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économie et finance - Page 455

  • Leur Europe? Contre, tout contre la grande finance mondialiste et apatride!

    Encore un fou, donc un irresponsable, coupable de meurtre à connotation djihadiste? Un « jeune » de 25 ans à étranglé lundi matin sa mère à l’aide d’un lacet au Havre (Seine-Maritime),  au motif que celle-ci voulait l’empêcher de partir en Syrie pour renverser le régime laïque de Bachar el-Assad. Selon les médias ce meurtier souffrirait d’antécédents psychiatriques. On aura pour le coup du mal à accuser Jose-Manuel Barroso,  président de la Commission européenne  de novembre 2004 à novembre 2014, une des incarnations bruxelloises de l’idéologie anti-nationale, anti-souverainiste, immigrationniste des « élites » mondialisées, d’être un dingue. Il est aujourd’hui sous le feu des critiques plus ou moins hypocrites de ses pairs et complices. Le parcours politico-financier caricatural de ce personnage est certes une contre-publicité vivante pour cette Europe bruxelloise soviétoïde, à bout de souffle, grossière et nocive contrefaçon de l’Europe enracinée, de la libre coopération entre nations souveraines, que les nationaux appelent de leurs  vœux.

    José Manuel Barroso, ex maoïste converti à l’ordo-libéralisme,   est assez doué pour s’attirer la vindicte populaire.  Le salaire mensuel qui fut le sien en tant que président de la Commission européenne  (24.422 euros, il faut y ajouter  les indemnités de résidence et de représentation) en a choqué avec raison plus d’un. Dans la même veine,   les  720.230 euros dont il gratifia les contribuables pour payer ses   « frais de représentation » et de « mission » en 2009 (record battu!), somme révélée par  le service de la Commission chargé de l’exécution des paiements,  a semé la colère. Et  il y a aussi ce que certains décrivent comme  des liens  assez troubles avec le groupe Latsis en Grèce. Un groupe  » plusieurs fois avantagé par la commission, avant l’arrivée de Barroso, comme pour les financements européens en Grèce via la filiale EFG Eurobank et cinq autres contrats divers entre 1999 et 2004. (…) José Manuel Barroso a notamment nommé conseiller spécial à la Commission Dusan Sidjanski, président du Centre européen de la culture, financé par le groupe Latsis « … (Wikipedia).

    Le 8 juillet,  la tristement célèbre banque d’affaires Goldman Sachs, se dotait d’un nouveau « conseiller » et « président non-exécutif des activités internationales » en la personne de M. Barroso.  Tout bénef: celui-ci continuera à toucher jusqu’en 2017 60 % de son salaire de commissaire européen,  soit 17 000 euros par mois. Barroso l’atlantiste, l’ami des néolibéraux américains, zélé promoteur  du projet de Marché transatlantique (Transatlantic Trade and Investment Partnership,  TTIP), de la création   d’une  zone de libre-échange UE-Etats-Unis  lancé officiellement début 2013. La  banque dans laquelle entre l’ex président de la Commission européenne entretient la relation privilégiée que l’on sait avec Hillary Clinton, elle aussi favorable au TTIP… ce qui ne surprendra personne.

    C’est selon les deux parties pour aider la banque  à faire face au  Brexit que M. Barroso aurait été embauché. Cette reprise en main par le peuple britannique de son destin inquiète la finance apatride et ses hommes de paille européistes qui craignent que ce goût de la liberté retrouvée fasse tâche d’huile sur notre continent. En janvier denrier, le Huffington Post relayait l’information de Bloomberg Business qui annonçait que Goldman Sachs , « l’une des plus riches (banque d’affaires) de Wall Street, a fait un don de plusieurs centaines de milliers de livres àBritain Stronger in Europe un lobby qui fait campagne contre le Brexit »… Lobbying, pression anti Brexit qu’ont exercé pareillement  des  concurrentes de Goldman Sachs comme  JP Morgan,  Bank of America et  Merril Lynch, les instances bruxelloises et,  chez nous, pour faire peur aux Français qui seraient séduits par l’exemple britannique, la totalité des médias contrôlés par les groupes financiers au fort tropisme mondialiste, les Juppé, Hollande, Cambadélis, Bayrou, Sarkozy et autres Macron….

