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  • Journal du chaos

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  • César 2021 : la cérémonie des échecs du cinéma français

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    Chaque année, la fin de l’hiver constitue l’apothéose de la saison des récompenses cinématographiques : des Golden Globes aux Oscars en passant par les BAFTA puis les traditionnels César. Loin des cérémonies anglophones fastes et spectaculaires, le cinéma français nous a habitués, trop souvent, à des célébrations trop protocolaires, faussement rythmées et bien longues, à quelques exceptions près.

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  • Emmanuel Macron offre-t-il sa chance à Marine Le Pen ?

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    Sur BFMTV, le 11 mars, on a eu l’occasion de constater que Marine Le Pen a amélioré sa stature de présidentiable et l’on peut d’ores et déjà dire qu’à 406 jours du scrutin, les doutes qui, ces dernières années, ternissaient l’image de la présidente du Rassemblement national, sont derrière elle.

    Au fil des sondages, la présence de  au second tour est incontestable. Sa base électorale est solide et dans la dernière enquête Harris publiée par l’Opinion le 8 mars, on apprend que 84 % des électeurs qui ont voté pour elle en 2017, confirmeraient leur vote en 2022. C’est énorme mais c’est surtout le signe que malgré des changements dans sa ligne politique, malgré les départs de certains cadres, les “frontistes” restent fidèles à MLP. D’ailleurs aucun candidat putatif ou déclaré, ne peut concrètement, se vanter détenir une telle base électorale.

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  • Qu’est-ce-que « l’islamo-gauchisme » ? Par Thierry Meyssan

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    par Thierry Meyssan Réseau Voltaire 9/3/21

    La France, et dans une moindre mesure plusieurs autres pays européens, est traversée par un débat sur « l’islamo-gauchisme » ; des personnalités de gauche qui soutiennent l’islam politique malgré l’exemple de Daesh. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il ne s’agit pas là d’une tactique électorale momentanée, mais d’une conséquence d’une stratégie de la guerre froide, ravivée par l’administration Biden.

    RÉSEAU VOLTAIRE | PARIS (FRANCE) | 9 MARS 2021

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    La ministre française chargée des universités, Frédérique Vidal, vient de commander un rapport sur la sociologie de l’islamo-gauchisme dans les universités.

    Au XVIème et XVIIème siècle, les Européens distinguaient la « sphère publique » visible de tous, de la « sphère privée » plus intime. Cependant au XVIIIème siècle, la Révolution française donna une définition différentes de ces deux expressions : la « sphère privée » devint le domaine du travail, de la famille et de la religion tandis que la « sphère publique » celui de la politique et de la nation. Dès lors, si des militants politiques trouvent dans des religions la force de leur engagement, il paraît incongru qu’ils soutiennent des religions particulières.

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  • De la guerre froide au multilatéralisme, Washington veut toujours contrôler l'Europe.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Le 12 mars 1947, le président américain, Harry S. Truman, présentait devant le Congrès des États-Unis, sa "doctrine" visant officiellement à l'endiguement du communisme.
    Louable projet en apparence que celui de contenir l'abominable menace de la dictature rouge et la montée en puissance, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, des partis communistes au ordres de Moscou.
    Mais le véritable objectif de ce vaste plan de soutien économique, militaire et "moral" aux démocraties avait un autre objectif : le contrôle absolu de l'Europe par les Etats-Unis et son asservissement par Washington dans la continuité de la politique wilsonnienne menée depuis 1918, et de la vision iréno-hégémonique de Roosevelt.
    En s'abandonnant ainsi au bon-vouloir de l'Amérique, l'Europe occidentale échangeait un internationalisme pour un autre et se condamnait à n'être qu'un appendice continental d'une puissance étrangère, dépendance politique et sociétale au même titre - en plus riante - qu'elle l'aurait été sous main-mise du bloc soviétique.
    Au moment où Joe Biden et sa nouvelle administration rompent avec l'isolationnisme - au demeurant très relatif - de Donald Trump et renouent, sous couvert de multilatéralisme, avec une politique interventionniste de relance internationale de la puissance américaine, il n'est pas inutile de se souvenir de ce que furent les vrais ressorts de la Guerre froide.
  • Avril 1917 : L’intervention américaine dans la Première Guerre mondiale

