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culture et histoire - Page 682

  • Les questions sociales sont liées aux questions dites «  sociétales  »

    Les questions sociales sont liées aux questions dites «  sociétales  »

    Le colloque des 12 et 13  octobre «  Catholiques en action  » s’est interrogé sur la reconstruction de «  communautés de destin  ». Guillaume de Prémare, directeur général de l’association Ichtus, répond aux questions de France Catholique :

    Six mois après votre Appel pour un nouveau catholicisme social, vous concluez les travaux par un colloque : «  Catholiques en action  ». Dans quel but ?

    L’objectif est de proposer aux personnes de bien comprendre les questions sociales, de bien comprendre pourquoi elles sont liées aux questions dites «  sociétales  », puisqu’il s’est tenu une semaine après la marche anti-PMA. Pour comprendre que tout est lié, qu’il y a une globalité d’un problème de déconstruction : du lien social, anthropologique et culturel, qui crée une forme de dissociété. Il y a cette question des fractures françaises, analysées par Jérôme Fourquet dans L’Archipel français. Il y a les fractures culturelles, géographiques, sociologiques, anthropologiques, et familiales. Il y a des fractures aussi dans le monde du travail, avec la perte de sens du travail lui-même. Et on voit bien que dans tout ce contexte, il est de plus en plus difficile de faire une société, de faire une communauté, de faire un peuple. Donc il y a un travail très important à fournir pour reconstruire les communautés solidaires.

    Les Gilets jaunes, La Manif pour tous… Croyez-vous à un réinvestissement des catholiques sur ces champs sociaux et politiques ?

    Les catholiques doivent comprendre cette révolte de la France profonde, oubliée, laborieuse. Ce terrain d’action est extrêmement important aujourd’hui. Nous sommes affrontés à une marche du monde : si on parle de bioéthique, on va vers Le Meilleur des mondes d’Huxley, donc il faut y résister, et c’est la même logique de ce monde global, de cette mondialisation sauvage, techno-marchande, qui crée aussi les fracturations sociales. Il y a un lien entre tout cela, et il est important que les catholiques soient présents sur ces différents champs d’action.

    Le sens du sacré peut-il encore parler à nos compatriotes, qui font face à des préoccupations matérielles, comme boucler une fin de mois difficile ?

    La question spirituelle ne peut pas être évacuée. Il faut comprendre que les problèmes politiques auxquels nous sommes confrontés sont aussi spirituels, en ce sens où cette modernité, ce matérialisme triomphant, prive l’Homme d’une part essentielle de lui-même, de sa soif d’absolu, de sacré, de sa soif de Dieu. Il faut donc que cette action civique, politique, de terrain, soit aussi une occasion de témoigner de la présence de Dieu dans l’histoire des hommes. La France a besoin de Dieu, les gens ont besoin du Bon Dieu.

    https://www.lesalonbeige.fr/les-questions-sociales-sont-liees-aux-questions-dites-%e2%80%afsocietales%e2%80%af/

  • Royalistes : Formation et militantisme : La Rochelle, Nantes, Rennes, Tarbes...

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  • LES CELTES, CONCEPT FLOU

    Le mot « celte » fint par désigner tout et n’importe quoi. Les historiens essaient d’y voir clair.

         Entre 800 et 450 avant J.-C., ces peuples venus d’Asie centrale ont fait vivre, de la Bohême à la Bavière, une civilisation dont on a retrouvé les vestiges autour de Halstatt, en Autriche. C’est à partir de ces régions que ces hommes, qui exploitaient le sel, maniaient le feu et travaillaient le fer, se sont répandus vers l’Asie mineure, l’espace danubien, les îles Britanniques, la Gaule et la péninsule Ibérique. On les appelle les Celtes. Que sait-on d’eux ?
         Graham Robb est un historien britannique. Francophile invétéré, il a déjà publié Une histoire de Paris et Une histoire buissonnière de la France, livres qui, nourris d’anecdotes et de portraits, ont été conçus comme des récits de voyage à travers leur objet d’étude. Ayant découvert au fond de son jardin, près d’Oxford, une broche ciselée de l’âge du fer, Graham Robb a eu envie de partir sur les traces des Celtes. Il en a tiré un ouvrage écrit selon le modèle des précédents. De la Grande-Bretagne à l’Italie du Nord et du Rhin aux Pyrénées, l’auteur explore les secrets du monde celte dans une quête destinée aux passionnés, tant elle foisonne de détails (1).
         Le Français Jean-Louis Brunaux, lui, est un spécialiste des Gaulois. Ce terme a été inventé par les Romains, alors que les Grecs désignaient les habitants de l’Europe occidentale sous le terme de Celtes. Celtes, Galates, Gaulois, la proximité du vocabulaire traduit l’analogie des cultures, mais trahit également les fausses assimilations opérées au fil du temps entre des populations différentes. A propos des Celtes, observe Brunaux, « il n’est plus possible de distinguer aisément la réalité du rêve, l’histoire de la fiction, les faits de la pure idéologie ». Mariant l’histoire, l’archéologie et la linguistique, c’est à ce discernement que le chercheur s’emploie dans un livre lumineux, dont la conclusion est paradoxale : au terme de 300 pages consacrées aux « Celtes », Jean-Louis Brunaux appelle en effet à se défier d’un concept « obsolète », tout en jugeant « probablement impossible de se séparer d’une idée reçue qui a eu la vie aussi longue » (2). Humilité de l’historien…

