Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 51

  • DÉCONSTRUCTION DU GAUCHISME - Le Soleil se lève #14 (Abauzit, @Piero San Giorgio, @Nomos- TV)

  • Malgré les déclarations d’Olivier Véran, suppressions de lits et fermetures d’hôpitaux se poursuivent, par Rachel Knaebel.

    Il y a un mois, Basta ! publiait la carte des suppressions de lits dans les hôpitaux publics. Depuis, le ministre de la Santé répète vouloir en finir avec ces fermetures de lits. Pourtant, sur le terrain, les projets de restructuration sont toujours à l’ordre du jour. Et les personnels toujours très inquiets.

    Lire la suite

  • Élection des quotas

    1181676438.jpg

    Georges Feltin-Tracol

    Âgé de 36 ans et épouse de l’économiste médiatique Thomas Pikkety, Julia Cagé enseigne les sciences économiques à Sciences-Po Paris. Elle a conseillé le candidat Benoît Hamon à l’élection présidentielle de 2017. Auteur de trois ouvrages sur la crise actuelle du système démocratique, elle s’inquiète des dysfonctionnements du système démocratique moderne. Contrairement à la philosophe belge Chantal Mouffe, théoricienne d’un populisme de gauche hors-sol et grotesque, Julia Cagé prône une « démocratie représentative, participative et “ descriptive ” ».

    Lire la suite

  • Passé-Présent n°289 – Robert Brasillach : journaliste et mémorialiste

    Robert Brasillach : journaliste et mémorialiste
    Après les romans de Robert Brasillach réédités par la maison Pardès, celle-ci poursuit son travail de relecture de l’écrivain en remettant sous presse les mémoires de l’écrivain. Notre avant-guerre et Journal d’un homme occupé en constituent l’ossature. La publication d’un troisième ouvrage Léon Degrelle et l’avenir de « Rex » devenu introuvable, relève plutôt d’un reportage que Brasillach consacra au mouvement rexiste qui avait suscité, en 1936, un enthousiasme vite essoufflé. Préfacé par Francis Bergeron, ce recueil s’enrichit d’une belle postface due à Lionel Baland.

    Lire la suite

  • Pourquoi le macronisme est un séparatisme

    Le macronisme est un séparatisme. Certes, le chef de l’Etat assure vouloir unifier la France éclatée. Ainsi, ce mercredi, le conseil des ministres examinera le projet de loi “confortant les principes républicains“. Le texte, qui sera discuté par les députés en février 2021, prétendait initialement lutter contre le séparatisme islamiste. Depuis, cet objectif trop précis s’est dilué dans des considérations générales qui ont effacé la cible : le séparatisme islamiste n’est plus nommé expressément.

    Lire la suite

  • Comment l'Etat profond a vendu la Sécu à Wall Street (video)

    3030155119.png

    Les dettes de la Sécurité Sociale ont atteint des profondeurs abyssales avec un total de 136 milliards d’euros. La Cour des comptes vient de lancer une alerte, c’est tout le modèle social contributif français qui se retrouve mis en cause. Le double confinement est en train de l’achever avec le naufrage de la masse salariale, il faut donc emprunter et c’est pourquoi les cotisations sociales des Français se retrouvent à Wall Street ! Et pendant que l’ACOSS et la CADES font la manche sur les marchés financiers (le plafond est poussé à 70 milliards d’emprunts), les banques intermédiaires encaissent des commissions sur ces placements. On peut se demander ainsi si l’équilibre des comptes sociaux est un mythe mais à un moment, la dette se vengera, ce qui traduit l’échec cuisant du choix fait par Alain Juppé en 1996 de financer la dette sociale sur les marchés financiers. Ce sont les générations qui viennent qui paieront pour des dettes qu’elles n’ont pas contractées. Eloïse Benhammou, l'auteur de "Kleptocratie française", revient sur cette injustice et ce scandale d'Etat. 


    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/12/08/comment-l-etat-profond-a-vendu-la-secu-a-wall-street-6282910.html

  • Plus de deux millions de foyers bénéficiaires du RSA

    2650929696.png

    Arnaud Raffard de Brienne

    Pour la première fois depuis la création du dispositif en juin 2009, il y a onze ans, le cap des deux millions de foyers bénéficiaires du Revenu de solidarité active (RSA) vient d’être allègrement franchi. Ce seul minimum social – il en existe une dizaine -, remplaçant du Revenu minimum d’insertion (RMI), assure, sous certaines conditions plutôt larges et souples, un revenu forfaitaire, une sorte de revenu universel avant  l’heure, aujourd’hui financé par les départements pour un montant supérieur à douze milliards d’euros par an. Cette ponction devenue insupportable pour les départements, une loi en cours d’examen prévoit une renationalisation du RSA dont l’État assurera le financement. A noter, on se demande bien pourquoi, c’est déjà le cas pour nos chers départements et territoires d’Outre-mer comme la Guyane et la dispendieuse Mayotte depuis 2019, et pour  La Réunion depuis le début de cette année.

    Lire la suite

  • Pacte sur la migration en Europe : ce n’est pas une vague, c’est un tsunami !

    Profughi_della_Vlora_in_banchina_a_Bari_8_agosto_1991-800x475.jpg

    « Le plan organisé de submersion de l’Europe et des nations qui la composent » : c’est ainsi que le Rassemblement national désigne, à juste titre, le nouveau pacte européen sur la migration de septembre 2020. Un nouveau plan concocté par les instances européennes pour tenter de trouver une issue ou, plus vraisemblablement, une bouée de sauvetage face à l’arrivée croissante de populations à l’horizon 2022.

    Lire la suite

  • “La peur de passer pour des fachos nous pousse à arrondir les angles” : une institutrice évoque la difficile intégration des élèves musulmans à l’école

    Florence (*) est professeure des écoles depuis une vingtaine d’années en réseau d’éducation prioritaire, à Nîmes. À la suite de la mort de Samuel Paty, elle vient d’envoyer une lettre ouverte à ses collègues enseignants qui a fait réagir.

    (…) « Notre relation à nos élèves et à leurs familles pour que Samuel Paty ne soit pas mort pour rien ? J’y pense depuis des jours et une foule de souvenirs de détails, de situations me reviennent à l’esprit. Face à la montée de l’idéologie islamiste, nous faisons trop souvent – et je m’inclus dans ce “nous” -, preuve d’un manque de lucidité, voire d’une attitude de déni coupable”.

    Lire la suite