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anti-national - Page 614

  • Islam radical dans les médias : de quoi cette empathie est-elle le nom ? L’exemple de Libération

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    Par l’Observatoire du journalisme 

    Les médias français sont-ils complices – au moins involontaires – de l’islamisation de l’Europe ? Pour l’Observatoire du journalisme, la question se pose évidemment. Pour répondre à cette question, l’Observatoire du journalisme analyse un cas précis, celui du traitement par Libération de l’attentat islamiste du 12 mai 2018.

    Après l’attentat perpétré à Paris le samedi 12 mai 2018 par un tueur islamiste musulman, Libération a publié un article donnant la parole à d’anciens camarades de classe et à un ancien professeur du terroriste. Les témoignages anonymes sont ceux de quatre personnes ayant connu le tueur ainsi que son complice au lycée Marie-Curie de Strasbourg. Ce qu’ils racontent est édifiant et ajoute à ce que l’on sait par ailleurs de l’état mental, intellectuel et ethnique des lycées français. Toute aussi édifiante est la façon dont Libération « raconte » les faits, par le prisme de ses témoins.

    Voyage au bout de l’islamisme

    Comme il est devenu habituel, le tueur musulman était « gentil »« timide », « sympathique » et rien ne semblait le prédisposer à tuer des innocents avec un couteau de cuisine. C’est ce qui ressort des témoignages. Libération ne prend pas la peine, ni le recul critique, une vertu pourtant éminemment journalistique, d’interroger ce fait : quelle information se cache derrière ce qui est dit depuis plus de trois ans, après chaque attentat islamiste, au sujet de tueurs toujours présentés ainsi ? Et que signifie que des journaux tels que Libération fassent ressortir de tels portraits au sujet d’assassins, sans en interroger le sens ?

    Les témoignages vont très loin dans l’empathie, bien plus que tout ce que pourrait imaginer l’observateur moyen concernant un autre cas de figure potentiel, par exemple si un tel article était publié au sujet d’un tueur évangéliste du Sud des États-Unis : le terroriste musulman « allait chercher à manger », « il n’avait pas de musique sur son téléphone », « on ne le soupçonnait pas de quoi que ce soit », « c’était un mec discret et gentil », « c’était un ami », « il disait qu’il voulait sauver des vies », « nos classes étaient mixtes, avec des athées, des chrétiens et des musulmans. Il n’y avait pas de discrimination », « ils me montraient des textes ou des images pour me prouver que le Coran n’incitait pas à la violence », « personne ne pouvait imaginer cela de quelqu’un de si respectueux, si poli », « un mec adorable, il était discret, studieux, il voulait devenir médecin », « ce qu’il a fait est impardonnable mais quand on l’a connu, quand on l’a côtoyé pendant trois ans, quand on a mangé avec lui pendant trois ans, ça nous choque que le voir diabolisé par les médias » (sic !), « on sait tous qu’il s’est fait laver le cerveau »… Un tueur gentil, sympa, un pote auquel il n’aurait pas fallu toucher, lequel est cependant coupable d’un attentat au motif d’une conception religieuse et politique totalitaire du monde. Imaginons que Libération ait existé en 1945, il est permis de se demander si sa rédaction aurait mené l’enquête au lycée de Himmler, histoire de voir si ce garçon reconnu coupable de quelques meurtres n’auraient pas été un type discret, sympa et poli…

    Par contre, son complice et supposé inspirateur est présenté comme le grand méchant de ce drame. L’effet de contraste est saisissant, renforçant le sentiment d’empathie véhiculé par les témoignages au sujet du tueur. N’oublions pas, à ce propos, que ce qui est dit par les témoins dans cet article résulte d’un choix de la rédaction de Libération, laquelle ne publie pas ici l’intégralité des propos des témoins mais ce qu’elle veut publier. Le complice ? « Je sais qu’il voulait partir en Syrie pendant un petit moment. C’était des rumeurs comme cela. Après ça s’est étendu et tout le lycée l’a su et après il s’est calmé et il a dit qu’il avait retrouvé la raison. On se moquait de lui en disant qu’il allait partir en Syrie », « il était assez brutal », « plus pratiquant », « il voyait tout à travers le prisme de la religion », « j’avais bien perçu qu’il y avait un problème quant à sa vision de la démocratie ou sur le rapport aux femmes. Il était favorable au port du voile et prônait des relations inégalitaires entre hommes et femmes », « il avait fait un exposé sur le sujet et j’ai dû y mettre fin car je ne pouvais pas laisser dire tout ça au sein d’une institution laïque », « quand je le voyais parfois après le bac, je changeais de trottoir », « il avait une vision extrémiste, en tout cas poussée de l’islam. Il s’exprimait toujours contre les actions terroristes mais il disait aussi que c’était normal qu’il y ait des attaques si la France lançait des frappes en Syrie », « il tenait toujours à ce qu’on ne fasse pas d’amalgame entre islam et terrorisme »

