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anti-national - Page 615

  • Pacte international sur les migrations, péril mortel en approche

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    Dans notre article du 23 avril 2018, Polémia a insisté sur le pacte mondial pour les migrations qui aura été une des grandes affaires de l’ONU et de l’OIM (Organisation Mondiale pour les Migrations) en 2018 et sur les dangers qu’il représente pour la souveraineté de notre politique d’immigration face au raz de marée humain annoncé.
    Ce pacte a été entériné le 13 juillet dernier par 192 pays, les Etats Unis ayant refusé de se joindre au concert international, et sera  signé en décembre à Marrakech.
    Il convient de souligner que la Hongrie, en se retirant de ce pacte le 18 juillet, s’est mise courageusement et une fois de plus, en état de dissidence envers l’immigrationnisme globalisé après avoir décidé d’être à la pointe de la Résistance en Europe.

    2018 doit être l’année du pacte mondial et Onusien pour les migrations

    Initiée par les Etats-Unis et l’ONU en 2016, l’idée de ce pacte a été relayée par un battage médiatique  mondial particulièrement intrusif et les déclarations du directeur général de l’OIM et surtout celles du secrétaire général de l’ONU, Antonio Gutteres, qui fut premier ministre socialiste du Portugal et haut-commissaire des réfugiés des Nations Unies de 2005 à 2015.

    Antonio Gutteres, par ses propos, a balisé le programme de ses nouvelles fonctions :

    • « Bâtir des frontières sensibles au besoin de protection des personnes », en réalité les ouvrir bien large.
    • « Partager le fardeau » de la crise migratoire.
    • « Développer des opportunités d’immigration légale, seule façon de lutter contre les réseaux criminels ».

    En septembre 2016, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la Déclaration de New York pour les réfugiés et les migrantset ouvert la voie à des négociations intergouvernementales visant l’adoption de deux nouveaux traités mondiaux en 2018 : le Pacte mondial sur les réfugiés et le Pacte mondial pour des «  migrations sûres, ordonnées et régulières ».

    Un document préparatoire de ce pacte a été rendu public au début du mois de février 2018.

    L’actualité du pacte

    Au terme du sixième et dernier round des négociations intergouvernementales, l’ONU a décidé le 13 juillet dernier du texte du pacte mondial sur la migration qui doit être formellement adopté à Marrakech les 10 et 11 décembre prochain. Ce sont au total 192 membres des Nations unies qui ont entériné cette idée d’un « pacte mondial  pour une migration sûre, ordonnée et régulée ».

    C’est donc une étape importante qui vient d’être franchie sans qu’elle attire plus que cela l’attention et l’intérêt dans notre pays.

    La portée du pacte

    Ce document contient 23 objectifs conformes à l’idéologie immigrationniste, visant à ce que les migrants, qui « recherchent une vie meilleure ou fuient la violence et la pauvreté, puissent le faire de manière sûre, prévisible et ordonnée » et débouchant sur des mesures concrètes comme des voies sûres et légales de migration, l’accès à des documents d’identité pour tous les migrants, l’accès à une assistance légale, la fin des visas de travail qui lient la personne migrante à un seul employeur etc…

    Le pacte part du postulat qu’aucun pays ne peut faire face seul à la migration et met en avant la nécessité d’une « approche globale pour optimiser les avantages de la migration ». C’est pourquoi, pour ses inspirateurs, celui-ci offre à la communauté internationale une occasion rare d’apporter une contribution déterminante à la gouvernance mondiale des migrations et de la doter d’une approche inédite de cette gouvernance.

    Certes, au-delà des propos diplomatiques convenus et des slogans humanitaires, la plupart des Etats apparaissent prudents, soucieux de préserver leur souveraineté et opposés à l’instauration d’un « droit de migrer ». A ce titre le document entériné le 13 juillet n’est pas légalement contraignant et est présenté comme une première plateforme de gestion du phénomène international des migrations a déclaré le porte-parole du président de l’assemblée générale de l’ONU, Miroslav Lajcàk.

    Il n’en demeure pas moins que certainement pas en 2018 mais à moyen terme, il est à craindre que ce soit ce fameux « droit de migrer » qui soit instauré au travers de l’évolution politique et diplomatique d’un Pacte devenu un document juridiquement contraignant sous la pression de l’oligarchie mondialiste. La stratégie de celle-ci vise notamment à lier les Etats souverains par des liens constitués par des traités internationaux dont il est très difficile de se défaire comme nous le constatons en Europe.

