anti-national - Page 801
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La choquante vérité à propos de la surprise d'octobre d'Hillary (VOSTFR)
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Le destin de l'Europe s'est-il joué à Gettysburg ?
Voilà une bien curieuse question!... Comment et pourquoi l'avenir du Vieux continent aurait-il pu être radicalement transformé dans cette paisible bourgade de l'Etat de Pennsylvanie, fut-elle le lieu de la plus célèbre bataille de la Guerre de Sécession ?
Tenter d'y apporter quelque réponse ne serait que pure spéculation. Mais la question mérite d'être posée.
Le présent article n'a pas la prétention de dresser un minutieux détail de la fameuse bataille qui se déroula du 1er au 3 juillet 1863. Le lecteur intéressé se reportera aux ouvrages de Lee Kennett, de même qu'au Blanc Soleil des vaincus de Dominique Venner que les Editions Via Romana ont eu l'heureuse idée de rééditer, enrichi d'une préface d'Alain de Benoist.
Après les victoires confédérées d'Antietam, Perryville et Fredericksburg et celle de Chancellorsville en mai, Gettysburg constitue le dernier verrou de l'armée des Etats-Unis, dont une nouvelle défaite autoriserait l'enlèvement, par les troupes confédérées, des grandes cités septentrionales de Washington et Philadelphie, puis New York et Boston. Que serait devenue la Nation américaine si le drapeau confédéré avait triomphé sur le Stars 'n' Stripes ? On peut sereinement juger que l'Histoire géopolitique des Etats-Unis en eût été profondément modifiée. Et ainsi, le destin de notre Vieille Europe.
Car Gettysburg constitue une incompréhensible défaite de l'armée de Virginie du Nord, dont le commandement est assuré par le général Robert Lee, face à l'armée du Potomac, dirigée par le général George Mead. Malgré une faible infériorité numérique, la victoire semble acquise à Lee l'Invincible. C'est sans compter sur le talent tactique du général nordiste John Buford qui parvient à imposer le choix du terrain au profit des troupes Unionistes. Tournant décisif de la Guerre de Sécession, Gettysburg consacre le Stalingrad des Confédérés qui perdent une large part des territoires acquis au cours des derniers mois. La bataille fut, en outre, la plus coûteuse en vies humaines dans chaque camp.
Quelques mois plus tard, en novembre, le président Abraham Lincoln rend hommage aux combattants des deux camps dans un célèbre discours prononcé sur les lieux mêmes de l'affrontement. La guerre terminée, l'heure est à la construction du lieu de mémoire de l'un des sites majeurs de l'Histoire des Etats-Unis d'Amérique.
Le voyageur qui se trouverait sur la côte Nord-Est des Etats-Unis aurait tort de ne pas faire un détour par cette charmante petite ville qui se situe à une heure de route de la Maison blanche. Toute la bourgade vit bien évidemment du souvenir de la bataille mais évite l'écueil de sombrer dans la "Disneylandisation". Antiquaires militaires de tous les conflits, bouquinistes et magasins souvenirs de qualité avec une prédominance nordiste, même Picsou y perdrait quelques plumes et dollars...
Voyager, c'est aussi déguster ! Si la gastronomie américaine ne mérite guère que l'on s'y attarde plus, il sera conseillé d'oser (et le verbe n'est pas trop fort) franchir la porte du Hunt's Café et commander un cheesesteak. Le regarder, c'est déjà accuser deux kilos supplémentaires sur la balance mais Dieux que c'est bon !
C'est le ventre plein qu'il vous sera permis d'effectuer les trente kilomètres du circuit remarquablement aménagé reliant l'ensemble des sites de la bataille. Et que cela est impressionnant de voir cette immense plaine de plusieurs dizaines de kilomètres carrés constellée de centaines de monuments à la gloire de chaque brigade de chaque Etat. Difficile d'accorder son attention à tous mais la vue est impressionnante.