    Ce qui devrait étonner Libération

    ‣ Le complice de l’assassin est présenté comme violent et ses camarades se méfient de lui depuis qu’il s’est levé en classe et a jeté violemment des tables et des chaises dans un mur.

    ‣ Ce même complice est radicalisé et fait un exposé de propagande sur l’islam radical en classe, même si cet exposé est interrompu.

    ‣ L’avancée discrète des islamistes radicaux apparaît comme une stratégie évidente dans ce cas d’école et pourtant de cette stratégie Libération ne dit mot.

    Plus surprenant encore :

    • Dans un lycée de la République française, la question de l’islam est devenue centrale : au point que l’on peut envisager d’en exposer les doctrines sectaires et radicales en classe. Il est possible d’affirmer dans ce cadre que la « charia est une bonne chose ».
    • Un élève peut se lever et jeter chaises et tables contre un mur.
    • Des individus scolarisés en France tiennent ouvertement des propos de collaboration avec des ennemis de la France
    • Les lycéens s’amusent, se moquent d’un individu radicalisé dont il est supposé qu’il envisage de partir en Syrie
    • Le chef d’établissement d’un lycée de la République doit concentrer son attention sur des musulmans attirés par le salafisme, source avérée du djihadisme.
    • Le quotidien n’interroge pas l’origine des deux complices, ni le fait qu’ils sont des migrants devenus français depuis peu.

    Cette phrase : « Il était favorable au port du voile et prônait des relations inégalitaires entre hommes et femmes » devrait interpeller les journalistes des médias officiels. Dans l’expression du témoin, le voile en tant que marqueur de l’inégalité hommes femmes au sein de l’islamisme est évident. Voilà qui donne de la perspective à un autre moment de présence de l’islam dans l’espace public et médiatique français, une présence qui est devenue permanente : l’intervention de la musulmane voilée présidente de l’UNEF Sorbonne à la télévision, le 14 mai ; une musulmane voilée prenant la parole en tant que syndicaliste étudiante, responsable d’un syndicat féministe et « progressiste » de gauche.

    Devant les critiques, une salve d’empathie à fusé, un peu comme au sujet du « sympathique » lycéen devenu tueur dans les rues de Paris. Pourtant, le simple bon sens ne peut que conduire à dire ceci : il est incroyable qu’une représentante syndicale de l’UNEF soit voilée, et tout autant incroyable que nombre de journalistes ne voient pas une évidence en cela. Ce qui n’est pas le cas par exemple de Marianne, très clair à ce sujet. D’autres discours deviennent pour le moins confus : ici. Discours de méconnaissance complète des stratégies des islamistes en direction de la jeunesse. N’est-il pas problématique qu’une religion en particulier occupe une telle place, quotidienne, empathique et souvent militante, dans l’espace public de la République laïque, avec le soutien d’une partie de la gauche radicale et la bienveillance de nombre de médias officiels ?