    Les défections : les Etats Unis en 2017 et la Hongrie en 2018

    Comme indiqué ci-dessus ce sont 192 Etats membres des Nations unies, dont la France bien entendu, qui ont entériné le pacte mondial. Les deux cofacilitateurs, l’ambassadeur suisse Jurg Lauber et le Mexicain Juan Camacho ont vanté un effort de coopération historique. Ils ont souligné que l’Union européenne, habituellement divisée sur cette thématique, a parlé « d’une seule voix durant les négociations ». C’est même, selon un participant, l’Autriche qui a pris la parole au nom des membres de l’UE alors que Vienne tente de renégocier toutes les règles du droit d’asile européen.

    Cette belle unanimité doit être relativisée.
    Les États-Unis ont annoncé, fin 2017, qu’ils se retiraient de l’élaboration de ce pacte en raison la nouvelle politique d’immigration de Donald Trump. Cela a été indiscutablement un coup dur pour l’aboutissement du texte mais c’était le seul, même s’il était de poids.

    La Hongrie, quant à elle, s’est retirée du pacte mondial sur les migrations approuvé à l’ONU. Le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a déclaré le 18 juillet à Budapest que le pacte mondial sur les migrations, approuvé à l’ONU, était « dangereux pour le monde et la Hongrie », car il inciterait des millions de personnes à prendre la route. Il a ajouté que la Hongrie ne croyait pas au caractère non contraignant du document et redoutait que l’accord puisse à terme forcer les gouvernements à ouvrir leurs frontières aux migrants.

    En définitive, le pacte mondial sur les migrations avance d’un bon pas, suit ponctuellement son calendrier et sera plus que probablement signé en décembre 2018.

    Certes, il n’est pas juridiquement contraignant. Nous ne saurions cependant trop insister sur le péril mortel qu’il représente pour les pays occidentaux, et pour la France en particulier, le jour où il le deviendra insensiblement selon la méthode Jean Monet, grâce à des clauses discrètes de traités internationaux et des artifices juridiques.

    Et une fois de plus, la Hongrie, en se retirant de ce pacte le 18 juillet, en refusant de se soumettre s’est mise courageusement en état de dissidence envers l’immigrationnisme globalisé après avoir décidé d’être à la pointe de la Résistance en Europe.

    André Posokhow 28/07/2018

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Migrants marchant vers la frontière hongroise – Freedom House [Domaine public] via Flickr

    https://www.polemia.com/pacte-migrations-peril-mortel/

  • Message aux députés macronistes

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    Depuis quelques jours, vous qui avez transformé cette Assemblée nationale en temple macroniste, où vous entérinez sans jamais les contester les décisions prises par le prince, vous me faites pitié. Si si. Et, comme l’avait écrit Henri-Frédéric Amiel, « le dédain vaut mieux que la colère, la pitié mieux vaux que le dédain ».

    Et pourtant, nous tous de l’opposition pourrions avoir quelque dédain pour vous qui, élus par une incroyable circonstance, un engouement comme jamais les électeurs n’en avait connu, votez comme un seul homme (excusez cette expression machiste), le petit doigt sur la couture du pantalon, sur ordre de celui qui vous a fait.e député.e. Une unanimité qui, sous la férule d’un Richard Ferrand aux ordres, fait que notre chambre des députés n’a plus aucune raison d’être puisqu’elle ne fait qu’avaliser ce que, du haut de son trône, Jupiter a décidé.

    Et voilà que c’est à vous, les privilégiés du régime, que le prince a réservé la primeur de sa (fausse) confession. Une confession faite sur le ton méprisant et rigolard pour vous complaire, dédaignant ainsi le peuple qui attendait pourtant une vraie mise au point. Benalla n’est pas mon amant, une réponse à Michel Onfray. Benalla n’a pas un appartement de 300 m², certes, mais les services de votre chef lui avaient bel et bien attribué une résidence quai Branly, ce que n’avait pas nié le directeur de cabinet du monarque. Et vous avez gobé ce discours révélateur. Il vous a avoué sa responsabilité. Sans en tirer les conséquences, bien entendu. Et vous avez, d’un seul élan, murmuré « Quel courage ! ».

    Et de Bagnères-de-Bigorre en pic du Midi, puis à Madrid, le Président, votre Président qui n’est plus celui de tous les Français – s’il ne l’a jamais été -, a poursuivi, sur le ton de la sinistre plaisanterie, qu’il s’agissait d’une tempête dans un verre d’eau qui n’intéressait que les journalistes et l’opposition.

