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économie et finance - Page 455

  • Fraude migratoire : le business de l’accueil des migrants

    FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :

    Le système très lucratif des coopératives sociales

    En Italie s’est mis en place un système très lucratif dont les premiers bénéficiaires sont les coopératives sociales, un type de sociétés mutualistes (prétendument) sans but lucratif, qui dispensent des services socio sanitaires ou éducatifs et bénéficient, à ce titre, d’un consistant allègement fiscal. Jusque là, rien d’étrange, si ce n’est qu’elles ne sont en aucun cas obligées de publier leurs comptes, et que les contrôles auxquels elles devraient être soumises ont été annulés par décret ministériel, en 2015.

    Dans ces circonstances, s’en mettre plein les poches est un jeu d’enfant

    Les coopératives sociales italiennes reçoivent de l’Etat 35 € par jour et par demandeur d’asile pour l’hébergement, les repas et l’argent de poche de ces derniers. Un séjour tout frais payés — par vous et par moi — qui peut durer jusqu’à trois ans.
    La fraude consiste donc à loger et nourrir chaque migrant à moins de 35 € par jour, le bénéfice créé finissant directement dans la poche des membres de l’association. Dix clandestins dans une chambre d’hôtel à 70 €, ou quelque structure publique encore moins chère, le tour est joué. Une petite astuce qui peut rapporter jusqu’à 5 000 € quotidiennement !
    Un nombre considérable de coopératives, sous couvert de bons sentiments humanitaires, ont ainsi triplé, quintuplé, multiplié par 50, par 100, par 126, leur chiffre d’affaires depuis le début de ladite crise.

    Et face à l’ampleur des vagues migratoires, les autorités, complètement submergées, ferment souvent les yeux sur les incuries et autres abus avérés des coopératives

    Dès lors, ce n’est pas de « crise » qu’il faut parler, mais de « fraude » : la grande fraude migratoire, dont le caractère artificiel est mis en évidence par le profil même des migrants, dont moins de 5 % d’entre eux peuvent revendiquer le statut de réfugié. Le reste étant principalement composé d’Africains subsahariens, non des plus démunis (le trajet coûte cher), attirés par l’assistanat et le consumérisme de notre modèle économique ; expulsables, mais qui, en absence d’accords avec les pays de provenance, ne seront jamais rapatriés.

    http://fr.novopress.info/201303/fraude-migratoire-le-business-de-laccueil-des-migrants/#more-201303

  • Au XXIe siècle, le libéralisme est une aberration

    CETA, TAFTA, TPP : à travers ces acronymes régulièrement évoqués dans les médias, les citoyens européens découvrent petit à petit qu’un gigantesque projet de marché unique mondial est en gestation à leur insu. Pourquoi ce secret ? Il ne peut y avoir qu’une seule réponse à cette question : parce qu’on ne veut pas leur laisser le choix ni même la possibilité d’en débattre. En Occident, le libéralisme est un dogme absolu sur lequel on ne transige pas. Ah bon, et pourquoi donc ? Car, pourtant, il y aurait de quoi. En effet, après la crise de 2008, il y avait au moins une raison évidente de s’interroger. N’est-ce pas l’étroite interconnexion des économies nationales qui a fait que la crise s’est propagée dans le monde entier à partir d’un foyer unique aux États-Unis ?

    Le citoyen ordinaire est enclin, naturellement, à faire confiance aux experts. C’est parfaitement justifié pour les sciences dites dures, beaucoup moins pour les sciences humaines. Je vous livre un exemple vécu. C’était avant le référendum de Maastricht, lors d’une réunion professionnelle à la Banque de France : je tombai sur une brochure du Trésor. Il y était écrit explicitement que l’internationalisation de la dette publique – le fait que des non-résidents se portent de plus en plus acquéreurs de la dette française – était un signe de bonne santé de l’économie française. Cette affirmation était un contresens dangereux : il suffit de comparer la Grèce au Japon pour comprendre qu’une dette externe est une vulnérabilité.

    Cet exemple illustre la double tromperie qu’est la liberté de circulation des capitaux. Tromperie parce qu’il était évident, dès le début, que les inconvénients l’emporteraient sur les avantages.