    OJIM 13/08/2018

    Source : Observatoire du journalisme

    Crédit photo : Libération

    https://www.polemia.com/islam-radical-medias-empathie-liberation/

  • Débarquement des migrants de l’Aquarius : l’Espagne dit « non »

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    Si l’Aquarius avec à son bord 141 « migrants » fait à nouveau cap vers la bien-pensante Espagne qui lui avait ouvert ses ports il y a deux mois, l’Espagne elle a changé de cap dans sa politique d’accueil des migrants. Après l’euphorie, voici venir le temps de la grosse déprime…

    Depuis vendredi dernier le bateau Aquarius vogue donc sans but portuaire, le pays des Ibères ne l’invitant pas comme par le passé récent à accoster dans une de ses villes méditerranéennes. Open Arms, l’ONG espagnole propriétaire du navire, a lancé un appel dramatique aux autorités bruxelloises afin qu’elles interviennent pour qu’un port lui soit ouvert mais cette fois-ci Madrid a fait la sourde oreille. Un signe tangible que le premier ministre espagnol, le socialiste Sanchez, rattrapé par la réalité de l’invasion migratoire et du ras-le-bol de ses concitoyens, est décidé a changé sa politique de l’accueil radical, en s‘alignant sur la fermeté de l’Italie, qui fut accusée pourtant il y a un mois par ce même Sanchez, à l’unisson avec Macron, « de manque de solidarité et d’insensibilité » pour avoir refusé les 600 clandestins de l’Aquarius.

    Ainsi, si la commune de Barcelone, toujours inspirée pour s’opposer au gouvernement madrilène, s’est offerte à accueillir les nouveaux migrants de l’Aquarius, Madrid s’y oppose en arguant que « l’Espagne n’est pas le port le plus sûr selon la loi ». Un dur bras de fer s’amorce entre la ville catalane aux velléités d’indépendance et l’exécutif espagnol. « Même dans ce cas nous nous offrons pour recevoir les migrants » a répliqué le vice-maire de Barcelone délégué aux droits sociaux, Laia Ortiz. Elle a en outre insisté pour que des permis temporaires pour le travail soient concédés aux clandestins.

    En attendant, Malte et l’Italie ont refusé au bateau d’accoster chez eux. SOS Méditerranée et Médecins sans Frontières ont faits avoir par twitter :

    « Les autorités maritimes de Malte et de l’Italie ont informé le bateau Aquarius qu’elles ne concéderont pas un lieu sûr de débarquement aux 140 personnes à bord. Nous avons rejoint une position de stanby exactement entre Malte et l’Italie. Nous restons en attente d’ultérieures indications. »

    La fermeté de l’Italie et de son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini fait de émules pour le plus grand dam du business lucratif du trafic d’êtres humains et de l’humanitarisme mondialiste.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/debarquement-des-migrants-de-laquarius-lespagne-dit-non/96554/

  • Coup de gueule d’un internaute – Flagrant délit de mensonges dans le journal de France 2

    Un internaute a fait part de son indignation sur les réseaux sociaux au sujet d’un exemple de manipulation par l’image pratiquée par la rédaction de France 2 durant le JT de 20h du vendredi 10 août 2018.

    Voici le message posté :

    Un beau flagrant délit de fake news en direct. Hier soir, 20h23, journal de France 2, Valerie Astruc présente un petit reportage sur les vacances des chefs d’état étrangers et commence par Vladimir Poutine. Elle parle explicitement de « chasse au tigre », ce qui ne manquerait pas de révolter tous les amoureux de la nature.

    On voit M. Poutine poser à côté d’un tigre couché. Le problème c’est que c’est faux. Il s’agit d’images de 2008 quand le président russe avait participé à la réintroduction d’un tigre de Sibérie, une espèce protégée, dans son milieu naturel. Sur l’extrait que j’ai repris de France 2, on notera d’ailleurs, sur le tigre, le collier… Nullement question de « chasse », Mme Valerie Astruc.

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  • Manuel Valls, les intellectuels et l'inculture triomphante

