussi sur la façon dont l’Etat va réagir à la veille du bicentenaire de la mort de l’Empereur ; une petite frange de la population, mais médiatiquement active, le rejetant pour son rôle dans le rétablissement de l’esclavage aux Antilles… après en avoir été le libérateur à Malte et en Egypte.


    Thierry Lentz – Napoléon, Dictionnaire historique – Perrin – 1000 p. – 29 €

    https://www.tvlibertes.com/passe-present-n284-la-verite-sur-les-esclavages

  • Sophie Petronin, l’otage qui affectionne les jihadistes, par Céline Pina.

    Sophie Pétronin à Bamako, le 8 septembre 2020 © AP/SIPA Numéro de reportage: AP22501208_000004.

    1453841181.34.jpgDe nombreux citoyens ont jugé indignes les déclarations de la vieille femme libérée

    Sophie Petronin a déclaré: « Je vais prier, implorer les bénédictions et la miséricorde d’Allah, parce que je suis musulmane. Vous dites Sophie, mais c’est Mariam que vous avez devant vous ». Pour obtenir la libération de cette curieuse otage, qui a-t-on relâché au Mali ? Et quelle somme a-t-on payé? Retenue quatre ans, Sophie Petronin ne veut voir dans ses ravisseurs que des groupes d’opposition au régime. Après ses premières déclarations, son retour laisse un goût amer.

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  • StopCovid : l’acharnement thérapeutique

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    Il faut reconnaître à Libération un certain talent pour trouver des titres qui cognent dur. «  : le gouvernement remue le couteau dans l’appli » en est un. Oui, l’application StopCovid est un échec, et le gouvernement est obligé d’en convenir : 2,7 millions de téléchargements, soit 3 % de la population, quand il en faudrait dix fois plus ; 434 notifications de positivité qui ont été transmises aux cas contacts passés. Un ratage monumental. Mais, en politique, quand on est au bord du gouffre, on ne craint pas d’annoncer un grand bond en avant : Tous anti-Covid remplacera StopCovid. Le spectre fonctionnel de la nouvelle mouture sera dévoilé en détail plus tard, le 22 octobre, mais trois informations ont filtré.

    Tout d’abord, sa maintenance coûtera plus cher : 200.000 euros par mois au lieu de 100.000 euros. Il est vrai que le coût des notifications des quatre mois passés était d’une insigne faiblesse, à 921,65 euros l’unité. Mais ce n’est pas cher, c’est l’État qui paie !

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  • Myret Zaki La fin du dollar est programmée 2 ème partie

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    Myret Zaki La fin du dollar est programmée.jpegLes États-Unis seraient donc plus endettés que les pays européens ?

    Si vous prenez la dette fédérale des États-Unis (16 000 milliards de dollars), vous arrivez à un ratio dette/PIB d'un peu plus de 100%, qui est à peu près du même niveau dans la zone euro. La différence, c'est la dette non provisionnée, c'est-à-dire tous les engagements futurs du gouvernement américains vis-à-vis des bénéficiaires des rentes de pension, santé et sécurité sociale (Medicare et Medicaid). Ces trois éléments additionnés font de la dette américaine un gouffre sans fond. On passe de 16 000 milliards à une dette - en réalité un déficit fiscal - extrêmement élevée de… 200 000 milliards de dollars. Ce sont les engagements futurs que le gouvernement fédéral doit à tous ses retraités. Même s'il s'agit d'un chiffre théorique, on voit bien que l'Amérique est déjà techniquement en faillite.

