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anti-national - Page 268

  • La peur des minorités et le cadenas législatif

    Pleven, Gayssot, Avia, la peur qu’éprouvent certaines minorités et la peur qu’elles diffusent autour d’elles conspirent à élaborer un véritable cadenas judiciaire à travers lequel la liberté de penser trouve de moins en moins son compte et où la simple justice est oubliée. Police de la pensée et insincérité obligatoire : l’espace public devient un enfer. GT

    Depuis le 28 septembre, la chasse est ouverte. Presse, pouvoirs publics, justice, firmes italiennes de pâte à tartiner à la grande conscience, tout le monde veut la peau de celui qui a osé prendre la défense du mâle blanc hétérosexuel catholique, et dénoncer l'Islam comme religion d'occupation. Faites-le taire ! Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ! Le pilori serait encore une peine trop douce. Le système veut la tête, la mise à mort sociale d'Eric Zemmour. La Justice s’associe pour son déshonneur à cette odieuse et pernicieuse censure. Elle poursuit le paysan du Danube, celui qui, avec des mots tranchants et désagréables, a le courage de désigner les plaies à vif de sa patrie blessée. Le polémiste qui nomme le mal provoque à la guerre civile : il est donc poursuivi pour incitation à la haine, et diffamation raciale.

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  • Delevoye : une honte qui donne raison aux Gilets jaunes

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    On nous a dit et répété durant des semaines que  était un homme remarquable, qu’il avait une riche expérience, et que pour traiter le problème des retraites il serait compétent et exemplaire.

    Je n’ai jamais rien compris à ses propos sur ce plan. Mais comme je suis très ignorant à ce sujet, je n’en tire aucune conclusion décisive à son encontre. On avait cependant l’impression à l’entendre que s’il ne doutait pas de lui-même, il avait tout de même du mal à convaincre les autres.

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  • Nouveaux tweets islamophobes d'Agnès Cerighelli, ancienne élue LREM, sur les agents RATP

    Nouveaux tweets islamophobes d'Agnès Cerighelli, ancienne élue LREM, sur les agents RATP
    © LP
    À l'occasion de la grève de la SNCF et de la RATP, Agnès Cerighelli s'est fendue de nouveaux tweets islamophobes accusant la direction de la RATP d'avoir "embauché trop d'arabo-musulmans" qui traiteraient les usagers "comme du bétail".
    Il y a quelques semaines, Agnès Cerighelli a déjà lourdement dérapé, commentant sur Twitter un baiser entre deux chroniqueuses de l'émission TPMP sur C8 : "En raison du délit de diffamation publique à raison de l’orientation sexuelle, rien désormais n’est critiquable. Tout acte homosexuel peut être montré à la TV devant les enfants. La propagande LGBT se poursuit en toute licité sur toutes les chaînes françaises. Honteux ! #TPMP" .
    Voilà que ce vendredi, elle s'en prend cette fois-ci à l'une de ses cibles favorites : les musulmans.
    Trop d'agents "arabo-musulmans" selon Agnes Cerighelli
    En effet, à l'occasion de la grève interprofessionnelle contre la réforme des retraites proposée par le gouvernement, l'ancienne élue de la majorité s'est à nouveau fait remarquer sur Twitter en réagissant aux perturbations du trafic des métros et RER parisiens, à la suite de la mobilisation de la RATP et de la SNCF.
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  • 10 années de procédure et une levée d’immunité parlementaire pour aboutir à une relaxe

    10 années de procédure et une levée d’immunité parlementaire pour aboutir à une relaxe

    Le tribunal correctionnel de Paris a relaxé vendredi l’ancien président du Front national Jean-Marie Le Pen, poursuivi pour avoir dit en 2009 que 90 % des faits divers ont à leur origine soit un immigré soit une personne d’origine immigrée.

