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divers - Page 216

  • Un Têtes à Clash explosif !

     

    Exceptionnellement avec Elise Blaise, le député Joachim Son-Forget, Serge Federbusch, Benjamin Cauchy et Régis de Castelnau s’écharpent sur plusieurs questions : qui est vraiment Macron ? faut-il instaurer le référendum révocatoire ? Et peut-on changer l’Europe de l’intérieur ?

    https://www.tvlibertes.com/un-tetes-a-clash-explosif

     
  • Dix jours avant le dîner annuel de Synthèse nationale, Riposte laïque publie un entretien avec Roland Hélie

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    Source Riposte laïque cliquez ici

    À l’occasion des Assises de la France des Gilets jaunes, nous avons revu le toujours jovial Roland Hélie, qui tenait le stand de Synthèse nationale, à côté de son ami Philippe Randa. Le stand rencontra beaucoup de succès, l’occasion pour nous de faire le point avec les actions présentes et futures de cette mouvance.

    Riposte Laïque : Il y a quelques semaines, vous avez lancé un appel contre la menace émise par Emmanuel Macron de dissoudre le Bastion social. Qu’en est-il aujourd’hui ?

    Roland Hélie : En effet, le 17 février dernier, devant une organisation confessionnelle, le Crif (*) en l’occurrence, Emmanuel Macron a annoncé que pour enrayer la violence qui depuis la mi-novembre ponctuait les démonstrations de force des Gilets jaunes, il allait demander à son gouvernement de dissoudre le Bastion social (ainsi que deux groupes fantomatiques dont personne n’avait jamais entendu parler).

    Il s’agissait là d’un effet d’annonce destiné à satisfaire son auditoire car cela ne tenait pas debout. Le Bastion social est une organisation de jeunes nationalistes qui s’est spécialisée dans des distributions de soupes populaires à base de porc et dans les occupations de locaux abandonnés afin de les transformer en foyers d’accueil pour familles françaises en difficultés. Des préoccupations louables et, sommes toutes, bien éloignées de celles des casseurs et pilleurs du samedi soir… Mais qu’importe, pour Macron il fallait un responsable et ce responsable devait être obligatoirement, ce soir là, un mouvement nationaliste…

    Ce que n’avait pas prévu Macron lors ses élucubrations apéritives, c’est qu’en s’attaquant au Bastion social, il s’attaquait à l’ensemble des forces patriotiques, nationales et identitaires…

    D’où votre appel à la mobilisation ?

    Pour être tout à fait juste, cet appel m’a été suggéré par des amis. Dès le lendemain du discours de Macron, plusieurs responsables de mouvements ainsi que certains écrivains de notre famille politique m’ont contacté. Tous étaient outrés par de tels propos et, sans doute parce qu’ils ne voulaient pas donner l’impression de vouloir tirer la couverture à eux, ils m’ont demandé, compte tenu de la position centrale de Synthèse nationale au sein de la mouvance patriotique, de prendre une initiative publique afin de marquer notre solidarité militante avec le Bastion social menacé. D’où cet appel publié sur le site de Synthèse nationale cliquez là qui, très vite, a rassemblé plus d’une centaine de signataires exerçant des responsabilités politiques, associatives, culturelles ou socio-professionnelles. Puis, des centaines de patriotes se sont joints à eux.

    Cette réaction a effectivement rencontré un certain succès…

    Vous avez été, chers amis de Riposte laïque, par l’intermédiaire de Pierre Cassen et de Christine Tasin, parmi les premiers à répondre présents. De Jean-Marie Le Pen à Alain de Benoist, de Pierre Vial à Alain Escada, de Francis Bergeron à Robert Spieler, en passant par Philippe Randa, Christian Bouchet, Thomas Joly, François Bousquet, Serge Ayoub, Richard Roudier, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta (et les autres me pardonneront de ne pas tous les citer car la liste est longue cliquez ici), cet appel a rassemblé quasiment l’ensemble de la famille. Nous avons aussi reçu les soutiens de plusieurs personnalités européennes.

    Dans les jours qui viennent, nous allons écrire au président de la République pour lui faire part de notre « réprobation unitaire ». Je ne sais pas si cela le tourmentera mais une chose est sûre, c’est qu’en provoquant les patriotes en menaçant une de leurs organisations, Emmanuel Macron nous a donné l’occasion de prouver que nous pouvons aussi être rassemblés lorsque la situation l’impose et, à mes yeux, c’est ce qui est le plus important.