    Jean Sévillia

    (1) Sur les sentiers ignorés du monde celte, de Graham Robb, Flammarion, 464 p., 26 €. Traduit de l’anglais par Lucile Débrosse et Isabelle Taudière.

    (2) Les Celtes. Histoire d’un mythe, de Jean-Louis Brunaux, Belin, 350 p., 23 €.

    Publié le :vendredi 10 octobre 2014

    https://www.jeansevillia.com/2015/04/11/les-celtes-concept-flou/

  • Le siècle rouge - Les mondes communistes 1919-1989, de Jean-Christophe BUISSON

    Une histoire-monde illustrée, des communismes de la fondation de la IIIe Internationale à la chute du mur de Berlin. Né avec la révolution d’Octobre, mort avec la fin de l’URSS, le communisme a connu la durée de vie classique d’un être humain, soit trois quarts de siècle (1919-1991); mais trois quarts de siècle qui ont bouleversé la planète, débordant largement la matrice politique pour « révolutionner » les sphères économiques, sociales et culturelles. Touchant tous les continents et presque tous les pays, son idéologie, son action, les artistes et grands écrivains mobilisés en sa faveur durant trois générations, ses nombreuses guerres (civiles et extérieures) comme ses leaders charismatiques (Lénine, Mao, Staline, Castro…), ses victoires, son déclin puis sa chute n’ont jamais été explorés dans leur globalité au moyen d’un grand récit chronologique à la fois accessible, documenté aux meilleures sources et richement illustré.Tel est le pari relevé de main de maître par Jean-Christophe Buisson, dans la lignée de son magistral 1917l’année qui a changé le monde.

    Les entrées sélectives, très écrites et toujours contextualisées, s’appuient sur de nombreuses cartes et illustrations souvent spectaculaires. Elles reflètent les espoirs, les combats, les divisions et les drames de millions d’êtres portés par leur croyance dans une idéologie dont ils furent les militants avant, pour la plupart, d’en devenir les victimes.Une union idéale entre la clarté du texte et la puissance des images, indispensable pour comprendre et connaître le XXème siècle...

    (paru le 10 octobre 2019) Perrin, 420 pages, 27 euros

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/13/le-siecle-rouge-les-mondes-communistes-1919-1989-de-jean-chr-6182081.html

  • VINCENT VAUCLIN : LES ACTIONS CONCRÈTES DE LA DISSIDENCE FRANÇAISE AU SERVICE DES FRANÇAIS.

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    Discours de Vincent Vauclin, Président de la Dissidence française, aux 13ème Journées de Synthèse nationale, le dimanche 13 octobre 2019 à Rungis.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • PIERRE VIAL : « LA RÉVOLUTION NATIONALISTE VA ARRIVÉR TÔT OU TARD CAR LE VIEUX MONDE EST FINI. »

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    Discours de Pierre Vial, Président de Terre et Peuple, aux 13ème Journées de Synthèse Nationale, le dimanche 13 octobre 2019 à Rungis.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/21/pierre-vial-la-revolution-nationaliste-va-arriver-tot-ou-tar-6184538.html

  • L’ère des catacombes. Anne-Sophie Chazaud

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    Dès les débuts du mouvement populaire des Gilets Jaunes et face à la réaction répressive de l’exécutif, j’avais alerté sur la caractéristique fondamentale du macronisme que j’avais surtout explorée à travers l’étude de son versant rhétorique : provoquer les clivages et la division jusqu’à l’extrême, designer l’adversaire en ennemi, monter toutes les portions du peuple français les unes contre les autres afin de pouvoir, pendant ce temps, poursuivre le dépeçage et la prédation des Biens Communs, du patrimoine et de la souveraineté nationale.