    L’infraction n’est pas constituée a estimé le tribunal, qui a débouté SOS Racisme de ses demandes de dommages et intérêts. Les personnes immigrées ou “d’origine immigrée” visées par Jean-Marie Le Pen, en l’absence d’aucun autre élément permettant de caractériser une communauté déterminée, ne constituent pas un groupe […], ces personnes pouvant être françaises et n’ayant donc pas pour point commun leur non-appartenance à la nation française, a-t-il jugé.

    Lors de l’audience, l’avocate de SOS Racisme avait dénoncé un amalgame entre immigration et délinquance, en rappelant que le chiffre de 90 % ne pouvait pas exister, les statistiques ethniques étant interdites en France.

    La proportion est peut-être un peu excessive mais c’est ce qui me saute aux yeux quand je regarde les pages “Faits divers”, avait commenté Jean-Marie Le Pen.

    Jean-Marie Le Pen avait invoqué son immunité d’eurodéputé pour justifier son refus de se présenter devant le juge dans cette affaire. Le Parlement européen avait fini par lever cette immunité en juin 2017, à la demande de la justice française.

    Dans le tome 2 de ses Mémoires, Jean-Marie Le Pen évoque longuement cette persécution judiciaire incessante, encore aujourd’hui, de la part d’opposants, d’associations subventionnées, du fisc, de procureurs politiques, qui ont cherché à l’asphyxier.

    https://www.lesalonbeige.fr/10-annees-de-procedure-et-une-levee-dimmunite-parlementaire-pour-aboutir-a-une-relaxe/

  • Qui décide de nos peurs ?

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    Jamais sans doute société n’avait tenté de taire ses peurs en gérant l’atmosphère anxiogène qu’elles produisent en faisant appel soit à la justice soit à une sorte de mise en scène manichéenne des bonnes et des mauvaise peurs, des peurs interdite et de peurs encouragées.

    C’est devenu un truisme de dire que nous nous trouvons dans une société de plus en plus violente. Qui dit violence dit peur de la violence. De même que, dans les sociétés occidentales, la violence est partout : elle est dans un regard échangé, dans un cambriolage en pleine après-midi, dans une manière de conduire sa voiture… De même la peur, qui anticipe sur la violence, se nourrit de ces violences quotidiennes elle croît de cette insécurité chronique et se niche comme à demeure au creux de nos ventres.

    Peur du progrès

    Le célèbre historien Jean Delumeau disait « Dans l'histoire des sociétés les peurs évoluent mais la peur reste » Le progrès n’est pas parvenu à éliminer la peur du cœur de l'homme, pas même à la diminuer, malgré les anxiolytiques. Au contraire, il suscite toujours de nouvelles raisons d'éprouver une insécurité nouvelles épidémies, destruction de la nature et pollution, malbouffe et produits cancérogènes, génocides et guerres totales sans cesse renaissantes dans certains coins du monde. La peur se porte bien ! Elle a toujours été le ressort le plus important dans les comportements humains, puisque c'est au fond la mort qui est crainte et que la mort, certes évitable, reste inéluctable. Elle était portée autrefois par les forces de la nature, tremblements de terre, épidémies, dérèglements climatiques et famines. Elle vient aujourd'hui de ce progrès qui devait faire le bonheur de l'humanité et dont on se demande s'il ne risque pas d'ouvrir en réalité sur la fin du monde.