    Il y a quelques années vous vous étiez engagé pour défendre Esteban, Alexandre et Samuel, trois militants solidaristes injustement accusés dans ce qu’il est convenu d’appeler « l’affaire Méric ». C’est d’ailleurs à cette occasion, Roland, que nous avions fait connaissance. Aujourd’hui, voyez-vous des similitudes entre cette affaire controversée et les menaces de Macron contre le BS ?

    Nous sommes dans la même logique. Rappelez-vous, en juin 2013 lorsque survint cette « affaire Méric » (décès accidentel d’un gauchiste participant à une agression contre des jeunes patriotes à Paris), le gouvernement de l’époque était aux abois. Des centaines de milliers de Français descendaient chaque mois dans les rues pour protester contre la loi Taubira. Il fallait un dérivatif pour le gouvernement afin d’amalgamer les opposants à cette loi et « l’extrême droite » et cette pénible affaire tomba à pic si je puis dire.

    Aujourd’hui, c’est le même scénario. Le pouvoir est confronté à une opposition populaire grandissante et de plus en plus déterminée. Pour tenter de s’en sortir, il ressort la vieille recette éculée du « complot d’extrême droite ». Mais cela, à part peut être lors des agapes du Crif, ne marche plus. Les Français ne sont plus dupes et les Gilets jaunes, comme nous avons pu le constater l’autre dimanche lors des Assises que vous avez organisées à Rungis, ne se laissent pas manipuler par de telles petites manœuvres mesquines.

    Le vrai problème de la France, ce n’est pas l’activisme nationaliste, c’est la faillite de l’ultra libéralisme mondialiste qui la ruine et l’immigration incontrôlée qui menace son identité.

    Voilà une vérité qui va sans dire mais qui va mieux en le disant. Justement, le samedi 6 avril prochain, à 20 h à Paris, vous organisez le 3e banquet annuel de Synthèse nationale avec comme thème : « La vérité n’est pas négociable ». On est en pleine actualité ?

    Certes oui, pour la troisième année consécutive nous organisons en effet un dîner amical au début du printemps à Paris. C’est un peu le pendant printanier de nos journées nationales et identitaires du mois d’octobre. Rassurez-vous, le bonimenteur Macron n’y est pas invité. En revanche, nous aurons le plaisir de recevoir Martial Bild, le talentueux directeur de TV Libertés, qui interviendra justement sur ce thème « La vérité n’est pas négociable ».

    TV Libertés qui, comme son nom l’indique est un espace de libertés, rencontre un succès grandissant. C’est aussi un média indispensable pour le combat que nous menons tous contre la pensée dominante. Il y a quelques mois, on a tenté de la faire taire. Petit à petit, le Système cherche à formater les esprits mais, heureusement, des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent contre cette dictature du mensonge et de la soumission. D’où la nécessité de rétablir la vérité et notre joie de recevoir celui qui dirige la rédaction de cette chaîne atypique et courageuse.

    Les amis de Riposte laïque et de Résistance républicaine qui souhaiteraient se joindre à nous le samedi 6 avril sont évidemment tous les bienvenus, d’autant plus que vous avez eu, vous aussi, la chance d’inviter Martial, quinze jours avant nous, lors de vos Assises Gilets jaunes, et qu’il y a été remarquable.


    Riposte Laïque : Alors, comment s’inscrire ?

    C’est simple, vous pouvez le faire en ligne : cliquez ici ou en écrivant à Synthèse nationale 9, rue Parrot (CS 72809) 75012 Paris – correspondance uniquement – (participation 48 € par convive, chèque à l’ordre de Synthèse nationale). L’adresse de la brasserie où le dîner se déroulera vous sera envoyée à la réception de votre inscription.

    Propos recueillis par Pierre Cassen

    * Le Crif (Conseil représentatif des israélites de France) ne représente qu’une part infime de la communauté juive de notre pays. Il passe son temps à accuser les patriotes et à cautionner les politiques d’immigration menées par les gouvernements qui se sont succédés.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/03/27/dix-jours-avant-le-diner-annuel-de-synthese-nationale-ripost-6139440.html

  • I-Média n°243 – Trump et la Russie : l’heure des comptes pour les médias

     

    Trump et la Russie : l’heure des comptes pour les médias

    Alors que de très nombreux médias américains attendaient impatiemment sa chute dans l’affaire d’une possible collusion avec la Russie, Donald Trump a une fois de plus remporté une victoire.