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  • D'un couvre-feu, l'autre.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Le couvre-feu imposé par Macron en Île-de-France et dans huit métropoles pour six semaines au moins vient s'ajouter à celui, permanent, que subissent des centaines de milliers de nos compatriotes, hommes et femmes, qui, dès la nuit tombée, n'osent plus s'aventurer hors de chez eux.
    Il y a le totalitarisme démocratique appliqué à la gestion sanitaire qui, peu à peu a transformé les Français en ombres asservies, fait de nos commerces, de nos restaurants, de nos bars, de nos salles de sport, de nos théâtres, de nos cinémas, des cimetières et reduit nos petites et moyennes entreprises à la condition d'antichambres de Pôle emploi. 
    Et puis y a le totalitarisme de la racaille qui fait de la France un coupe-gorge, une poudrière et un terrain de guerre.
    Les braves gens qui bravaient encore les dangers de la nuit, désormais menacés d'amendes pouvant aller jusqu'à 1500 euros, s'enfermeront dans le confinement de leurs logis où ils ne pourront plus recevoir les leurs que dans les limites fixées par la Sécuritate sanitaire du génie du Touquet Macronescu.
    La lie des cités, elle, continuera ses danses tribales, ses exactions, ses pillages, ses expériences pyrotechniques et ses trafics auxquelles aucune force de police n'est aujourd'hui en l'état de s'opposer.
  • Covid : il y a bien une deuxième vague, celle des bouffées délirantes

    Covid : il y a bien une deuxième vague, celle des bouffées délirantes

    Tout serait à commenter dans ces 45 minutes d’audience télévisuelle préemptées par le Président de la République hier 14 octobre, à propos de la situation sanitaire. Nous ne relevons que quelques points qui donnent à penser que, effectivement, il y a bien une deuxième vague, mais de bouffées délirantes (expression déjà employée par le Professeur Raoult pour essayer de comprendre une situation de folie gouvernementale et technocratique).

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  • Myret Zaki La fin du dollar est programmée

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    Propos recueillis par Patrick Péhèle

    Myret Zaki La fin du dollar est programmée.jpegNée au Caire, Myret Zaki est rédactrice en chef adjoint du magazine économique suisse Bilan En trois ouvrages, UBS, les dessous d'un scandale, Le secret bancaire est mort, vive l'évasion fiscale et La fin du dollar, tous publiés aux éditions Favre, cette journaliste pugnace s'est imposée comme une des meilleures pédagogues de la crise financière. Pour elle, le dollar est devenue la plus grande bulle spéculative de l'histoire.

    Éléments : Si on s'en tenait au titre de votre livre, La fin du dollar, et vu la crise que traverse actuellement l'euro, on pourrait penser que vous vous êtes trompée de sujet ou de monnaie ?

    Myret Zaki : La première réaction de mes interlocuteurs lorsque mon livre a paru a été de me dire : vous auriez du écrire La fin de l'euro, et non La fin du dollar ! Pourtant, même aujourd'hui, je ne crois toujours pas à la fin de l'euro. Lorsque j'ai écrit ce livre, le consensus autour de la fin de l'euro était si écrasant que j'ai voulu, en toute conscience, expliquer que la véritable crise que nous vivons et qui explique les secousses de l'euro, c'est la fin du dollar comme monnaie de réserve internationale. Cette menace-là agrège en réalité des intérêts convergents qui déstabilisent l'euro.

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  • Claude Lévi-Strauss, l'homme de gauche qui pensait à droite

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    Les gerbes d'hommages n'ont pas manqué après la disparition de Claude Lévi-Strauss, le créateur de l'anthropologie française. Voici un bouquet plutôt, non-conformiste !

    « Le paradoxe des sciences humaines, au fond, c'est que nous avons un objet d'étude qui est l'homme, mais nous ne devons pas oublier que cet objet n’est pas dissociable de la vie d'abord et ensuite de l'ensemble des phénomènes qui constituent le monde et l'univers ». Ainsi parle Lévi-Strauss alors qu'il tente de faire un bilan de son existence. Nous sommes en 2002. La Gauche des Maîtres penseurs a vécu. L'Homme majusculaire aussi. Le monde n'accepte plus qu'une seule représentation, désormais dominante et sans même une alternative imaginable : celle de la consommation. « Je n'aime pas ce monde » confie le centenaire Lévi-Strauss à qui veut l’entendre. Mais quelle est donc sa référence ? Quel est son message ?

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