    Une tempête qui prend des allures d’ouragan après la scandaleuse attitude de la présidente LREM de la commission parlementaire à l’Assemblée nationale. Vous l’avez compris, membres de LREM, l’affaire Benalla n’est pas éteinte par l’attitude hautaine de Jupiter. Si l’on en croit Guillaume Larrivé, d’ailleurs, il paraîtrait que le téléphone entre l’Élysée et le parti majoritaire fonctionne à fond.

    Malgré tout, et grâce au Sénat, il est probable que la vérité éclatera. Vous qui avez suivi Emmanuel Macron pour son combat pour la transparence, ne vous sentez-vous pas bernés ? En votre âme et conscience, pouvez-vous affirmer que ce scandale d’État n’est pas devenu un Macrongate, et que cette mise en cause de nos institutions ne nous préoccupe pas tous, vous ses députés, et nous les « pauvres » ? Allez-vous, enfin, vous remettre en cause ? Ou resterez-vous d’une froide fidélité à cet homme qui agit parfois comme un gamin, comme je l’ai écrit ici-même, et dont les lois que vous votez mettent en danger la France et ses valeurs intrinsèques ? Ses aveux pris balancés sur le ton de la rigolade devraient vous faire réfléchir avant que l’irrémédiable nous plonge dans une crise de régime.

    Allez-vous continuer à transformer notre Assemblée nationale en simple chambre d’enregistrement du bon vouloir jupitérien, adoptant les pires lois qui vous sont proposées par l’Élysée ?

    Nous avons encore quatre ans pour découvrir d’autres surprises. Pourrez-vous faire aussi longtemps
    allégeance à celui qui fut élu par défaut et par une erreur phénoménale ? À moins de lancer l’article 68 sur la destitution du Président, comme François Asselineau vient de le suggérer à l’opposition, car, dit-il « seul le lancement de l’article 68 permettra d’enrayer le favoritisme, la corruption et les dérives délictueuses et mafieuses qui salissent l’Élysée et la République ».

    Floris de Bonneville

    http://www.bvoltaire.fr/message-aux-deputes-macronistes/

  • Romain Espino : « Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, la pression sur Génération identitaire est bien plus forte »

    Conséquence de l’opération de Génération identitaire au col de l’Échelle, en avril dernier, pour empêcher des illégaux d’entrer sur le territoire national, son porte-parole, Romain Espino, n’a plus d’emploi aujourd’hui, notamment suite à la pression exercée par des militants d’extrême gauche. Il réagit au micro de Boulevard Voltaire.

    http://www.bvoltaire.fr/romain-espino-depuis-lelection-demmanuel-macron-la-pression-sur-generation-identitaire-est-bien-plus-forte/

  • Nos ONG sont-elles (entre autres) la composante navale de DA’ECH ? [1]

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    Aquarius ou Cheval de Troie ? Deux thèses, désormais, s’affrontent quant à la nature de cet essaim1 de navires qu’entretiennent (comment, à quelles fins & avec quel argent ? Autant de questions sans réponse à ce jour) des ONG plus douteuses les unes que les autres. Las, Rome – Di Maio & Salvini regnante – a décidé de siffler la fin de cette récréation où s’engraissaient, passeursvice-passeurs & corsaires (sic) de ISIS/DA’ECH, dans un indécent ballet rappelant ce que que furent la traite & la piraterie barbaresques qui, alors, ravageaient notre versant de la Méditerranée. Autre rappel historique qu’il nous semble opportun de faire : en ces temps de troubles & de fureur, c’est à côté du Turc que se tint la France lors de la Bataille de Lépante. Épisode 1.

    | Q. À la fermeté de Rome (et de Vienne), les partisans de l’Union, nous opposent l’applicabilité de Dublin, qu’en pensez-vous ?

    Jacques Borde. (Éclat de rire) Vous parlez de l’Affaire de l’Aquarius. Et, en l’espèce, de l’Accord de Dublin. Sauf que l’applicabilité d’un accord :

    1- relève plus d’un principe général.
    2- est parfaitement discutable.
    3- n’est en rien automatique.
    4- que tout État signataire peut choisir de s’en retirer. Définitivement ou partiellement, le cas échéant.

