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économie et finance - Page 282

  • Une solution pour compenser la suppression de la redevance : supprimer le service audiovisuel public !

    Une solution pour compenser la suppression de la redevance : supprimer le service audiovisuel public !

    Beaucoup de Français en ont assez de payer une redevance audiovisuelle soit pour des programmes TV ou radio sans aucun intérêt, soit pour financer la propagande politique de l’Etat. Chacun est libre de se divertir et de s’informer où il veut.

    La proposition de Gérald Darmanin va donc dans le bon sens sauf s’il envisage de compenser cette perte par un nouvel impôt ou une augmentation ailleurs :

    Encore un ballon d’essai lancé par un membre du gouvernement pour alléger la fiscalité à la suite de la crise des « gilets jaunes » : le ministre des comptes publics, Gérald Darmanin, a proposé, vendredi 29 mars, de supprimer la contribution à l’audiovisuel public (CAP), plus connue sous le nom de redevance (…)

    Contrairement aux impôts ou taxes, dont le montant est utilisé librement par l’Etat ou les collectivités, la contribution à l’audiovisuel public est affectée pour un seul usage : le financement de la radio, depuis 1933, puis de la télévision depuis 1949. C’est la source principale de revenus de France Télévisions (88 %) et de Radio France (près de 100 %), mais aussi indirectement des producteurs audiovisuels qui travaillent pour les chaînes publiques et d’une partie du cinéma français (…)

    Si la redevance était supprimée, Gérald Darmanin n’a pas précisé par quel biais ces montants seraient compensés, ce qui inquiète vivement les syndicats et organisations professionnelles du secteur. Le ministre de la culture, Franck Riester, a d’ailleurs rappelé dimanche sur France 3 que l’audiovisuel public était un enjeu important et qu’il fallait « un financement qui soit à la hauteur des besoins, qui soit pérenne et qui garantisse l’indépendance de l’audiovisuel public vis-à-vis du pouvoir politique » (…)

    Alors, si le financement ne se fait pas par la publicité,  pourquoi ne pas se passer du service audiovisuel public ? Éléments de réponse avec Francis Balle (Atlantico) :

    Un système dans lequel on utiliserait l’argent public non plus pour financer des chaînes de télévisions publiques mais plutôt des programmes pourrait être intéressant (…) Nous allons donc de plus en plus devoir nous interroger sur la possibilité de réserver l’argent public à des programmes qui répondent véritablement à des missions de service public. C’est-à-dire que nous allons devoir définir exactement le périmètre et le contenu de programmes qui répondent à une logique qui n’est pas celle du marché, à une logique où les annonceurs ne sont pas les commanditaires (…)

    L’idée de construire une BBC à la française n’est pas nouvelle et est incontestablement heureuse puisqu’elle répond à la mise-en-commun de certains moyens qui sont ceux du secteur public afin de proposer des programmes qui correspondent mieux aux exigences et aux attentes du public.

    Voici également un exemple d’argumentation pour privatiser l’audiovisuelle public, davantage axé sur la gabegie actuelle. c’est d’ailleurs amusant de constater que les autoroutes ont été privatisée, qu’Aéroport De Paris va sans doute l’être mais que personne ne pense à se débarrasser de cette audiovisuelle si coûteuse :

    “(…) la gestion de France Télévisions a été relativement inefficace dans les années récentes, puisque les charges de personnel représentaient 34,12% du chiffre d’affaires en 2014, contre 18,76% pour M6, 21,1% pour TF1 et 24,17% pour la BBC.

    Avec des pertes d’exploitation d’environ 30 M€ sur 2015, malgré un résultat net positif d’environ 200 K€, France Télévisions, dont le statut est celui d’une société d’anonyme au conseil d’administration public, ainsi que les contribuables français, pourraient amplement bénéficier d’une privatisation de la propriété et de la gestion. Il s’agit d’un groupe médiatique.

    À l’heure de la concurrence des chaînes, de la multiplication des offres médiatiques concurrentielles, la gestion et la propriété publique d’un groupe de télévision n’a plus de sens.