    Zapping

    Incapacité à gérer la révolte des Gilets Jaunes, condescendance face à la septuagénaire blessée à Nice, colère des forains, amateurisme…
    Le quinquennat Macron ressemble de plus en plus à un long chemin de croix pour le président… et pour la France !

    Racailles contre Roms dans le 93

    Des rumeurs d’enlèvement d’enfants circulent depuis plusieurs jours dans les cités de la région parisienne et provoquent des violences contre des Roms. Les médias semblent étrangement rechigner à reconnaître l’origine des agresseurs.

    Tweets

    Yassine Belattar en garde à vue, Bernard Guetta contesté pour être à la fois journaliste et sur la liste LREM pour les Européennes, Brigitte Macron huée par un stade.
    Le chemin de croix d’Emmanuel Macron semble comporter un nombre conséquent de stations.

    Grand Remplacement : les Décodeurs pris la main dans le sac

    Il aura fallu plus de 7 jours et un article de leur principal concurrent pour que les Décodeurs corrigent une donnée d’importance sur le Grand Remplacement. Erreur ou intox, telle est la question…

    https://www.tvlibertes.com/trump-et-la-russie-lheure-des-comptes-pour-les-medias

  • Zoom – Le retour du général Tauzin

     

    On le pensait silencieux depuis l’élection présidentielle de 2017 où il n’a pas pu être candidat. En réalité, l’ancien commandant du 1er Régiment de parachutistes d’infanterie de Marine ne s’est pas éloigné de son engagement politique et de la volonté de « Rebâtir la France ». Le général Tauzin fait son grand retour sur… TV Libertés !

    https://www.tvlibertes.com/le-retour-du-general-tauzin

  • Radio Thermopyles : un regard identitaire sur l’actualité

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    Radio Thermopyles est un nouveau média qui se propose de diffuser régulièrement des émissions traitant de l’actualité sous un angle identitaire.

    Dans cette première vidéo, les animateurs – Dagon, Déric et Haddock – traitent de plusieurs sujets : les Gilets Jaunes, les élections européennes ainsi que la mort récente de Guillaume Faye.

  • Samedi prochain, 30 mars, à Rungis : 3e Fête du Pays réel organisée par Civitas

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    Source cliquez ici

    La 3e Fête du Pays Réel se déroulera le samedi 30 mars 2019, de 10h à 18h, à l’Espace Jean Monnet à Rungis, en bordure de Paris (800 places gratuites de parking et nombreux transports en commun).

    Une fête du Pays réel ? Qu’est-ce donc ? C’est la volonté, durant toute une journée, de mettre à l’honneur la France des terroirs et des clochers dans une ambiance unitaire, conviviale, joyeuse et familiale.

    D’une part, de nombreux stands illustreront l’histoire, la foi, les coutumes, le patrimoine, la culture, le savoir-faire, la gastronomie et le dynamisme de ce Pays réel : éditeurs, associations, congrégations, médias alternatifs, artisans, artistes, viticulteurs, brasseurs et petits producteurs rivaliseront de talents et de richesses à vous faire découvrir. Sans oublier, bien sûr, la très longue liste d’auteurs pour petits et grands qui viendront dédicacer leurs livres ou bandes dessinées.

