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Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Vous connaissez forcément la blague des Inconnus sur la différence entre les bons et les mauvais chasseurs. Vous trouverez la vidéo en bas en mémoire de ce bon vieux temps des années 90 où l’on pouvait encore rigoler et où flottait dans l’air une véritable insouciance par rapport à la lourdeur du climat actuel.
Macron vient de nous réinventer cette blague mais avec les droits de douane.
Pour ceux qui ne l’auraient pas lu, vous pouvez vous procurer le livre appelé « l’effet cumulé ».
Einstein disait d’ailleurs dans la même idée que les intérêts composés étaient la huitième merveille du monde. Il rajoutait aussi que celui qui les comprend les gagne. Celui qui ne les comprend pas les paie.
À partir du 1er janvier 2026, tous les dons d’argent ou d’objets entre particuliers devront obligatoirement être déclarés en ligne à l’administration fiscale. Une nouvelle étape dans l’emprise étatique sur la vie privée et les libertés fondamentales des Français.
On connaissait déjà l’impôt sur le revenu, les taxes foncières, les prélèvements sur l’épargne, les contrôles bancaires automatisés et la surveillance des transactions. Il faudra désormais compter avec un flicage complet de vos dons familiaux ou amicaux. Car dès le 1er janvier 2026, tout cadeau en argent, en bijoux, en voiture ou même en œuvre d’art, entre particuliers, devra être télédéclaré sur le site des impôts, y compris lorsqu’il s’agit d’un billet offert à ses enfants ou d’une aide ponctuelle à un ami en difficulté.
Par Serge Fontalar
Ah, la fameuse « économie de guerre russe » dont nos médias se gaussent… Et à côté de ça, on nous vend une France prête à en découdre, ultra-prête, mais quand on jette un œil sur les vraies puissances militaires en jeu, on se rend vite compte que l’illusion de notre supériorité s’effondre comme un château de cartes. On parle de la « première puissance militaire du monde » ? Les États-Unis ? Ce pays qui a l’intention de laisser l’Europe se débrouiller toute seule pour, lui, se concentrer sur le Pacifique, pendant que la Chine avance à petits pas… comme les Cosaques dans le Donbass. Le Pentagone noie tout sous des montagnes de paperasse, au service de l’industriel privé qui se gave à la table des contribuables.
Il fut un temps où la France fabriquait des trains, un temps où nous étions capables de les vendre.
Ce temps là est terminé.
Maintenant les trains sont chinois.
Ils sont aussi bons pour ne pas dire mieux et plus confortables que les nôtres.
Je ne vous parle même pas des voitures électriques chinoises qui sont remarquables en terme de luxe et de raffinement électroniques et nous renvoient à l’âge de pierre automobile.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Daniel Labaronne est un député « Ensemble Pour la République ».
Rassurez-vous immédiatement. C’est l’un des rares qui ne veut pas augmenter les impôts et justement préfère des incitations que de la taxation !
A ce stade je ne peux qu’être d’accord avec lui.
D’ailleurs il commence son propos par expliquer que la France est le pays le plus égalitaire au monde puisque si avant impôts et redistribution les écarts entre les (méchants) riches et les (gentils) pauvres sont de 1 à 18, après taxation et distribution de l’argent des riches vers les pauvres l’écart n’est plus que de 1 à 3 !
Je vous chronique cette histoire de Yalta 2.0 depuis des mois pour ne pas dire presque des années maintenant et c’est l’une des principales clefs de lecture de la situation actuelle qu’il faut comprendre.
Les Etats-Unis et la Chine se disputent le contrôle du monde et sont en train de se partager des zones d’influence comme au bon vieux temps de la guerre froide.
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Le 23 octobre 2025 se tenait à Bruxelles un nouveau conseil regroupant les chefs d’État et de gouvernement des États-membres de l’Union prétendue européenne. Le principal débat portait sur le sort des actifs de la Banque centrale russe gelés depuis le début de la guerre avec l’Ukraine.
On estime que la Russie aurait placé en Occident avant-guerre environ trois cents milliards d’euros. Ce montant comprendrait les avoirs souverains, soit les réserves de la Banque centrale, et les fonds privés qui appartiennent aux personnalités russes soumises aux sanctions occidentales.