    Selon le rapport de la Cour des comptes cité plus haut, l’EBE du secteur de l’audiovisuel public a d’ailleurs chuté de 25% entre 2010 et 2015, tandis que les résultats combinés des entreprises sont négatifs dans leur globalité depuis 2013.

    Il est urgent de prendre en compte la réalité de la transformation des habitudes de consommation des Français et d’accepter le passage d’une société fondée sur l’existence de chaînes de télévision publiques et nationalisées à une société où existe une pluralité d’offre de chaînes concurrentes.

    https://www.lesalonbeige.fr/une-solution-pour-compenser-la-suppression-de-la-redevance-supprimer-le-service-audiovisuel-public/

  • Fuite en avant des banques centrales pour retarder l’explosion du Système

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    Marc Rousset

    Lors d’une conférence à Paris, le jeudi 28 mars 2019, le vice-président de la Fed, Richard Clarida, a pu déclarer : « Si nous avons un choc défavorable, la première réponse serait d’employer les outils monétaires habituels. Si cela ne suffit pas, il y a d’autres instruments dans la boîte à outils qui ont déjà été employés et il est certain qu’on les emploierait à nouveau si nécessaire. » Autrement dit, baisse à venir des taux d’intérêt déjà pas très élevés et reprise probable, en 2019 ou en 2020, de la création monétaire non conventionnelle par achat d’obligations, le fameux « QE ». Mais c’est aussi reconnaître l’échec de la politique laxiste pratiquée jusqu’à présent par les banques centrales.

    En fait, la Fed a jeté l’éponge le 20 mars dernier avec une volte-face historique puisque, trois mois auparavant, elle affirmait que la taille de son bilan serait réduite, en 2019, de 50 milliards de dollars par mois et que les taux continueraient de grimper. En septembre 2019, la Fed aura toujours, dans son portefeuille, plus de 3.500 milliards d’obligations, soit 17 % du PIB, alors que ce chiffre s’élevait à seulement 6 % en 2006. L’économie est droguée avec des taux bas, une liquidité record, une dette record, trop d’entreprises zombies, une croissance insuffisante et une bulle des actifs. La Fed ne peut plus faire marche arrière, seulement aller de l’avant tout droit dans le mur, tout comme la BCE en Europe !

    La Fed a capitulé face aux pressions politiques de Trump et des « banksters » de Wall Street. Le conseiller économique de Donald Trump, Larry Kudlow, a appelé, vendredi dernier, la Fed à baisser ses taux immédiatement d’un demi-point pour les ramener entre 1,75 % et 2 %, au lieu de 2,25 % et 2,50 %. Trump vient de nommer Stephen Moore, un économiste soumis, au Conseil de la Fed en précisant qu’il n’avait pas l’intention de limoger le président de la Fed, Jerome Powell, soi-disant indépendant. L’outil « Fed Watch » du marché de Chicago CME montrait, vendredi dernier, une très forte probabilité que les taux soient rabaissés.

    Le comble, c’est que cette politique est présentée sous le nom de « théorie monétaire moderne » ! En fait, la TMM n’est ni moderne ni une théorie, mais de la démagogie pure et simple pour justifier les bas taux d’intérêt et le laxisme de la création monétaire. Le Système veut nous faire croire, par ce subterfuge, que les taux d’intérêt pourraient un jour remonter, alors qu’il en sera incapable. Selon le site Bloombergmondialement connu, « la TMM est une blague qui n’est pas drôle ». Les empereurs romains et les rois de France pratiquaient déjà la création monétaire laxiste avec de moins en moins d’or et d’argent dans chaque pièce de monnaie. On peut illusionner en créant de la monnaie à volonté, mais on ne peut pas créer de la richesse économique à volonté sans capital, sans technologie et sans travail compétitif.

    Le taux des obligations américaines à long terme sur dix ans est passé en dessous du taux des bons du Trésor à trois mois pour la première fois depuis 2007. Au cours des sept dernières fois où la courbe de rendement s’est inversée, l’économie américaine est entrée, en moyenne, en récession après onze mois. Selon le modèle de récession de la Fed de New York, la probabilité de 29 % est aujourd’hui plus élevée que celle observée avant cinq des sept dernières récessions. Le fait qu’en Europe, le taux négatif du Bund allemand à 10 ans de -0,008 5 % soit inférieur à celui du taux japonais de -0,008 3 % – une première depuis 2016 – est aussi annonciateur de cataclysme.

