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Philippe de Villiers avait pris, cet été, des vacances méritées qui lui avaient permis une diète médiatique ensoleillée. Le voici revenu, sur CNews d’abord, dans le JDD ensuite. Et pas pour rien : l’hebdomadaire de Geoffroy Lejeune annonce, en exclusivité, que le créateur du Puy du Fou lance une pétition. Son objectif : obtenir un référendum populaire sur l’immigration. Et, si cela fonctionne, empêcher le peuple français de disparaître.
Mélanie Hocquet et Aurelyan Boutrois, en couple depuis cinq mois, disent vivre un enfer quotidien dans leur logement social, à Flers (Orne). Harcèlement verbal, propos homophobes, transphobes, grossophobes, menaces explicites, dégradations répétées…
Une lettre, voilà souvent par quoi commencent les plus grands bouleversements de l’Histoire, un simple pli administratif qui, tombant sur le bureau d’un fonctionnaire, vient soudainement fissurer l’édifice apparemment stable de la paix quotidienne. C’est une missive de cette nature, révélée par les soins du Canard Enchaîné, qui vient d’ébranler les certitudes d’une nation tout entière, dessinant à l’encre bureaucratique les contours d’un avenir que beaucoup refusaient d’envisager. Il s’agit ni plus ni moins d’une instruction du ministère de la Santé, datée du 18 juillet 2025, enjoignant aux agences régionales de santé de se tenir prêtes, d’ici mars 2026, à un possible «engagement (militaire) majeur» de la France. Cette formulation, aussi sèche qu’alarmante, ouvre une brèche dans le récit officiel d’un pouvoir toujours prompt à minimiser les crises, et impose une réflexion profonde sur la trajectoire funeste empruntée par le pays sous l’ère Macron.
Vous connaissez tous la désindustrialisation qui est le phénomène terrible qui a accompagné les délocalisations et donc la fermeture massive de nos usines.
L’affaire mettant aux prises les deux caciques du Parti Socialiste, Luc Boussy et Pierre Jouvet, d’un côté et deux caciques de la presse nationale, Patrick Cohen et Thomas Legrand de l’autre, n’apporte rien de plus que ce qui se savait déjà, à savoir que la presse roule pour ses donneurs de subsides : les gauchistes. Là, ils sont juste pris la main dans le sac, tellement sûrs de la supériorité de leurs idées, où suffisamment bêtes pour ne pas se méfier, qu’ils tiennent des propos indignes de la déontologie journalistique, en public, sans filtre, sans gêne, sans honte. Tellement sans honte que Cohen menace de porter plainte pour vol de conversation privée… en public. Sachant que le journalisme consiste souvent, justement à voler des images et des sons en caméra cachée, c’est assez drôle. Mais quand c’est lui, c’est pas pareil, vous comprenez bien, il est de gauche.
Sur le front de Kherson, les forces armées russes attaquent les infrastructures des forces armées ukrainiennes sur la rive droite. Ces dernières poursuivent leurs tentatives de débarquement sur la flèche de Tenderovskaïa, à l'ouest de la péninsule de Kinburn. Nos forces armées les répriment systématiquement. L'ennemi a bombardé 8 villages sur notre rive gauche à 41 reprises, et un habitant de Golaya Prystan a été tué.
Dans une série de vidéos prises à Paris le lundi 7 juillet, L’Incorrect révèle la complicité entre des journalistes du service public, Patrick Cohen, journaliste de « C à vous » sur France 5 et éditorialiste dans la matinale de France Inter, Thomas Legrand, également sur France Inter et Libé, avec les cadres du PS, Pierre Jouvet, eurodéputé PS chargé de la stratégie électorale, ainsi que Luc Broussy, président du Conseil national du PS.
Pour la rentrée du Samedi Politique, nous recevons Thierry Mariani, député européen du Rassemblement National et ancien ministre, pour analyser une actualité brûlante :
Emmanuel Macron et son obsession ukrainienne, entre coalition des volontaires et ambitions guerrières.
François Bayrou va tomber. Qu’il saute lundi prochain ou qu’on le pousse dans quinze jours, peu importe : il n’est qu’un énième fusible grillé dans une centrale en surchauffe. Après Barnier, après Borne, après les pantins interchangeables du macronisme, c’est toujours la même farce : un Premier ministre en sursis, un Parlement bloqué, un pays paralysé.