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culture et histoire - Page 1723

  • Fabrice Robert : “Novopress média incontournable de la réinformation”

    PARIS (NOVOpress) - Entretien avec Fabrice Robert, fondateur et directeur stratégique de Novopress

    Novopress vient de faire peau neuve. Pouvez-vous revenir rapidement sur la genèse de ce média ?

    Novopress.info a été créé en 2005. 8 ans déjà !

    Les médias « classiques » ont longtemps détenu le monopole de l’information. Grâce au réseau des réseaux, il me paraissait important – à l’époque – de tenter l’expérience d’un nouveau média susceptible de proposer une information alternative en ligne. Et le constat est désormais sans appel. Internet a permis de révolutionner l’accès à l’information tout en permettant une diversification de ses acteurs.

    Pourquoi avoir choisi un tel nom ? « Novo » signifie, en latin, « renouveler » ou encore « refaire ». Novopress se donnait alors comme objectif de refaire l’information face à la propagande du système et face à l’« idéologie unique ». On ne parlait pas encore, à l’époque, de réinformation mais l’approche était – avec du recul – assez similaire. Dans un certain sens, on peut dire que Novopress a joué un rôle de précurseur par rapport à qu’il est convenu d’appeler aujourd’hui, la réinfosphère.

    Novopress apparaît donc comme un média incontournable au sein de la galaxie des sites de réinformation. Pour les médias du système, qui aiment bien caricaturer ceux qu’ils ne contrôlent pas, Novopress est présenté comme l’un « des organes de presse les plus influents de l’extrême droite française ». D’autres nous perçoivent plutôt comme « un rouleau compresseur de “réinformation” »…

    Mais le moment nous semblait venu de passer à autre chose. Car il faut sans cesse réinventer, innover, évoluer pour conserver une longueur d’avance. D’où cette refonte qui ressemble, en réalité, à une véritable mutation de forme et de fond et qui permet de faire de ce média, une première en France.

    Quel est le fil directeur de cette refonte de Novopress ?

    Nous sommes partis du principe que l’actualité se fait désormais aussi à travers les réseaux sociaux. L’exemple emblématique reste, sans aucun doute, Twitter. Cette plateforme de microblogging, qui permet d’exposer ses points de vue en 140 caractères, a envahi notre quotidien. Le fameux hashtag (ou mot-dièse) associé au symbole #, se retrouve partout : le web, la presse papier, la radio et la télévision. De plus en plus de personnalités politiques et médiatiques préfèrent s’exprimer, avant tout, sur leur compte Twitter officiel pour contourner le filtre déformant des médias traditionnels. Dans le même temps, on incite de plus en plus le grand public à réagir – via Twitter – au cours d’une soirée politique, un journal télévisé ou une simple émission de divertissement. La télévision amplifie l’audience des réseaux sociaux mais l’inverse est également vrai. Il y a donc aujourd’hui une véritable interconnexion entre les deux types de plateformes. Le concept de télévision « sociale » (ou « Social TV » ) est en plein essor. Nous devons exploiter ce phénomène pour faire passer nos messages dans une optique de guerre culturelle. La piraterie politique à l’abordage de la télévision « sociale » !

    Vous l’avez compris. Le réseau Twitter va donc logiquement occuper une place centrale sur Novopress. Nous allons mettre en avant les tweets importants, proposer un fil d’information dédié aux hashtags du moment et aux comptes de personnalités qui résistent face à la mondialisation. Mais, de manière plus large, Novopress va désormais mettre l’accent – à travers son contenu – sur les réseaux sociaux (Twitter mais aussi Facebook) et certaines plateformes emblématiques du web 2.0 (comme YouTube, Flickr, etc). Certains développements très spécifiques effectués sur Novopress ne se retrouvent pour le moment – à mon sens – sur aucun site.

    Novopress évolue donc vers une plateforme mixte qui va agréger entretiens, contenus rédactionnels et informations issus des réseaux. Novopress devient un « médiagrégateur social », une sorte d’entonnoir informationnel capable de filtrer l’actualité qui compte.

    Novopress devient un « médiagrégateur social », une sorte d’entonnoir informationnel capable de filtrer l’actualité qui compte.