Gettysburg, c'est aussi le symbole d'une histoire assumée. Le grandiose monument du général Lee est le plus majestueux des centaines d'autres à la gloire des Confédérés. Contraste saisissant quand on analyse les rapports de la France à sa propre histoire et à ses Réprouvés ; le Maréchal Pétain en tête dont le nom n'est plus honoré que par le village du Moule en Guadeloupe, quand douze villes américaines lui dédient une rue ou une avenue.
Ainsi, Gettysburg serait le trait d'union d'une Nation américaine qui a parfaitement digéré sa guerre civile. Et pourtant...
La Guerre de Sécession a cessé, ça c'est sûr ?
Polémique sur le drapeau Sudiste, le Waterloo de la liberté de penser au pays d'Oncle Sam
Lorsque Obama ne tient plus la Barack, c'est toute la société multiraciste américaine qui s'enflamme. Si les tensions raciales aux Etats-Unis n'avaient jamais complètement disparu, l'accession d'Obama à la présidence en 2008 ne manqua pas de les exacerber.
Sous les feux des projecteurs, nul Ku Klux Klan moribond, ni quelque mouvement suprémaciste condamné à une existence marginale... Non ! Oussama ben Laden désormais mort et offert au tumulte des flots, c'est un drapeau sur lequel se concentrent toutes les attentions de la bien-pensance occidentale.
Identifié au Klan et au souvenir de l'esclavagisme, le drapeau sudiste, dont les onze étoiles figurent les onze Etats confédérés, est la cible de nombreuses polémiques qui traversent l'Atlantique et sont relayées jusqu'en Occident comme une actualité internationale majeure. L'Etat du Mississipi qui arbore le drapeau confédéré comme emblème officiel est montré du doigt. Idem le sénat de Caroline du Sud sur lequel flotte la bannière étoilée du Sud. On a l'actualité qu'on mérite !
Il fallait bien un incident pour asseoir définitivement la revanche des minorités sur le Sud. Le 17 juin 2015, à Charleston, en Caroline du Sud justement, Dylann Roof, âgé de 21 ans, ouvre le feu dans une église noire de la ville. La fusillade fait 9 morts et consacre la condamnation définitive du Dixie Flag.
Cité par son porte-parole Eric Schultz, Obama indique que la bannière confédérée conserve toute sa place aux Etats-Unis... dans un musée. Sous la pression, l'Etat de Caroline du Sud met son drapeau dans sa poche.
Bien loin de faiblir, les tensions grandissantes font couler le sang. Le 24 juillet 2015, à Oxford dans le Mississipi, Anthony Hervey, homme noir de 49 ans et défenseur infatigable du drapeau confédéré, voit son véhicule percuté par un autre bondé de jeunes afro-américains. L'embardée de l'automobile tue Hervey sur le coup. Cinq jours plus tard, à Columbus dans l'Ohio, trois hommes blancs sont poignardés et une femme reçoit une balle dans le cou devant leur maison qui arbore le drapeau honni. Le 15 août, à l'université d'Austin au Texas, des groupes de pression obtiennent le retrait de la statue de l'ancien Président des Etats confédérés, Jefferson Davis. Le 16 octobre, à Bradenton, en Floride, un afro-américain tire à trois reprises sur un véhicule arborant un autocollant sudiste sur le parking d'un supermarché. Le 30 décembre, le cimetière confédéré de Raleigh est profané. Les exemples pourraient être multipliés à l'infini. Curieusement, les nouvelles se noient en mer et ne parviennent pas aux rédactions françaises...
Gettysburg, un passé qui ne passe plus ?
L'essayiste Martin Peltier a récemment trouvé 20 bonnes raisons d'être anti-américain. La Nation, passée maître dans l'art de la subversion en vue d'asservir le reste du globe, conservait quelques traits séduisants pour qui a traîné ses guêtres au pied des gratte-ciels d'Oncle Sam et autour des majestueuses maisons coloniales d'Oncle Ben's. Son travail de mutilation quasiment achevé, les Etats-Unis semblent bien déterminés à se saborder eux-mêmes dans leur démente vision eschatologique judéo-protestante.