    Parmi les nombreux exposants inscrits : Action Familiale et Scolaire – ADMP – Artisanat Monastique – Art Terre Europa (peinture sur porcelaine, gravure sur bois, bijoux, artisanat médiéval) – Association Catholique des Infirmières et Médecins (ACIM) – Association de Catholiques du Val d’Oise – Association Missions – Beaverhill (produits bio et naturels) – Boutique de la Trinité – Brasserie Artisanale du Rhin – Caleana Major Art (pyrogravure, dessin et broderie) – Capucins de Morgon – Centre Grégorien Saint Pie X – Cercle National des Combattants (CNC) – Chœur Montjoie Saint-Denis – Civitas – Clémence Meynet (illustratrice) – Compagnie de la Sainte Croix – Cuirs de Caelis (maroquinier de tradition) – Deus Vult – Diffusia (livres et CD) – Dominicains d’Avrillé – Editions Apopsix – Editions Charlemagne – Editions Francephi – Editions Kontre Kulture – Editions Le Retour aux Sources – Editions Librim Concept –  Editions Saint Remi – Editions Reynald Secher – Editions Sel de la Terre – Editions Sigest – Entreprise Lussiaud – Formes et Ombres (objets médiévaux) – Ignace (dessinateur) – Kamouflages.com (matériel de sécurité) – Guillaume Le Baube (artiste peintre) – Librairie Française – Médias Presse Info / Médias Catholique Info – Ordre des Chevaliers de Notre-Dame – Patrimoine et Renaissance (tapisseries) – Parti de la France – Pinatel (dessinateur) – Réseau des Elus Locaux Catholiques – Rivarol – Rosa Mystica – SINJO – SOS Mamans – SOS Tout Petits – Synthèse nationale, Jean-François Talvez (photographe d’art), UNEC…

    Parmi les auteurs annoncés venant dédicacer : Frédéric Andreu, Gérard Bedel, François Belliot, Stéphanie Bignon, Franck Bouscau, Anne Brassié, Valérie Bugault, Lorris Chevalier, M. l’ambassadeur Henry Cuny, Lounès Darbois, Dr Nicole Delépine, Dr Jean-Pierre Dickès, Dr Xavier Dor, Bernard Gantois, Françoise Gondrée, Solange Graff-Triguel, Pierre Hillard, Roger Holeindre, Erwan Kerivel, Jean-Yves Le Gallou, Johan Livernette, Lysistrata, Jean-Claude Martinez, Claude Meunier-Berthelot, Philippe Prévost, Michèle Reboul, Catherine Rouvier, Philippe Randa, Pierre-Joseph Rubino, Reynald Secher, Marion Sigaut, Dominique Tassot, Ernest Kakou Tigori, Claude Timmerman, Hervé Ryssen, Jean-Michel Vernochet, Hristo Xiep…

    D’autre part, tout au long de la journée, des intervenants de qualité se succèderont à la tribune dans une salle réservée à cet usage. Après un mot spirituel de l’abbé Xavier Beauvais et un appel aux militants que prononcera Alexandre Gabriac, s’ouvrira le premier colloque organisé par le Conseil Scientifique de Civitas dont le thème général sera “Grand remplacement : mythe ou réalité” et qui sera décliné par les interventions suivantes :

    • Ouverture du Colloque par Hugues Petit, Maître de Conférences en Histoire du droit et des institutions, président du Conseil Scientifique de Civitas

    • Le grand remplacement, une réalité démographique ? Claude Timmerman, biologiste, statisticien, spécialiste de la génétique des populations

    • L’école « républicaine » contre la France, Claude Meunier-Berthelot, juriste qui a fait toute sa carrière dans l’Education nationale

    • Le grand remplacement vu d’Afrique, Bernard Lugan, historien, africaniste, professeur aux Ecoles de Saint-Cyr-Coëtquidan, il a enseigné à l’Ecole de Guerre, expert auprès du Tribunal Pénal International pour le Rwanda

    • Le mélange entre civilisations est-il possible ? Dominique Tassot,ingénieur des Mines et docteur en philosophie

    • Droit de la nationalité et grand remplacement, Franck Bouscau, professeur agrégé des facultés de droit

    • Le grand remplacement religieux, Abbé Chautard, recteur de l’Institut Universitaire Saint Pie X

    • Les grands mensonges sur le grand remplacement, Jean-Yves Le Gallou, ENA, inspecteur général de l’administration e.r., président de la Fondation Polemia

    • Le grand remplacement, un plan concerté, Pierre Hillard, docteur en sciences politique, spécialiste du mondialisme

    • Conclusion du colloque et de la Fête du Pays réel, Alain Escada, président de Civitas.

    Espace Jean Monnet, 47, rue des Solets 94 Rungis, entrée : 10 €

    Plan d'accès cliquez ici

    Toute la journée, venez nous retrouver sur le stand de Synthèse nationale :

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  • La Petite Histoire : Le dernier samouraï était un Français !

    Dans le film « Le Dernier samouraï » sorti en 2003, on nous montre un américain incarné par Tom Cruise, qui combat auprès des derniers samouraïs japonais. Au-delà des qualités esthétiques du film, peu de gens savent que celui-ci s’inspire d’une histoire vraie et bien différente. En réalité, le « dernier samouraï » était un capitaine français, Jules Brunet, épris de tradition japonaise et d’honneur, qui a tout risqué pour défendre jusqu’au bout la cause du shogun.

