Le deuxième échec de Naval Group à conserver un marché majeur, en moins d'un an, signifie non seulement que les leçons du premier échec - les sous-marins australiens - n'ont pas été tirés; mais, surtout, que le monde dirigeant français est, à l'image d'Emmanuel Macron, de plus en plus perdu dans la compétition mondiale.
Le groupe espagnol Navantia vient d’obtenir un contrat pour la construction de cinq navires de combat pour la marine saoudienne.