Et les espoirs que place la frange réactionnaire et droitarde européenne dans la candidature du new yorkais Donald Trump semblent bercés des illusions d'une Europe incapacitante dans le choix de son avenir qui se joua autant sur la verte plaine de Gettysburg que chaque jour sur notre Vieux continent.
Donald Trump, on dirait le Sud... Mais le temps dure longtemps...
Virgile / CNC
Texte paru à l'origine dans Livr'arbitres #20 (site; notre revue de presse ici)
http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/
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Conseil de l'Europe : le rapport pro-GPA de nouveau rejeté
Par 19 voix contre 17 au sein de la Commission des questions sociales du Conseil de l'Europe.
Néanmoins, le projet de recommandation annexé à la résolution a été adopté, après amendement. Il sera débattu lors de la prochaine session de l’Assemblée en octobre. Ce projet recommande aux Etats européens d’adopter des lignes directrices visant à préserver les droits des enfants nés dans le cadre d’une GPA.
No Maternity Traffic partage le souci premier de préserver les droits des enfants. Néanmoins, vouloir préserver sincèrement les droits des enfants suppose de poser d’abord le principe de l’interdiction de la GPA sous toutes ses formes. Il est vain, et même malhonnête, de prétendre lutter contre les conséquences de la GPA pour les enfants, sans en condamner d’abord la cause. La GPA, ou maternité de substitution, est une régression absolue du droit des femmes et de l’intérêt supérieur de l’enfant. La GPA, quelle que soit sa forme, exploite des femmes et génère un trafic d’enfants, privés en tout ou partie de leur filiation.
Le collectif international No Maternity Traffic poursuit son engagement et invite tous les députés de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe à adopter prochainement une recommandation qui, comme l’a fait le Parlement européen en décembre dernier, condamne explicitement toute forme de GPA et recommande aux Etats d’adopter une politique commune en ce sens au plan européen. »
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L’Europe est entrée dans un hiver démographique par un nihilisme fertile
Extraits de l’éditorial de Jean-Marie le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, dans la Lettre de la Fondation de septembre 2016 :
« A la question, "la vie vaut-elle encore la peine d'être donnée ?" les différentes politiques conduites depuis cinquante ans répondent clairement « non » ! D’où la succession ininterrompue jusqu’à ce jour de lois mortifères sur la famille, la contraception, l’avortement, la procréation artificielle, l’eugénisme et ces nouvelles formes de sacrifices humains que constituent les expériences sur l’embryon. Pour ne parler que des agressions contre le début de la vie, des dérives analogues s’ingéniant à hâter la fin de vie. L’Europe est entrée dans une sorte "d’hiver démographique", non plus à cause d’une guerre mais par un nihilisme fertile en raison de non-vivre (malthusianisme, hédonisme, écologisme, etc.). La « disparition » française de 10 millions d’enfants depuis plus de quarante ans est l’objet d’une célébration permanente et fait notre fierté nationale. Toute critique publique de cette hécatombe est formellement interdite au profit d’un masochisme auquel succombent les meilleurs. Il faudrait même se repentir, au nom d’un terrorisme de la bienveillance, d’évoquer ce cortège de morts, par égard à l’idéologie féministe et à ses prêtresses, c’est-à-dire que ce sont bel et bien les victimes qui sont devenues les bourreaux.
Les fruits de cette tragédie pour la France sont gravement sous-estimés : « nous sortons de l’Histoire parce que nous sortons de la vie ! ». La fondation Jérôme Lejeune est la seule institution à combattre l’avortement (et ses avatars, y compris la GPA) non seulement en tant qu’acte individuel mais parce qu’il entraîne aussi des conséquences collectives, morales, juridiques, financières, démographiques et géopolitiques dévastatrices. Pour le Pr Jérôme Lejeune « un pays qui tue ses enfants tue son âme ».
