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  • Quand la junte sanitaire « dérobe peu à peu à chaque citoyen jusqu’à l’usage de lui-même »

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    La junte sanitaire a un porte-parole, le petit Attal. Dans ces temps troublés, celui-ci s’exprime le 22 novembre sur son compte Twitter avec :

    Sache, citoyen, que la junte sanitaire s’inquiète de ta santé.

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  • I-Média n°323 – Hold-Up : colère, approximations et mépris médiatique

    L’image de la semaine

    Les journalistes de Quotidien se transforment en zélés auxiliaires de police.

    Hold-Up : colère, approximations et mépris médiatique

    C’est un documentaire qui a été vu en quelques jours par des millions de Français. À la fois pertinent et approximatif, voire parfois mensonger, Hold-Up n’en est pas moins un symbole frappant de cette colère sourde qui traverse la société française.
    Une colère à laquelle les médias répondent par un mépris hallucinant.

    Revue de presse

    USA : violences des antifas et fraude électorale

    Aux États-Unis, la mobilisation des partisans de Trump continue, moquée par les médias français.


    https://www.tvlibertes.com/i-media-n323-hold-up-colere-approximations-et-mepris-mediatique

  • Pierre-Yves Rougeyron : Thérapie de choc ou la casse sociale derrière la crise sanitaire

  • Le repos du dimanche, conquête de la droite sociale

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    Le Comte Albert de Mun fut en son temps le meilleur orateur de la Chambre

    La querelle autour du repos dominical, que les matérialistes voudraient supprimer, a connu depuis deux siècles de multiples rebondissements. C'est la droite « légitimiste » et catholique qui, dès le XIXe siècle, conduisit la bataille pour arracher à une gauche libérale et anticléricale cet « acquis social ».

    Pendant des siècles l'Ancien Régime avait imposé le respect du « Jour du Seigneur » et celui des fêtes chômées. Au XVIIIe siècle, les « philosophes » lui livrèrent les premières attaques, comme Voltaire, qui jugeait économiquement plus utile que le peuple travaillât le dimanche, « au lieu d'aller boire au cabaret les jours de fête après la sainte messe ». La guerre au dimanche ainsi déclarée devait aboutir sous la Révolution française, qui, en vendémiaire an II (octobre 1793) remplaça la semaine de sept jours par la décade, comptant dix jours. Les travailleurs perdaient au change, puisque, de ce fait, l'année ne comptait plus que 36 jours de repos - les décadis -, contre 52 dimanches auparavant sans compter les fêtes chrétiennes. Encore l'obligation de ce congé du « décadi » fut-elle limitée en l'an VIII (1800), sous Bonaparte, aux seuls « fonctionnaires publics et agents salariés du gouvernement ». Deux ans plus tard, après la signature du Concordat signé entre le Premier Consul et Pie VII, on revint au calendrier grégorien, mais le repos du dimanche resta réservé aux fonctionnaires.

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  • Samuel Paty : l’Education nationale à genoux devant l’islam

    Samuel Paty

    Décapité par un tueur musulman le 16 octobre 2020, Samuel Paty est devenu un double symbole : celui du défenseur de la liberté d’expression et des valeurs de la République ; celui du professeur courageux, ne cédant pas devant les pressions. Les hommages de l’exécutif et du ministère de l’Education nationale, lors de la rentrée des classes de novembre, y ont pourvu.

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  • Réchauffement climatique : une contribution scientifique à suivre

    avec Philippe de Larminat

    Intéressé depuis longtemps par les questions climatiques, Philippe de Larminat a pressenti que son expérience en théorie des systèmes pouvait y apporter une contribution originale. Lui-même professeur (classe exceptionnelle) à l'École Centrale, et conseiller scientifique (EDF, Renault, Alstom, Thalès...), il s'est étonné que cette technique n'ait pas encore été exploitée sérieusement par les climatologues. Ses travaux, engagés il y a maintenant trois ans, ont abouti a des résultats exposés dans un ouvrage paru aux éditions scientifiques ISTE (Londres) Changement climatique : identification et projections. Il est loin de partager le catastrophisme climatique de rigueur et nous explique pourquoi.

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  • Révélations de Marc Endeweld : “Macron auprès de ses collaborateurs ne cesse d’être obsédé par ce qu’il appelle le grand remplacement”

  • Exécution de Samuel Paty : les autorités ont-elles mésestimé la gravité de la situation ?, par Philippe Kerlouan.

    On se souvient de l’émouvant hommage que le chef de l’État rendit à , dans la cour de la Sorbonne. Il donnait en exemple ce malheureux professeur, soulignait qu’il était « devenu […] le visage de la République, de notre volonté de briser les terroristes, de réduire les islamistes » et concluait par cette résolution : « Nous continuerons, oui, ce combat pour la liberté et pour la raison dont vous êtes désormais le visage […] »

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  • Vous avez dit complotiste ?

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    C’est la nouvelle injure à la mode. Le stade ultime de la décrédibilisation. La psychiatrisation outrancière de l’opposant. Ceux que l’on traitait, auparavant, d’extrémistes de droite, puis de populistes. Les voilà maintenant complotistes. Donc, forcément crétins !

    Les puissants, l’intelligentsia, le discours dominant cèdent à cette paresse intellectuelle : accuser l’opposant de complotiste pour le disqualifier et ne jamais faire son autocritique.

    Sans dénoncer un complot mondial et mondialisé, on ne peut s’étonner de la perte de confiance absolue du peuple envers les élites. Parce que les exemples sont légion, de ce mensonge d’État et de ces intérêts révélés au grand jour. Le succès du documentaire Hold-up, qui pèche par des excès d’interprétations, est un symptôme qui devrait davantage inciter nos élites à la vérité, qui n’a rien à voir avec une transparence créée pour masquer d’autres réalités.

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  • L'identité française et l'alliance avec la Sagesse éternelle (texte de 2014)

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    La France, ce grand arbre dont les racines ont été méthodiquement coupées.

    Qu'est-ce que l'identité française ? La fracture révolutionnaire, puis les déracinements majeurs qui se sont succédé au cours du XXe siècle, rendent incertaine la réponse à cette question. À moins que Jean Paul II ne l'ait donnée...

    Le 1er juin 1980, au Bourget, le pape Jean-Paul II s'adressait à une foule attentive et par-delà cette foule, à tous les Français. En concluant son homélie, il posa une question inattendue, qui toucha les consciences parce qu'elle ne s'adressait pas seulement aux Français actuels, mais à « l'âme » collective de la nation, issue de son histoire : « France, Fille aînée de l'Eglise, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ? Permettez-moi de vous demander France, Fille de l'Eglise et éducatrice des peuples, es-tu fidèle, pour le bien de l'homme, à l'alliance avec la sagesse éternelle ? »

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