    Plus de trente ans après Max Gallo, Manuel Valls se plaint du silence des intellectuels. Pour Vincent Trémolet de Villers les politiques ne les lisent pas et les utilisent comme des outils de communication. 
    On ne devrait jamais imiter Mitterrand. François Hollande n'est pas Tonton et Manuel Valls n'est pas Max Gallo. En 1983, l'historien, alors porte-parole du gouvernement, publiait à la fin du mois de juillet une tribune de très bonne facture dans Le Monde : «Les intellectuels, la politique et la modernité.» Il y déplorait l'abandon par la gauche de la bataille des idées et le silence des penseurs et des philosophes retirés «sur l'Aventin». Le 5 mars dernier, Manuel Valls lançait à son tour «Où sont les intellectuels ? Où sont les grandes consciences de ce pays, les hommes, les femmes de culture qui doivent monter eux aussi au créneau ? Où est la gauche ?» C'est le même qui, pourtant, rejetait dans les rayons de l'enfer un essayiste, un romancier et un philosophe dont les œuvres cristallisent une large partie des angoisses contemporaines et qui à eux trois vendent des centaines de milliers de livres. Le Suicide français, d'Éric Zemmour, selon Manuel Valls, ne méritait pas d'être lu. La France ça n'est pas «celle de Houellebecq» a-t-il affirmé. Enfin, il s'est embrouillé dans ses fiches, sur Europe 1, en estampillant, malgré lui, Bernard-Henri Lévy comme penseur officiel du régime et en tatouant sur le bras de Michel Onfray le signe infâmant de l'extrême droite.
    Si l'on comprend bien le Premier ministre, le silence des intellectuels est révoltant quand ils sont issus de la gauche morale mais impératif quand ils ont emprunté d'autres chemins. Pour savoir qui doit parler et qui doit se taire, s'adresser à l'hôtel Matignon. Cette approche enfantine illustre la place qu'ont véritablement les intellectuels dans l'esprit du gouvernement (et disons-le de la plus grande part de la droite) : des pions noirs ou blancs que des communicants, plus ou moins incultes, placent sur le damier. L'ouvrage de François Bazin, Les Ombres d'un président (Plon), détaille avec cruauté cette paresse et cette indifférence chez François Hollande. 
    La littérature et la vie de l'esprit établissent pourtant des liens indestructibles entre l'homme public et la population. Plus encore que la séance du marché le samedi matin, la lecture de Balzac expose toutes les nuances de l'âme humaine et de l'ambition, celle de Proust des vanités sociales et des intermittences du cœur. Les Particules élémentaires ou Soumission offrent un tableau de la classe moyenne que les sociologues mettront dix ans à établir dans leurs rapports. Mais ceux qui nous gouvernent ou souhaiteraient le faire considèrent le livre comme un meuble. L'ornement secondaire d'une ambition accomplie. Le chef de l'État assume son ignorance et se fait prendre en photo, sourire ravi, avec L'Histoire de France pour les Nuls. Manuel Valls ne sait pas qui est Hélie de Saint Marc, Fleur Pellerin se fout de Modiano, Frédéric Lefebvre confond Zadig et Voltaire, Nicolas Sarkozy s'est longtemps demandé à quoi pouvait bien servir La Princesse de Clèves
    Les journalistes, reconnaissons-le, ne sont pas en reste. Ils classent eux aussi les auteurs chez les blancs ou chez les noirs sans même prendre la peine d'ouvrir leur livre. Christophe Guilluy, géographe de gauche qui ne cesse d'essai en essai d'établir les causes de la dérive identitaire, est qualifié de «pousse» de la droite la plus réactionnaire. L'auteur de L'Insécurité culturelle, Laurent Bouvet, alerte la gauche sur ses impensés : il est renvoyé sur l'autre rive parce qu'il a osé évoquer la crise de l'intégration. L'œuvre d'Alain Finkielkraut, maître de l'inquiétude et de la nuance, est réduite au rang de tract pour le Front national. Leurs noms remplissent les listes noires. Contre eux, le lexique olfactif, «rance», «moisi», est exploité jusqu'à la nausée. Tous sont coupables du même crime : plutôt que de peindre une surréalité heureuse, ils livrent par fragments les peurs et les espérances de l'inconscient collectif. En un mot, ils appellent un chat, un chat. Ce que les sondeurs voient venir, à la veille des élections départementales, ils l'annoncent et le déplorent depuis des années. Ils ne se sont pas contentés de publier des essais et d'attendre «sur l'Aventin». Ils supportent les ricanements, les couleurs criardes des studios de télévision, les comiques pas drôles, les critiques jaloux. En vain. Certes, les politiques les reçoivent, les écoutent, les raccompagnent, leur tapotent l'épaule, mais l'idée ne leur est pas encore venue de jeter un œil sur leurs livres. Pas le temps : le rappeur Joey Starr, fondateur de l'inoubliable Nique ta mère, vient dîner à l'Élysée. 

  • Trump, un an après Charlottesville : « Paix à TOUS les Américains ! ». L'Amérique en est loin... Et nous ?