Nous en sommes là, anémiés spirituellement et physiquement face aux nouvelles menaces. Par son action concrète, inlassable et unique, la Fondation ne se résigne pas à voir la France renoncer à protéger ses propres enfants et perdre son âme. Elle n’accepte pas que l’on sacrifie la victime pour ne pas avoir à affronter l’agresseur, que l’on ne livre pas bataille par peur de déplaire aux grandeurs d’établissement, que l’on cède pour ne pas perdre. Le salut de la France dépend de ses raisons de vivre. C’est le trésor que nous voulons partager. D’urgence, aidez la Fondation à redonner à nos compatriotes le goût de cette « incroyable signification de la vie humaine ». Pour ne pas sortir de l’Histoire. »
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L'idéologie LGBT est implicitement totalitaire
Todd Huizinga, ancien diplomate américain qui connaît bien les rouages de l’Union européenne pour avoir été en poste à Bruxelles, dénonce le totalitarisme intrinsèque de l’idéologie LGBT :
« J’estime que l’idéologie LGBT est implicitement totalitaire : implicitement, car elle va détruire les libertés de manière implicite ».
« Le mariage est – il est tout simplement – une institution entre un homme et une femme, il n’est ni contre ni pour tel ou tel, c’est ce qu’il est objectivement. C’est la manière objective dont nous autres en Occident avons trouvé le moyen d’avoir des familles qui élèvent les enfants dans un environnement stable, avec deux modèles différents [un père et une mère] dont ils ont besoin pour grandir et devenir des êtres humains à part entière. Maintenant cela a été redéfini, et vous voilà “raciste sectaire” si vous refusez d’accepter cette définition ».
«Je comprends que certaines personnes se trouvent dans des situations psychologiques où il se sentent mal à l’aise par rapport à leur genre physique, mais cela ne signifie pas qu’un homme ou une femme puisse subitement appartenir au sexe opposé ». « Voilà qui révèle véritablement le profond déni de réalité qui se trouve derrière le mouvement de l’identité de genre ».
Mais pourquoi qualifier cela d’intrinsèquement totalitaire ? Pour Huizinga, cela est manifeste dans la manière dont cette idéologie s’est emparée de la sphère publique. Les activistes LGBT qui diabolisent ceux qui les contredisent en les traitant de sectaires « racistes » ou d’« homophobes » démontrent que
« ceux qui font fi de la réalité sont implicitement totalitaires, car lorsque ce qu’ils disent n’est manifestement pas en adéquation avec la réalité, il faut obligatoirement marginaliser ceux qui présentent les arguments de la réalité ». « Si l’empereur est nu, on ne peut permettre à quiconque de dire que l’empereur n’a pas d’habits ».
« On constate parfois une coexistence entre des idéologies intrinsèquement liberticides et la liberté en pratique ». « Je ne dis pas que c’est ce qui arrivera, mais j’affirme que la logique de tout cela conduirait à une destruction ou un affaiblissement si grave des fondements de la liberté que nous finirions par ne pas nous rendre compte de la liberté que nous aurions conservée. »
« Dans un monde sans vérité objective, seuls ceux qui ont le pouvoir politique peuvent décider du contenu des droits de l’homme ».
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Trahison nationale : Hollande et Le Drian détruisent l’industrie d’armement française
Remplacement du FAMAS : l’arbre qui cache la forêt !
Le soldat français porte des brodequins fabriqués en Allemagne ou Croatie (société allemande HAIX), un casque américain fabriqué en France (l’américain MSA a racheté CGF Gallet en 2002), utilise un lance roquettes suédois (AT-4CS), …
des missiles anti chars américains (Javelin, Hellfire), roule en Land Rover Defender britannique ou Ford Ranger américaine, tire avec des mitrailleuses belges (Minimi et MAG) et aura prochainement un fusil allemand (HK-416) !! Une première depuis l’adoption du premier fusil réglementaire français en 1717, bientôt seul le treillis sera encore intégralement français !!