    À meilleure preuve, la sémillante Bundeskanzlerin (2) Angela D. Merkel, marquée à la culotte par la composante la plus réactionnaire de son administration, a bien décidé de ne plus appliquer Dublin à propos des flots de migrants se présentant à ses bonnes frontières tudesques. Comme quoi…

    Sans, notez-le, déclencher l’émoi que provoquent les propos de bon sens de Matteo Salvini (3), le tout frais vice-président du Conseil & ministre italien de l’Intérieur.

    | Q. Mais la responsabilité de l’Italie quant aux risques encourus ?

    Jacques Borde. Concernant l’Aquarius et la foultitude d’esquifs servant d‘idiots utilesau crime migratoire organisé, et à ceux que Matteo Salvini appelle, à juste raison, ses « vice-passeurs », rappelons que :

    1- la Libye se trouve, sauf happening tectonique qui m’aurait échappé, de l’autre côté de la Méditerranée.
    2- les pays l’avoisinant, Égypte, Tunisie, pour ne citer que ceux-là, sont tout aussi concernés que l’Italie ou Malte. Les ports n’y manquent pas :
    – la Goulette, Radès, Bizerte, Sousse, Sfax, Gabès, Zarzis, etc., pour la Tunisie.
    – quant à l’Égypte : Port-Saïd (le port avec le plus grand trafic portuaire au monde), Alexandrie et le port de Dekheila, qui est l’extension naturelle du port d’Alexandrie (depuis 1986).

    Donc largement de quoi prendre en charge les passagers (sic) en difficulté de notre Aquarius. Sauf qu’en l’espèce, il s’agissait non pas de simples passagers mais des victimes du trafic d’êtres humains mis en place par les passeurs et vice-passeurs du crime migratoire organisé ad usum Da’echi !

    | Q. Parler de l’Axe n’était-il pas malheureux comme choix pour évoquer, comme cela a été fait, à propos de l’union de quelques-uns par rapport à la crise migratoire ?

    Jacques Borde. Pff ! Là, franchement, on coupe un peu les cheveux en quatre, non ?

    Un certain nombre d’intervenants, à commencer par votre serviteur, parlent aussi de l’Axe atlantique, à propos des pays de l’OTAN. Évidemment, voir Allemands, Autrichiens et Italiens se lier au sein d’un Axe n’était sans doute pas la formule la plus heureuse.

    Quant à ceux qui au sein de l’intelligentsia de gôôôôche s’en offusquent tant, je leur rappellerai que c’est la SFIO (de gauche, ô combien) qui a porté au pouvoir Pétain. Sans parler de ces magistrats (de gauche encore) qui ont acté et fait appliquer les lois raciales de Vichy qui ont conduit nos malheureux compatriotes juifs dans les camps de la mort…

    | Q. Et les migrants en perdition ?

    Jacques Borde. Quelle perdition ? De quoi parlons-nous au juste ? Une fois recueillis, les près de 700 de l’Aquarius ne risquaient absolument plus rien.

    Quant à juger de l’opportunité d’accepter tel ou tel navire, s’impose la notion de danger et de péril pour les équipages et les passagers. Or, pour qu’il y ait cette forme d’assistance à personne en danger navalisé (sic), encore faillait-il qu’il y eût péril en la demeure. Ou plutôt en l’esquif ! Ni tempête, ni grain en passe de menacer l’Aquarius. Et la perspective d’aller se réfugier à Tripoli ou Tunis. Techniquement parfaitement réalisable. Mais, comble inenvisageable pour nos vice-passeurs – et, n’en doutons guère, leurs commanditaires – grouillant en cette Méditerranée qui, ben oui, à deuxrives !

    Le reste, désolé de le dire, c’est du verbiage munichois dans la bouche d’agents et de corsaires (sic) du Takfir tentant de justifier leur infâme traite humaine.

    | Q. Quid du fait que l’Italie a d’abord autorisé l’Aquarius entrer dans ses eaux territoriales pour accoster ?

    Jacques Borde. C’est un fake, un médiamensonge répété. Mais qu’attendre d’autres des Munichois qui campent littéralement sur les plateaux TV pour y déverser leurpropaganda staffel éhonté ? En fait, Rome :

    1- a simplement laissé à l’Aquarius la liberté d’entrer dans ses eaux territoriales.
    2- envoyé deux des bâtiments de sa Guardia Costiera porter assistance à l’Aquarius.
    3- affirmé, comme c’est de son droit le plus absolu, son refus d’autoriser l’accès de ses ports, aux migrants (sic) embarqués dans des conditions discutables sur ce navire de SOS Méditerranée. Une ONG controversée à bien des égards.

    | Q. Donc vous ne croyez pas la version des faits présenté par ces ONG notamment ?