    Emily O’Reilly,  médiatrice  des droits des Européens, a publié  le 6 septembre la lettre envoyée au successeur de M. Barroso, Jean-Claude Juncker,  lui demandant  fermement de  » clarifier la position de la Commission sur la nomination de l’ancien président de la Commission, M. Barroso en tant que président non exécutif et conseiller chez Goldman Sachs. »

    Le Monde a indiqué à ses lecteurs que M. Juncker « s’est empressé » de répondre à Mme O Reilly   le  9 septembre, « lui expliquant qu’il avait demandé à M. Barroso  des clarifications  supplémentaires au sujet de ses nouvelles responsabilités et réclamé son contrat de travail chez Goldman Sachs. M. Juncker précise qu’il resollicitera l’avis du comité d’éthique maison, suite à ces nouvelles informations (…).  Jean-Claude Juncker (a pour but de)  faire taire les critiques : elles ne doivent pas polluer son discours de l’Union  du mercredi 14 septembre. Ce rendez-vous crucial, qu’il prépare depuis le début du mois d’août, est censé redonner de l’élan à une Commission ayant pris un gros coup sur la tête après le vote  Brexit  des Britanniques, mais aussi rien de moins qu’aider à la relance d’une Europe en panne sèche. » Ce n’est pas gagné en effet , tant la défiance des peuples européens est grande…et justifiée! constate Bruno Gollnisch.

    Dans le concert du chœur des pleureuses s’indignant des  nouvelles activités de M. Barroso, il faut citer pour la bonne bouche  le secrétaire d’État aux affaires européennes , Harlem Désir, qui a évoqué une embauche  « particulièrement scandaleuse, compte tenu notamment du rôle joué par (Goldman Sachs) dans la crise financière de 2008 mais aussi du trucage des comptes publics de la Grèce. […] Moralement, politiquement, déontologiquement, c’est une faute de la part de M. Barroso, c’est le pire service qu’un ancien président d’une institution européenne pouvait rendre au projet européen, à un moment de l’histoire où il a, au contraire, besoin d’être soutenu, porté et renforcé » (sic).

    Comme l’a rappelé Marine, « l’UE ne sert pas les peuples mais la grande finance » et M. Désir feint de le découvrir (en partie) aujourd’hui car il devient difficile de cacher la poussière sous le tapis . En 2012 déjà, Marion  soulignait  justement que les contribuables ont payé chèrement « les conséquences des manœuvres comptables orchestrées par (…) Goldman Sachs qui a conseillé le Gouvernement grec lors de son entrée dans la zone euro, en 2001, l’invitant, pas des mécanismes sophistiqués dits de swap, à masquer une partie de sa dette déjà préoccupante. »

    « Sans ces dissimulations,   la Grèce n’aurait probablement pas rempli les critères de convergence et nous n’en serions pas là. Cette même banque accumule parallèlement des profits indécents à coup de milliards de dollars sans pour autant voir sa responsabilité recherchée. Guère étonnant lorsque l’on constate que, de la BCE au département du Trésor américain en passant par la présidence du conseil italien, les ex-dirigeants de cette firme tentaculaire sont partout aux avant-postes. »

     Bruno Gollnisch l’affirmait  dans l’hémicycle européen en février 2012 s’adressant alors à celui qui était président du Conseil, Mario Monti, mais aussi au président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, tous deux anciens cadres de Goldman Sachs,  leur  Europe est une Europe de la  « régression sociale » . MM. Monti et Draghi ayant été d’ailleurs comme par hasard  « (adoubés) par ces cercles un peu occultes et mondialistes que sont la Commission Trilatérale, le groupe de Bilderberg »… financé lui même en partie par les gros chèques de Goldman  Sachs. La boucle est  bouclée.  M. Barroso sera dans son élément.

    http://gollnisch.com/2016/09/13/europe-contre-contre-grande-finance-mondialiste-apatride/

  • La BCE détient 1.000 milliards d’euros de titres avec ses rachats de dette

    Le programme de rachat de titres de dettes publiques et privés par la BCE a franchi le seuil symbolique de 1.000 milliards d’euros la semaine dernière, 18 mois après son lancement.

    Le montant des actifs détenus par la Banque centrale européenne (BCE) a atteint la semaine dernière le seuil symbolique des 1.000 milliards d’euros après 18 mois de rachats de dette souveraine des pays de la zone euro. La BCE a racheté pour 11,14 milliards d’euros d’obligations d’Etat lors de la semaine au 2 septembre, sur un total de 13,75 milliards d’euros de titres acquis.

    Un an et demi après le lancement de ce programme d’assouplissement quantitatif (QE), destiné à relancer l’activité et à redresser l’inflation dans la zone euro, les résultats sont au mieux mitigés. Le crédit bancaire est certes reparti mais il reste peu dynamique et l’inflation demeure éloignée de l’objectif de la BCE d’une hausse des prix légèrement inférieure à 2%.

    Un programme censé expirer en mars

    Dresser un bilan est toutefois risqué car il est impossible de savoir quel serait l’état économique de la zone euro sans cette initiative de la BCE. Ce programme, qui consiste à racheter 80 milliards d’euros d’actifs chaque mois, est censé expirer en mars prochain. Le président de la BCE, Mario Draghi, ne devrait rien annoncer de spectaculaire à l’issue de la réunion du conseil des gouverneurs qui se tiendra jeudi mais il pourrait évoquer une prolongation ou une modification de ce QE.

