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USA : 1,8 million d’électeurs inscrits de plus que de citoyens en âge de voter.
Judicial Watch a annoncé aujourd’hui qu’une étude de septembre 2020 a révélé que 353 comtés américains comptaient 1,8 million d’électeurs inscrits de plus que de citoyens en âge de voter. En d’autres termes, les taux d’inscription de ces comtés dépassaient 100 % des électeurs admissibles. L’étude a révélé que dans huit États, les taux d’inscription à l’échelle des États dépassaient 100 % : Alaska, Colorado, Maine, Maryland, Michigan, New Jersey, Rhode Island et Vermont.
L’étude de septembre 2020 a recueilli les données d’inscription les plus récentes mises en ligne par les États eux-mêmes. Ces données ont ensuite été comparées aux dernières estimations démographiques quinquennales du Census Bureau, recueillies par l’American Community Survey (ACS) de 2014 à 2018. Les enquêtes de l’ACS sont envoyées à 3,5 millions d’adresses chaque mois, et ses estimations sur cinq ans sont considérées comme les plus fiables en dehors du recensement décennal.
La dernière étude de Judicial Watch se limite nécessairement à 37 États qui publient des mises à jour régulières de leurs données d’enregistrement. Certaines listes électorales d’État peuvent également être encore plus importantes que ce qui est indiqué, car elles peuvent avoir exclu les « électeurs inactifs » de leurs données. Les électeurs inactifs, qui peuvent avoir déménagé ailleurs, sont toujours inscrits sur les listes électorales et peuvent se présenter et voter le jour du scrutin et/ou demander des bulletins de vote par correspondance.
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Le Monde prend ses désirs pour des réalités
Les européistes rêvent que l’Europe suspendent les aides aux pays qui ne sont pas alignés sur leur idéologie libertaire :
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Assa Traoré : l’injure faite à Samuel Paty
C’est une information passée quasi inaperçue, ce qui est pour le moins étonnant en cette époque d’hypersensibilité médiatique à tout ce qui se rapporte, de près ou de loin, aux « propos de haine ». Ainsi, le 18 octobre dernier, alors que des milliers de personnes se pressent, place de la République, à Paris, afin de rendre un dernier hommage à Samuel Paty, ce professeur décapité, Assa Traoré et ses amis du comité Vérité et Justice pour Adama sont aussi de la fête.
Pour faire preuve de sa compassion, sans doute, l’un d’eux arbore fièrement une pancarte sur laquelle on peut lire ces mots : « RIP Samuel mort en saignant ! » À ce degré de tact, les mots manquent…
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Le con du jour
Olivier Véran
Alors là les mecs on plonge dans le domaine du bizarre, de l’inquiétant.
Olivier Véran nous a joué, hier, un numéro d’acteur du plus mauvais des goûts, qui nous invite à L’Incotidien, remplis de charité chrétienne que nous sommes, à nous interroger sur sa santé mentale. La scène se déroule à l’Assemblée. Déjà, hier, ça commence mal pour Olive, parce que les députés votaient contre la prorogation de l’était d’urgence jusqu’au 16 février 2021, et ne l’étendaient que jusqu’à mi-décembre. Ce revers a été causé par l’absence d’un trop grand nombre de députés LREM. Bah oui les gars, quand on est trop sûr de gagner, on finit par perdre, c’est une des premières règles de la vie non ? Vous voyez, le membre moyen du gouvernement, il n’a pas l’habitude que sa gentille assemblée elle refuse de lui acheter ses joujous, alors il se met tout colère. Olivier Véran est un membre moyen du gouvernement.
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Paul Gottfried: «Trump n’est pas un accident de l’histoire américaine»
ENTRETIEN. Historien des idées et intellectuel américain influent, Paul Gottfried a notamment été conseiller de Richard Nixon. Grand penseur du conservatisme, il publie L’Amérique de Trump, entre nation et empire chez Jean-Cyrille Godefroy. A la veille des élections américaines, nous l’avons interrogé pour comprendre le phénomène Trump.
Front Populaire : Depuis la campagne électorale américaine de 2016, Donald Trump a été conspué par beaucoup et partiellement adulé par d’autres, mais sans doute jamais vraiment compris dans sa spécificité. De quoi Trump est-il le nom, et quelle serait une définition du « trumpisme » ?
Paul Gottfried : Pour autant que le terme « trumpisme » ait un sens, on pourrait le définir comme la jonction entre le talent manœuvrier, le pragmatisme d’un homme d’affaire démocrate de New York et des courants souterrains d’une partie de l’opinion américaine qui entend qu’on lui rende un pays dont elle s’estime dépossédée.
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Renforcement des frontières ? Poudre aux yeux !