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-le-dernier-samourai-etait-un-francais

  • Reconstruire un État fort qui se fasse respecter

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    Ligne Droite cliquez ici

    Devenu tentaculaire et omniprésent, incarné par une armée de fonctionnaires, l’État multiplie aujourd’hui les règlements, les taxes et les impôts. Mais il s’agit en réalité d’un État faible qui s’acharne sur les honnêtes citoyens alors qu’il est incapable de faire observer les lois de notre nation à ceux qui le défient. Aussi Ligne droite considère-t-elle comme indispensable de reconstruire un État fort, qui puisse reprendre le contrôle du territoire, se faire respecter par tous et qui, dans le même temps, soit capable de maîtriser les finances publiques et de réguler l’économie et le social.

    L’État, ennemi du Système

    L’État fort a en effet disparu en France car il est le grand ennemi des tenants de l’idéologie libérale libertaire qui, depuis la fin du XXe siècle, ont entrepris sa déconstruction méthodique.

    Les néo-libéraux ne voyant en lui qu’une menace contre les droits individuels pensent donc qu’un État faible qui réduit l’action publique à la mise en œuvre de l’état de droit et au respect des contrats, assurera mieux la liberté des personnes.

    Quant à l’oligarchie mondialiste, elle s’appuie sur cette idéologie pour réclamer la privatisation la plus large des fonctions étatiques et offrir ainsi, au prétexte d’une efficience supérieure, de nouveaux marchés aux grandes entreprises. Elle estime de surcroît que l’affaiblissement des États favorise l’émergence de la « gouvernance mondiale », qu’elle appelle de ses vœux.

    L’État illégitime, obèse et impuissant

    Ligne droite rejette cette idéologie pernicieuse qui n’a nullement amélioré la situation des Français, comme on le leur promettait. Au contraire, les libertés se sont réduites, l’insécurité et la violence ont explosé et les services publics fonctionnent moins bien qu’avant. L’État est devenu dès lors illégitime car à la fois tentaculaire et impuissant.

    L’État a en effet accentué son emprise sur les Français pour orienter leur façon de vivre, les soumettant par exemple au vivre ensemble ou leur indiquant comment ils doivent se comporter avec leurs enfants ou avec leur conjoint. Devenu une gigantesque bureaucratie en charge de la vie privée des citoyens, il ne cesse de réduire leurs libertés concrètes en multipliant les réglementations, les taxes et les impôts.

    Mais dans le même temps l’État n’assure plus correctement ses fonctions essentielles. Les services publics paupérisés se retirent des territoires et sacrifient leurs investissements. Les racailles n’ont plus peur de la police ni de la justice. Ce sont au contraire les forces de l’ordre, sous-équipées, qui n’osent plus s’aventurer dans les zones de non-droit. Quant aux frontières, elles sont devenues inexistantes pour le plus grand profit des passeurs et des trafiquants. 

    L’État n’est désormais fort que vis-à-vis de ceux qu’il devrait protéger, comme les Français des classes moyennes et populaires qu’il accable de règlements et de taxes. Mais à l’égard de ceux qu’il devrait contraindre, comme les voyous, les lobbies, les islamistes, les clandestins ou les puissances économiques ou financières, l’État se montre d’une grande faiblesse.

    Ligne droite dénonce cet abandon et préconise le retour d’un État fort et respecté.

    Restaurer la prééminence du pouvoir politique

    Pour ce faire, Ligne droite propose d’abord de renforcer le pouvoir politique et donc de restaurer la primauté de l’exécutif et la légitimité du législatif, conformément d’ailleurs aux principes de la Ve République. La durée du mandat présidentiel devra dans cet esprit être portée à sept ans afin de permettre au président d’agir dans la durée. Le gouvernement des juges sera démantelé et pour ce faire la suprématie des députés et sénateurs élus sur les juges nommés sera rétablie. Enfin, le système électoral sera revu pour que l’Assemblée soit de nouveau représentative de la réalité du peuple.

