En l’absence de budget voté par l’Assemble nationale, le chef de l’Etat se devait de promulguer une « loi spéciale » permettant à l’Etat de prélever l’impôt et de financer ses dépenses ainsi que celles de la Sécurité sociale. C’est chose faite depuis ce samedi 21 décembre. Cette « loi spéciale » va réduire l’ajustement initialement contenu dans le projet de loi de finances pour 2025. « Sans mesure nouvelle, le déficit public serait entre -6,1 % et -6,4 % du PIB en 2025 », estime l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) dans une étude.