    Nous allons donc nous appuyer sur des collaborateurs capables de fouiller le web à la recherche du contenu le plus intéressant. Chaque jour, des milliers de contenus pertinents sont noyés dans un océan d’information numérique. Des documents plus anciens peuvent aussi être exhumés et constituer des pépites pour nos lecteurs.

    Notre stratégie suit une double logique : Nous souhaitons informer mais aussi enrichir l’internaute. Par ailleurs, nous savons que le flux d’information en continu crée de l’infobésité. En sélectionnant les contenus intéressants et qualifiés – dont certains n’ont jamais été traités par d’autres – nous voulons recréer de la rareté au sein de l’abondance.

    Peut-on parler de combat culturel ?

    Bien évidemment. Novopress a, d’ailleurs, toujours voulu inscrire son travail dans une logique de combat culturel et technologique. La prise DES pouvoirs – plutôt que DU pouvoir – passe logiquement par la conquête préalable des esprits. Le réseau des réseaux nous permet de mener à bien cette offensive culturelle destinée à réveiller les consciences.

    Aujourd’hui, de plus en plus de Français s’informent avant tout sur Internet et boudent les médias classiques. Et cela concerne toutes les générations. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les jeunes ne sont pas les seuls à être très présents sur le Net. Des études révèlent, par exemple, que les seniors ont aussi largement investis les réseaux.

    La guerre culturelle passe donc inévitablement par une bonne maîtrise des nouvelles technologies. Un outil de communication comme Novopress doit permettre de contourner le silence médiatique et la diabolisation tout en offrant une plateforme pour susciter des mobilisations militantes. Inutile de se mentir sur la soi-disant « neutralité » des journalistes. Tout média a – un moment ou un autre – une vocation militante. Pour s’en convaincre, il suffit de voir les prises de position des journalistes du système majoritairement en faveur du « mariage pour tous ». Contrairement à ces militants déguisés en journalistes, nous assumons clairement notre rôle de média-militant.

    Ces journalistes qui se proclament « républicains » symbolisent, en fait, cette nouvelle féodalité qui refuse l’abolition de ses privilèges et craint plus que tout de subir un 4 août de la liberté de l’information.

    C’est d’ailleurs à se demander si nous ne sommes pas passés du concept de la lutte des classes à celui de la lutte des médias. Une lutte opposant une caste médiatique jalouse de ses privilèges à des initiatives qui se constituent pour offrir une autre information et démasquer les tenants de l’idéologie unique. Si je voulais être un tant soi peu provocateur, je serais tenté de faire un parallèle historique avec la Révolution française. Ces journalistes qui se proclament « républicains » symbolisent, en fait, cette nouvelle féodalité qui refuse l’abolition de ses privilèges et craint plus que tout de subir un 4 août de la liberté de l’information.

    Comment est-il possible d’aider Novopress ?

    Nous travaillons dans une logique de réseau avec une approche participative. Chacun peut donc participer au projet en nous transmettant des informations (un tweet, un statut Facebook, une vidéo, une photo, un article de presse, un document d’analyse ou de réflexion, etc.).

    Mais il est également possible de participer plus activement en rejoignant l’équipe opérationnelle de Novopress. Pour cela, il suffit de faire acte de candidature en spécifiant ses motivations ainsi que les domaines et sujets que l’on maîtrise (veille, recherche d’information, rédactionnel, traduction, etc.).

    Rien ne se fera sans un réseau puissant de collaborateurs armés – numériquement parlant – et compétents

    Nous avons, avant tout, besoin de têtes chercheuses, de veilleurs et de personnes qui maîtrisent bien les réseaux. Novopress rentre dans une autre dimension, avec une plateforme technique et une approche éditoriale novatrices. Mais rien ne se fera sans un réseau puissant de collaborateurs armés – numériquement parlant – et compétents.

    http://fr.novopress.info/142399/fabrice-robert-novopress-media-incontournable-reinformation/

  • RAOUL GIRARDET ÉTAIT-IL DEVENU « AUTRE » ?