    Le progrès a rendu les communications de plus en plus faciles entre les hommes sur notre Planète. Chacun peut se féliciter, en son for intérieur, d'une telle ouverture et de la suppression des frontières qu’elle semble indiquer. Voilà un fruit du progrès qui honore l'homme et manifeste sa grandeur, dit-on ! Hélas, il faut y regarder de plus près. Un Georges Valois entre les deux guerres, avait largement annoncé ce monde sans frontière que nous sommes en train de vivre. Il y voyait non pas un fruit de je ne sais quel avenir radieux, mais la principale occasion de craindre l'avenir « Supposez les frontières abolies, disait-il, en vertu des conceptions mercantiles du monde Que se produit-il ? Par un mouvement lent ou rapide, individus, familles et peuples tendent à se porter vers ces régions tempérées du globe où leurs efforts reçoivent le bienfait quotidien de la lumière et de la chaleur En quelques années, toutes ces régions seront surpeuplées Qui cédera la place à l'autre du nouveau venu ou de l’ancien occupant ? On se battra sur place pour en décider et l’on se battra selon la règle hideuse des guerres de peuples à peuples qui sont sans merci » C'est le vieux syndrome de Babel qui est ici décrit. Ce mécanisme n'a pas encore donné lieu - Dieu merci ! - à de véritable guerre, mais les migrations transcontinentales existent, le malaise est palpable dans tous les pays où elles ont lieu (voir les 3,5 millions de Syriens en Turquie), avec l'inquiétude que cela suscite fatalement chez ceux qui doivent servir d'hôtes à des populations de plus en plus importantes.

    Peur multiculturelle

    La cohabitation pacifique entre les peuples est un événement qui, malgré feu la SDN et malgré l'ONU d'aujourd'hui, n’a jamais eu lieu dans l'histoire de l'humanité. Le mélange n’est pas un bon carburant social. Il peut exister des sociétés mélangées, comme le Brésil. Malgré les chiffres épouvantables de la violence dans ce pays (plus de 60 000 homicides par an), c'est une société qui n’est pas vraiment mise en danger dans son existence. Mais l'immigration incontrôlée qui permet à des populations de reformer leur solidarité de l'autre côté de la mer, comme nous le constatons dans notre pays, promet de plus graves déséquilibres encore. L’ancien président de la République François Hollande a parlé, on le sait, d'un risque de partition. L'ancien ministre de l'Intérieur du président Macron a parlé des dangers d'un « côte à côte » qui devient un « face à face ». La République a montré qu’elle savait absorber les individus. Elle n'a jamais su absorber les peuples comme le montre l’absurde départementalisation française de l’Algérie.

    Le paradoxe est saillant lorsque l’on se rend compte que ceux qui revendiquent une culture islamiste (femmes voilées, gandouras, heures de prières, non mixité des relations sociales sont statistiquement d’abord des immigrés de la troisième génération, qui voient croître leur mal-être existentiel. N'étant au fond d'aucun pays, ils trouvent refuge dans un islam politique, social et spirituel, qui comble leur sentiment de vide et leur absence de repère. Ils ne sont plus de leur pays d'origine, qu'ils n'ont pas connu ils ne sont pas du pays dans lequel ils vivent parce qu'ils n’ont pas voulu en adopter les standards de vie ou parce que la machine scolaire dysfonctionne depuis le début de leur cursus. Ensuite, le chômage de masse, qui touche d’abord les classes moyennes ne facilite pas les choses, pour ces fils d'immigrés qui auraient dû s'intégrer.

    Résultat ? Ces chiffres hallucinants parus dans Le Monde peu après l'attentat de Nice et qui disent avec éloquence ce que Laurent Bouvet appelle l'insécurité culturelle 68 % des Français et 75 % des Allemands pensaient à l'époque que les musulmans ne sont pas intégrés dans les sociétés occidentales. Il n’est pas sûr que ces chiffres seraient très différents aujourd'hui, surtout après le nouvel attentat au cœur du système de sécurité nationale, à la Préfecture de police, dans les services voués au renseignement intérieur.

    Peur fantasmée

    Le modèle multiculturel tant vanté est d'ores et déjà un échec, tout le monde le sait, tout le monde le sent, même si personne n’ose trop le dire, pour ne pas attenter à un ordre public déjà branlant et qu'un rien peut mettre en cause jusqu'à son fondement. La peur véritable, peur de parler, peur de ne pas parler, peur mutuelle, des autochtones aux allogènes et des allogènes aux autochtones, elle est dans cette nouvelle mixité sociale obligatoire. Le paradoxe est le suivant tout système social a pour but la sécurité de ses membres, c'est ce qui fait que les uns acceptent l’autorité des autres. La sécurité est la valeur sociale numéro 1, il suffit de lire Thomas Hobbes pour le comprendre, comme le fit Bossuet. Mais nous ne sommes plus au temps de Bossuet et de Hobbes. Cette fois, avec l’extension du multiculturalisme, le danger vient de la société elle-même. Cet ordre social aurait dû fournir la paix aux hommes qui lui ont fait confiance.