Annoncé par la presse il y a quelques jours, le choix du fusil allemand HK-416 comme vainqueur de l’appel d’offre européen AIF (Arme Individuelle Future) destiné à remplacer le FAMAS a de quoi faire grincer les dents. Sans remettre en question les qualités indéniables de l’HK-416 (qui n’a rien à voir avec le piteux HK G36 adopté par la Police nationale), force est de reconnaître que ce choix sonne le glas de l’armurerie française. "Le HK 416 a été supérieur aux autres fusils d’assaut. C’est la rolls des fusils d’assaut et la meilleure arme du monde. Il va équiper les soldats de l’armée française", se réjouit-on au sein du ministère. Certes... mais l’arme ne sera pas fabriquée en France. […]
Écrit par Cyril Giraud (SIEL 79) - La suite ici
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Trahison-nationale-Hollande-et-Le
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De l’immigration de travail au Grand Remplacement
La question migratoire a éclipsé toutes les autres problématiques politiques s’imposant à nos contemporains. Parmi les différents défis que nos sociétés européennes doivent relever, cette dernière suscite le plus de polémiques. L’antagonisme politique fondamental oppose désormais des Mondialistes à des Identitaires. Les premiers sont ultradominants. Leurs sensibilités vont d’un mondialisme intégral dissolvant les identités historiques dans une sorte de Tour de Babel métissée, à l’assimilationnisme de rupture avec le lignage d’origine. Entre les deux, beaucoup prônent la coexistence de communautarismes unis par un patriotisme contractuel.
Schématiquement, le spectre va de Soros à Soral ; de Terra Nova au Front national 2.0. En face, les Identitaires sont attachés aux déterminismes biologiques et sociaux issus de milliers d’années d’histoire. Mais ils sont encore fragiles et peu nombreux, cette posture étant très récente.
Pour les uns, cette immigration est bénéfique. Elle favoriserait la croissance économique ; elle suppléerait au déclin de la natalité des Français ethniques ; elle dynamiserait notre société, etc. Pour les autres, elle est une catastrophe car perçue comme un Grand Remplacement des populations historiques et donc la disparition programmée des peuples européens et de notre civilisation.
Relevons au passage que cette immigration allogène fut initiée dès l’avènement de la Ve République. La politique inaugurée par le tandem Charles De Gaulle/Michel Debré est suffisamment explicite sur ce point, provoquant même un scandale lors de l’affaire des Enfants de la Creuse. Près de 2.000 orphelins réunionnais furent alors déportés en France européenne et placés dans des fermes. Dans le même esprit, sous la gouvernance de Valéry Giscard d’Estaing, des femmes africaines furent mariées à des paysans français esseulés. Et c’est loin d’être tout.
Le constat est qu’aujourd’hui cette immigration allogène et leurs descendants réunissent entre douze à quinze millions d’individus (métis compris), majoritairement des jeunes, sur le territoire de la France européenne. Beaucoup sont parfaitement intégrés. On pensera aux Afro-Antillais, aux Asiatiques, à beaucoup d’Africains, aux Hindous, etc. En revanche, une partie non négligeable de Maghrébins génère quelques difficultés… (1).
Pourquoi la spécificité maghrébine ?
Délicat de discuter publiquement dans le contexte actuel sur les spécificités maghrébines. L’omerta est de mise dans la sphère publique. En revanche, dans l’espace privé, le débat est plus libre, même avec des quidams d’outre-Méditerranée. Notons que parmi ces Maghrébins beaucoup ne soulèvent aucune difficulté, qu’ils soient juifs, arabes ou kabyles. Ils vivent à côté de nous et avec nous. Certains d’entre eux – on pense bien évidemment à l’irremplaçable Eric Zemmour – s’assument comme les hérauts de la race blanche chrétienne. Mais d’autres sont irréductibles. Dans mon enfance, la vox populi qualifiait ces gens ingérables de « crouilles » (2).
