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Un douzième texte de notre rubrique « Souvenez-vous de nos doctrines » est à retrouver aujourd’hui, de Louis XIV dans ses Mémoires et instructions pour le Dauphin…
Ce fut alors que je crus devoir mettre sérieusement la main au rétablissement des finances, et la première chose que je jugeai nécessaire, ce fut de déposer de leurs emplois les principaux officiers par qui le désordre avait été introduit ; car depuis le temps que je prenais soin de mes affaires, j’avais de jour en jour découvert de nouvelles marques de leurs dissipations et principalement du surintendant.
Confronté à la gestion calamiteuse de ses prédécesseurs, Lecornu préparant son budget, ne démérite pas : il ratiboise. Non pas que chez les Gaullistes nous soyons contre l’impôt, mais au moins, nous sommes pour que chacun puisse vivre dignement de son travail, de son mérite, de son courage et de sa volonté d’entreprendre. Lecornu fait bien tout le contraire de cela, il prend un peu plus chez ceux qui travaillent et donne un peu moins à ce qui ont déjà peu, le tout sous couvert de justice sociale, avec une dialectique appropriée : « tout le monde doit faire des efforts ». Tout le monde s’entendant par « ceux qui en font déjà doivent en faire encore plus », avec son corollaire, « ceux qui n’en font pas doivent pouvoir continuer à ne pas en faire ». Et de continuer dans la dialectique appropriée, ceux qui ne sont pas d’accord, sont des « irresponsables », très à la mode, veulent le « chaos », comme si Macron et sa clique n’étaient pas eux mêmes le chaos ? Ils s’estiment même « garants de la stabilité ». Impensable, nous ne sommes pas stables mais en plein plongeon. Note de la France dégradée, production industrielle sous les 10 %, richesse moyenne inférieure aux pays européens équivalents, services publics en berne et délinquance galopante… ce serait cela la « stabilité » ?
La sanction devait tomber le 28 novembre. Autrement dit dans un siècle, dans le calendrier de la vie politique française devenu dingue depuis que Macron a décidé de faire de la constitution son hochet. Mais l'agence Standard & Poor's a rendu le verdict, dès hier soir, vendredi 17 octobre, surprenant tout le monde : la note de la France passe de AA− à A+, passant de la quatrième à la cinquième meilleure note. Moody’s avait déjà abaissé la note française à Aa3 en décembre dernier, et Fitch il y a un mois, et cette nouvelle dégradation intervient après la propre alerte de S&P en février dernier qui avait abaissé la perspective à négative.
Si elle avait gagné celui de ses enfants sans piston… aurait-elle une autre vision ?
J’ignore comment vous le vivez, mais en ce qui me concerne, j’en ai soupé de toutes ces grognasses (et autres individus détestables) qui passent leur temps à culpabiliser ceux qui ne sont pas en osmose avec eux, osant avoir un avis différent du leur et ce dans plusieurs domaines et qui en conséquence ne pensent qu’à nous « rééduquer » !!!
Nous en avons malheureusement actuellement à des postes clés… une panoplie bien dégoulinante de mépris pour la « populace » qu’ils ou elles s’imaginent lui être tellement supérieur(e)s que cela leur donne le droit de dénoncer la dérangeante « paille » dans l’œil de ces « gens de rien », ignorant superbement l’immense « poutre » occupant tout l’espace dans le leur !
Ça y est, le débat parlementaire sur le budget de l’État pour 2026 (projet de loi de finances) a commencé. Comme le veut la règle, les députés vont d'abord examiner les recettes (« ressources et équilibre »), après viendra l’examen des dépenses (« crédits des missions »). Un projet de budget qui « ambitionne de redresser les comptes publics », nous explique le site officiel Vie publique. Cela, d’une part, à travers une baisse des dépenses de l’État, hors Défense nationale, ce qui représenterait, toujours selon Vie publique, « les deux tiers de l’effort budgétaire total » - sans, d'ailleurs, en indiquer le montant. D’autre part, par une hausse des recette fiscales, « en particulier par un effort supplémentaire des contribuables les plus aisés à hauteur de 6,5 milliards d'euros et par la poursuite de la rationalisation des niches fiscales (la France en compte actuellement 474 pour un coût total de 85,1 milliard d’euros) », souligne Vie publique, la hausse des impôts pour les « plus aisés » étant, en quelque sorte, l’arbre qui cache la forêt des hausse d’impôts et de taxes qui vont frapper en 2026 à tous les étages, et ce, même jusqu’au local poubelle !
C’est un rapport du Sénat, une institution pas franchement complotiste qui tire la sonnette d’alarme sur l’effondrement de notre industrie automobile et qui préconise le report de l’interdiction des moteurs thermiques fixé à 2035 par idéologie (Source ici).
Voilà ce que disent nos aimables sénateurs à qui je ne vais pas donner tort cette fois-ci !
Ce qu’il y a de terrible dans ce budget, c’est qu’évidemment il ne frappe pas du tout les milliardaires comme à chaque fois d’ailleurs.
Il frappe les petits, les moyens et les petits riches!
Bien évidemment le « ruissellement » n’est pas proportionnel. Quand vous avez des petits millionnaires ils font beaucoup plus circuler d’argent que les gros milliardaires ce qui est logique. un milliardaire ne mange
Mais depuis 50 ans, notre pays s’évertue à réduire, à détruire, à abîmer et à décourager tous ceux qui pourraient devenir des petits riches, des petits millionnaires.
Coup de tonnerre sur le commerce mondial : les Chinois, d’habitude prudents, commerçants et cherchant le compromis, décident d’imposer de nouveaux contrôles drastiques à l’exportation de leurs terres rares, y compris raffinées et utilisées dans les technologies modernes.
Le projet de budget présenté par Sébastien Lecornu prévoit, dans le cadre de « l’année blanche », de geler le barème de l’impôt sur le revenu en 2026, sans l’ajuster à l’inflation.
Symbole de puissance économique pendant des décennies, l’agriculture française traverse une crise inédite. D’après le laboratoire d’idées Agridées, l’excédent commercial agroalimentaire de la France s’est effondré à huit millions d’euros sur les sept premiers mois de 2025, faisant redouter le premier déficit depuis 1978 et menaçant un pilier de l’identité nationale.