    Jacques Borde. Absolument pas. C’est du bourrage de crâne.

    Au point que Matteo Salvini, a une nouvelle fois interdit l’accès aux ports italiens à deux navires d’ONG pro-takfirî opérant au large des côtes libyennes, « en attente de leur cargaison d’êtres humains. Alors que le navire Aquarius navigue vers l’Espagne (arrivée prévue dimanche matin), deux autres navires d’ONG battant pavillon des Pays-Bas (Lifeline et Seefuchs) sont arrivés au large des côtes libyennes, en attente de leur cargaison d’être humains abandonnés par les passeurs ». Or, « Que ces messieurs sachent que l’Italie ne veut plus être complice du business de l’immigration clandestine, et ils devront donc chercher d’autres ports (non italiens) vers lesquels se diriger. En ministre et en père, je le fais pour le bien de tous ».

    Une position qui rejoint, c’est à noter, celle des gardes-côtes libyens qui avaient prévenu SOS Méditerranée que la présence de l’Aquarius favorise les passeurs : « Vous rendez service aux passeurs (…). Les passeurs savent que vous êtes là, et donc ils envoient chaque fois plus de gens en mer ».

    | Q. Qui est responsable de cet invraisemblable pataquès ?

    Jacques Borde. En cette affaire, je dirai : à peu près tout le monde sauf… l’Italie !

    Et quitte à parler de responsabilité, rappelons celle, immense, de ces flottes corsaires sillonnant la Méditerranée pour s’y approvisionner en migrants (sic). Quelque part, ne sont-elles pas de facto une composante navale de Al-Dawla al-Islāmiyya fi al-Irāq wa al-Chām (ISIS/DA’ECH) ? (4).

    Quid, donc, de ces vice-passeurs mondains qui entassent, en toute connaissance de cause et au mépris de toutes les règles de sécurité maritime, un maximum de personnes sur leurs navires ? Business is business and a passenger is a passenger, en quelque sorte.

    | Q. Mais ce sont d’Européens dont vous parlez ?

    Jacques Borde. Oui, mais comme l’étaient ces mercenaires des mers Génois, Corses, Catalans et Gascons (comme votre serviteur) qui rangeaient leurs navires et leurs équipages sous la bannière barbaresque.

    | Q. Pourquoi parler de Corsaires, plutôt de que de pirates ?

    Jacques Borde. Cela dépendait. Beaucoup d’entre eux disposaient des équivalents de l’époque de ce qu’on été nos lettres de course, ici délivrées par des (quasi) Cités-États. Alger notamment. Statutairement, de jure donc plus des corsaires que des pirates. Je vous rassure, capturés à leur tour, ils étaient généralement pendus de bonne manière. À moins d’avoir de la monnaie d’échange. Des otages réduits en servitude de l’autre côté de la Méditerranée. Là, on pouvait discuter…

    [à suivre]

    Notes

    1 Au sens militaire du terme, bien évidemment.
    2 Chancelière fédérale.
    3 Par ailleurs, vice-président du groupe Europe des nations & des libertés.
    Ou ÉIIL pour Émirat islamique en Irak & au Levant.

    https://voxnr.com/49519/nos-ong-sont-elles-entre-autres-la-composante-navale-de-daech-1

  • La série noire continue pour Emmanuel Macron : la croissance est en berne

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    Emmanuel Macron a eu beaucoup de chance, au début de son mandat. Les astres économiques semblaient s’être alignés pour lui et la France a atteint, en 2017, une croissance inespérée de 2,3 %, chiffre faible si on le compare aux performances des autres nations européennes, mais qui était miraculeux pour la France, habituée à une faible moyenne de 0,8 %. Alors que le Président se débat dans les affres de l’affaire Benalla, un autre pilier de sa politique s’effondre : nous n’avons fait que 0,2 % de croissance au second trimestre – aussi peu qu’au premier trimestre. Résultat : les 2 % pour 2018, mis en avant par le gouvernement, sont désormais inaccessibles. Au mieux fera-t-on 1,7 %, si la croissance accélère à la fin de l’année (ce qui n’est pas gagné) et uniquement par un phénomène qu’on appelle acquis de croissance, qui n’est que le prolongement des bonnes (enfin, c’est relatif) performances de 2017.