    La Tribune

    http://www.voxnr.com/3258/bce-detient-1-000-milliards-deuros-de-titres-rachats-de-dette

  • Politique et éco n° 102 Actualité pratique d’une rentrée bancaire en zone de turbulence

  • C’est avec le malheur des laitiers que la République fait son beurre

    Les faits : grave mécontentement paysan face au prix du lait.

    Depuis plusieurs jours des mouvements de colère de producteurs laitiers se structurent contre le géant de l’agroalimentaire Lactalis, entreprise française, qui est le premier groupe laitier et fromager mondial. Les producteurs laitiers reprochent à Lactalis de se servir de sa position dominante sur le marché pour offrir un prix d’achat trop faible, puisqu’il est actuellement de 256,90 euros la tonne (1000 litres) alors qu’ils estiment leur coût de production entre 300 € et 360 € la tonne selon les régions. Certaines entreprises, plus petites, comme la laiterie Saint-Père, filiale d'Intermarché s’engagent déjà sur ce prix. Les syndicats minoritaires dont l’APLI (l’Association des Producteurs de Lait Indépendants) demandent un tarif de 400 € la tonne pour assurer une rémunération décente aux agriculteurs.

    Le groupe Lactalis se défend contre ces accusations en affirmant qu’il paye le lait un prix correct non seulement au vu de l’offre et de la demande mais encore parce qu’il offre davantage aux agriculteurs français qu’aux autres agriculteurs européens auprès desquels il se fournit. Et en effet, il y a actuellement une surproduction de lait dans l’Union européenne, et par exemple, le lait allemand est moins cher que le lait français.

    Désireux de faire cesser les protestations, Lactalis a proposé de porter son prix d’achat à 271,90 € la tonne de lait à compter du 1er septembre. Cette proposition a été perçue comme une marque de mépris par les agriculteurs en détresse. De son côté, le régime républicain est intervenu pour trouver une solution, via un médiateur. Celui-ci a proposé aux deux parties un prix de 280 € la tonne, que les producteurs ont jugé insuffisant.

    Devant cette impossibilité à trouver une entente le premier syndicat agricole, la FNSEA, forte de la mobilisation paysanne, qui enflamme plusieurs régions, a lancé le 29 août au soir des actions de blocage contre quinze sites Lactalis afin de peser sur les négociations. Finalement, le 30 août, les éleveurs Laitiers et Lactalis ont trouvé un accord, en s’entendant sur un prix de 290 € la tonne de lait. Ce prix laisse cependant les producteurs bien amers.

    Les commentaires : poursuite de l’entreprise de destruction du monde paysan.

    « Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France », disait Sully, ministre du bon roi Henri. Depuis Sully, malgré les apparences, les fondamentaux n’ont pas changé : La France c’est originellement un peuple attaché à la terre fermée par des clôtures et des frontières, c’est un peuple qui a du bon sens, et qui prie un Dieu qu’il reverra une fois qu’il fera lui aussi partie de cette terre. Alors que le régime républicain, c’est une idéologie à vocation universelle, donc sans frontières, et qui ne veut pas reconnaître l’existence de Dieu. De là que pour détruire la France, le régime républicain doit en finir avec les paysans et en l’occurrence couper ces mamelles à la lactation trop généreuses.

    Alors on rappellera que Révolutionnaires et Républicains ont favorisé le riche paysan, appelé laboureur contre le petit, dit manouvrier, par la disparition des communaux et la vente des biens nationaux quels seuls les plus fortunés purent acquérir. Comme cela ne suffisait pas, les Colonnes infernales ont été lâchées, et la conscription inventée pour envoyer les paysans se faire tuer contre les armées ennemies, non pas pour sauver la France, mais pour sauver le régime républicain. Dernièrement le remembrement et surtout l’Union européenne ont parachevé cette glorification du plus fort et cet écrasement du petit.

    Ainsi le groupe Lactalis, entreprise familiale sarthoise fondée en 1933 a grandi essentiellement à partir des années 80, par rachats successifs (Lactel, Bridel, Roquefort Société…) grâce à la libéralisation économique, et dans les années 90-2000 avec l’ouverture des marchés européens. Aujourd’hui ceux qui pèsent sur l’agriculture ne sont pas des paysans, mais des agrobusinessmen. On comprend mieux pourquoi le régime républicain n’ose contraindre Lactalis, et même le soutient de façon hypocrite en proposant ces 280 € la tonne de lait, qui sont plus favorables à l’industriel qu’aux paysans. Et les 290 € la tonne, qui viennent d’être arrachés par le rapport de force ne sont qu’un minimum vital, de quoi juste retarder en période d’inflation (camouflée), le moment de mettre la clé sous la porte.

