
Après la nuit de violences ayant vu s'affronter, à Aurillac (Cantal), plusieurs dizaines de jeunes au visage masqué ressemblant furieusement aux Black Blocs que l'on ne présente plus, L'Humanité exprime son « incompréhension » et Libé se demande : « Que s'est-il passé en marge du festival ? » Même France Info manie l'euphémisme avec « une première soirée teintée de violences ». La presse de gauche et d'extrême gauche a du mal à reconnaître ses enfants, derrière ses vitres teintées. Et le réel. Alors, aidons-la un peu.






