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L’absence de Dieu dans notre monde laisse un goût amer de désespérance. L’âme est toute assourdie par l’immense silence de l’absolu et se contriste de devoir vivre en ce désert, où la voix de la Vérité est étouffée en un murmure imperceptible. Elle dont la vocation est de battre à l’unisson avec l’Esprit qui lui donne la vie, ne rencontre nulle part l’écho de son battement ; c’est en vain qu’elle attend la pulsation fraternelle, la réponse à la question laissée en suspens, qu’elle guette le reflet de son être !