    En attendant, les derniers petits paysans travaillent nuit et jour, sans jamais prendre de vacances, cela pour un revenu dérisoire, dans des hameaux de plus en plus abandonnés. Abandonnés donc les villages, déserte l’église, disparus les curés, voilà le christianisme bien affaibli. C’est aussi pourquoi ceux qui ne luttent plus, ceux qui n’ont plus la force d’aller bloquer l’industrie agroalimentaire, se suicident, à raison d’environ 300 par an, soit presque un par jour. Et ce massacre va de pair avec celui de l’environnement, détruit par la pollution, que nombre de paysans ont été contraints de produire dans leur course à la survie, pollution dont ils sont du reste également victime et qui contribue à leur disparition. En somme, pour en finir avec ceux qui travaillent les racines de la France au propre comme au figuré, l’ultralibéralisme républicain, c’est quand même plus efficace que les colonnes infernales ou la conscription, et surtout, c’est bien plus politiquement correct !

    Mais en réalité ce triomphe apparent du régime républicain contre la paysannerie, contre les racines, participe aussi de sa propre disparition. Le régime républicain favorise les gros contre les petits, or les gros ont désormais des ambitions mondiales, et on voit en quelle estime ils tiennent la République française dont ils cherchent à fuir la fiscalité par des placements discrets à l’étranger. Comment respecter un régime qui, même si on lui doit beaucoup, s’étend sur un si petit territoire au regard du marché mondial qu’il reste à conquérir ? Au contraire, pour les multinationales, l’Etat désormais trop affaibli, peu respecté et ruiné, se convertit de plus en plus en vieux cheval fatigué qu’il devient plus rentable d’envoyer à la boucherie. La République a élevé des enfants qui maintenant l’abandonnent… D’autre part quand il n’y aura plus personne dans les campagnes… est ce que les populations des villes seront suffisantes pour soutenir le régime républicain ? On connait les fractures terribles qui divisent les quartiers en ce moment…

    C’est peut-être en raison de ce dernier doute que le régime républicain envisage désormais de repeupler les campagnes par des « migrants », qui ne seront bien sûr ni paysans, ni catholiques. Elle espère que leur étant redevables, ils lui seront fidèles… on n’est plus à une utopie près. On ne sait pas trop de quoi ces « migrants de la campagne » vont vivre, mais certainement pas d’amour et d’eau fraiche : l’amour qui est dans le pré est en fait à la télévision tandis que l’eau est polluée par les nitrates. Mais l’on sait aussi avec la crise paysanne actuelle, qu’ils ne vivront pas non plus de bon lait… Et qu’ils ne comptent pas sur celui de la pulpeuse Marianne : ses seins sont en plâtre !

    Propositions royalistes.

    Face à cette situation dramatique, il est urgent de revenir aux frontières nationales qui permettent l’exercice du protectionnisme. Les paysans, surtout les petits propriétaires et métayers, doivent être les premiers bénéficiaires d’aides, sous toutes leurs formes, bien avant des populations des « quartiers difficiles » qui sont trop souvent les premières responsables de la difficulté desdits quartiers. C’est avec les paysans et par les paysans que l’environnement retrouvera un équilibre écologique, profitable à l’ensemble de la population. Le petit paysan est aussi le gage du produit de qualité, au contraire de l’agriculture industrielle. Le circuit économique doit quant à lui, être complètement repensé : il est inadmissible de laisser les distributeurs imposer la loi du marché aux producteurs. L’Etat doit donc retrouver sa pleine autorité, dans un souci d’équilibre et de justice.

    Rappelons le, le régime républicain, ce n’est pas la France, c’est même son ennemi. Précisément, parce qu’il ne peut y avoir de France sans roi, pas plus qu’il ne peut y avoir de France sans paysans, alors il ne peut y avoir de paysans sans roi. Le roi est, depuis toujours, le protecteur naturel des petits. Il le fut contre les seigneurs trop gourmands et les barons trop avides, il le sera contre la gloutonnerie des multinationales. Soyons certain que le dernier des Bourbons, Louis XX, saura, tout comme le premier, Henri IV, apaiser les campagnes et remettre à l’honneur la poule au pot !

    Traditions et libertés, vive le roi !

    Dominique Saint-André

    http://www.vexilla-galliae.fr/actualites/politique/2136-c-est-avec-le-malheur-des-laitiers-que-la-republique-fait-son-beurre

  • Comment les USA chassent la France du marché iranien…

    Nicolas Gauthier Eurolibertés cliquez ici

    On devrait se pencher plus souvent sur la presse économique, riche d’enseignements politiques, enseignements assez peu relayés par les autres médias mainstream. La preuve par le mensuel Challenges du mois d’août dernier et ce volumineux dossier intitulé « Iran, la face cachée de l’Eldorado ». Soit l’occasion pour le lecteur d’apprendre l’existence de l’UANI (United Against Nuclear Iran).