    Le retour en grâce des métaux physiques précieux en or et en argent est aussi très préoccupant puisque, de 2009 à 2018, les achats d’or de 16.200 tonnes ont été multipliés par 4 par rapport à 1999-2008, tandis que les achats d’argent de 57.800 tonnes étaient multipliés par 3,8.

    Les banques centrales, en créant de la monnaie non conventionnelle et en baissant les taux d’intérêt, empêchent les banques, les États hyper-endettés et les Bourses de s’écrouler dans l’immédiat, mais elles ne pourront pas empêcher l’inéluctable récession à venir et c’est alors que le Système explosera d’une façon encore plus violente, avec un effondrement monétaire en lieu et place d’un simple krach économique, financier et boursier, style 1929 !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/02/fuite-en-avant-des-banques-centrales-pour-retarder-l-explosi-6141010.html

  • C Politique : F. Lenglet développe tranquillement des analyses économico-politiques « incorrectes » mais novatrices

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    Cette heure et quart de débats doit être écoutée. Non pas pour ce qu'y disent les différents intervenants qui ne font que ressasser en toute matière des formules convenues archiconnues mais pour ce qu'y déclare François Lenglet de réfléchi, d'original et de juste. 

    Sur chacun des sujets - le Brexit, l'Europe, le libre-échange, la crise économique en vue à court terme, l'évolution des systèmes politico-économiques du monde, etc. - Lenglet développe des analyses libérées de l'idéologie qui ouvrent sur des perspectives économiquement et politiquement incorrectes. Notamment lorsqu'il constate tranquillement la fin du cycle libéral des 50 dernières années et l'ouverture d'un nouveau cycle protectionniste, qui voit le retour des nations, des peuples et des États, des pouvoirs autoritaires et du politique en général. Inutile d'en dire davantage. Bonne écoute !  LFAR 

     1h16'

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/02/fuite-en-avant-des-banques-centrales-pour-retarder-l-explosi-6141010.html

  • Sécurité routière : d'abord faire payer les Français

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    Jean-François Touzé

    Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire

    Emmanuel Macron et pour son Premier ministre Édouard Philippe, l’orientation à la hausse de la mortalité routière constatée ces dernières semaines (+17,1 % en février avec 253 personnes tuées après une augmentation de 3,9 % en janvier) a été provoquée par les nombreuses destructions de radars, enregistrées depuis l'été dernier.

    En réalité, ne voulant pas reconnaître l'inutilité punitive et l'inefficacité totale de la mesure des 80 km/heure sur le nombre d'accidents de la route, le pouvoir cherche donc un bouc émissaire commode. Il est jaune et porte un gilet. Il doit être désigné comme responsable et coupable.

    La réalité des causes des accidents et surtout de la mortalité routière est pourtant connue : la fatigue et la somnolence, la prise d’alcool ou de drogue (25 % des cas), l'inattention et les manœuvres dangereuses (26 %), le non-respect des distances de sécurité, l'implication de poids lourds (14 % des cas) et le mauvais état des routes. La fable des radars brisés sert donc bien trois buts : culpabiliser les automobilistes, designer les Gilets jaunes à la vindicte populaire et tenter une diversion face à l'incapacité gouvernementale à prendre de vraies mesures pour réduire l’insécurité routière et enrayer la spirale de la hausse des accidents.

    Mais, ce qui préoccupe au premier chef le gouvernement, bien au-delà de l’impact humain, dans cette très hasardeuse et totalement hypothétique mise en avant de la responsabilité de la destruction des radars, ce sont les conséquences budgétaires de ces supposés actes de vandalisme.

    Selon les derniers chiffres de Bercy, relayés par Les Échos, les dégradations de radars qui se seraient amplifiées à la faveur de la crise des gilets jaunes, laisseraient sur les seules années 2018 et 2019 un trou de plus de 660 millions d'euros dans les comptes publics.