    La destinée de Raoul Girardet aura été enviable. Quoique s’étant engagé, avec grand courage, dans deux combats « interdits » : celui de la Monarchie, à l’Action française, et de l’Algérie française, à l’O.A.S., la presse a, sous ses meilleures plumes, marqué une étonnante unanimité à le célébrer.

    Cela faisait d’ailleurs des décennies que Girardet était devenu plus que fréquentable : une référence ; et, à l’Institut des Sciences Politiques notamment, une institution. Ce qu’il devait d’ailleurs – aussi ou plutôt avant tout – à la qualité de son enseignement, que beaucoup se plaisent à évoquer avec nostalgie. Le fait suscite cependant quelques réflexions.

    Enfer et Purgatoire

    La plus extérieure porte sur la fortune difficile de l’École d’Action française. Le poids de ce que nous appelons aujourd’hui le « politiquement correct » est tel que des penseurs éminents, profonds et féconds de cette tradition se sont toujours trouvés, davantage que marginalisés, interdits de séjour intellectuel. Le résultat en a été que la pensée de Maurras, pour ne prendre que l’exemple le plus emblématique, au lieu d’avoir été intégrée dans la réflexion politique, morale, littéraire et esthétique commune – et notamment dans son expression universitaire –, comme elle l’aurait mérité, s’est trouvé repoussée dans les ténèbres extérieures. Cette censure aura eu un double effet. D’abord, que ceux qui n’y auraient pas accédé ignoreront à tous jamais ce qu’ils manquent – ce qui ne les empêchera d’ailleurs pas, ou plutôt d’autant mieux, de « réprouver » publiquement Maurras par un effet de la « reproduction », ici idéologique, chère à Bourdieu et aux marxistes. Ensuite, que le public très restreint, de tradition ou de hasard, qui aura eu l’heur de le méditer, rongera son frein de participer à une contre-culture, honorable, certes, mais confinée et, forcément, quelque peu morose du fait même de ce confinement. Mais, fort heureusement, quelques-uns des « nôtres » ou de nos « ex. » – tels Bainville, Maulnier, Ariès ou… Girardet – ont réussi à s’imposer. La plupart non – ainsi Boutang.

    « Fortune de France » [...]

    Francis Venant - La suite dansL’AF 2872

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?RAOUL-GIRARDET-ETAIT-IL-DEVENU

  • "L'important, c'est l'école" : la lettre de 419 directeurs parisiens en colère

    Lu ici :

    "Dernier jour d’école ce vendredi à Paris, marqué par l’envoi jeudi d’une lettre au recteur et signée par 419 directeurs d’école sur 662, et une grève des animateurs dans la quasi-totalité des écoles du XXe arrondissement. Les responsables, qui ont signé de leur nom et en indiquant leur école, ne mâchent pas leurs mots. Ils signifient en toutes lettres leur "désarroi et [leur] colère".

    La réforme des rythmes scolaires envahit leur journée, disent-ils, et "à l’école, l’important c’est l’École, autrement dit les apprentissages […] En professionnels de l’Éducation que nous sommes, nous savons que la désorganisation structurelle induite par l’application de cette réforme parisienne, ne sera pas résolue après une "période de rodage" ou après quelques "ajustements" à la marge.

    A la rentrée, cette colère sera relayée lors de deux mouvements de grèves, le mardi 12 novembre pour les animateurs, et le jeudi 16, à l’appel de plusieurs syndicats d’enseignants. La mairie de Paris a annoncé en début de semaine plusieurs aménagements, dont la création d’un carnet de liaison avec les parents."

    Lire la lettre en cliquant ici.

    Louise Tudy   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • 32 000 signataires contre la suppression de fêtes chrétiennes

    Notre pétition rencontre un franc succès.

    Mais Jean-Marc Ayrault n'a toujours pas réagi.

