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économie et finance - Page 526

  • Patients algériens : l’AP-HP ne veut plus payer ? C’est notre Sécu qui le fera !

    Le transfert pour soins des Algériens, qui ne concernait jusqu’à présent que les salariés actifs et leurs ayants droit, sera élargi à tous les Algériens non assurés sociaux mais détenteurs d’une carte de démuni et nécessitant des soins à l’étranger (environ 30 % de la population).

    La CNAS algérienne (Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés) rejette en bloc les affirmations de la direction de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) qui lui réclame une facture, selon elle totalement fantaisiste et qui ne correspond à rien, de 31 millions d’euros, dont se sont fait l’écho les médias français.

    Elle défie les hôpitaux parisiens d’établir un listing des patients algériens pris en charge dont les factures sont restées impayées.

    Il y a des contentieux, certes, entre les deux parties mais ils sont réellement minimes, affirme la CNAS, qui refuse d’assumer les frais occasionnés par des soins prodigués à des personnes non munies d’engagements de prise en charge délivrés par ses soins avant leur départ.

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  • Gilbert Collard veut que les Français versent 60 M$ au lobby juif américain


    Shoah Business

    Nous avions évoqué le scandaleux racket de la SNCF par le lobby juif américain, qui exigeait pas moins de 60 millions de dollars – pris dans la poche des Français – en « réparations » du « rôle » des trains français dans la déportation de certains juifs américains (non couverts par les programmes français déjà existants) durant l’Occupation…

    Il faudrait d’ailleurs savoir : si le gouvernement de Vichy était une parenthèse illégale (selon la version actuelle du Système) et non pas le prédécesseur légal du gouvernement actuel, pourquoi ce dernier devrait-il payer les dettes du premier ?

    Or, alors même que la plupart des élus Républicains (ex-UMP) s’abstenaient, le député mariniste Gilbert Collard, ultra-sioniste et franc-maçon, a voté le 24 juin en faveur du projet de loi entérinant l’accord entre le gouvernement français et les Etats-Unis concernant le versement de ce pactole au gouvernement américain, qui le gèrera directement.
    Scandaleux…

    Dans le même esprit, le vice-président du FN Louis Aliot, relate sur son blog, en reprenant la logorrhée du Système, que dimanche dernier « à Perpignan, il participait à la cérémonie pour la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’état [sic]  français et d’hommage aux justes de la France. »

    Cet énième journée de « mémoire » résulte d’une loi votée le 10 juillet 2000 par l’Antifrance et fixant au 16 juillet cette nouvelle opération annuelle de repentance et de masochisme français.
    Décidément, la haine du Système contre le Maréchal est tenace : il ne faudrait pas que les Français viennent à regretter sa salutaire politique de « Révolution nationale ».

    Louis Aliot dénonçait les « passéistes » (pétainistes et autres) qui étaient encore nombreux au FN il y a quelques années, mais l’on voit, comme d’habitude, qu’il y a en réalité le bon passéisme (validé ou promu par le Système) et le mauvais passéisme (dénoncé par les médias).

    http://www.contre-info.com/

  • 29 juillet : retenez bien cette date

    IndexCette année la libération fiscale des Français, c'est à dire le jour à partir duquel ils travailleront pour eux et non plus pour financer la puissance publiqueinterviendra le 29 juillet. C'est un jour plus tard qu'en 2014,selon le rapport de l'Institut économique Molinari. En Europe, seuls les Belges encore plus mal lotis, avec une «libération fiscale» qui intervient le 6 août.

    L'indicateur de «libération fiscale» mesure le poids des impôts (impôt sur le revenu, TVA) et des charges sociales (cotisations patronales et salariales, CSG-CRDS) pour les seuls actifs. Un poids qui atteint 57,5 % du salaire en France contre 45,1 % dans l'Union européenne.

    Michel Janva

  • Progression des impôts locaux d'ici à 2017

    «Il n'y aura pas de hausse de quelque impôt que ce soit» d'ici à 2017, a promis, une fois de plus, François Hollande lors de son interview du 14 juillet.

    Mais Bercy prévoit une progression des impôts locaux d'ici à 2017 ainsi qu'une montée en puissance de la contribution climat énergie, dite taxe carbone, qui devrait peser 4 milliards en 2016.

    Bref : 74 milliards d'euros de hausse d'impôts et de charges en trois ans. Qu'est-ce que ce serait si les impôts devaient augmenter ?