    Les raisons de ce ralentissement sont multiples. La première tient à l’augmentation du prix du pétrole, qui est une conséquence des rodomontades de M. Trump envers l’Iran, de l’effondrement de la production du Venezuela et de la hausse de la demande mondiale en or noir. La deuxième raison tient aux grèves du printemps, notamment à la SNCF, qui ont désorganisé le transport de marchandises par le rail, ce qui a nui à la production des entreprises. Enfin, les Français ont été assommés par les nouvelles augmentations d’impôts et taxes (CSG, taxes sur les carburants) qui ont été appliquées dès le début de l’année, alors que les compensations prévues ne prendront effet qu’en octobre. La France a connu la même mésaventure en 2012. Pourtant, M. Macron a été le ministre de l’Économie de M. Hollande et avait juré de se démarquer de son prédécesseur. Or, il l’a imité. La suppression des cotisations sociales à l’automne, la diminution d’un tiers de la taxe d’habitation donneront certes un coup de fouet bienvenu à notre économie mais, en 2018, plus de trois millions de retraités (sur les 12,5 millions) perdront du pouvoir d’achat, ce qui aura mécaniquement des conséquences néfastes sur la consommation.

    Si on rajoute aux menaces pesant sur la croissance la guerre commerciale initiée par M. Trump, le 1,7 % espéré sera peut-être un mirage. Le gouvernement se retrouverait alors dans une panade noire. Son budget s’effondrera. Il manquera une dizaine de milliards pour remplir les objectifs et on ne trouvera pas ces milliards en faisant des économies, car celles-ci seraient récessives et iraient à l’encontre du but recherché. Allons-nous repasser au-dessus des 3 % de déficit par rapport au PIB en 2018 ? Normalement non, mais le pire n’est pas exclu. En tout cas, l’objectif de comptes équilibrés en 2022 n’est que de la propagande. De même, baisser le taux de chômage de 9,2 % à 7 % en fin de quinquennat est une aimable plaisanterie.

    Finalement, les déboires de M. Macron étaient prévisibles. Malgré son agitation permanente, il n’a ni accompli de réforme digne de ce nom, ni assaini le budget. Nous sommes toujours englués dans le même bourbier qu’au temps de M. Hollande et l’amélioration passagère de 2017 est due en partie aux mesures de l’ancien Président. Pour finir, on peut se demander si le drame de la France ne vient pas de l’échec de François Fillon. Sur le plan moral, Emmanuel Macron ne lui semble pas supérieur. En revanche, le plan économique du candidat LR tenait mieux la route que celui de notre Président par accident.

    Christian de Moliner

    http://www.bvoltaire.fr/la-serie-noire-continue-pour-emmanuel-macron-la-croissance-est-en-berne/

  • Les Populistes, les Racistes et la Gauche

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    Les gauchistes ont une (in)capacité unique : Ils font le contraire de ce qu’ils cherchent faire. Prenons, par exemple, la pauvreté et la faim sur le continent africain. Depuis les années ’80 je me souviens de la Gauche en train de promouvoir, suivant le système américain des Témoins de Jéhovah et des Mormons, un système éprouvée avec succès, les campagnes de l’UNICEF pour les enfants de l’Ethiopie, Bob Geldof et «we are the world», et les publicités de petits africains la bouche couverte avec du porridge.

    Pourtant, trente ans plus tard, les petits Africains restent affames, et ce qu’ont réussi les gauchistes, est de faire de Geldof un homme riche et heureux de manger sa brioche, comme tous ceux qui se sont occupés de la famine africaine, y comprises les organisations qui allaient  nourrir les africains, des organisations comme celles qui les envoient maintenant en Europe  pour les nourrir, cette Europe diabolique du colonialisme d’antan.

    De même avec les programmes pour les chômeurs, dont les Gauchistes ont fait leur bandiera rossa. Ces programmes  ont ouvert des jobs pour des bureaucrates vachement bien payes, y compris les hommes politiques de Gauche, à des organisations et des concordats capitalistes telle l’Union Européenne. Ce qu’ils ont réussi est l’institutionnalisation des sans-  Tiers-Monde en Europe,  resserrent autour d’eux le cercle pour dépérir tout réflexe créatif.

    Nous pouvons donc conclure de ce qui précède et bien plus, que nous avons toutes les raisons de croire que la lutte de la Gauche « contre le racisme et la xénophobie », aura des non-résultats pareils. Déjà, les journalistes gauchistes, des juges autoproclamés de la volonté des peuples Européens, comparent les dirigeants politiques des pays européens comme Kurz, Orban, Kaczynski et Salvini, avec Mussolini et les fascistes, en raison de leur grande popularité grâce aux positions pro-européennes qu’ils proclament.

