Depuis la parution du livre d’enquête « Les Fossoyeurs » du journaliste indépendant Victor Castanet qui révèle des pratiques inqualifiables au sein des établissements du groupe, Orpéa est sous le feu des critiques. Mercredi 2 février, Le Canard enchaîné révèle que Yves Le Masne, l’ex-patron d’ Orpéa, limogé dimanche soir par le conseil d’administration, a vendu toutes ses actions de l’entreprise en juillet dernier et ce, trois semaines après avoir appris l’existence de l’enquête de Victor Castanet. Au total, Yves Le Masne s’est séparé de 5456 titres pour un montant total de 588 157€. A l’époque, le titre cotait à 107€. Bien plus que son cours actuel de 38€, l’action s’étant effondrée depuis la révélation des manquements d’Orpéa.
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Roubaix : subventions à une association soupçonnée de prosélytisme religieux. Le maire va être jugé
Soupçonné de « détournement de fonds publics par négligence », le maire de Roubaix Guillaume Delbar devrait comparaître devant le tribunal, ce mardi. Le procès pourrait cependant être reporté, à la demande de deux des quatre avocats, rapporte La Voix du Nord.
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Cassandre Fristot et Alain Escada sur ERFM pour répondre aux questions sur le catholicisme traditionaliste
C’est une émission qu’il faut écouter et partager. Deux figures de Civitas, Cassandre Fristot, responsable Civitas du Grand Est, et Alain Escada, président du mouvement, étaient les invités d’ERFM pour un entretien d’un haut niveau spirituel. L’objectif d’ERFM était de faire mieux découvrir le « catholicisme traditionaliste », selon les mots des animateurs de cette émission radio. Gageons que cette émission donnera en effet à certains l’envie de découvrir le vrai catholicisme.
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L’opacité de la Commission européenne sur ses négociations avec Pfizer-BioNTech
« Faites ce que je dis, pas ce que je fais » : cette phrase est sans doute celle qui résume le mieux l’attitude d’une Commission européenne arrogante et donneuse de leçons vis-à-vis des gouvernements des Etats membres. Des leçons sur la transparence notamment, mais une transparence qui doit s’appliquer à tous sauf à… la Commission elle-même.
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ERIC MORILLOT : Peut-on faire du journalisme autrement que les médias mainstream ?
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Nos points de faiblesse
La scandaleuse expulsion de notre ambassadeur à Bamako, après que le gouvernement malien a renvoyé les soldats danois de la force Takuba, devrait nous inciter à réfléchir.
Depuis 2014, en effet, lancée par le regrettable Hollande, l'opération Barkhane a d'abord sauvé le Mali de sa désagrégation étatique, de la menace islamo-terroriste et, ne l'oublions pas de l'hypothèque sournoise de l'Algérie. Elle mobilise encore 5 000 soldats français. Le nombre de 53 morts, en bientôt 8 ans, ne doit, à cet égard pas nous induire en erreur : le meilleur hommage que nous devons leur rendre est de citer leur indispensable sacrifice en exemple : "nous souhaiterons faire école".
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Une réalité floue : le terrorisme 4/4
L'héritage principal du marxisme réside dans la critique radicale de la démocratie bourgeoise représentative qualifiée de "démocratie formelle". Dans cette société, la citoyenneté politique est dénoncée comme pure illusion. Cette critique de la démocratie est pourtant de plus en plus abandonnée ; par les sociaux-démocrates d'abord ralliés aux valeurs des sociétés occidentales, et par les partis communistes participants du système représentatif occidental. Le PCF en est l'exemple le plus évident.
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La tyrannie islamique, en France, se nourrit de la lâcheté de nos pouvoirs publics et de certains médias.
« Face au danger de l’islam radical, les réponses de l’Etat », ainsi s’appelait le documentaire consacré au fondamentalisme, tourné à Roubaix (Nord), Marseille (Bouches-du-Rhône) et Bobigny (Seine-Saint-Denis), diffusé dans « Zone interdite », dimanche 23 janvier. La chaîne M6 savait alors qu’elle tenait un sujet hautement inflammable. Au point qu’elle avait décidé d’en modérer la promotion, afin de ne pas attiser les passions !
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En Grèce, des refoulements de migrants quasi quotidiens, “au mépris du droit international”
Entre les 29 000 personnes secourues en mer et les moins de 9 000 demandeurs d’asile arrivés officiellement sur le sol grec en 2021, selon les chiffres donnés par le gouvernement d’Athènes, il manque 20 000 réfugiés à l’appel. Autant de personnes repoussées au mépris du droit international, s’indignent des associations.
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L'affaire de la tour de Nesle - Philippe IV le Bel