    apparaît de plus en plus comme structurellement fauteur de tensions, de luttes, de guerres internes peut-être. Pour s’excuser de ne pas savoir unifier les cœurs, il reste à un Etat décrédibilisé l’argent du contribuable, cette redistribution économique les hommes politiques font semblant de croire que cette manne va suffire à tout. Elle laisse dans les cœurs une frustration profonde : celle de n'avoir jamais assez, et donc de n'être pas en paix, avec les autres, et finalement souvent avec soi-même.

    Que faire d'une peur aussi irrationnelle et aussi réelle en même temps ? Que faire quand la peur naît de la société, qui devrait être la source de la paix ? Il faut interdire de penser à toutes ces raisons de l'insécurité culturelle, pour ne pas aggraver la peur. C'est ce que nous montre bien dans ce dossier Maître Belmont. Mais il est difficile de s’en tenir pour quitte avec la peur. Comme dit Delumeau « Dans l'histoire des sociétés, les peurs évoluent, mais la peur reste ».

    Il faut donc inventer des peurs, qui permettront de défouler des peurs réelles dans des peurs fantasmées. Comme tout fantasme, l’objet de ces peurs nouvelles n’est pas complètement illusoire. Mais l'imaginaire n’est pas le réel. Le stade du miroir dont parle Lacan, ce blocage de la psychologie au stade infantile de l’autoadmiration, ou plutôt de l'autoémotion, n’est pas forcément dans l’erreur complète. Mais il est issu d'une psychologie narcissique, qui met l'image du moi au-dessus de tout. Louis Lavelle parlait de l’erreur de Narcisse. On pourrait parler aujourd'hui, parce que cela rejoint le même processus psychologique de l’erreur de Greta et de toute cette jeunesse qui a peur pour l’avenir du monde, dans une sorte d'emballement terrorisé.

    C'est ainsi qu’on entend les politiques dire : il ne faut pas jouer avec les peurs, tout en étalant complaisamment la peur écologique, peur permise, peur bénéfique, peur qui fixe les peurs en dehors du jeu dyssocial dans lequel, pourtant, on trouve évidemment leur origine, peur à laquelle on peut enfin se livrer, peur qui délivre de cette peur d'avoir qu’engendrerait un seul regard objectif situation sociale actuelle.

    Où aboutissent ces peurs autorisées ? Parce qu’elles relèvent avant tout de l'imagination elles font flirter ceux qui s'y adonnent avec le néant. Dans une sorte de démarche religion inversée, à l'image de ces religions païennes qui jouaient tant sur la peur de leurs membres, ces mouvements spirituels écologistes évoquent la fin du monde toute proche (selon eux, au moins si l’on ne passe pas la marche arrière de la décroissance). Ils enseignent le refus des enfants à naître (autant d'empreintes carbones supplémentaires !) et la rébellion contre la société, parce qu’elle protège mal les citoyens. L'une des sectes écolos les plus connues, lancée en Grande Bretagne en 2018, mais qui a désormais une extension mondiale, répond au doux nom d'Extinction rébellion. Sa devise ? « L’espoir est mort, l’action commence ». Fondé sur cet effroi que Greta (l’une des cofondatrices) donne à voir au monde entier, ce mouvement exprime parfaite l’angoisse qui tenaille des intellectuels et des jeunes, qui n’ont plus droit à la peur réelle et pratiquent à cet égard une scrupuleuse autocensure, mais qui peuvent rêver leur peur, en faisant un théâtre d'horreur aux dimensions de la planète.