    Ces chiffres restent à démontrer. Mais leur publication et leur mise en avant par les pouvoirs publics montrent, s'il en était besoin, où sont les vraies priorités du pouvoir en matière de « prévention » routière : emm… r les Français, comme le notait déjà Georges Pompidou, alors Premier ministre, et surtout faire des automobilistes les vaches à lait de la République.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • macron, la stratégie de mensonge

    La stratégie de mensonge du Gouvernement se met en place!
    On commence à entendre sur les médias TV la suppression de la taxe audiovisuel, allègement de l'impôt sur le revenu, le reste à charge 0% pour les prothèses dentaires, pas d'augmentation de tarif de gaz avant Juin, etc...
     Ne vous laissez pas manipuler à nouveau par ces mensonges qui ne sont que d'ordre électoral!

    Gilets Jaunes, mettez vous en campagne contre la liste Macron! 
    Je ne le répéterai jamais assez, la première bataille à gagner c'est les Européennes 2019. 
     Il faut pulvériser la liste Macron, et faire de cette élection un vote anti-Macron!
     Organisez vous, faites des tracts et investissez les marchés, les lieux commerciaux, etc....
    Je me répète mais c'est très important! 
    C'est ce que préconise aussi François Boulo, qui est une très bonne référence pour les GJ.
     Allez courage mes amis, si nous nous bougeons, nous gagnerons!

  • Explosions à venir des bulles boursières, du système bancaire et des États

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    Après la dégringolade de fin 2018, suite au brusque revirement laxiste de la Fed et de la BCE en janvier 2019, les bourses mondiales avaient redémarré en fanfare. Le CAC 40 était à 5.445, le 19 mars, soit une progression de 17 % par rapport au début de l’année. Il semble que la belle mécanique se soit de nouveau enrayée à 5.300 depuis trois semaines. Les signaux de ralentissement de l’économie mondiale se multiplient et la peur hante de nouveau les marchés.

    L’immobilier, qui fut à l’origine, aux États-Unis, de la crise des « subprimes » en 2008, montre de nouveau des signes sérieux de faiblesse tandis que la croissance globale n’a été que de 2,2 % au quatrième trimestre : forte chute des mises en chantier de logements en février avec un repli de 10 % sur un an, diminution des ventes de maisons neuves de 7 % en janvier alors que les taux de l’immobilier sont très bas.

    En Chine, la chute de la production industrielle est tombée, lors des deux premiers mois de l’année 2019, à son plus bas niveau depuis 17 ans, tandis que les résultats des firmes industrielles ont décliné de 14 % en janvier-février en rythme annuel.

    La Turquie est en récession et la croissance en Inde ne va pas durer (niveau d’éducation trop faible, effort de recherche insuffisant, infrastructures défaillantes et faible taux d’épargne). En France, l’indice de confiance des ménages a atteint, en décembre, son plus bas niveau depuis novembre 2014 et reste encore, selon l’INSEE, en dessous de sa moyenne de long terme. Le taux de création de dettes dans le monde dépasse celui de la croissance économique tandis que la démographie diminue ainsi que les facultés de remboursement.

    Le Belge Georges Ugeux, ancien numéro deux de la bourse de New York, prédit un tsunami financier d’ici fin 2020 avec un livre prémonitoire La Descente aux enfers de la finance, préfacé par Jean-Claude Trichet, ancien président de la BCE. Les dettes publiques et privées menacent l’équilibre mondial. Il faut, selon l’auteur, que les banques centrales relèvent les taux et diminuent les encours de dettes souveraines, tandis que les États doivent équilibrer leurs dépenses, c’est-à-dire exactement le contraire de qui est pratiqué actuellement pour éviter que les Bourses ne s’écroulent et que les banques fassent faillite !

