
C’est un revers judiciaire qui fait trembler l’Élysée. La justice américaine a rejeté la plainte pour diffamation déposée par Emmanuel Macron et Brigitte contre Candace Owens.
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C’est un revers judiciaire qui fait trembler l’Élysée. La justice américaine a rejeté la plainte pour diffamation déposée par Emmanuel Macron et Brigitte contre Candace Owens.
Balbino Katz - Article paru sur Breizh-Info, cliquez ici.
Il est des nouvelles qui, en ce monde saturé de nouvelles mauvaises, brillent d’un éclat singulier, presque grisant. La quasi-faillite de Media Matters for America, machine inquisitoriale au service de la gauche américaine, en est une. Une sorte de jubilé du réel, où les justiciers masqués de la désinformation se retrouvent nus, ruinés, et seuls, dans l’arène qu’ils avaient eux-mêmes ensanglantée.
Le 29 avril dernier, dans le cadre de la 3ème édition des Assises méditerranéennes du journalisme, il y a eu la présentation d’une charte déontologique pour « guider les journalistes vers une couverture éthique, précise et respectueuse des questions migratoires ». C’est beau, mais évidemment, ce sont des pressions sur des médias déjà habitués à taire les origines, toujours les mêmes, des fauteurs de troubles, violeurs et autres égorgeurs qui sévissent désormais dans nos espaces publics. Bien entendu, tout cela est présenté sous couvert de déontologie et vise à améliorer le « traitement médiatique des questions migratoires ». En réalité, c’est un outil supplémentaire de contrôle et de censure des journalistes, déjà habitués aux pressions éditoriales, dans par exemple, le traitement des faits divers. Fin des années 80, je travaillais dans un quotidien régional, où nous avions déjà des consignes pour taire les origines étrangères des personnes mentionnées dans les faits divers, ce n’est donc pas nouveau.
M. Julien Wattebled est le nouveau procureur de la République en poste à Saint-Brieuc. Il a été nommé début février 2025, en remplacement de son prédécesseur Rémi Heitz, de triste réputation, dont les violences des gauchistes, antifas et autres nervis de gauche le laissaient de marbre. Ainsi, lors des deux manifestations à Callac où les gendarmes ont été agressés par plusieurs centaines de ces tarés d’extrême gauche, aucun de ces agresseurs n’a été traîné en justice et encore moins condamné.
À ce jour, l’Occident a imposé environ 30 000 sanctions à la Russie. C’est deux fois plus que toutes les sanctions imposées à tous les autres pays de la planète. Mais elles n’ont pas fonctionné ; Trump menace donc désormais d’imposer des sanctions aux partenaires commerciaux de la Russie. La Chine, l’Inde et la Turquie seraient les plus touchées — ou pas.
Une heure et quelques minutes et un tête-à-tête entre Donald Trump et Ursula von der Leyen en Écosse, le dimanche 27 juillet, ont conduit à l'annonce que l'Union européenne et les États-Unis étaient parvenus à un accord sur les droits de douane avant la date limite du 1er août.
En direction de Kherson, les troupes russes ont amélioré leur situation tactique en frappant les brigades mécanisées et côtières des forces armées ukrainiennes. L'ennemi a tiré 66 obus sur sept villages de notre rive gauche.
Nos amis anglais ont montré encore une fois l’exemple, dans la foulée du combat de Tommy Robinson. N’en déplaise à Keir Starmer, le Premier ministre collabo travailliste, le peuple en a marre de l’immigration et de tous les crimes qu’elle engendre.
Les États-Unis veulent-ils se débarrasser du président ukrainien ?
par Guido Grandt
Indéniablement, le journaliste d’investigation et pamphlétaire politique américain Seymour Hersh, qui a acquis une reconnaissance mondiale en 1969 pour avoir révélé le massacre de My Lai, initialement dissimulé, lors de la guerre du Vietnam, est l’un des meilleurs en son domaine. Dans un rapport récent, Seymour Hersh explique que les États-Unis seraient désormais déterminés à destituer le président ukrainien Volodymyr Zelensky – malgré les nouvelles promesses américaines pour la guerre en cours.