Mercredi 10 avril, François-Noël Buffet, Président de la commission des lois, rapporteur de la mission d’information sur les émeutes survenues à compter du 27 juin 2023, a présenté les conclusions de la mission. Le rapport est ici, l’essentiel est là. Extrait :
économie et finance - Page 2
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Le Sénat établit le bilan des émeutes : un milliard d’euros de dommages, 793 millions d’euros de sinistres, un millier de blessés…
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Ukraine : le dernier souffle de Zelensky - JT du mercredi 10 avril 2024
Au programme ce soir, la fin se profile pour la guerre en Ukraine. Alors que les offensives russes pourraient reprendre dans quelques semaines, les positions territoriales des deux camps ne devraient pas évoluer considérablement. La Paix elle, pourrait être en suspens au moins jusqu’à la présidentielle américaine.
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Le coût de l’immigration
C’est le sujet par excellence que nos politiques ne veulent pas aborder. A l’heure où le sieur Bruno Le Maire – et nous avec, cela va sans dire – se retrouve avec une dette colossale à combler, s’intéresser à la masse d’argent consacrée aux immigrés – dont l’évaluation n’est pas mince à 45 Mds€ - permettrait de faire quelques économies sans tomber pour autant sous la coupe d’un pseudo racisme exacerbé.
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« Le Mozart a parlé. « Nous n’avons pas un problème de dépenses excessives mais un problème de moindres recettes » et donc ? ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Ce qui est bien avec les actualités de l’ORTF c’est que chaque jour elles me permettent d’alimenter mon bonheur ineffable.
Cela fait maintenant 15 ans que je chronique la situation économique de notre bas monde et si cela n’était pas si grave pour tant de gens à qui je pense à chaque fois que j’écris mes lignes quotidiennes nous pourrions en rire vraiment de bon cœur.
Aujourd’hui l’information essentielle c’est que Macron a parlé.
Et quand j’ai écrit ces mots c’est ce passage de Forest Gump qui m’est revenu immédiatement à l’esprit.
« Silence il va nous dire quelque chose ».
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Bruno « lumière » de Bercy découvre la mondialisation des « rivalités »…
« Le temps de la mondialisation heureuse est fini. Elle a fait place à une mondialisation de rivalités.
Il est urgent de redéfinir une stratégie de politique économique et industrielle européenne commune. »
Entre deux ouvrages d’une grande profondeur philosophique, l’ami Burno qui sait pénétrer les secrets de la littérature française, semble s’apercevoir au bout de 7 ans au ministère de l’économie que la mondialisation connaîtrait quelques petits soubresauts.
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« La chute des rentrées fiscales est liée à l’effondrement de l’immobilier ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Selon Les Echos (dans cet article source ici), le dérapage des comptes publics de l’Etat en fin d’année dernière serait en grande partie dû à la baisse des recettes fiscales dans l’immobilier, provoquée par la hausse brutale des taux d’intérêt. Y a-t-il réellement une dépendance excessive de nos recettes fiscales au secteur de l’immobilier ? C’était le thème de notre débat économique hebdomadaire avec David Jacquot sur Ecorama.
A un moment David, toujours très sympathique, me dit que le gouvernement n’est quand même pas responsable de la hausse des taux !
C’est vrai. Mais les vedettes qui nous dirigent sont responsables de tout le reste.
Ils sont responsables de prendre l’immobilier pour une vache à lait fiscale.
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« La France en faillite ? Pas tant que vous aurez de l’épargne ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
3 100 milliards d’euros c’est la dette de l’Etat. Considérable me direz-vous et vous avez bien raison. C’est énorme. Mais est-ce grave ?
Bien évidemment que c’est grave et cela ne peut pas durer éternellement. Mais parfois, même si ce n’est pas éternel, c’est long !
Et cela peut durer plus longtemps que ce que l’on pense tous ou que ce que l’on peut anticiper.
La France risque-t-elle la faillite ?
Bien évidemment qu’elle risque la faillite.
En réalité la France est déjà en faillite.
Nous dépensons depuis 1974 c’est-à-dire depuis 50 ans, largement plus que ce que « nous gagnons ». Et pourtant la dette continue de tourner !
Les marchés continuent à nous financer.
Alors… la question est pourquoi les marchés continuent à prêter à la France alors que nous gérons comme des pieds ? Enfin pas nous, nos « Mozart » de la finance.
La réponse est simple et tient essentiellement à deux raisons.
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Finances publiques : la flûte enchantée
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Attal veut taxer les rentes : quand c’est flou…
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Un monde sans dollar, mythe ou réalité ?