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les tarifs de l'énergie bientôt bouleversés ?

    Augmentation de la taxe carbone, réforme de la taxe qui finance les énergies renouvelables,... Les tarifs des énergies, électricité, gaz et carburants pourraient connaître d'importantes évolutions lors de la prochaine loi de finances 2016.

    Un scénario se dessine avec la baisse de l'électricité compensée par une hausse des prix du gaz et des carburants.

    La CSPE mieux répartie ? Selon le JDD, le «gouvernement envisage une réforme de la taxe qui finances les énergies renouvelables et les tarifs sociaux pour les plus modestes», appelée Contribution aux charges de service public de l'électricité (CSPE). Cette taxe, prélevée sur la facture des plus de 30 millions de Français abonnés à l'électricité, représente près de 15% de leur facture et augmente d'environ 2,5% par an. Elle vient s'ajouter aux hausses programmées comme celle de 2,5 % à partir du 1er août. Pour le gouvernement, l'objectif serait d'élargir le champ de cette taxe aux autres énergies carbonées comme le gaz et l'essence.

    Deux options seraient étudiées : la première consiste à répartir cette taxe entre le gaz et l'électricité. Selon le principe du vase communicant, la facture d'électricité pourrait alors baisser de 7% mais les usagers du gaz pourraient être mis sérieusement à contribution car ils ne sont que 10 millions.

    L'autre piste serait d'étaler cette taxe entre l'électricité, le gaz et les carburants. Là, cela permettrait de diminuer la facture d'électricité de 10%, de modérer la hausse des prix du gaz et d'augmenter significativement la facture des carburants. Alors que le litre du Super 95 est déjà taxé à 61,9% et le litre de gazole à 56,2%, les automobilistes verraient immédiatement leur facture augmenter avec cette nouvelle contribution. Actuellement, selon le site Carbeo, le prix du litre de gazole est en moyenne de 1,176 euro et celui du Super 95 à 1,43 euro par litre. Le gouvernement mise sur la poursuite de la baisse des cours du pétrole pour faire passer cette réforme. Il est vrai que sur un an, le prix du litre de gazole a perdu 13 centimes et 9,2 centimes pour le Super.

    Le quadruplement de la «taxe carbone». Sauf qu'une autre taxe risque de peser encore plus lourdement sur le prix des carburants. L'Assemblée nationale vient de voter le principe du quadruplement, d'ici 2030, de la Contribution climat énergie ou «taxe carbone». L'an prochain, elle devrait déjà passer de 14,50 euros la tonne de CO2 à 22 euros. Alors qu'actuellement elle représente 4 centimes par litre pour le gazole et 3,4 centimes par litre pour le Super, elle grimpera de 2 centimes pour le diesel et de 1,7 centime pour l'essence. La «taxe carbone» passer ensuite à 56 euros la tonne en 2022, synonyme d’une hausse de 9 centimes par litre pour le diesel et de 7 centimes pour l'essence. Avant une hausse à 100 euros la tonne en 2030... Faire le plein de sa voiture pourrait alors devenir un véritable luxe.

    Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFZApluykpzEyzkPL.shtml

  • Balkany part en croisade contre les privilèges de la presse et des journalistes

     

    Source : Ojim.fr Bien connu pour ses relations tendues avec les médias et les journalistes, Patrick Balkany vient de déposer trois propositions de loi visant à réduire les privilèges de la profession journalistique.

    Ainsi, comme indiqué dans le Journal officiel du jeudi 23 juillet, la première d’entre elles vise à supprimer « l’avantage fiscal dont bénéficient les journalistes dans le calcul de leur impôt sur le revenu », la deuxième vise à supprimer les aides à la presse écrite, ce qui se justifie par « l’état de nos finances publiques », et la troisième plaide en faveur de « la privatisation de l’audiovisuel public ».

    Concernant l’avantage fiscal, Patrick Balkany dénonce un « privilège qui ne se justifie plus aujourd’hui, continue de perdurer, créant ainsi des situations inégalitaires qu’il faut corriger ».

    Pour le maire de Levallois-Perret, la presse est « un secteur sous perfusion d’argent public qui peine à se réorganiser et à opérer sa transition numérique ». De plus, « ces mêmes journaux qui, régulièrement, dénoncent la gabegie financière de l’État, nous prédisent une banqueroute prochaine si les politiques ne se ressaisissent pas, fustigent la mauvaise gestion financière des collectivités locales, là encore trop dépensière. Cette presse semble oublier – ou tout du moins feint d’oublier – qu’elle coûte aux Français, qu’ils soient ou non lecteurs, plusieurs centaines de millions d’euros chaque année ».