    Michel Janva

  • À l’extrême-droite d’Internet

    Retrouvez cet article sur http://lorrainenationaliste.wordpress.com/2013/10/17/a-lextreme-droite-dinternet-par-pierre-petrus/
    Un fond travaillé enveloppé d’une forme attractive ; voilà le message parfait. Pour le fond, l’extrême droite est servie : journaux anticonformistes, travaux historiques, cercles de réflexion de qualité, doctrine solide, etc. Mais pour la forme : combien d’expériences contre-productives, de messages défaitistes, d’outils inusités, de propagande triste, de plates-formes inadéquates et de textes décourageants ? Qu’on se le dise, la raison principale de nos échecs passés rôde par là. Fort heureusement, il n’y a rien d’irrémédiable et tout reste à construire.

    Savoir faire, c’est bien. Faire savoir, c’est mieux

    Et la forme passe inévitablement par le média le plus dynamique et le plus explosif de notre époque : j’ai nommé bien sûr Internet. Qui pourrait aujourd’hui incarner une alternative crédible sans se servir de ce bijou de la communication qui poursuit sa croissance exponentielle ? Ce n’est pas pour rien si le trublion arriviste Soral a su donner plus de visibilité à l’extrême droite en l’espace de quelques mois que plusieurs années d’activisme nationaliste. Il aura fallu un ancien communiste aliénophile avec un fond fragile et boiteux pour donner une leçon de communication à de vieux loups de mer qui n’ont pas vu la farce venir. De la même manière, il a fallût une seule chansonnette sur un ananas émanant d’un Franco-Camerounais pour étendre la conscience révisionniste à toute une population qui n’avait pas ses habitudes dans l’extrême droite. Et peu importe que la vision soralienne soit métisseuse, confuse et alambiquée ; le truand du logos savoyard a su camoufler ses accointances maghrébines ethnocidaires sous une tonne de propagande correctement ficelée. Imaginez donc ce qu’il est possible de faire pour une famille politique comme la nôtre qui ne souffre pas de ces maux et détient une doctrine forte et une logique implacable.

    Celui qui apprivoise la jeunesse a déjà gagné

    Si la mayonnaise a pris en si peu de temps, ce n’est pas dû seulement à une visibilité prolifique sur la toile. Il ne suffit pas d’être présent en abondance et d’alimenter régulièrement les réseaux sociaux, les blogs, les sites, les forums, etc. ; il s’agit de principes élémentaires. La clef du succès réside aussi dans la façon dont on s’adresse à notre cible prioritaire qu’est la jeunesse, celle qui utilise massivement ce média. Car il faut bien se dire que les jeunes ne vont pas venir vers nous sans qu’on les y invite. Il faut les intéresser et les faire réfléchir sur nos problématiques. Seule une fraction très minoritaire de la jeunesse va se plonger vers notre rhétorique et il va bien falloir que nous allions à la rencontre de tous les autres. Les passerelles sont possibles, il suffit de les créer et de trouver la bonne manière. Ce qui est sûr, c’est qu’on ne va pas convaincre un néophyte en lui administrant un poussiéreux Protocoles des Sages de Sion (aussi riche en enseignements soit-il), mais en utilisant les codes communicatifs de l’intéressé. La question juive et maçonnique est assez compliquée comme ça, il ne sert à rien d’en rajouter une couche en débutant une approche malhabile avec des grimoires répulsifs dont le complotisme assumé peut en rebuter plus d’un. Nous trouverons notre salut en nous inspirant de références joviales, parfois humoristiques, et résolument positives, comme, par exemple, le célèbre site le-projet-juif.com, aujourd’hui éteint. Sur Internet, il faut créer des messages intransigeants, frais, originaux, s’exprimer simplement et surtout adapter ses thématiques au quotidien de la jeunesse.

    À cette jeunesse, il faut lui dire que la violence immigrée qu’elle côtoie derrière son écran de GTA existe aussi derrière sa fenêtre ; que la merde télévisuelle qu’elle fuit comme la peste a une origine cosmopolite et dégueulasse toute trouvée ; que la pleurnicherie cinématographique qui l’étouffe est basée sur des faits historiques tronqués mis en scène par des artistes ratés ; que les places fermement occupées par ses supérieurs incompétents nuisant à son ascension sociale possèdent une explication raciale qui peut s’articuler autour des 4 lettres que forment le mot j***, etc. Si une bande de marxistes pro-immigrés a réussi à populariser massivement ses concepts foireux sur le web pour satisfaire des aspirations exclusivement lucratives, alors la masse de nationalistes désintéressés et disciplinés que nous formons peut en faire autant, voire mieux.