    Quelle honte pour Soros et Bruxelles que les peuples ont donné l’ordre à ces personnes  de mettre une fin aux « frontières ouvertes » !  Quelle honte de voir le Nationalisme surmonter la Mondialisation qu’ils renforcent  par tout moyen possible! Un, deux, trois, beaucoup de Mussolinis, et encore plus de fascistes, grâce à ce groupement  politique mixte des capitalistes et des bolcheviks.

    En effet, comme l’a démontré le sondage de la société de recherche Pew, la montée des « populistes » n’est pas constaté en raison de la crise économique, seulement, comme les analystes disent, exprimant le vœu pieux de leurs patrons. En Allemagne, par exemple, 77% de ceux en faveur de l’Afd (Alternative pour l’Allemagne) disent que leur opinion sur l’économie du pays est bonne. L’étude Pew, qui examine l’espace politique dans huit pays de l’Europe occidentale (l’Europe centrale et la Grèce n’y sont pas inclus), a eu lieu du 30 Octobre au 20 Décembre 2017, aux pays : Danemark, France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, L’Espagne, la Suède et le Royaume-Uni, des pays représentant 70% de la population européenne et 75% de l’économie de l’Union Européenne.

    Les conclusions de la recherche ?

    • Les « populistes » sont la plus grande force politique en Europe
    • Le facteur idéologique reste puissant pour déterminer la façon dont les Européens sont confrontés à des questions de politique clés.
    • La nostalgie de l’Europe « à eux» est importante dans la sélection des partis. Six Français sur dix qui ont une opinion positive du Front National disent que la vie en France est pire qu’elle ne l’était il y a 50 ans.
    • L’Ethnocentrisme, et la conviction que leur culture Européenne est supérieure, jouent un rôle décisif dans leurs choix politiques (61% des sympathisants Afd, 56% du parti Le Pen, et 47% du Parti pour la Liberté (PVV) aux Pays-Bas).
    • L’islam ne convient pas à l’Europe (75% des sympathisants allemands Afd, 66% des partisans de PVV et 63% du FN, disent que l’islam est fondamentalement incompatible avec leur culture et leurs valeurs).

    Quel dommage que certains d’ entre nous ne s’ennuient pas de penser! Que pour nous régurgiter ce que nous servent les racistes anti-blancs et anti-européens qui se propagent avec profit aux lieux universitaires, aux gouvernements et aux « organisations non gouvernementales » contre les Blancs, les Européens, les Grecs, n’est pas notre « tasse de thé », comme diraient les Anglo-Saxons.

    Quel bon travail font ces antiracistes, en mettant en évidence le racisme comme option Physio-logique, c’est-à-dire dictée par la Nature et la Logique, par leurs décisions politiques,  la seule alternative pratique pour les peuples d’Europe. L

    Les leaders d’opinion, les bénéficiaires de Soros et les orphelins de Staline, sont attristés par le fait que les élections sont quand-même encore menés, et que les partis avec des points de vue différents sont acceptés avec enthousiasme par les peuples de l’Europe. Car en Autriche ou en Hongrie,  le gagnant est celui qui mène la nation, et se prononce sur les lois! Quel horreur ! Comment traiter ce fait ? Les esprits progressistes des fans de la guillotine et du Goulag n’y arrivent pas. Comment se rendre compte que pour les hommes libres, pas les  cerveaux rincés des enfants du tube des partis, il est tout à fait normal que les Européens ne veulent pas avoir comme voisins des gens qu’ils n’ ont pas invités dans leur pays, leur ville et leur quartier, non moins parce que qu’ importe ce qu’ils fassent, ils ont l’indemnité, car quiconque dénonce quelqu’un d’ entre eux, il  commet un « crime de haine »?

    Par conséquent, vous serez à tort, Gauchistes. Continuez de jouer ce jeu évidement profitable pour vous. Vous jouez avec le dos des capitalistes du type  Soros (vous connaissez le truque du temps de Parvus, de Lénine et du train allemand fermé). La révolution de Prague et la Timisoara, n’a rien enseigné au prolétariat des imbéciles utiles.  Les peuples d’Europe, renaissent des cendres des deux grandes guerres du 20ème siècle et parmi la cupidité des rongeurs mondiaux, en sortiront les gagnants. Jusqu’à la Victoire, et au-delà.