    Enfin, à propos de la privatisation du service public, il déclare : « Alors que notre pays est dans une situation économique difficile, qu’il nous faut réaliser des économies budgétaires drastiques et que les Français croulent sous les impôts et les taxes, on peut s’interroger sur la pertinence de conserver, au regard des montants engagés chaque année, les groupes généralistes du secteur audiovisuel public: France Télévisions et Radio France. » Et celui-ci de souligner le « manque d’objectivité et la partialité évidente de certains programmes diffusés sur ces chaînes publiques ».

    La guerre entre certains médias et l’homme politique n’est pas prête de s’arrêter…

    http://fr.novopress.info/

  • Après un an d’absence, la « Troïka » revient en Grèce

    Des représentants des créanciers de la Grèce, UE et FMI, entameront lundi à Athènes les discussions avec les autorités grecques sur un nouveau prêt au pays.

     

    Les équipes techniques des créanciers de la Grèce (UE, BCE et FMI) doivent commencer à arriver à Athènes ce week-end mais les chefs de mission n’arriveront que d’ici à jeudi, a déclaré samedi soir une source du ministère grec des Finances. Les discussions débuteront dès lundi entre les équipes techniques et des responsables grecs pour finaliser l’accord sur un nouveau prêt international au pays, a indiqué de son côté un porte-parole du FMI. Les chefs de mission des créanciers « seront en retard d’un ou deux jours », ils seront à Athènes d’ici à jeudi, a précisé cette source.

    Quelques heures auparavant, la même source avait indiqué à l’AFP que Declan Costello, de la Commission européenne, Rasmus Rüffer, de la Banque centrale européenne (BCE), Delia Velculescu, du Fonds monétaire internationale (FMI), et Nicola Giammarioli, responsable du Mécanisme européen de stabilité (MES), se rendraient à Athènes ce week-end. « Le retard des chefs de mission est dû à des raisons techniques et non pas à des raisons politiques ou diplomatiques », a expliqué cette source qui n’a pas donné plus d’information sur les lieux de ces rencontres.

    Samedi matin, un porte-parole de la Commission n’a pas voulu confirmer la date exacte de l’arrivée des représentants des créanciers à Athènes, indiquant juste qu’ils s’y rendraient dans « les prochains jours ». [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Apres-un-an-d-absence-la-Troika

  • L'échec programmé de la loi Duflot-Hollande

    L'entrée en vigueur des dispositions encadrant les loyers le 1er août s'annonce dès maintenant pour plutôt catastrophique.

    Au gré d'un dispositif fort compliqué en effet cette nouvelle politique de "l'encadrement" va, non seulement ne pas enrayer, mais plutôt contribuer au renchérissement des loyers, conséquence du déficit de production, construction ou aménagement de maison et d'appartements.

    Plus de 16 mois après son départ du gouvernement il s'agit d'un legs de Mme Duflot. Celle-ci a été, dans les deux gouvernements de Jean-Marc Ayrault, donc jusqu'au 31 mars 2014, Ministre du logement et de "l'égalité des territoires". Cette appellation plutôt grotesque s'apparente à celle du "Redressement industriel" attribuée à Montebourg. Elle dure encore. Nommée le 16 mai 2012, la dirigeante écologiste avait immédiatement affirmé sa doctrine : le blocage des loyers "à la relocation". C'est dès le 4 juin dans Libération, qu'elle présentait sa décision : "Il s'agit d'une disposition d'urgence pour répondre à la crise du logement qui pèse sur les ménages".

    En réalité cette "mesure" comme la plupart des initiatives sur lesquelles les politiciens "communiquent" ne sont pas autre chose que de vieux dossiers traînant dans les cartons de leurs administrations. La réactivation d'un vieux dispositif remontant à 1989 était dans les tuyaux.