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    Le concept allemand de Weltpolitik (politique mondiale), à l’époque de Guillaume II, était fort utilisé et prisé ; il indiquait qu’en théorie, le Reich voulait jouer un rôle planétaire, ce qui n’a pas empêché les Allemands de figer leur pensée politique dans des catégories continentales européennes et non pas mondiales. La guerre qui se déclenche le 1er août 1914 prend rapidement des dimensions globales mais la politique et la diplomatie allemandes n’y étaient pas préparées. Elles n’avaient pas tenu compte d’une possibilité, pourtant prévisible : l’implication dans le conflit du potentiel militaire, industriel et militaro-industriel des États-Unis, dont le poids serait déterminant dans l’issue du conflit.

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  • Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) ou les écuries d’Augias. 1/2

    Et même si nous évoquons dans ce titre l’ignominie des lieux, nous voulons surtout exprimer le « Grand Décrassage » de nos banlieues devenu indispensable pour éviter la disparition de notre pays, gangrené par certaines conséquences de l’immigration. Comme Héraclès en reçut la mission…

    Nous en avons déjà exposé la méthode qu’il nous suffit donc de rappeler :

    1/ la peine de mort… incompressible (!) pour tous les trafiquants,

    2/ vider intégralement les banlieues de nos villes, hauts lieux de ces trafics, de tous les trafiquants et selon la méthode que nous avons déjà souvent indiquée. Il faut les nettoyer comme nos soldats savent nettoyer une kasbah :

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  • Marsault : « On arrive au bout d’un système moisi et corrompu » (Vidéo)

    Marsault est un dessinateur humoristique et auteur de bande dessinée français.

    Autant controversé qu’adulé, Marsault s’est fait connaître par un dessin brutal, qui bat en brèche le politiquement correct notamment avec la série à succès Breum et le personnage d’Eugène. Il publie chez Ring aux côtés de Papacito ou encore de Laurent Obertone. Il incarne une pensée très discordante qui lui a valu de nombreuses attaques et de polémiques alors même que Marsault compte une large communauté très fidèle à ses dessins


    via Breizh Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/marsault-on-arrive-au-bout-dun-systeme-moisi-et-corrompu-video

  • Irlande 30 janvier, le dimanche sanglant

     

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    "Les larmes coulent lentement le long de mon visage

    Et mon coeur s'embrase par tant de douleur

    Repensant tristement à ce jour où la bêtise fit un ravage

    Et pointant l'armée Britannique d'un doigt accusateur"

    (extrait d'un poème de "Bloody sunday 013 sur : Forum "je poème")

    Les premiers "Bloody sunday" de 1887 et 1920

    Le chemin vers la liberté des irlandais est borné de journées sanglantes dont plusieurs, qui se déroulèrent le dimanche reste dans les mémoires comme des "bloody sunday"

    Le premier est une dispersion violente d'une manifestation organisée le 13 novembre 1887 par la "Social Democratic Federation" et l'"Irish National League". La charge de la police montée londonienne fit  deux morts et cent-cinquante blessés dans les rangs des ouvriers venus réclamer pacifiquement une amélioration de leurs conditions de travail.

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  • Covid-19 : entretien avec une infirmière en première ligne, par Maxime Briand.

    Dans un style direct et sans faux-semblant, une infirmière, urgentiste à Paris, nous a livré son témoignage sur la manière dont elle a ressenti le choc qu'a constitué le déferlement de l'épidémie sur l'hôpital. Pour d’évidentes raisons, cette infirmière a souhaité conserver l’anonymat.

    Propos recueillis par Maxime Briand, de l’ISSEP

    Chaque année les syndicats et personnels hospitaliers organisent des manifestations pour mettre en garde contre les conséquences de la suppression de postes et de la diminution du budget et du nombre de lits. Comment l’hôpital public a-t-il fait face au Covid avec ces conditions alarmantes ?

    Nous avons effectivement dû faire face à une pénurie de matériel de protection. Durant la « première vague » de mars/avril, nous avons manqué de solutions hydro-alcooliques et de sur-blouses pour nous protéger. Nous devions alors garder la même blouse durant toute la nuit en notant notre nom dessus.

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