    Mais pour ça, encore faut-il maitriser les outils de communication modernes. Ce n’est pas évident pour quelqu’un qui n’a pas grandi avec un ordinateur à portée de main, mais la documentation disponible en ligne est si vaste qu’une personne motivée n’a désormais plus aucune excuse de ne pas connaître au moins les bases primordiales. Pour le reste, cela viendra avec le temps selon votre niveau de patience et de l’équipe qui vous entoure. Le mieux étant d’apprendre le maximum de choses par soi-même et de ne pas hésiter à demander à son entourage le plus érudit dans ce domaine. L’éventail de nos armes doit nous permettre de (âmes sensibles aux attaques contre la francité s’abstenir) flooder, tweeter un hoax, déceler un fake, buzzer avec un troll, etc.

    La « positive attitude »

    La visibilité sur Internet, la maitrise de ces outils de communication… et aussi les émotions dégagées. Car il y en a marre des messages dépressifs, des discours défaitistes, du passéisme exclusif, des visages fermés et des formes tristes. Le dynamisme que nous voulons insuffler doit être à l’image de ce que nous dégageons. Quel soldat suivrait un général tiède, craintif et découragé ? Aucun. Alors, haut les cœurs ! Les dépressifs n’attirent que les autres dépressifs, quand ils attirent quelque chose… Et personne ne veut écouter un homme qui annonce d’avance que tout est perdu !

    Il nous faut plus de messages mobilisateurs, plus de sourires, plus de discours d’avenir, plus de personnes qui ne doutent pas un seul instant de la victoire finale, plus de vitalité. On ne va tout de même pas décorer continuellement l’entièreté de nos sites, de nos bannières et de nos slogans de la couleur noire – apathique, surreprésentée et peu pratique pour la lecture sur Internet – sous prétexte qu’une célèbre armée d’élite avait choisi cet habillage élégant. Fidèle au passé, certes. Mais aussi – et surtout – tourné vers l’avenir ! Bref, plus de positif. Et pas seulement pour les caméras, non. De l’énergie réelle, franche et non-simulée, digne des conquérants confiants dans leurs forces, sûrs de leurs idées et qui peut se ressentir aussi bien dans la camaraderie que dans les discours. Si des dynamiques nous font défaut, créons les. Le train de la révolution 2.0 est en marche, et si on prenait des billets ?

    Pierre Petrus, ancien maladroit de la communication soigné de cette affreuse maladie.

    Article largement inspiré de l’excellent "Sortir du ghetto" disponible à cette adresse.

    http://pierrepetrus.wordpress.com/2013/10/17/a-lextreme-droite-dinternet/

  • Leonarda et Khatchik : le sida mental frappe à nouveau une partie de la jeunesse française

