Les Pays-Bas ne peuvent pas gérer le nombre élevé de migrants. Les centres d’accueil pour demandeurs d’asile sont surpeuplés, les procédures sont trop longues et les coûts montent en flèche. En outre, l’afflux continu de demandeurs d’asile entraîne des problèmes dans les domaines du logement public, des soins de santé et de l’éducation.
Europe et Union européenne - Page 22
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Les Pays-Bas dévoilent leurs mesures pour freiner l’immigration et annoncent qu’ils souhaitent se retirer de la politique européenne d’asile et de migration.
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Macron/Le Maire : les fossoyeurs enfin séparés - JT du jeudi 12 septembre 2024
A la une de cette édition, Bruno Le Maire s’en va et laisse une économie en lambeaux. La pauvreté, elle, aura bien progressé durant le septennat du dilaté de Bercy.
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« L’Europe organise la pénurie de véhicules à partir de 2025 et les conséquences seront catastrophiques ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Les technocrates et autres planificateurs de salon, depuis la nuit des temps, de la Chine de Mao, à l’URSS de Staline en passant par l’Union Européenne de Von der Leyen raisonnent toujours de la même manière.
Ils partent du résultat qu’ils veulent obtenir et pensent pouvoir tordre la réalité pour la faire rentrer de force dans leur fiction imaginaire.
Ils veulent rééduquer les gens. Ils veulent les forcer à vivre comme ils imaginent qu’il faut que nous vivions sans aucune considération particulière pour la… réalité.
Quand on ignore la réalité, et même si cela met 70 ans, inévitablement, invariablement elle vous rattrape.
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Immigration : En Allemagne, confronté au réel, Scholz adopte une réforme similaire aux propositions du RN
Le chancelier allemand Olaf Scholz a pris une décision qui, dans les faits, reprend une proposition clé de Jordan Bardella, président du RN : la réintroduction des contrôles aux frontières de l’Allemagne, une idée proche de la « double frontière » défendue par le président du Rassemblement National lors des élections européennes. Ce choix marque une nouvelle étape dans la déliquescence de l’espace Schengen, qui semble vivre ses derniers instants. En invoquant une « menace grave à l’ordre public », l’Allemagne suit les règles européennes tout en portant un coup fatal à la libre circulation en Europe. La Commission européenne, souvent prompte à défendre l’ouverture des frontières, n’a pour l’instant pas réagi. Bien que ces contrôles soient censés être temporaires, ils pourront être renouvelés, entérinant ainsi une forme de souveraineté que de nombreux pays européens réclament.
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« Nous n’avons pas de temps à perdre avec des débats sur la théorie du genre »
Mercredi dernier, la commissaire européenne aux affaires intérieures, Ylva Johansson, a présenté sa proposition de révision de la directive de 2011 visant à lutter contre la maltraitance des enfants en ligne à la commission de la justice et des affaires intérieures (LIBE) du Parlement européen.
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Rapport Draghi : l’incroyable aveu
Mario Draghi tire la sonnette d’alarme. Dans un rapport en anglais de 66 pages, l’ancien président du Conseil des ministres d’Italie et ancien président de la Banque centrale européenne ramène le rêve européen à la réalité : un pathétique naufrage.
Ce rapport est un pavé lancé dans l’océan de la doxa européiste imposée depuis des décennies. Dès l’introduction, Draghi pulvérise les pudeurs françaises sur les échecs de l’Europe de Bruxelles : « L’Europe s’inquiète du ralentissement de la croissance depuis le début de ce siècle », écrit le « sauveur de l’euro ». Il constate qu’on a tout tenté « pour stimuler la croissance » mais que « la tendance est restée inchangée ». Faiblesse et impuissance.
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L’obstacle Von-der-Leyen
Après les élections européennes et la constitution d’un nouveau Parlement, une nouvelle Commission, pivot central de la machine européenne, est en cours de composition. Elle est dotée de pouvoirs fédéraux dans le domaine du commerce, de la concurrence et du marché intérieur et bénéficie du monopole de l’initiative législative. On pourrait donc attendre de ces nouvelles entités, au minimum, une inflexion de la politique menée jusqu’à présent et contre laquelle les peuples européens ont exprimé une forme de défiance. Il reste que la très controversée présidente de la Commission, Ursula Von-der-Leyen, va rester. Mise là timidement, certains disent même par défaut, en 2019, elle a été reconduite, contre toute attente, sans véritable débat, mais avec tout de même une majorité de 41 voix.
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Ukraine : pour Scholz, il est temps de sortir de la guerre
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Le retour des frontières signe l’échec des immigrationnistes
La révolte des peuples maltraités sonne la fin des idéologues déjantés. Une même colère existentielle annonce, aux Etats-Unis comme en Europe, le retour aux frontières protectrices. C’est le rejet des élites déracinées qui pousse Donald Trump vers la victoire contre Kamala Harris, qui a néanmoins réussi son débat de cette nuit. La France, dont le gouvernement de Michel Barnier sera mis sous la surveillance de l’indésirable RN, n’échappe pas à cette révolution conduite par les parias d’hier. L’hypothèse d’un ministère de l’immigration a été évoquée dès mardi.
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« Michel Barnier ? La tutelle discrète de Bruxelles et la confiance qui repart ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Michel Barnier ? Je ne suis ni pour ni contre. Bien au contraire ! Ce n’est pas le sujet dans une analyse aussi objective que possible.
A ce stade, il y a mon sens 3 choses importantes.