Le fait est que, depuis des centaines d’années, les côtes du Maghreb furent le siège d’une piraterie réduite au XIXe siècle. Ce sont les descendants de ces pirates, dont l’économie reposait sur le pillage, que nos dirigeants ont installés dans nos villes, hier, et maintenant dans nos campagnes. Trois minutes de conversation honnête avec un Maghrébin musulman bon père de famille suffisent à s’en convaincre. Nous eûmes cette conversation alors qu’on m’avait volé un beau vélo (pneux Schwalbe Marathon Plus récents, freins hydrauliques Magura, selle Brooks en cuir noir, etc.), pourtant bien cadenassé, en plein jour dans une rue animée de Paris et réputée sûre. Lui en parlant, il m’avoua connaître un compatriote organisateur d’un réseau dédié à cette activité fort lucrative. Sa gêne était plus que sensible.
Histoire des pirates d’Afrique du Nord
Les côtes nord de l’Afrique furent depuis des temps immémoriaux le repère de Barbaresques. Ils vivaient de rapines, razziant tout ce qui était razziable autour d’eux, y compris chez les Maghrébins laborieux.
Bien évidemment, leurs déterminismes personnels sont la conséquence de cette adaptation à ces pratiques économiques. Au même titre que les paysans sont généralement petits car… « la terre est basse », les pillards doivent posséder des caractéristiques spécifiques pour prospérer. Se développa alors sur les côtes d’Afrique du Nord une population aux spécificités adaptées à cette économie. Notons que des Européens en rupture de ban encadraient ces pratiques. Ces renégats dirigeaient ces indigènes. Ainsi un Hollandais fameux, Jan Janszoon alias Mourad Rais, pilla l’Islande en 1627 et l’Irlande en 1631. Le butin convoité par ces razzias était, entre autres, des esclaves blancs vendus sur les marchés d’Orient.Pendant longtemps, l’Ordre de Malte verrouilla la Méditerranée occidentale, mais sa destruction pendant les guerres napoléoniennes permit ensuite à ces pirates de prendre toutes les initiatives contenues jusqu’alors. La réaction fut forte. Les grandes puissances maritimes allèrent détruire les bases de cette piraterie maghrébine. Les premiers à agir furent les Américains pendant les « Guerres barbaresques » de 1801 à 1815. Puis, en 1816, une flotte britanico-néerlandaise bombarda Alger, mais sans intervention terrestre. Celle-ci sera finalement opérée sous Charles X. En 1830, l’intervention française en Afrique du Nord signe l’arrêt définitif de l’activité de ces pirates. Mais la culture de piraterie subsiste. Relevons aussi que cette piraterie, partout dans le monde, fut instrumentalisée par tel ou tel prince selon ses intérêts du moment. Les pirates devenaient alors corsaires. En Afrique du Nord, beaucoup agissaient pour le compte de l’empire ottoman. La montée des Etats-nations et la révolution industrielle engendrant un accroissement des échanges ruineront cette activité dont elle contrariait le développement.
Avec les indépendances, les nouveaux dirigeants d’Afrique du Nord voulurent eux aussi les annihiler. Face à des autorités françaises avides d’immigrés, ils ne retiendront pas les descendants de ces pirates qui pourront alors rapiner chez nous. Maintenant, on les répand sur tout le territoire. Ces trois minutes de conversation avec ce Maghrébin « bon père de famille » permirent de vite comprendre pourquoi ces individus sont ingouvernables. Au Maghreb, Ils s’en sont débarrassés avec élégance. Au Maroc, un Européen se promènerait plus en sécurité dans les quartiers les plus chauds qu’en France dans une cité « populaire ». C’est dans cette population irréductible que doit maintenant se recruter cette « caillera » tentée par le djihad. Cela amène cette connaissance marocaine m’ayant éclairé à ne plus aller à la mosquée, alors même que la sonnerie de son portable est l’appel du muezzin. C’est dire.