    C'était un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître !
    En 1986, Louis Pauwels publiait un magnifique éditorial - Le monôme des Zombies - sur la vacuité idéologique de la jeunesse française qui descendait alors dans la rue pour protester contre un début de sélection à l'université . Il n'a jamais été autant d'actualité avec les manifestations de "jeunes" pour le retour en France d'une jeune fille en fleurs des Balkans, Leonarda Dibrani, et d'une gouape caucasienne, Khatchik Kachatryan. J'écrirais que si le trait fut forcé pour la jeunesse de 1986, il serait en deçà de la réalité pour cette faune qui est descendue dans les rues ces dernières 48 h et ce n'est plus de "sida mental" qu'il faudrait parler mais bien de "peste mentale" !
    Ce fait-divers lié à l'immigration tsunami qui déferle sur la France pourrait être analysé sous plusieurs aspects :
    1- La situation en Kossovie-Métochie sous la coupe mafieuse de l'UCK et le sort qui y est réservé aux minorités comme les Roms, les Goranis, les Serbes... Se pose ici la question de traduire en justice, de condamner et d'exécuter les sentences pour le gauleiter de l'OTAN Bernard Kouchner et le propagandiste sioniste Bernard-Henry Lévy.
    2- La crédibilité du ministre de l'intérieur d'une puissance nucléaire du Conseil de Sécurité de l'ONU qui est obligé de modifier ses priorités et son agenda à l'aune du sort d'une adolescente Balkanique de 15 ans et d'une gouape Caucasienne de 19 ans.
    3- Les manipulations d'une jeunesse a-cérébrée politiquement par des groupuscules politiques gaucho-libertaires - c'est la réalité du Parti Communiste Français aujourd'hui ainsi que celle du Front de Gauche - et des syndicats gauchistes.
    "Ce sont les enfants du rock débile, les écoliers de la vulgarité pédagogique, les béats nourris de soupe infra idéologique cuite au show-biz, ahuris par les saturnales de « Touche pas à mon pote ». Ils ont reçu une imprégnation morale qui leur fait prendre le bas pour le haut. Rien ne leur paraît meilleur que n’être rien, mais tous ensemble, pour n’aller nulle part.
    Leur rêve est un monde indifférencié où végéter tièdement. Ils sont ivres d’une générosité au degré zéro, qui ressemble à de l’amour mais se retourne contre tout exemple ou projet d’ordre. L’ensemble des mesures que prend la société pour ne pas achever de se dissoudre : sélection, promotion de l’effort personnel et de la responsabilité individuelle, code de la nationalité, lutte contre la drogue, etc., les hérisse.
    Ce retour au réel leur est scandale. Ils ont peur de manquer de moeurs avachies. Voilà tout leur sentiment révolutionnaire. C’est une jeunesse atteinte d’un sida mental. Elle a perdu ses immunités naturelles ; tous les virus décomposants l’atteignent. Nous nous demandons ce qui se passe dans leurs têtes. Rien, mais ce rien les dévore.
    Il aura suffi de cinq ans pour fabriquer dans le mou une telle génération. Serait-ce toute la jeunesse ? Certainement pas. Osons dire que c’est la lie avec quoi le socialisme fait son vinaigre." (Louis Pauwels, Le monome des zombies. Éditorial du Figaro Magazine, 6 décembre 1986).

    http://zebrastationpolaire.over-blog.com/article-leonarda-et-khatchik-le-sida-mental-frappe-a-nouveau-la-jeunesse-fran-aise-120666109.html

  • Béatification d'Etienne Sandor, victime du communisme en Hongrie

    StsDe Radio Vatican :

    "Une victime de la dictature communiste hongroise a été béatifiée ce samedi matin à Budapest. Etienne Sandor, coadjuteur laïc salésien a été exécuté en 1953, en pleine persécution contre l’Eglise catholique. Il était âgé de 38 ans. Il s’occupait de l’animation pastorale et d’un oratoire. C’était un homme jovial, aimable, très apprécié de ses amis et de ses jeunes étudiants. Son comportement exemplaire pendant la guerre lui avait valu « le mérite de la Croix de guerre ».
    La Hongrie traversait une période trouble, sous l’emprise du communisme stalinien. Dès 1949, le régime avait confisqué les biens de l’Eglise, jusqu’aux matelas. La presse catholique avait été interdite, les associations catholiques dissoutes, les écoles catholiques fermées, les imprimeries réquisitionnées. Le clergé et les religieux étaient contraints de vivre dans la clandestinité. Beaucoup furent déportés dans les camps de travail.
    Malgré ces persécutions, Etienne Sandor continua secrètement à suivre les groupes de jeunes. En 1951, se sachant suspecté par la police, il changea de nom, de domicile et de travail tout en continuant son apostolat auprès des jeunes. Les Salésiens avaient préparé sa fuite, mais il choisit de rester. Il est arrêté en 1952, condamné à mort pour « complot contre la démocratie et trahison ». Durant son emprisonnement, ses compagnons survivants diront qu'il cherchait à redonner courage à tous et partageait le peu de nourriture qu'il avait. Il sera pendu le 8 juin 1953 et son corps jeté dans une fosse commune".

    Rappelons que pendant la dictature communiste de 1948 à 1953, 116 000 personnes furent condamnées à mort chaque année, au premier rang desquels les chrétiens.

    Autres biographies plus complètes ici et .

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/