    Double parce que deux objectifs non avouables étaient visés. D’abord, je rappellerai que le contrôle des changes n’est pas le gel des capitaux, c’en est juste le contrôle, comme son nom l’indique fort bien. Il y a, effectivement, deux motivations derrière la liberté de circulation des capitaux. La première, c’est l’internationalisation des dettes publiques évoquée plus haut qui, certes, dans un premier temps, a permis le recyclage des pétrodollars, mais qui, au final, a eu raison de la souveraineté monétaire des États-nations. La seconde, nous en sommes les témoins quotidiens, c’est la délocalisation fiscale. Et c’est ça que l’Occident érige en vertu sacrée.Outre les capitaux, la doctrine libérale prône la liberté de circulation des biens, des services et des personnes. Voyons les biens. À l’heure où la question environnementale s’impose comme l’un des principaux défis du XXIe siècle, vendre du porc en provenance de Pologne et, a fortiori, des fraises en provenance de Chine sur les marchés de rue en Bretagne est une anomalie. Pourquoi ? Parce que ne prendre en compte que le seul coût de production, comme on le faisait au XVIIIe siècle, et ignorer les coûts et les risques inhérents au transport, à la fraîcheur du produit et au respect des normes sanitaires est aujourd’hui totalement insuffisant et je n’évoque même pas le coût du chômage induit. Pour les services, j’invite le lecteur à se reporter à la fameuse directive Bolkestein. Reste les personnes. Ce fut tout l’enjeu du Brexit et les Anglais – qui furent les premiers à prôner la doctrine libérale – y ont renoncé. Ils doivent bien avoir une bonne raison.

    Source

    http://www.voxnr.com/5101/au-xxie-siecle-le-liberalisme-est-une-aberration

  • Ce que l'opposition wallonne au CETA a dévoilé...

    Ainsi le CETA sera-t-il, un jour prochain, signé ! Peut-on vraiment s'en réjouir ? Mais il aura fallu la courte et efficace résistance de quelques Wallons, parlementaires régionaux, mais aussi des Bruxellois et des germanophones, pour que les Européens apprennent que, une fois de plus, l'Union européenne et ses commissaires, députés et financiers, s’apprêtaient à livrer un peu plus les Européens aux multinationales et, surtout, aux juges des fameux tribunaux arbitraux qui pourraient, en définitive, menacer les Etats et les parlements dans leur rôle de décideurs politiques.

    parti socialiste europe.jpgQuelques remarques, néanmoins : tout d'abord, l'absence de la gauche radicale dite de gouvernement dans la contestation de ce traité de libre-échange, en particulier celle de M. Tsipras en Grèce, mais aussi celle qui dirige aujourd'hui le Portugal. Ainsi, tous les beaux discours de cette gauche antilibérale semblent destinés à finir au tombeau des grandes illusions quand l'heure (ou la simple possibilité) d'agir, concrètement, arrive : cela doit servir de leçon à ceux qui, « alibéraux et illibéraux » sincères, ont mis leurs espoirs dans ces partis qui, en définitive, préfèrent le Pouvoir à leurs convictions ou à leurs promesses. La même remarque vaut pour les populistes dits « eurosceptiques » qui n’en sont pas moins de bons libéraux dans la pratique (avec quelques nuances néanmoins)…

    Ensuite, cet accord, pour l'heure « débloqué », montre toute l'hypocrisie des partis et des institutions de l'Union européenne qui, jadis, faisaient campagne pour que l'UE s'impose entre les géants, hier les Etats-Unis et le Japon, aujourd'hui les mêmes Etats-Unis et la Chine : qui ne se rappelle de cette affiche du Parti Socialiste (français) sur laquelle un sumo japonais et un superman états-unien, tous les deux imposants, semblaient être les deux principaux adversaires d'une Europe qui, donc, se devait d'être forte à son tour pour éviter l'écrasement de ses nations ? Or, en signant ce traité, comme d'autres d'ailleurs (moins médiatisés mais tout aussi dangereux, et pas forcément pour les seuls Européens...), l'Union européenne perd toute raison d'être économique, tout simplement, puisqu'elle entre dans le même espace économique, le même marché unique que ses « concurrents », avec les mêmes règles décidées parfois bien au-delà de l'Europe ! 