    Christine Lagarde, présidente du FMI, lance de sérieux avertissements à la zone euro, exhortant ses membres à renforcer son système bancaire face au risque systémique. Selon la liste publiée par le FSB (Financial Stability Board) en novembre 2018, 29 banques dans le monde représentent un risque systémique, dont 4 françaises : BNP-Paribas, BPCE, Crédit agricole et Société générale. La valeur des actifs des banques systémiques dans le monde, soit 48.000 milliards de dollars en 2016, représente 14 fois celle de leurs fonds propres ! La France est donc, après les États-Unis, vice-champion du monde des banques systémiques, géants aux pieds d’argile avec des bénéfices insuffisants pour reconstituer leurs fonds propres, suite à la baisse de leurs marges provoquées par la baisse des taux d’intérêt. Il n’y a donc pas que les bulles boursières pour faire exploser le système !

    Enfin, les Français se sentiront aussi très rassurés lorsqu’ils apprendront que les banques européennes cotent environ la moitié de leurs fonds propres, que les créances douteuses représentent 40 % des actifs des banques grecques et, surtout, que le Fonds de garantie européen des dépôts ne dispose que de 53 milliards d’euros tandis que le Fonds de garantie français des dépôts et des résolutions (FGDR) ne dispose que de 4 milliards d’euros ! Le remboursement annoncé par le président de la BCE, Mario Draghi, des taux d’intérêt négatifs, pour aider les banques à reconstituer leurs fonds propres, n’est qu’une goutte d’eau dans la mer à boire !

    Et, bien évidemment, l’explosion du système bancaire entraînera la banqueroute des États et l’effondrement complet du système monétaire mondial. L’hyperinflation, c’est-à-dire le schéma de l’Allemagne en 1923 ou du Venezuela actuel, est le seul scénario envisageable, la création monétaire démesurée par les banques centrales avec des prêts aux États et aux banques étant la seule façon possible de pallier les urgences immédiates à venir du système.

    Marc Rousset

    https://www.bvoltaire.fr/explosions-a-venir-des-bulles-boursieres-du-systeme-bancaire-et-des-etats/

  • Trump supprime les aides financières au Salvador, au Guatemala et au Honduras, qui «ne font rien» contre l’immigration clandestine

    Le département d’Etat américain a fait savoir, le soir du 30 mars, que Washington avait décidé de supprimer des aides financières octroyées jusqu’ici à trois pays d’Amérique centrale, le Salvador, le Guatemala et le Honduras. «A la demande du secrétaire d’Etat, nous mettons en œuvre la décision du président et mettons fin aux programmes d’assistance pour le “Triangle du Nord” pour les années budgétaires 2017 et 2018», a expliqué à plusieurs médias, dont USA Today, un porte-parole de la diplomatie américaine.

    jean-eric branaa@BranaaJean

    Le département d’État annonce couper l'aide américaine au , au et au

    (…)

    Le président américain avait auparavant dénoncé la formation de deux nouvelles caravanes de migrants, principalement en provenance du Guatemala. Dans un message publié sur Twitter, il avait vilipendé l’inaction des gouvernements des trois pays face à ce phénomène : «Le Honduras, le Guatemala et le Salvador ont pris notre argent pendant des années et ne font rien.» Il a également menacé de fermer la frontière sud des Etats-Unis si le Mexique ne prenait pas des mesures pour stopper les flux de migrants clandestins.

    RT France

    http://www.fdesouche.com/1184557-trump-supprime-les-aides-financieres-au-salvador-au-guatemala-et-au-honduras-qui-ne-font-rien-contre-limmigration-clandestine

  • «Privatiser les barrages est une folie à très, très hauts risques !! » L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
    La privatisation des barrages hydroélectriques en France envisagée par le gouvernement français, demandé par l’Union Européenne, est potentiellement une folie à très, très hauts risques, dont peu perçoivent le danger très important que cela pourrait faire peser sur la population française.
    Même la très « fascisante » chaîne France Culture de Radio France en parle… c’est dire. 
    Niveau complotisme nous sommes sur du lourd. Du très lourd!!