Quel rôle ont joué nos dirigeants ?
Nos dirigeants se sont-ils fait duper par plus malins qu’eux en acceptant des descendants de pillards sur notre sol, ou bien ont-ils agi sciemment pour conforter les rapports de domination sociale dont ils bénéficiaient ? L’installation de migrants en Europe, aujourd’hui, répond-elle à la même démarche ? L’oligarchie instrumentalise-t-elle la piraterie et le terrorisme sur notre sol comme les princes le firent hier ? On aimerait en savoir plus.
Frédéric Villaret Septembre 2016
Notes :
1/ Immigration et délinquance : ce que l’on sait, ce que l’on croit savoir http://www.liberation.fr/france/2014/12/12/immigration-et-delinquance-ce-que-l-on-sait-ce-que-l-on-croit-savoir_1161343
2/ « Crouille »:
-abréviation de crouillat, emprunté à l’arabe maghrébin (‘a) khuya, « mon frère » ; terme de politesse fréquent en Afrique du Nord, altéré en crouille ;
-de mauvaise qualité, décevant. Mais aussi coquin, d’un enfant qui a l’œil qui brille de malice : « avoir l’air (d’une) crouille » ;
-terme injurieux et raciste pour désigner un Nord-Africain.http://www.polemia.com/de-limmigration-de-travail-au-grand-remplacement/
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L'héritage chrétien et monarchique dans l'histoire de France a complètement disparu des programmes scolaires
Dimitri Casali, historien, spécialiste de l'enseignement de l'Histoire, vient de publier Notre histoire. Il répond à Atlantico :"Il s'agit avant tout de replacer l'héritage chrétien et monarchique de la France dans son histoire. La France d'aujourd'hui est le produit d'un double héritage, chrétien et monarchique, mais également laïc et républicain. Dans mon livre Notre histoire, je me suis donc efforcé de replacer l'héritage chrétien et monarchique dans l'histoire de France pour la simple et bonne raison que je me suis aperçu que celui-ci avait complètement disparu des programmes scolaires 2016 pour le collège.
Désormais, les technocrates de la rue de Grenelle affichent ouvertement leur volonté d'effacer les racines chrétiennes de notre pays ; cela fait froid dans le dos. Que serait la France sans les cathédrales (Notre-Dame, Chartres et Reims) et ses bâtisseurs ? Je vous mets au défi de trouver une seule page dans les programmes actuels mentionnant les cathédrales et le style gothique qui a pourtant fait la gloire et le rayonnement de la France à travers toute l'Europe durant tout le Moyen-Âge - on parlait d'ailleurs d'"art français" et non pas d'art gothique. En plus des cathédrales, nous ne parlons plus également, dans ces nouveaux programmes, des grands rois saints comme Saint-Louis, ceux qui ont fait de la France la fille aînée de l'Eglise.Sans parler de Jeanne d'Arc qui, elle aussi, a disparu comme par enchantement, ou plus exactement expédiée en deux lignes, mentionnée seulement comme celle qui a aidé Charles VII à reconquérir son royaume. On retrouve ces disparitions notamment dans le manuel de 5ème publié par Magnard et dans celui paru chez Nathan. Cette volonté de passer sous silence l'héritage chrétien de la France faisait déjà partie des thèses de Vincent Peillon qui faisaient partir l'histoire de France uniquement à partir de la Révolution de 1789. On retrouve cette pensée également chez Thierry Tuot, et dans tout l'entourage de François Hollande.
Ce qui explique ce comportement réside dans la volonté de ne pas choquer tous les nouveaux arrivants, et les enfants immigrés de la 3ème génération. Un rapport de 2004 mentionnait déjà le fait que lorsque l'étude d'une cathédrale leur était proposée en classe de cinquième, ces enfants refusaient d'assister à la classe. On constate donc bien cette volonté communautaire de refuser l'héritage chrétien et de rejoindre la communauté nationale en épousant son histoire et sa culture. Pour revenir sur l'évacuation de Saint-Louis des programmes d'histoire de 5ème, vous aurez compris que cela tient au fait qu'il est constamment fait mention, dans la littérature djihadiste, des croisés.