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    L'an passé, à Charlottesville, les confrontations entre manifestants avaient été violentes

    Hier dimanche, les médias ouvraient leurs flashes d'information sur le rassemblement des « suprémacistes blancs » prévu le soir même à Washington, square La Fayette, face à la Maison Blanche, renouvelant celui qui s'était tenu à Charlottesville l'an dernier à même date, dans un climat de violences dont les images avaient fait le tour du monde. Voici ce que nous avions écrit l'an dernier de cet événement [21.08.2017]. Nous n'avons rien à y changer. Notre conclusion vaut surtout pour la France.  LFAR 

    Dans l'affaire de Charlottesville, Trump, malgré ses volte-face grotesques et erratiques, a tout de même une idée et elle est juste.

    C'est qu'il y a de la violence, de la haine, de l'irrationnel et même du racisme dans les deux camps. Les renvoyer dos à dos fût-il discutable. Car, même s'il est tu, si l'évoquer est inconvenant, le racisme antiblanc est bel et bien une réalité. Aux Amériques, comme ailleurs. Plus qu'ailleurs, bien-sûr. Par surcroît, une forme de racisme antiblancs s'est développée du côté des Blancs eux-mêmes. Là-bas comme ici.

    Nous ne sommes pas assez bons connaisseurs de la politique intérieure américaine pour avoir une appréciation du détail.  

    1973544756.jpgMais il nous paraît évident que la violence et la haine demeurent inscrites au cœur de la société américaine et que l'une et l'autre tiennent, en bonne part, à la toujours problématique coexistence entre Blancs et Noirs. La question raciale que l'on voulait croire résolue aux Etats-Unis ne l'est nullement. Elle traverse l'histoire et la société américaines depuis plus ou moins deux siècles et n'a, comme on l'a proclamé à tort, nullement disparu. On disait le racisme éradiqué, il n'en est rien. On pourrait presque le dire consubstantiel et intrinsèque à la société américaine, ce qui ne semble pas pouvoir être dit, du moins à ce degré, d'aucune nation européenne. 

    2720994725.2.jpgLa décision de retirer la statue du général Lee à Charlottesville n'était pas - la suite l'a montré - un acte d'apaisement mémoriel ni de paix civile... Les anachroniques et allogènes svastikas brandis par des suprémacistes blancs hallucinés n'étaient, non plus, ni pacifiques ni malignes.  

    Ce que nous montrent ces événements est que si l'on veut des peuples paisibles mieux vaut l'homogénéité - culturelle, ethnique et même raciale - que la diversité. Point d'angélisme : cette dernière nourrit les haines détestables et crée des conflits endémiques. 

    La seconde leçon de Charlottesville ce pourrait être que, pour compenser un tant soit peu l'évolution des rapports de force dans le monde, laquelle nous est si défavorable, une certaine dose de « suprémacisme » blanc - dans un sens évidemment tout différent du sens américain : fierté à recouvrer, puissance à reconstruire - ne serait pas inutile. En tout cas pas à l'Europe, peuplée de Blancs, qui, après avoir dirigé les affaires de l'univers, se voit, aujourd'hui, à la fois supplantée dans l’ordre de la puissance et envahie dans l’ordre du peuplement par les autres continents. Ce qui ne semble pas améliorer l'état du monde. Et nous prépare un avenir dangereux. 

    Il y eut sans doute un temps où l'orgueil et l'égoïsme européens furent excessifs. L'Europe en paie le prix. L'excès inverse, celui de la repentance, de la haine de soi, de la soumission à tout ce qui nous est étranger, est bien pire et pourrait nous coûter beaucoup plus cher.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Construction des mosquées de Trélazé et Angers

    Avec la généreuse complicité de la mairie :

    "La mosquée de Trélazé s’agrandit, et ce de manière spectaculaire avec la construction d’un dôme impérial. Six arcs en bois de 2,5 tonnes chacun portent la structure. L’un de ces arcs mesure 26 mètres de long. [...] La Ville de Trélazé a versé une subvention de 300 000 € pour l’agrandissement de ce centre culturel. Le chantier devrait être livré en mai 2019 pour un coût estimé de 1,8 million d’euros.