    De quoi s’agit-il ? D’une discrète officine qui, depuis fin juin, « appelle Airbus, Air France, Renault, Total, Engie, Vinci à renoncer à leurs contrats en Iran, » tout en sommant Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale de « défendre les droits de l’homme » à l’occasion de son récent voyage à Téhéran.

    Qui sont les responsables de ce puissant lobby ?

    « Un coup d’œil à la liste des fondateurs et membres du conseil de surveillance de l’UANI met en évidence des motivations moins nobles. On y trouve l’ancien directeur de la CIA, James Woolsey, ainsi que d’anciens patrons du Mossad, Tamir Pardo et Meir Dagan (décédé en mars dernier), dont le mandat avait été marqué par l’assassinat ciblé de scientifiques iraniens. »

    Et le mensuel en question de révéler, citant « un ponte français de l’intelligence économique » : « Cette ONG est le faux nez des faucons américains et de leurs alliés de la ligne dure du Likoud israélien. C’est organisé par une vingtaine de types à peine, mais après le traumatisme de l’amende de BNP Paribas, ça peut faire du dégât. »

    À ce titre, on rappellera que cette banque avait dû s’acquitter d’une amende record de neuf milliards pour avoir « violé » l’embargo unilatéralement décidé par les USA sur l’Iran…

    Il y a effectivement de quoi faire peur aux plus grandes entreprises françaises, ce d’autant plus qu’elles savent n’être que de loin protégées par la diplomatie élyséenne. Exemple ? Le groupe PSA, récemment obligé, sous pression de General Motors, son actionnaire américain et minoritaire, de rompre le contrat historique le liant au groupe Khodro, géant de l’automobile iranienne, à la grande indifférence de notre gouvernement et au ravissement des constructeurs d’outre-Atlantique qui en profitèrent alors pour prendre notre place…

    Pis, les gigantesques transactions financières qu’impliquent de tels accords commerciaux demeurent encore et toujours, de près ou de loin, soumis au contrôle bancaire américain. D’où la nécessité pour la France de faire transiter ses fonds par de complexes réseaux pouvant impliquer Dubaï, la Chine ou la Russie ; ce qui implique un important surcoût financier et une évidente baisse de compétitivité pour les entreprises tricolores.

    En attendant, que fait l’État ? Quel État, au fait ? Le nôtre ? Quand on voit celui dans lequel il se trouve, on comprend mieux. Et quand on constate celui des instances européennes, on ne comprend que trop bien…

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’économie informelle : un péril grave pour notre économie et notre société

    L’activité économique visible telle que la traduit le concept de PIB ne fait pas apparaître qu’une partie appréciable de la population vit d’activités parallèles, souvent en marge du droit et de la fiscalité, en grande partie délictueuse et parfois purement criminelle que l’on peut regrouper sous la dénomination d’économie informelle.

    Les définitions sont diverses, floues et parfois contradictoires

    Les définitions de l’économie informelle sont nombreuses et particulièrement diverses selon les auteurs comme Jean-Paul Gourévitch et les organismes comme le Conseil économique et social (CESE) qui observent ce phénomène.

     Dans un esprit de simplification nous proposons de retenir celle de Wikipedia qui nous est apparue comme la plus pratique et qui distingue :

    -l’économie familiale et domestique estimée à au moins les 2/3 du PIB ;
    -l’économie conviviale, proche de l’économie familiale, mais tournée vers l’extérieur de la cellule familiale estimée également aux 2/3 du PIB ;
    -l’économie souterraine qui regroupe 3 formes d’activité :

    .illégale dans la forme de son exercice comme le travail au noir ;
    .illégale dans la forme de l’exercice mais condamnable car délictueuse ;
    .générée par des activités criminelles.

    C’est l’économie souterraine qui retient principalement notre attention.

    Les causes

    Le CESE, dans un avis, a exposé son analyse des causes du développement de l’économie informelle :

    -la crise économique ;
    -un contexte de chômage massif ;
    -la fiscalité et les cotisations qui renchérissent le coût du travail pour les employeurs et/ou diminuent les gains pour les employés ;
    -la pauvreté ;
    -la concurrence qui peut peser sur les résultats de l’entreprise.

    Il faut y ajouter :

    -la mondialisation du commerce et de l’industrie ;
    -la libre circulation des personnes et des marchandises. Le CESE insiste particulièrement sur la problématique des travailleurs détachés ;
    -le développement de l’économie numérique ;
    -la complexité et l’empilement de textes et de normes de nature sociale et environnementale.

    Deux observations :

    -l’analyse des causes par le CESE se réfère plus à l’économie souterraine reliée au comportement de chefs d’entreprise qu’à l’économie noire et criminelle, évacuant ainsi largement un aspect crucial de l’économie informelle ;
    -encore plus idéologique est le fait que les liens de causalité entre l’immigration et l’économie informelle sont à peine évoqués par le CESE. Et pourtant !