L'avis de Jean-François TouzéEn annonçant ce jeudi, à l'occasion d'un déplacement de pure communication au col du Perthus, principal point de passage entre l'Espagne et la France, son intention de doubler les effectifs de sécurité chargés de la surveillance des frontières afin de lutter contre l'immigration clandestine, et de proposer aux instances européennes une "refonte de Schengen", Emmanuel Macron revêt à nouveau son habit préféré : celui du marchand de sable.Où pourrait-il en effet trouver les 2 500 policiers, gendarmes et militaires nécessaires pour tenir sa promesse, alors que, débordés par la multiplication de leurs missions et par l'étendue de leurs tâches dans une France abandonnée à la racaille, aux égorgeurs et aux barbares, les forces de l'ordre ont déjà atteint l'extrême limite de leurs capacités ?Combien de réunions à Bruxelles, Berlin, Rome, Madrid faudra-t-il organiser pour convaincre nos partenaires européens, tous immigrationnistes, d'entamer le début de commencement de l'ébauche d'une réflexion sur la circulation des migrants ?Dans le même temps le Président de la République refuse toute idée de révision constitutionnelle qui permettrait de faire entrer une réelle législation de guerre contre le tsunami migratoire et l'offensive islamique dans notre arsenal judiciaire et administratif par la mise en œuvre de mesures d'exception.La lutte contre l'islamisme et son courant porteur - l'immigration - exige une vision globale et une volonté brutale. Tout le reste est poudre aux yeux et poussière d'aspartame. -
Un Européen du mésolithique à la peau sombre et aux yeux bleus
L'analyse, à partir de l'une de ses dents, du génome d'un squelette vieux de 7 000 ans découvert par hasard en 2006 dans une grotte du nord-ouest de l'Espagne a surpris les chercheurs l'ADN a en effet révélé que cet homme avait à la fois la peau sombre, les cheveux bruns et les yeux bleus. Dénommé La Braña 1, en référence au site de La Braña-Arintero où il a été retrouvé, près de Valdelugueros, dans la province de León, ce chasseur-cueilleur du mésolithique possédait en outre plusieurs mutations génétiques associées à la résistance aux infections bactériennes chez les humains modernes, mutations qui sont donc antérieures à l'apparition de l'élevage et de l'agriculture. Il était en revanche porteur de variants génétiques montrant une intolérance au lactose et une faible capacité à digérer l'amidon que l'on trouve dans les céréales. La comparaison avec les génomes actuels montre une proximité avec les Finlandais ou les Suédois, mais l'association des gènes produisant des yeux bleus et de la peau foncée correspond à un phénotype unique que l'on ne trouve plus aujourd'hui chez les Européens. Ce qui donne à penser que la peau claire n'est apparue que plus tard, au néolithique, du fait d'un moindre rayonnement ultra-violet et d'un régime alimentaire comportant un plus faible apport en vitamine D.
L'équipe de chercheurs espagnols et danois, dirigée par Caries Lalueza-Fox, de l'Institut de biologie évolutionnaire de Barcelone, qui est parvenue à séquencer le génome complet de cet individu mort apparemment vers l'âge de 30-35 ans, et dont le squelette, retrouvé en position fœtale, a été parfaitement conservé, a par ailleurs pu établir une continuité génétique (impliquant un ancêtre commun) entre La Braña 1 et les populations de l'Eurasie occidentale et centrale depuis le paléolithique supérieur, notamment les fossiles vieux de quelque 23 000 ans récemment découverts sur le site de Mal’ta près du lac Baïkal, en Sibérie. D'autres analyses d'ADN seront néanmoins nécessaires pour dire dans quelle mesure l'homme de La Braña est représentatif des autres populations du mésolithique.
Source Nature, 26 janvier 2014 via éléments N°151
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Controverse : qui est responsable de la crise ?
C'est une version économique de la poule et de l'œuf : qui est responsable de la crise économique, les États ou les acteurs financiers, à commencer par les banques ? Deux de nos journalistes défendent chacun l'une des deux thèses(1), celle de la défaillance des politiques et celle de la culpabilité des banquiers. Les deux analyses se fondent sur des logiques très différentes il n'est pas surprenant que la plus interventionniste dénonce la passivité des États. Si l'on croit encore au politique, les gouvernements doivent en effet être tenus pour les principaux responsables de la crise actuelle. Reste à savoir de quel pouvoir dispose encore le politique dans le monde et dans le système international actuels. Les banquiers, somme toute, ont fait leur métier, qui consiste à gagner de l'argent, les gouvernants n'ont pas fait le leur, qui consiste à protéger les intérêts de leur peuple. Lorsque les gens de Goldman Sachs et les dirigeants grecs truquent les comptes de la Grèce, tous sont coupables, mais qui l'est le plus ? Il est vrai qu'aujourd'hui, Loukas Papadimos, qui était Gouverneur de la Banque de Grèce à l'époque où les comptes du pays furent truqués et qui occupa par la suite les fonctions de vice-président de la Banque Centrale Européenne (BCE), est devenu Premier ministre de la Grèce. Et que Mario Draghi, qui était vice-président pour l'Europe de Goldman Sachs à l'époque du truquage des comptes grecs, préside actuellement la BCE.
De la poule et de l'œuf, qui est le plus responsable ? Une chose est certaine, tout le monde n'y a pas perdu.
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Emmanuel Macron annonce un doublement des forces de sécurité déployées aux frontières françaises pour faire face au terrorisme et à l’immigration illégale (Vidéo)
Emmanuel Macron a annoncé ce jeudi un doublement des forces contrôlant les frontières de la France, de 2400 à 4800, pour lutter contre la menace terroriste, les trafics et l’immigration illégale. Cette mesure annoncée ce jeudi depuis la zone frontalière du Perthus dans les Pyrénées-Orientales aurait été décidée «en raison de l’intensification de la menace» après les récents attentats, dont celui de Nice, a expliqué le chef de l’État.