    Où en est la construction de la future mosquée d’Angers dans les Hauts-de-Saint-Aubin ? « Le gros œuvre sera bientôt terminé et nous passerons ensuite à l’aménagement intérieur », confie un membre de l’association des musulmans d’Angers."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • ALEX JONES dénonce la conspiration de big pharma

  • Une élue des Pays-Bas se suicide après avoir posté une vidéo racontant son viol par des musulmans

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    Willie Dille était une élue du PVV (Parti pour la liberté), le parti anti-islam de Geert Wilders.

    Dans sa vidéo en forme de testament, Willie Dille raconte que son viol se serait déroulé l’année dernière. Elle affirme avoir été kidnappée puis violée par un groupe de musulmans, qui auraient agi pour lui faire cesser ses activités politiques.

    «Je veux juste que le monde sache la vérité. Le 15 mars 2017, j’ai été kidnappée, violée et agressée par un groupe de musulmans qui voulaient que je reste silencieuse au conseil municipal de La Haye», raconte-t-elle.

    «Après que cela est arrivé, je ne l’ai dit à personne, j’ai simplement été au débat le lendemain

    Willie Dille ajoute avoir reçu récemment une menace de mort très explicite, si elle ne se résignait pas à se taire lors des débats municipaux : «Nous allons bientôt vous égorger et vous saigner à mort

    http://www.medias-presse.info/une-elue-des-pays-bas-se-suicide-apres-avoir-poste-une-video-racontant-son-viol-par-des-musulmans/96453/

  • Les viols d’Allemandes par des migrants continuent durant l’été

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    Alors que l’Allemagne était autrefois un pays relativement sûr, la politique des frontières ouvertes de la chancelière Angela Merkel a changé la donne. La sécurité des femmes y est remise en question par la présence de migrants, dont certains n’hésitent pas à commettre des agressions sexuelles. Durant l’été 2018, les fortes chaleurs n’ont pas ralenti l’ardeur des assaillants, souvent venus d’outre-mer, qui recourent parfois aux moyens les plus sombres, comme l’usage de la drogue du viol, afin d’assouvir leurs pulsions à l’encontre de la gent féminine.

    Des migrants touchent les parties intimes, les seins ou les fesses des femmes dans les gares, dans les trains, en pleine rue ou lors des festivals. D’autres se masturbent devant des Allemandes. Les tentatives de viol sont monnaie courante. Certaines échouent, mais d’autres aboutissent.

    Ainsi, le 1er juillet, entre 2 h et 3 h du matin à Ingolstadt, en Bavière, une Allemande revenant d’une soirée a été agressée par un homme au teint sombre qui l’a frappée au visage, traînée vers le terrain d’une entreprise et violée.

    Le 5 juillet, à 8 h 15 du matin à Kronach en Bavière, une jeune femme de 18 ans a été agressée, frappée, traînée dans un buisson et violée par un individu à la peau sombre. Alertée par les cris de la victime, une dame s’est approchée du lieu des faits et l’agresseur a pris la fuite.

    Le 6 juillet, à Planegg, en Bavière, un demandeur d’asile pakistanais de 31 ans a violé une dame de 21 ans qui l’avait invité à son domicile.

    Le 14 juillet au matin, à Münster, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, une joggeuse a été attaquée, traînée dans un buisson et violée. L’auteur des faits, un Polonais de 25 ans, a été arrêté par la police vingt minutes après.

    Le même jour dans la nuit, à Landshut, en Bavière, une dame de 31 ans a été agressée, traînée dans un buisson et violée par un homme au physique méditerranéen.

    Le 28 juillet, à Freising, en Bavière, une dame de 26 ans rentrant d’un bar a été agressée par deux hommes à la peau sombre qui l’ont jetée à terre et traînée au sol. La victime est arrivée à se défendre et à mettre les auteurs des faits en fuite.

    Le même jour, à 5 h du matin, à Memmingerberg, en Bavière encore, une dame de 21 ans, se rendant à vélo à son travail, a été agressée et violée par un demandeur d’asile gambien de 22 ans qui a été arrêté par la police.

    Au cours de la nuit du 30 au 31 juillet, à Fritzlar, en Hesse, une dame de 33 ans a été attaquée au couteau par un homme à la peau sombre, mais a pu s’échapper.