    Les évaluations sont peu nombreuses, variables, très imprécises mais aboutissent à des résultats affolants

    Il s’agit d’un sujet délicat car les évaluations de l’économie informelle varient considérablement selon les auteurs et les organismes et selon ce que, selon eux, ce terme recouvre.

    Les données internationales

     Si l’on en croit le CESE, l’importance de l’économie souterraine serait comprise, selon la Commission européenne, entre 7% et 16% du PIB de l’UE ou encore de 7 à 19% des emplois déclarés.

    Selon une étude réalisée par le groupe de cartes de crédit Visa par le professeur Friedrich Schneider, professeur d’économie à l’Université de Linz, le poids de l’économie parallèle (travail au noir et transactions non déclarées) représentait 19,3% du PIB cumulé de l’UE, de la Norvège, de la Suisse, de la Turquie et de la Croatie en 2012. C‘étaient donc 2175Md€ qu’ont représenté le travail au noir et les transactions non déclarées dans cette zone en 2012.

    Rapporté à la taille de l’économie nationale, le phénomène pèse plus lourd en Europe de l’Est où cette économie informelle pourrait atteindre 30% du PIB.

    La même étude indique que l’économie parallèle pourrait baisser en 2013 et ne plus représenter que 18,5% du PIB européen. Malheureusement cette étude ne prend pas en compte les autres aspects illégaux de l’économie informelle : les activités délictueuses et celles générées par des activités criminelles.

    En 2005, dans le bulletin économique du CIRAC il a été indiqué que le travail au noir en Allemagne (d’ailleurs confondu à tort dans l’article avec l’économie informelle) a pesé 15,6% du PIB. Que reste-t-il de la vertueuse Allemagne, modèle universel d’honnêteté et de rigueur morale ?

    Selon J.P. Gourévitch, en 2002, l’économie informelle, y compris les activités illégales et criminelles, représentait 28% du PIB de l’Italie, 28% de celui de l’Espagne, près de 20% de celui de la Suède. Même la Suède ! Elle était en progression exponentielle dans l’UE.

    La France

    Selon l’étude du professeur Friedrich Schneider, l’économie parallèle, c’est-à-dire en excluant les activités illégales, aurait représenté, en 2012, 10,8% du PIB en France, soit environ 219Md€

    En 2002, J.P. Gourévitch, dans son livre sur les migrations en Europe, a estimé l’incidence de la totalité de l’économie informelle française à une fourchette comprise entre 17% et 19% du PIB.

    Lors d’un colloque de l’Institut géopolitique des populations en 2014, il a avancé, à juste titre, que le taux de 10,8% de l’étude du groupe Visa était sous-estimé et que l’économie informelle est plutôt en progression. Si l’on reste sur un taux de 19% la totalité de l’économie informelle représenterait en 2016 plus de 400Md€.

    A ce niveau, les conséquences sont gravissimes et représentent un péril grave pour les économies et les pays qui sont victimes de l’économie informelle

    Les conséquences de la démesure de cette économie informelle sont gravissimes en n’insistant que sur l’économie non déclarée, celles de l’économie illégale et criminelle étant évidentes.

    • Encouragement de l’invasion migratoire, l’économie informelle constituant une des pompes aspirantes les plus puissantes ;
    • Création de zones économiques autonomes qui posent de plus en plus une question grave de souveraineté économique et administrative ;
    • Travailleurs privés de droits et d’avantages sociaux ;
    • Concurrence déloyale à l’égard des travailleurs nationaux :
    • Manque à gagner pour les comptes de l’Etat et les comptes sociaux ;
    • Concurrence déloyale entre entreprises, bien connue avec le phénomène des travailleurs détachés ;
    • Garanties insuffisantes pour le consommateur ou le client ;
    • Affaiblissement de la morale économique, des valeurs fondamentales de la société et de la confiance dans l’Etat de droit. Il en résulte une tentation d’une partie de la population de quitter l’économie officielle pour l’économie déclarée ;
    • L’économie informelle favorise la délinquance et la criminalité en stimulant la circulation d’argent non déclaré. Elle peut constituer une atteinte à la personne et à la dignité humaine. Le rapport de forces tend à suppléer la règle et à encourager le recours à la violence.

    Jean-Paul Gourévitch, dans le colloque de l’IGP de 2014, a publiquement estimé qu’un pays est en danger si l’économie informelle dépassait un jour le tiers du PIB. La Grèce a été le premier pays à dépasser ce tiers…

     La lutte contre l’économie informelle

    Cette lutte apparaît compliquée par la faiblesse de la justice et le manque de moyens. Il existe également des raisons de choix idéologiques ou politiques et trop souvent une acceptation sociale de pratiques délictuelles comme le travail au noir.