    Reprendre le contrôle du territoire

    Pour Ligne droite le retour à un État fort exige ensuite de restaurer la souveraineté politique de la France sur son territoire. Ce qui implique que l’État retrouve le contrôle de ses frontières, maîtrise l’immigration et reconquière les zones de non-droit. Autant d’exigences impératives sans lesquelles l’État continuera d’être bafoué et avec lui la France et les Français. Malgré les graves difficultés qui se présenteront, il est possible atteindre ces objectifs et Ligne droite a explicité par ailleurs les moyens d’y parvenir.

    Reconstruire des forces de sécurité qui imposent le respect

    Tout cela suppose cependant que les forces de l’ordre, les services de renseignement et les armées soient de nouveau prioritaires tant pour leurs équipements que pour le soutien qu’ils reçoivent du pouvoir. Tout doit être fait pour que les forces de sécurité reprennent pleinement confiance en elles-mêmes et inspirent le respect et la crainte chez les voyous. Un État fort est un État qui sait mater ceux qui le défient et ne tolère pas que certains s’exonèrent impunément des règles qu’il édicte. La remise à niveau organisationnelle et budgétaire de la police et de l’armée doit donc constituer une priorité, tout comme la réforme de la politique pénale qui doit permettre de neutraliser durablement les voyous, les groupes séditieux, les délinquants et les terroristes.

    Retrouver la maîtrise des finances publiques

    Le retour d’un État fort exige par ailleurs le rétablissement de l’équilibre des finances publiques. Un impératif pour rendre sa liberté de manœuvre à l’État et éviter qu’il se trouve soumis au chantage des institutions financières internationales ou de la Commission européenne.

    Pour réduire en conséquence les dépenses publiques, Ligne droite préconise une profonde réforme qui mette un terme au foisonnement des agences et services administratifs, qui réduise le millefeuille de l’organisation territoriale française, qui supprime les dépenses de transfert et les subventions aux associations dont l’utilité économique et sociale est douteuse. Si l’on ajoute à cela la préférence nationale dans l’accès aux prestations, il sera possible de retrouver des finances saines qui rendent son autorité à l’État.

    Assurer la régulation de l’économie et du social

    Un État fort doit aussi retrouver son rôle d’arbitre du bien commun en matière économique et sociale pour corriger les errements du marché ainsi que les initiatives intempestives qui ne seraient pas conformes à l’intérêt national.

    Mais il doit aussi être porteur d’une stratégie industrielle volontariste et s’affirmer à nouveau comme l’initiateur de projets d’envergure. Les grandes réalisations, notamment celles des années soixante – soixante-dix, dont s’enorgueillit à juste titre notre pays ne sont pas le fruit de l’initiative spontanée du marché, elles résultent de l’action publique qui a mis en mouvement l’initiative privée. Pour Ligne droite, un État fort doit retrouver au XXIesiècle l’esprit pionnier des grands administrateurs de jadis qui ont fait avancer la France en relevant de grands défis collectifs par la mobilisation du génie national.

    Il n’y aura pas de renouveau national et civilisationnel sans un État fort.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Europe, l’heure des frontières – 6e colloque de l’Institut Iliade le 6 avril à Paris

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    La révolte des Gilets Jaunes, qui dépasse les frontières hexagonales, atteste de la permanence d’un peuple réel, enraciné, attaché à ses libertés concrètes et à sa légitime dignité. Loin du « grand débat national » imposé par l’Élysée et ses communicants, ce sont les élections européennes du 26 mai 2019 qui auront valeur de référendum, pour affirmer le droit des peuples européens à l’identité, la liberté et la sécurité.

    Cette échéance doit être l’occasion de revenir à l’essentiel, ce besoin de frontières qui ne se réduit pas à un désir de protection, de régulation : comme l’avait bien vu Dominique Venner dans sa dernière lettre du 21 mai 2013, seule une « rupture avec la métaphysique de l’illimité » est à même d’assurer notre future renaissance.

    C’est à cet impératif que s’attachera le colloque annuel de l’Institut Iliade pour la longue mémoire européenne, organisé samedi 6 avril 2019 à partir de 10h à la Maison de la Chimie, 28 Rue Saint Dominique, 75007 Paris.

    Accès à la billetterie en ligne : https://institut-iliade.com/2019-europe-lheure-des-frontieres/

    https://fr.novopress.info/214054/europe-lheure-des-frontieres-6e-colloque-de-linstitut-iliade-le-6-avril-a-paris/