    Au début du mois d’août, à Aschaffenburg, toujours en Bavière, un demandeur d’asile a tenté de violer, au sein d’un centre pour demandeurs d’asile, une pédagogue, mais la victime est arrivée à se défendre.

    Le 4 août, entre 5 h et 5 h 30 du matin à Heilbronn, au Bade-Wurtemberg, une jeune femme assise sur un banc près d’un arrêt de bus et de tram situé dans les environs de la gare a été agressée et traînée vers une voiture par deux individus à la peau sombre, voire de type arabe, qui l’y ont violée.

    Presque au même moment, mais à Fribourg-en-Brisgau, au Bade-Wurtemberg, une dame de 35 ans rentrant chez elle a été agressé par un homme à la peau brune et traînée dans un coin. La victime a crié et des passants ont mis l’agresseur en fuite.

    Le 3 août au matin, à Rosenheim, en Bavière, une femme de 20 ans rentrant d’un bar a été agressée, traînée dans l’entrée d’une cour et violée par deux demandeurs d’asile somaliens.

    Le 5 août au matin, à Arnsberg, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, un Afghan de 17 ans a menacé une allemande de 18 ans à l’aide d’un objet pointu et l’a violée, alors qu’à Kassel, en Hesse, un homme au physique méditerranéen a agressé par-derrière une femme de 21 ans et a tenté de la violer. Pendant ce temps, à Dortmund, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, une femme de 17 ans a été agressée, traînée dans un buisson et violée par deux hommes, dont un s’exprime avec un accent polonais.

    Le même jour, à Paderborn en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, un Africain de 18 ans, originaire de Sierra Leone, a tenté de violer une Allemande de 65 ans dans l’entrée d’une maison. Un habitant du lieu a tenu l’agresseur jusqu’à l’arrivée de la police.

    Le 8 août 2018, à Lübben, au Brandebourg, trois femmes de 28, 31 et 34 ans ont été attaquées par deux demandeurs d’asile afghans. Une d’entre elle a été étranglée, puis tirée sur le sol. Les trois femmes sont arrivées finalement à s’échapper. Lors de l’arrestation des agresseurs, un policier a été blessé.

    Après une semaine de recherche, la police a arrêté un demandeur d’asile africain pour le viol et l’assassinat d’une dame de 63 ans sans domicile fixe, le 30 juillet 2018, à Hanovre, en Basse-Saxe.

    Ces nouveaux cas s’ajoutent à la très longue liste des victimes de la politique d’Angela Merkel.

    Lionel Baland

    http://www.bvoltaire.fr/les-viols-dallemandes-par-des-migrants-continuent-durant-lete/

  • L’UE va investir plus de 60M€ dans le développement des activités des jeunes… Tunisiens

    La jeunesse, défi majeur pour l’UE et la Tunisie

    « L’union Européenne investira plus de 60 millions d’euros pour soutenir le développement des activités des jeunes Tunisiens dans divers secteurs. » C’est ce qu’a annoncé l’ambassadeur de l’UE à Tunis, Patrice Bergamini (…).

    « Je suis venu soutenir les efforts du ministère de la jeunesse et des sports, dans le cadre du partenariat UE-Tunisie visant à apporter un appui technique et financier au ministère pour la formalisation et la validation de sa vision sectorielle de la jeunesse » a ajouté Bergamini, précisant qu’ « au-delà des efforts qu’on fait dans le domaine des start-ups, avec la mobilisation en début de l’année de 15 millions d’euros, et l’octroi de 61000 micro-crédits aux jeunes pour démarrer leurs projets et de 2000 bourses pour faciliter la mobilité des jeunes, on va consacrer plus de 60 millions d’euros pour accompagner le développement des activités des jeunes en Tunisie dans tous les secteurs. »

    Rappelant la contribution de l’UE en matière d’instruction, au travers du financement de 25% des projets de construction et de restructuration des collèges et lycées en Tunisie, Bergamini a affirmé que l’objectif actuel est de soutenir toutes les activités périscolaires.

    ANSA

    http://www.fdesouche.com/1056435-lue-va-investir-plus-de-60me-dans-le-developpement-des-activites-des-jeunes-tunisiens