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On ne saurait dire que le multi référendum italien des 8 et 9 juin ait trop focalisé l'attention des médias français. Ni avant le vote, pendant la campagne, ni après, quand les résultats officiels ont été connus, on n'aura vu nos concitoyens hexagonaux se passionner pour le dossier du débat lui-même. Il pourrait bien pourtant annoncer un tournant majeur de la vie politique européenne.
L’Union européenne, encore, insupporte en ce moment la filière viticole européenne, avec ses 15 millions d’euros d’aides versés à l’Afrique du Sud, pour tenez vous bien, financer la “diversité et l’inclusivité” dans sa viticulture. Soit 10 millions attribués aux entreprises de viticulteurs, à condition qu’ils soient noirs et 5 millions pour la commercialisation et distribution de leurs vins. L’affaire n’est ni plus ni moins que vécue comme une provocation, ceci alors que des fermiers blancs ont été assassinés en raison de leur couleur, dans ce pays qui vire de plus en plus au chaos. Le problème est que la viticulture européenne est en crise : chute des ventes, consommation en baisse, concurrence internationale déloyale. La peine est donc double pour les professionnels français et européens, confrontés à des réglementations de plus en plus complexes, à des arrachages de parcelles et des reconversions difficiles. On rappelle qu’au RPF, nous sommes contre la subvention directe aux entreprises qui doivent vivre de leurs produits mais que nous entendons faciliter leur travail par un allègement des charges et des règles et la mise à disposition de réseaux de qualité.
Encore et toujours, le débat revient sur les retraites, car bien sûr, nos dirigeants incapables d’anticiper les évolutions démographiques entendent faire payer leur incompétence au peuple français.
Vu les sommes en jeu, ils pourront ainsi permettre aux grands fonds de pension de bien se goinfrer.
Seulement, ce discours joint l’infamie à l’ignorance et mérite une charge sabre au clair pour clouer ces gens au pilori de leurs mensonges.
Les retraites par répartition, schéma de Ponzi qui fait peser le poids sur les actifs est une ignorance de ce que sont les âges de la vie.
Note après note, l’Observatoire de l’immigration et de la démographie s’impose comme une précieuse source d’informations. Ce fait vient de trouver une nouvelle illustration avec la dernière publication de l’OID, L’impact de l’immigration sur l’économie française, réalisée à partir de données de l’OCDE et de l’Insee.
Les constats qu’on y trouve méritent qu’on s’y arrête. Ils sont sans appel.
Emmanuel Macron poursuit ses visites au sein des monarchies européennes : l’occasion de s'interroger sur l’intérêt national, le souci et le respect des peuples, le poids de l’Histoire au-delà des idéologies du moment, la grandeur et la décadence d’un pays ?
La presse découvre l’existence de Nicolas, ce contribuable surtaxé par l’Etat de l’assistance, qui “provoque la déperdition des forces humaines, l’hypertrophie des appareils publics, animés par une logique bureaucratique plus que par la préoccupation d’être au service des usagers, avec une croissance énorme des dépenses” (encyclique CA n°48).
Depuis son adoption, l’euro est présenté comme un symbole d’unité et de prospérité européenne. Pourtant, la monnaie unique ne profite pas à tous les États membres. Privés de souveraineté monétaire, certains pays sont enfermés dans une économie rigide, avec une croissance faible et un chômage élevé. Cet article analyse les enjeux démocratiques et économiques liés à la zone euro, remet en question le dogme «TINA» (There Is No Alternative), et explore les opportunités offertes par les monnaies numériques nationales et les initiatives monétaires innovantes.
@Commander, U.S. Naval Forces Europe-Africa/U.S. 6th Fleet/Wikimedia Commons
L’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID) vient de sortir une étude fouillée, documentée et référencée au sujet de « l’impact de l’immigration sur l’économie française ». Des chiffres, des statistiques, des ratios. Bref, des faits. Nos lecteurs vont s’écrier « Mais on sait tout ça, déjà ! » Oui, peut-être, mais il est sans doute bon d’enfoncer le clou lorsqu’on constate que les partisans d’une immigration no limits ne désarment jamais et pilonnent à coups de mots censés paralyser ipso facto le débat sur cette question pourtant fondamentale pour une nation millénaire comme la nôtre : « racisme », « xénophobie » ou encore « fascisme » !
L’Histoire – que l’on voulait finie après l’effondrement du bloc soviétique – va-t-elle toujours dans le même sens ? Ce devait être celui de la globalisation interconnectée et de la gouvernance mondiale dont les élites globalisées assureraient l’établissement définitif. Davos en était le lieu de rencontre et le symbole mythique, actif. Cet entretien en annonce le crépuscule tandis que le monde voit le retour des nations et des empires et leur affrontement économique ou guerrier. (Atlantico, 20 mai 2025). JSF