    Ainsi fera-t-elle voter une loi kilométrique dite "Alur", - "pour l'accès au logement et un urbanisme rénové". Ce texte se propose (Titre Ier) de "favoriser l'accès de tous à un logement digne et abordable". Il sera promulgué par Hollande et publié au Journal officiel le 24 mars 2014, puis aggravé par la loi Alur-2015 de Sylvia Pinel, ministre "radicale de gauche" qui lui a succédé le 2 avril — l'ensemble alourdissant encore la réglementation, afin de "réguler les dysfonctionnements du marché" avec pour effet de pénaliser l'offre de logements : faut-il s'étonner des conséquences ?

    Il ne faut donc pas croire que la gauche au pouvoir ne dispose plus, en vue de sa réélection, que de la possibilité de faire voter des lois que l'on appelle désormais "mémorielles" ou "sociétales".

    Cette gauche "pas chère" s'en prendrait en effet, sans difficulté, à des symboles, voire à ce qu'on dénomme également du mot incertain de "valeurs" : ainsi de la loi Taubira instituant ce que ses promoteurs désignent comme "le mariage pour tous". Si cette transformation considérable a remué les consciences de millions de Français, généralement peu sensibles aux sirènes de la gauche, si elle en a fait descendre dans la rue des centaines de milliers, elle n'a pas sensiblement modifié les déséquilibres monétaires calculés à partir des règles de l'Eurozone. Et cela seul expliquerait que le gros roublard Hollande se soit engouffré dans cette brèche.

    Hélas cette analyse ne résiste pas aux faits.

    Certes, sur ce terrain, comme sur un certain nombre d'autres, par exemple les discours culpabilisateurs à sens unique sur la case de l'oncle Dom-Tom, sordide ficelle électorale qui ne trompe même pas les intéressés, ou les voyages en Algérie, etc. aucun compte n'est à rendre dans les réunions de la zone euro.

    Le propos reste encore et toujours la destruction sociale et culturelle.

    Car, non seulement tout cela contribue à dissoudre le lien social et national, non seulement cela aggrave encore les campagnes de haine de la France et des Français qui nourrissent le terrorisme, ce qui n'est pas rien… mais il faut se rendre aussi à une autre évidence.

    Hollande et ses ministres, depuis 2012, s'ils passent pour avoir été incapables de mener à bien les vraies réformes dont le pays a besoin, ont mis en place des aggravations, des contraintes, des carcans, des charges, des interventions qui ruinent encore plus la France et les Français, entravent leur prospérité et empêchent leur redressement.

    On ne saurait oublier par conséquent que depuis 2012 ont été mises en place des législations nouvelles dont les promoteurs se croient en droit de revendiquer le caractère de "réforme".

    Du chamboulement des programmes scolaires par Mme Vallaud-Belkacem, au retour 15 ans en arrière du monopole ferroviaire pour complaire à M. Pépy et, en partie, à la CGT, les dégâts collatéraux des pseudo-réformes inutiles ou dommageables de M. Hollande se révèlent ainsi probablement aussi redoutables que sa mollesse à accomplir celles qui seraient nécessaires.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • Crise des éleveurs : les agriculteurs maintiennent la pression

    Malgré les accords trouvés ces derniers jours, les éleveurs sont restés mobilisés dans plusieurs régions de France. Près de neuf Français sur dix approuvent leur mouvement de contestation, tandis que 81% d’entre eux se disent prêts à payer plus cher pour acheter de la viande et du lait français.

     

    La crise des éleveurs aura eu pour grand intérêt de faire prendre conscience à l’opinion publique et aux responsables politiques de la gravité de la situation. Selon un sondage BVA-Orange-iTELE publié vendredi, les Français soutiennent les agriculteurs : près de neuf Français sur dix (88%) approuvent le mouvement de contestation des éleveurs français, mobilisés depuis plusieurs jours pour protester contre la faiblesse des prix de la viande et du lait. Et ils se disent prêts à les aider : 81% des personnes interrogées se déclarent également « prêtes à faire un effort financier » pour privilégier le lait et la viande français. En revanche, ils ne font pas confiance (78%) au gouvernement en place pour améliorer leur situation.

    Cette crise n’est d’ailleurs pas terminée. Péages gratuits et opérations escargot sur autoroute, vérification de la provenance des viandes dans de nombreux supermarchés.... Malgré une série de réunions d’urgence et d’accords cette semaine pour relever le prix du boeuf, du porc et du lait, les éleveurs sont restés mobilisés ce samedi dans plusieurs régions de France. Ils disent vouloir vérifier que les promesses seront tenues ou jugent les résultats insuffisants.

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Crise-des-eleveurs-les