     J’avais notamment produit un article (publié chez Causeur https://www.causeur.fr/peuple-police-macron-castaner-violence-158219 )    mettant en garde contre l’instrumentalisation de la police à des fins de basse politique.
    J’y rappelais que la police est républicaine parce qu’elle protège et émane du peuple qui lui transfère délibérément cette légitimité (en l’occurrence, celle de la violence dite « légitime » et qui, donc, ne l’est que parce qu’elle émane du peuple qui accepte, en échange de sa protection, de lui « remettre » les armes.
    L’œuvre du macronisme aura pourtant consisté à monter le peuple contre sa police –une police dont le savoir-faire en matière de maintien de l’ordre nous était pendant des années envié et exporté dans le monde entier-, monter, la police contre son peuple, à monter absolument tout le monde contre tout le monde et c’est cette division profonde que retiendra l’Histoire.
    Jamais dans son histoire récente notre pays n’a été aussi divisé et hystérisé, et l’état du débat public comme de l’espace public matériel lui-même semblent relever du film d’horreur ou du cauchemar historique.
    Cet esprit intrinsèque de division perverse de la communauté nationale a été poussé à son insupportable acmé lors de la répression symboliquement et concrètement insupportable de la manifestation des Pompiers en colère.
     
    Photo Isa Harsin
    Après avoir éborgné des Gilets Jaunes, arrosé de gaz lacrymogènes les marcheurs pour le climat, nous avons pu assister au spectacle tout simplement hallucinant d’une police qui, obéissant aux ordres (et probablement pour certains avec tristesse et colère), s’en prend à nos pompiers, lesquels sont probablement les acteurs de la sécurité les plus appréciés de la population. 
    Devant ce gouffre dans lequel l’Etat semble s’être effondré, il prend parfois envie de simplement mettre la clé sous la porte et de partir très loin, sauf qu’on ne voit même pas où les choses seraient meilleures.

    L’ère des catacombes

    Un jour, il y a quelques années, l’écrivain que j’aime et admire, Pierre Bergounioux, que j’avais invité au Centre Pompidou, me confiait, à propos du vide culturel qui s’ouvrait sous nos pas, que nous entrions dans «l’ère des catacombes».
    Cette phrase résonne de plus en plus sombrement dans mon esprit.
    Il faudra bien que quelque chose advienne pour nous en faire sortir…
    source
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/10/lere-des-catacombes-anne-sophie-chazaud.html
  • "L'Eurovision pour les peuples", le nouveau livre de Bernard Monot, est aussi diffusé par Synthèse nationale

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    L’Union européenne est en train de tuer l’Europe et la France – économiquement, politiquement et culturellement. Certes, à terme, elle s’effondrera d’elle-même, comme toutes les utopies. Mais il est temps de préparer l’après-Union européenne et l’après-euro, en lien avec les pays qui ont déjà recouvré leurs libertés.

    C’est à quoi nous invite cet ouvrage. Réquisitoire impitoyable contre les échecs de Bruxelles, c’est aussi un livre de solutions concrètes et d’espoir pour les 28 peuples d’Europe. 

    Non, nous ne sommes pas condamnés au lent déclin sous la garde vigilante des eurotechnocrates de l’Union européenne fédéraliste ! Oui, une « Europe des patries » indépendante est possible ! C’est une question de volonté politique. 

    À l’approche du pire krach financier occidental, l’heure des choix est venue pour tous les Européens. 

    L’auteur : Homme des marchés financiers et excellent connaisseur des arcanes politiques bruxelloises, Bernard Monot a travaillé dans des groupes privés et une institution financière publique, avant de devenir député européen en 2014. Il est intervenu lors des 13es Journées de Synthèse nationale le 13 octobre 2019 à Rungis.

    Pour le commander cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L'intervention de Daniel Conservano lors des Journées Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale

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    Daniel Conversano, fondateur de Suavélos, présente sa vision du combat politique.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/21/l-intervention-de-daniel-conservano-lors-des-journees-bleu-b-6184536.html