
Les femmes israéliennes victimes du Hamas ont subi les pires atrocités, viols, mutilations, assassinats. Et les associations féministes, ordinairement si promptes à réagir, sont généralement restées muettes. Même mutisme de l’ONU, de ses agences, du « monde intellectuel », des sportifs vedettes ou des gens de spectacle ! Comme s’il y avait de bonnes et de mauvaises victimes et de bons et de mauvais bourreaux. Seuls les journalistes et les chroniqueurs qui refusent l’asservissement idéologique ont souligné cet état de fait et condamné le « deux poids, deux mesures ». C’est bien mais c’est insuffisant, car ce que l’on nomme le « deux poids, deux mesures » n’est pas qu’un aveuglement idéologique. C’est le résultat d’un choix révolutionnaire parfaitement conscient.