    L’économie souterraine joue également un rôle d’amortisseur social. Une catégorie de la population survit grâce aux petits boulots non déclarés, aux trafics divers, voire à celui de stupéfiants. Il est clair que si l’on arrêtait par une contrainte forte les trafics des banlieues il faudrait s’attendre à des explosions. Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas le faire, mais qu’avec les gouvernants de la trempe de ceux que la France a à sa tête, il est improbable que le fer soit un jour porté dans cette plaie.

    Enfin il existe l’idée que si l’économie informelle venait à disparaître cela pourrait paradoxalement pénaliser la machine économique officielle car les revenus de l’économie informelle alimentent celle-ci.

    Economie criminelle et PIB

    Depuis 2015 une partie de l’économie informelle est incluse dans le calcul du produit intérieur brut (PIB) de l’Italie et du Royaume-Uni.

    Cette mesure n’est pas spécifique à l’Italie ou à la Grande-Bretagne. Le Parlement européen a demandé aux Etats membres de chiffrer les revenus provenant de leur économie souterraine, dans le PIB, et cela dès 2015.

    La raison mise en avant par l’institution européenne serait (ne rions pas) un souci d’équité. A titre d’exemple, la vente de cannabis, légale aux Pays-Bas, dope le PIB du pays par rapport à un autre où ce commerce reste hors-la-loi.

    La prise en compte de l’économie souterraine dans le calcul du PIB français ne semble pas être d’actualité. L’Insee a proclamé qu’elle n’incorporerait pas les activités illégales dans ces estimations, dans la mesure où les circonstances dans lesquelles s’effectuent ces activités (dépendance des consommateurs de stupéfiants, esclavage sexuel dans certains cas) ne permettent pas de considérer que les parties prenantes s’engagent toujours librement dans ces transactions. En revanche l’Insee a accepté d’incorporer la drogue dans le Revenu national brut (RNB) qui sert de base au calcul de la contribution de chaque pays au budget de l’UE.

    Cette démarche d’incorporation de l’économie officielle et criminelle dans le PIB pour des raisons bureaucratiques d’homogénéité statistique et budgétaire constituerait une officialisation et une banalisation des activités économiques de la délinquance. Elle est caractéristique de l’idéologie européiste dont rien ne doit nous surprendre. Que l’UE impose l’augmentation de ses ressources sur la base de la prise en compte de la drogue et de la prostitution apparaît tout à fait symbolique. Un jour ou l’autre une France gouvernée par l’RPS s’y pliera et a d’ailleurs déjà commencé à s’y plier. Il sera de l’honneur d’un gouvernement national de ne pas s’incliner devant cette abjection.

    Conclusion

    Il est évident qu’une économie informelle recouvrant une part importante de trafics illégaux et criminels et représentant à peu près 1/5 du PIB officiel constitue une menace grave pour la souveraineté économique de la France et la stabilité et la pérennité de notre société. Dans l’état actuel des choses elle constitue un énorme cancer au sein de notre pays qui en est peu ou prou prisonnier. Elle doit cependant être combattue avec fermeté, ténacité et efficacité.

    Force est de constater que ce combat n’est pas mené comme il devrait l’être.

    André Posokhow, 25/08/2016

    http://www.polemia.com/leconomie-informelle-un-peril-grave-pour-notre-economie-et-notre-societe/

  • Le TTIP (TAFTA) a un pied dans la tombe, enterrons-le définitivement !

    Hier, le vice chancelier allemand déclarait que les négociations relatives au Traité de libre-échange entre l’Union européenne et les Etats-Unis avaient échoué. Aujourd’hui, après les démentis de la Commission européenne, c’est la France qui, par la voix de son secrétaire d’Etat au commerce extérieur, a demandé l’arrêt des négociations.

    Cette bonne nouvelle ne doit pas faire oublier que les négociations sont menées directement par la Commission européenne et non par les gouvernements français ou allemand, qui lui avaient d’ailleurs donné mandat pour le faire.

    Ce genre de décision est de surcroît fréquent à l’approche des échéances électorales, et ne nous met pas à l’abri d’un revirement comme celui que nous avons connu avec l’adoption du Traité de Lisbonne malgré le référendum de 2005.
La vigilance s’impose donc.

    Nous avons gagné une bataille mais nous n’avons pas gagné la guerre ; le TTIP a un pied dans la tombe et la mobilisation doit se poursuivre jusqu’à ce qu’il soit définitivement enterré.