    IRENE DIMOPOULOU

    Directrice de l’hebdomadaire Grec, EMPROS

    https://voxnr.com/49603/les-populistes-les-racistes-et-la-gauche

  • Marine Le Pen : « Cette commission est une vaste opération visant à tout prix à empêcher l’émergence de la vérité »

    Jeudi matin, Marine Le Pen a décidé de quitter la commission parlementaire de l’Assemblée nationale pour aller assister à celle du Sénat. Réaction au micro de Boulevard Voltaire de la présidente du Rassemblement national et députée du Pas-de-Calais, au cinquième jour de la tenue de cette commission de l’Assemblée nationale, présidée par une députée de la majorité. « Circulez, il n’y a rien à voir ! »

  • Les euros de la Coupe du monde pour construire une mosquée

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    Nul n’ignore plus que l’équipe de France a remporté la Coupe du monde de football, le 15 juillet dernier… une équipe jeune et facétieuse ! Ces vingt-trois-là, nous explique-t-on, portent haut la fierté du maillot et l’amour de la France. Ce serait l’anti-modèle de l’équipe précédente, celle des grèves, des menaces et des insultes. Désormais, l’équipe de France multiculturelle aurait laissé place à l’équipe multicolore et patriote. À l’heure de l’offensive contre les nations, de l’abolition des frontières et de la tentation mondialiste, nous ne boudons pas notre plaisir. La ferveur et l’ampleur de l’événement sont la vraie réponse aux européistes déconstructeurs de Bruxelles et la confirmation, s’il en était besoin, qu’à ceux qui n’ont plus rien, la patrie reste le seul bien. La liesse s’est emparée des rues. Des plus grandes villes de France aux confins des plus petits villages, tout le monde est fier d’appartenir à un pays qui a gagné. Mai 68 ayant érigé la posture adolescente en modèle de comportement, nous ne nous formaliserons pas outre mesure des hurlements des uns et des trépignements des autres, même s’ils ne manifestent pas la plus fine des élégances. Nous nous joignons de bon gré à cette joie, disciples de l’apôtre du chemin de Damas qui préconisait, en son temps, aux Romains : « Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent ; pleurez avec ceux qui pleurent. »

    Et si, l’euphorie étant retombée, nous découvrons l’usage que les joueurs envisagent de faire de leur prime de victoire, il en est un qui retient l’attention des plus enracinés. Ousmane Dembélé, champion du monde numéro 11, a décidé d’offrir ses 350.000 euros de joueur victorieux afin de participer à la construction d’une mosquée dans le village natal de sa mère en Mauritanie. Dans un pays musulman, cela ne semble pas complètement incohérent. Nous ne pourrions le lui reprocher. On ne renie pas ses racines. Nous craignons, cependant, qu’Ousmane ignore que la charia est rigoureusement appliquée en Mauritanie et que blasphème et sacrilège y sont punis de mort. Le 27 avril dernier, une nouvelle loi vient même de supprimer la possibilité de repentir pour certaines infractions liées à l’apostasie. Selon les dispositions du nouveau texte, « chaque musulman, homme ou femme, qui se moque ou outrage Allah ou Son Messager (Mohammed), Paix et Salut sur Lui, ses anges, ses livres ou l’un de ses Prophètes est passible de la peine de mort, sans être appelé à se repentir. Il encourt la peine capitale même en cas de repentir. »

    Quant à nous, nous aurions préféré qu’il consacre ses fonds à une œuvre d’éducation de son pays d’adoption la France, peut-être même à une église de sa commune natale de Vernon.

    On peut toujours rêver. Sait-on jamais, si la Mauritanie remporte un jour la Coupe du monde …

    Loup Mautin

    http://www.bvoltaire.fr/les-euros-de-la-coupe-du-monde-pour-construire-une-mosquee/

  • Les exportations d’armements battent de l’aile – JT TVL 26 juillet 2018

    1) Politique / Les exportations d’armements battent de l’aile

    Après deux années fastes, les exportations d’armements français ont connu une année 2017 plus compliquée. En cause : l’élection présidentielle et une concurrence de plus en plus forte.

    2) Société / Les cahiers de vacances ont la cote

    Les cahiers de vacances, cauchemar des écoliers. Alors que les congés estivaux sont propices au repos, les célèbres cahiers viennent perturber les grandes vacances des enfants au plus grand bonheur des éditeurs.

    3) International / Afriski : l’étrange rêve du Lesotho

    4) L’actualité en bref

    Version RuTube :
    https://www.tvlibertes.com/2018/07/26/24522/exportation-armement-jt-tvl-26-juillet-2018