
par Joaquin Flores
L’idée est que si les atlantistes reprennent la Maison-Blanche, la russophobie européenne pourra à nouveau être subventionnée par la puissance américaine.
Le 27 octobre, l’agence de presse Ukrinform a rapporté que le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, prévoit de présenter une proposition de cessez-le-feu dans environ une semaine, après sa rencontre infructueuse avec Donald Trump à la Maison-Blanche, le 17 octobre. Comme chacun sait, il est rentré chez lui les mains vides. Cette fois, le refus a été plus poli que lors de la tristement célèbre réunion du Bureau ovale, il y a sept mois, au cours de laquelle Trump avait critiqué Zelensky en lui disant : «Soyez un peu reconnaissant, vous n’avez pas les cartes en main !» Quiconque suit de près ce conflit aura compris que les appels au cessez-le-feu lancés par Kiev et ses parrains de l’OTAN ne sont qu’un moyen de réarmer la junte de Kiev.