    Dernière remarque (pour l'heure) qui n'est pas l'ultime, loin de là : l'Union européenne se signale de plus en plus comme une sorte « d'Europe légale » de plus en plus coupée de « l'Europe réelle », celle des nations, des régions de celles-ci, des peuples (au sens civique du terme), des personnes et de leurs modes de vie, de leurs diversités. Jean Monnet, « le pire fondateur de l'Europe » comme ironisent certains, avait voulu cette forme de démocratie représentative qui n'est rien d'autre, dans ce cas-là, que le gouvernement des experts et des groupes de pression qui les payent... Les réactions indignées des députés européens (mais qui connaît « ses » députés européens en France et ailleurs?) et des commissaires européens contre les 3 millions de Belges francophones qui ont osé, un temps, demander quelques éclaircissements (et le mot me semble particulièrement juste) sur ce traité et qui « décideraient » pour 500 millions d'Européens (bientôt 440 après le Brexit) me font sourire : ont-ils, ces messieurs les grands maîtres de l'UE, demandé leur avis aux citoyens, et, dans les campagnes électorales européennes de 2014, ont-ils évoqué ce même traité qui, pourtant, engage la vie et surtout le travail de leurs électeurs et peuples constitués ? Et, ces derniers jours, les pressions, pas forcément amicales, des dirigeants et des médias européens sur les Wallons donnent une drôle d'image de la « démocratie européenne »...

    Néanmoins, malgré l'accord de dernière minute des Belges entre eux sur le CETA, il n'est pas certain que la messe soit dite : la résistance wallonne, même défaite, peut être vue comme un signe, voire un signal... La fin de la mondialisation, annoncée par François Lenglet il y a quelques années, pourrait bien être au bout de ce traité mal né et mal accepté : car jamais, au grand jamais, l'histoire n'est finie...

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Le déclin commercial des centres-villes s’aggrave