    Je précise pour terminer que je ne mets pas en cause le changement climatique. Le climat change au cours de l'histoire. Au Moyen-Âge, on a donné au Groenland ce nom de « terre verte » qu'il reméritera sans doute un jour. Mais comment prouver l’origine anthropique de ces changements ? Même les  savants stipendiés du GIEC n'y parviennent pas.   

    Guillaume de Tanoûarn monde&vie  24 octobre 2019

  • Jean-Marie Le Pen relaxé...

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    Le tribunal correctionnel de Paris a relaxé aujourd'hui l'ancien président du Front national Jean-Marie Le Pen, poursuivi pour avoir dit en 2009 que « 90 % des faits divers ont à leur origine soit un immigré soit une personne d'origine immigrée ».

    La décision du tribunal « est une victoire du bon sens et une victoire du droit », s'est félicité vendredi l'avocat de Jean-Marie Le Pen, Me Frédéric Joachim, assurant qu'il n'y avait « pas de haine dans les propos » de son client.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/12/13/jean-marie-le-pen-relaxe-6198055.html

  • Nathalie Goulet : « Il faut une vérification complète de tous ceux qui perçoivent des prestations sociales »

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    La sénatrice Nathalie Goulet, membre de la commission des finances, persiste dans sa lutte contre la fraude aux prestations sociales, en particulier vis-à-vis des étrangers et des doubles nationaux. Elle veut davantage sécuriser l’attribution de ces prestations en demandant des contrôles accrus, notamment des « preuves d’existence » des bénéficiaires.

    https://www.bvoltaire.fr/nathalie-goulet-il-faut-une-verification-complete-de-tous-ceux-qui-percoivent-des-prestations-sociales/

  • Algérie : toujours la vieille mafia fellagha

    Algérie : toujours la vieille mafia fellagha

    De Bernard Antony :

    Comme cela était prévisible, « l’élection présidentielle » ce dernier jeudi en Algérie, n’a pas été du goût de l’immense majorité du peuple algérien. Une « mascarade », comme l’ont hurlé, le lendemain, des centaines de milliers d’Algériens, à Alger et dans toutes les grandes villes du pays.

    L’« heureux élu », si l’on peut dire, s’appelle Abdelmajid Tebboune. Âgé de 74 ans, il a toujours été un des personnages de la nomenklatura fellagha, ancien Premier Ministre  de Bouteflika.

    Il est intéressant, et même émouvant, de noter que sur les centaines de pancartes brandies à Alger par les manifestants, presque toutes les inscriptions étaient en français. Sur l’une, on pouvait lire : « Tous les pays ont une mafia, en Algérie, c’est la mafia qui a un pays ».

    Bien sûr, toutes les forces du régime avaient été mobilisées pour pousser les électeurs dans les bureaux de vote. Mais, malgré cela, la participation n’a pas atteint le 40 %. Il y avait 5 candidats, interchangeables, tous sortis du même moule fellagha. Tebboune, sans doute le préféré de l’armée, a obtenu… 58 % de ces 40 %, soit à peine un peu plus de 23 % des inscrits.

    Quoi qu’il en soit, ce sont 60 % des Algériens que le régime n’a pu faire voter. L’avenir de l’Algérie est dans cette réalité.

    A voir, ces électeurs qui glissent leur bulletin dans la poubelle !

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  • Tresses et détresse de Greta Thunberg à la une du Time

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    La photo du Time a saisi l’Amérique. Là, sur la couverture du magazine,  est debout sur un rocher balayé par les embruns d’une mer déchaînée. Cheveux au vent… Mais… Que ? Quoi ? Qu’est-ce ? Le lecteur n’en croit pas ses yeux. Pincez-moi, je rêve ! Les tresses ont disparu. Emportées par le souffle du large ou dénouées en catimini par un odieux climato-sceptique qui aurait opéré à la faveur du sommeil de la jeune rebelle ? Le mystère demeure. Touchée par cette amputation capillaire sans précédent dans l’histoire du réchauffement, la rédaction du Time a décidé d’élire Greta Thunberg personnalité de l’année 2019.

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