    Revue rapide des risques qui sont totalement occultés, dans un débat qui n’a pas lieu!
    1/ Les risques de rupture de barrages. 
    C’est rare, mais cela arrive. Comment l’opérateur privé sera assuré? 
    Comment les victimes seraient indemnisées? 
    Mais encore, avant même de parler des morts, si nous parlions de la sécurité? 
    Ne sera-t-elle pas sacrifiée au profit des profits? 
    Il est évident que le cadre contractuel ne peut pas être « amateur »… a minima, quand on privatise ce genre de chose, les règles imposées, et les systèmes de contrôle doivent être à la hauteur. 
    Quand on ne débat pas, et qu’il n’y a pas de transparence, on peut redouter que le pire devienne possible.

    Mais… ce n’est pas tout.
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  • USA, Nation la plus riche du monde ? Plus d’eau courante… ni potable ! [Vidéo]

    San-abri - Drapeau
    Photo : pour illustration
    Faire la guerre à l’ensemble du reste du monde c’est très bien.
    Pourtant, sur le terrain, certains Américains, de plus en plus nombreux commencent à avoir une autre vision de la grandeur américaine qui s’apparente plutôt à une vision de déclin…
    Nous sommes là dans le pays le « plus riche » de la planète.
    Nous parlons ici de la première puissance du monde…
    Nous parlons ici d’un pays qui a réussi tout de même à accumuler plus de 20 000 milliards de dollars de dettes !!!
    Alors, où part le « pognon » se demandent les « Gilets Jaunes » américains, qui ont évidemment voté Trump comme le rappelle ce reportage de France 24 car si Trump a été élu, ce n’est pas le fruit du hasard.
    C’est parce que là-bas comme ici, les choses ne tournent pas franchement très rond.
    Nous avons exactement les mêmes problèmes en France et en Europe.
    Partout en réalité dans l’ancien monde dit développé c’est un effondrement lent avec une terrible détérioration progressive des infrastructures, qu’elles soient médicales et de santé ou encore d’adduction en eau potable ou même des réseaux d’électricité.
    Je vous laisse donc visionner ce reportage édifiant.
    Les Américains font les mêmes sur nous…

    Pensez votre résilience et votre autonomie, c’est le meilleur conseil à garder en tête pour affronter ce qui va se passer dans les 30 prochaines années.
    La bulle de tout est en train de prendre fin, et ce ne sera pas un moment agréable.
    Charles Sannat 
    aphadolie

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/03/usa-nation-la-plus-riche-du-monde-plus.html#more

  • Le grand secret pour payer les retraites

    Shutterstock
    Valérie Lafont       
    Une réforme massive du système de retraite est en vue, et l’idée recueille peu ou prou l’assentiment des Français.
    Pourtant, la véritable solution pour résoudre le financement des retraites n’est jamais évoquée.
    Pour financer les retraites, il suffit que la génération active soit nombreuse et au travail. 
    Pour obtenir ce cocktail magique, la solution est simplissime : avoir des enfants ! 
    Une politique nataliste volontariste est donc la solution la plus simple, la plus évidente, la plus belle aussi, au besoin de financement des retraités. 
    Pourtant, la France a abandonné depuis longtemps toute incitation à la procréation. On lui préfère l’immigration de travail, qui évite les coûts liés à l’enfance : accouchement, santé, école, collège, lycée : on fait venir le travailleur adulte, uniquement lorsqu’il est productif. C’est une considération purement mercantile de la vie humaine, promue par ceux pour laquelle elle n’a d’autre valeur.
    Récemment, la folie des post-modernes a même poussé plus loin : on considère désormais que procréer (ils disent “faire des enfants”), est carrément un crime contre l’humanité, ou en tout cas un crime contre leur nouvelle divinité : la planète. 
    Si certains pays dans le monde incitent à une natalité nationale, ces politiques sont la risée des post-modernes qui nous gouvernent, et ils pointent du doigt les natalistes comme autant d’exemples qu’il ne faut pas suivre.
    En refusant une politique nataliste forte, nos dirigeants se rendent coupables de plusieurs crimes :
    1. Ils mettent en péril les générations les plus âgées
    2. Ils traitent la personne immigrée comme une marchandise
    3. Ils forcent un multiculturalisme qui n’est souhaité ni par l’accueillant ni par l’arrivant, les violant tous deux dans leur identité culturelle
    Bref, et si, pour sauver la France, nous faisions des enfants ? Je vais essayer dès ce soir.