    5017349_6_375e_2016-10-20-9f9fe3e-4545-rpdntn-isq0duc8fr_35edfafd51dba950fdd9f91c82a53297.pngDes commerces fermés ou parés d’un trompe-l’œil sur des façades abandonnées pour cacher la misère… « Avec près d’un rideau sur dix baissé, la vacance commerciale s’aggrave et touche fortement les centres des villes moyennes en France. » 
    Un phénomène qualifié de « préoccupant » par le rapport sur la revitalisation commerciale des centres-villes de l’Inspection générale des finances (IGF) et du Conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD), rendu public jeudi 20 octobre dans l’après-midi par le ­gouvernement. 
    A cette occasion, la secrétaire d’État au commerce, Martine Pinville, a annoncé que le gouvernement va débloquer une enveloppe de... 1 million d’euros pour « financer dès que possible les stratégies de développement urbain, les nouveaux partenariats entre les acteurs publics et privés, et le développement du management de centre-ville », et lutter ainsi contre cette désertification commerciale d’un certain nombre d’agglomérations de taille moyenne. 
    Cette somme proviendra du FISAC (Fonds d’intervention pour les services, l’artisanat et le commerce). « C’est aux décideurs locaux d’aider chacun à trouver sa place », a déclaré la secrétaire d’État, préconisant une concertation plus grande entre structures publiques, élus et organisations de commerçants. 
    Les villes de moins de 100 000 habitants sont les plus touchées 
    L’état des lieux, commandé en février par le ministère du logement, de l’égalité des territoires et de la ruralité et par le secrétariat d’Etat au commerce, à l’artisanat, à la consommation et à l’économie sociale et solidaire, est assez alarmiste. « Avec un taux moyen de vacance commerciale dans les centres des villes moyennes en France qui dépasse les 10 % en 2015, en augmentation sur les dix dernières années, la dévitalisation commerciale de nombreux centres-villes en France se confirme », constate le document. 
    Sur près de 190 centres-villes, le taux de vacance moyen, qui mesure la part des locaux commerciaux qui ne trouvent pas preneur à la location, est passé de 6,1 % en 2001 à 10,4 % en 2015. Sachant que, au-dessous de 5 %, les experts considèrent la situation comme conjoncturelle et que, au-delà de 10 %, cela témoigne « d’un déclin structurel de la commercialité du centre-ville ». Les villes moyennes, et plus particulièrement celles qui comptent moins de 100 000 habitants, sont les plus touchées. 
    En 2015, plus de la moitié des centres-villes des agglomérations de taille moyenne affichaient un pourcentage moyen de commerces vides supérieur à 10 %, contre seulement 27 %des grandes villes. Le rapport cite l’exemple de la ville de Béziers (Hérault), qui affiche une vacance commerciale de 24,4 % en 2015 (contre 9,7 % en 2001), soit le taux le plus élevé parmi les villes moyennes en France. Il conclut à « un phénomène qui s’installe structurellement à l’échelle d’un centre-ville ». 
    Caractéristiques communes 
    La dévitalisation commerciale du cœur des villes s’accompagne aussi de signes de fragilité économique, comme la diminution structurelle de la consommation des ménages ou encore le nombre de créations d’entreprise dans le secteur du commerce de détail, qui, entre 2011 et 2014, a diminué de 11 %. 
    Le rapport relève, en tout cas, des caractéristiques communes aux villes de taille moyenne quand elles pâtissent de cette fuite des commerces : taux de chômage, de logements vacants et de pauvreté élevés, et dimi­nution de la population. De même, ces agglomérations connaissent souvent un niveau de fiscalité plus élevé que la moyenne. Facteur aggravant, soulignent les auteurs du rapport, « ces communes perdent, en général plus souvent que les autres, des équipements, réduisant notamment leur offre de soins, de loisirs ou le nombre de structures éducatives ». 
    La désertification commerciale peut s’expliquer par différents facteurs : des problèmes dans l’accessibilité du consommateur au centre-ville, que ce soit l’offre de stationnement ou les tarifs des parkings ; une augmentation des loyers commerciaux et des prix au mètre carré lors de mutations (changements de propriétaire) ; ou la concurrence des boutiques par le commerce en ligne. 
    Parallèlement à la dévitalisation des centres-villes, on observe un développement exagéré des surfaces commerciales en périphérie. Ces zones commerciales, à l’offre uniforme d’une ville à l’autre, ont aussi leur responsabilité dans l’affaiblissement commercial de certaines agglomérations. « La création d’une grande surface peut concurrencer, pour certains secteurs, le commerce de proximité dans les villes isolées et périphériques », affirme le rapport, qui précise que « la création d’une grande surface supplémentaire pour 10 000 habitants accroît le risque de sortie d’un petit commerce de proximité deux ans après ». 
    « Stratégie adaptée à la situation de leur territoire » 
    A l’inverse, les communes qui ont le plus grand nombre de commerces en activité ont des atouts qui, à eux seuls, permettent de comprendre le maintien d’un centre-ville animé. Parmi ses cartes maîtresses, on dénombre la « forte attractivité touristique », « une population des plus de 60 ans plus élevée », « un revenu médian de la population plus important ». Le classement en station touristique, la présence d’un littoral sont des attributs partagés par un certain nombre de ces villes épargnées par le déclin commercial. 
    Pour endiguer ce phénomène, l’IGF et le CGEDD recommandent certaines actions, pour la plupart très techniques, en matière de réglementation et de fiscalité. Car, « si le commerce est d’abord l’affaire des commerçants, il revient aux élus, responsables de la ville et de l’intercommunalité, d’engager et de mettre en œuvre une stratégie globale adaptée à la situation de leur territoire », note le rapport. 
    Celui-ci doit « s’appuy[er] sur ses propres atouts (patrimoine, culture, capacité d’attractivité touristique ou économique…), intégr[er] la maîtrise de l’appareil commercial de l’ensemble du bassin de vie, combin[er] tous les leviers d’action (urbanisme, habitat, activités, mobilité…) et regroup[er] les acteurs locaux dans une gouvernance coordonnée ». 
    Action insuffisante 
    Malgré un dispositif destiné à revitaliser les centres-villes dans la loi du 18 juin 2014 relative à l’artisanat, au commerce et aux très petites entreprises, qui prévoit plusieurs mesures, comme l’allongement du délai dont dispose la commune pour trouver un repreneur, l’action du gouvernement n’est visiblement pas suffisante pour contrer le mouvement. 
    « La mise en œuvre d’une poli­tique efficace de développement du commerce en centre-ville repose sur la mobilisation des professionnels du commerce, mais pas seulement, estime Martine Pinville, secrétaire d’Etat chargée du commerce, de l’artisanat, de la consommation et de l’économie sociale et solidaire. Il nous faut nécessairement aussi compter sur un réseau élargi de collectivités locales, d’élus, de chambres consulaires et, bien sûr, d’experts de l’ingénierie des centres-villes dégradés (Caisse des dépôts et consignations, Agence nationale pour la réno­vation urbaine, établissements publics fonciers…). » 
    Il est nécessaire, selon elle, de « travailler ensemble, à tous les niveaux, à tous les échelons, quelles quesoient [les] affinités politiques, pour définir des objectifs collectifs ». Le 30 mars, la Caisse des dépôts a présenté un nouveau dispositif d’accompagnement de la revitalisation des centres-villes, qui doit être expérimenté dans des municipalités moyennes. 
    Concrètement, la secrétaire d’Etat va, dans un premier temps, rassembler l’ensemble des acteurs du commerce autour de la table à la fin du mois de novembre, lors de la réunion de la commission de concertation du commerce. Dans un second temps, ensuite, elle mènera une réunion plus élargie – « début 2017 », précise-t-elle. 
    Parmi les axes d’amélioration, Mme Pinville envisage l’accélération de la transition numérique du petit commerce en s’appuyant sur le Conseil national du numérique, « avec, par exemple, une aide dans le développement de solutions mutualisées pour développer le commerce en ligne de proximité (plate-forme commune pour les petits commerçants d’un territoire qui permettent de regrouper les commandes, casiers communs pour la livraison…) ».

  • Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°449

  • L’accueil des migrants, comment ça marche ? Le business des coopératives

    Ce n’est pas de “crise” qu’il faut parler, mais de “fraude”.
    Que ce que l’on qualifie trompeusement de « crise migratoire » soit financé par l’argent public des contribuables de l’Union européenne, cela n’est plus un secret pour personne.

    Ce que l’on sait moins, c’est comment le système de l’accueil des clandestins fonctionne concrètement, et donc qui s’en enrichit et comment. Car ce déplacement de populations aux proportions gigantesques est rendu possible autant par le désarmement moral des peuples autochtones que par le colossal détournement de fonds publics – légal ou non – qu’il engendre.

    Le cas de l’Italie, principale porte d’entrée des clandestins avec la Grèce, est particulièrement intéressant à cet égard.

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  • La Belgique bloque la signature du traité de libre-échange avec le Canada

    La Belgique n’est « pas en état de signer le CETA », a déclaré lundi le premier ministre Charles Michel, empêchant de facto la signature de l’accord de libre-échange entre l’UE et le Canada, prévue jeudi à Bruxelles.

    La signature prévue jeudi à Bruxelles du traité de libre-échange UE-Canada (Ceta) n’aura pas lieu. Alors que la Wallonie a de nouveau rejeté les propositions qui lui ont été transmises par Bruxelles dimanche, le premier ministre belge, Charles Michel, affirme que son pays n’est « pas en état de signer le CETA ».

    Trois des entités fédérées de Belgique et le gouvernement fédéral ont refusé de donner leur feu vert : la Wallonie, le gouvernement bruxellois ainsi que la communauté linguistique dite « française ». L’UE avait donné jusqu’à lundi soir à la Belgique pour faire connaître sa position sur le CETA.

    Dès dimanche, André Antoine, le président du parlement de Wallonie avait affirmé : « Ce ne sera pas possible de respecter cet ultimatum. On nous remet un document décevant et parallèlement on nous donne un ultimatum ». L’entourage du chef du gouvernement wallon, Paul Magnette, considère que l’ultimatum « n’est pas compatible avec le processus démocratique », a déclaré à l’AFP son porte-parole. Il « a toujours refusé de s’installer dans un timing contraignant », a souligné le porte-parole. [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-Belgique-bloque-la-signature-du