par José Goulão
Les dirigeants de l’Union européenne ont toutes les raisons de se gaver d’anxiolytiques, mais ne peuvent en vouloir à Trump.
Miroir de son propre désarroi, le régime néolibéral et ses relais médiatiques s’autodiagnostiquent, à l’unisson, une «tendance anxieuse» européenne face à l’accession de Donald Trump à la présidence des États-Unis.