Cette volonté d'évacuer l'héritage chrétien et monarchique de l'histoire de France est-elle caractéristique du quinquennat Hollande ?
La réforme de 2008 initiée par Xavier Darcos était déjà catastrophique en ce sens qu'elle avait introduit l'étude des empires africains du Moyen-Âge, bien que l'étude des cathédrales, de Saint-Louis et de Jeanne d'Arc ait été préservée. Désormais, cela n'est plus le cas. Les programmes ont été réduits à leur portion congrue en vertu des fameux EPI (enseignements pratiques interdisciplinaires). En revanche, de la place a été faite à certaines thématiques d'ordre compassionnelle. Pour le Moyen-Âge, en vertu de l'idéologie très écologique du moment, plusieurs pages ont été accordées au traitement des grands défrichements des paysans au Moyen-Âge. [...]"
Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Migrants, clandestins, immigrés ... : ce sont « des êtres humains » . En voilà un qui a découvert l'eau tiède !
Migrants, clandestins, étrangers, immigrés : ce sont tous « des êtres humains » ... En voilà un qui a découvert l'eau tiède !
Eh ! oui : c'est sur BFM-TV, après un édifiant (!) reportage sur la « jungle » de Calais, qu'un obscur représentant de France terre d'asile est venu, doctement, nous asséner cette vérité élémentaire, croyant, sans doute, que cette évidence valait sommation d'accueillir, à Calais et dans toute la France, les 2,8 milliards de personnes - soit près de la moitié de la population mondiale - qui vivent avec moins de 2 dollars par jour. En tout cas, c'est ce qu'il demandait : « accueillir l'autre » puisque « ce sont des êtres humains » !...
Mais ce docte inconnu semble oublier que, nous aussi, habitants du pays d'accueil, nous les indigènes, les autochtones, c'est-à-dire tout simplement nous, les Français, nous sommes aussi des êtres humains. Et nous avons aussi des droits : ceux que nous donnent la possession du pays que, depuis des siècles, des millénaires, façonnent nos prédécesseurs. Dans cette « communauté de destin » - mais aussi d'héritage - qu'est la Nation, nous poursuivons l'oeuvre de nos ancêtres à notre tour, maillons dans la chaînes des âges...
Le donneur de leçons à deux centimes d'euro de France Terre d'asile devrait commencer par le commencement, et reconnaître d'abord les droits des Français dans leur propre pays :
• par exemple, les Calaisiens ont le droit de vivre dans une ville sûre, propre, agréable ; où les « migrants » ne percent pas, chaque nuit, le grillage de votre jardin, comme le montre un peu après le même reportage ; et cela pour vous voler tout ce qu'ils peuvent, et qu'ils iront ensuite déposer sur l'autoroute voisine, afin d'y faire un barrage pour arrêter les camions, mais risquant ainsi de créer des accidents mortels...
• par exemple, les jeunes de Sisco ont le droit, en plein été, d'aller dans les criques de leur village pour s'y baigner, sans qu'une horde de maghrébins ne surgissent, avec un harpon, pour leur faire violence...
• par exemple, les Marseillais ont le droit de sortir en plein jour dans leurs rues, sans risquer de se prendre une balle perdue venue d'une kalachnikov déchargée à cinquante mètres à peine de l'Hôtel de police, c'est-à-dire en plein centre-ville !...
On se contentera de ces trois exemples récents, mais, l'énumération pourrait durer bien longtemps, de tous ces gens qui sont des êtres humains et qui aimeraient bien être traités comme tels, dans leur pays, qu'ils ont reçu de leurs ancêtres, dont ils prolongent l'aventure...
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I-MEDIA S03E31 Loi Taubira : sondage trafiqué médias engagés