    L’ACTION FRANÇAISE

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Communique-Le-TTIP-TAFTA-a-un-pied

  • George Soros paye pour influencer les évêques catholiques

    Extrait d'un article de Lifesitenews, traduit par Riposte catholique :

    "Des courriels publiés parWikileaks révèlent que le milliardaire mondialisteGeorge Soros – l’un des donateurs principaux de la campagne d’Hilary Clinton – a donné 650 000 $ dans le but « de faire évoluer les thèmes nationaux et les priorités dans la course à la présidence de 2016 ». Les fonds ont été alloués au printemps 2015 et le rapport sur les résultats suggère que des résultats positifs ont été obtenus, en particulier pour « obtenir l’assentiment individuel d’évêques et leur soutien public et plus ouvert aux thèmes de la justice raciale et de l’économie, de façon à créer une masse critique d’évêques alignés sur les positions du pape ».

    L’argent a été distribué à deux fondations américaines attachées depuis longtemps à modifier « les priorités de l’Église catholique ». Les bénéficiaires sont le PICO National Network, un réseau d’ONG à caractère social [on trouve parmi ses organisations fondatrices : l’Open Society de George Soros et la Fondation Ford, très ouvertement mondialistes – note du traducteur] et Faith in Public Life (FPL), une association progressiste très à gauche travaillant dans les médias pour promouvoir des causes “de gauche”. On sait que Soros finance à travers le monde des associations libérales-libertaires qui travaillent à éliminer les lois “pro life” tout autour du globe.

    Le compte-rendu d’une réunion du bureau de l’Open Society de George Soros, à New York en mai 2015, révèle que, dans le cadre de la préparation du voyage du pape, le groupe avait prévu de travailler avec l’un des principaux conseillers pontificaux, le cardinal Oscar Rodriguez Maradiaga, dont le nom est cité explicitement dans le rapport, de façon à saisir l’opportunité fournie par cette visite aux États-Unis, afin, dit le rapport : « en apportant notre soutien à PICO et à ses activités, de pousser le pape à se prononcer sur les questions d’économie et de justice raciale, y compris en utilisant l’influence du cardinal Rodriguez, proche conseiller du pape, et par l’envoi d’une délégation au Vatican au printemps ou à l’été pour lui permettre d’être mis directement en lien avec les catholiques pauvres d’Amérique ».

    Le cardinal Rodriguez a repris à son compte les positions dePICO dans une vidéo diffusée à l’occasion de la visite dans son diocèse d’une délégation de cette association : « Je soutiens leurs efforts pour promouvoir des communautés de foi, disait-il, … s’il vous plaît, continuez à aider PICO ».

    Un bilan sur l’efficacité de l’investissement sur la visite pontificale a été publié en 2016. Il est intitulé : « Bilan 2015. Fonds occasionnels. » Le groupe Soros semble satisfait du résultat de leur campagne et considère que les déclarations de différents évêques contre les candidats qui « engendrent la peur » – référence explicite au Parti républicain, et probablement plus spécifique à Trump – comme un résultat de leurs efforts. « L’impact de ce travail et les relations qu’il a engendré peut se mesurer au nombre importants de leaders religieux qui ont dénoncé nommément les candidats à la présidentielle ayant « joué sur la peur », dit le rapport.

    Incidemment, le rapport ajoute que la campagne de subventions a aidé à contrer la « rhétorique anti gay dans les médias ». Le rapport affirme également que « l’efficacité de la campagne médiatique peut se mesurer à la rapidité avec laquelle l’équipe a pu réagir et contrer la rhétorique anti gay qui a suivi l’affaire Kim Davis (cette employée municipale du Kentucky qui avait refusé de délivrer des certificats de la mariage à des couples homosexuels) et qui avait rencontré le pape. [...]

    Deux évêques américains sont en pointe dans le combat de Soros pour détourner l’Église catholique de la priorité aux points non négociables : l’évêque de San Diego, Mgr Robert McElroy, qui répète sans arrêt que l’Église doit changer de priorités, avec le soutien du « fils préféré » du pape François, l’archevêque de Chicago, Mgr Blase Cupich. Mgr McElroy a provoqué une bronca à la dernière assemblée des évêques, en novembre dernier, par sa tentative de modification du document destiné à donner des consignes de votes aux catholiques américains.

    Il a en particulier souligné que le document n’était pas dans la ligne des perspectives du pape François – en particulier qu’il mettait trop l’accent sur l’avortement et l’euthanasie, et pas assez sur la pauvreté et l’environnement. Cupich a qualifié ensuite l’intervention de McElroy de « moment fort » de la conférence et appuyé l’idée qu’il fallait mettre sur le même plan l’environnement, la pauvreté globale avec l’avortement et l’euthanasie.

    Le groupe Soros, en concluant son rapport sur le succès de son intervention pour influer sur la visite apostolique, a exprimé sa grande satisfaction sur les résultats. Pour le futur, ils sont très confiants sur leur capacité à faire évoluer les priorités des évêques catholiques aux États-Unis : « Le mouvement est désormais lancé »."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html