
«Trump n’est absolument pas digne de confiance et les Américains sont incapables de respecter un accord. Peu importe l’accord que vous signez avec eux, il ne vaut même pas le papier sur lequel il est écrit».
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«Trump n’est absolument pas digne de confiance et les Américains sont incapables de respecter un accord. Peu importe l’accord que vous signez avec eux, il ne vaut même pas le papier sur lequel il est écrit».
Dans une récente décision (452850), le Conseil d’État a fait droit à une requête de l’association Mousse, qui contestait à la SNCF le droit de demander sur sa plate-forme en ligne la civilité de ses clients (« Madame », « Monsieur »). Ladite association se définit ainsi : « Mousse, ce sont des super héros en slip vert qui utilisent des moyens juridiques pour faire avancer les droits LGBTQI + ».
Même une partie des défenseurs habituels de l’UE a exprimé sa sidération face à l’accord signé par Ursula von der Leyen avec Donald Trump. Il faut dire que c’est une reddition en rase campagne : l’UE cède à toutes les demandes des USA. L’alliance européenne ne nous a donné aucune prise dans la négociation, affaiblissant notre main, au lieu de nous aider à peser. Voilà qui en dit long sur l’UE.
par Serge Van Cutsem
«On ferme des productions locales au nom du climat, puis on importe de beaucoup plus loin avec plus de pollution et moins de garanties de qualité ce qu’on peut produire ici. D’Ibbenbüren au MERCOSUR, des fermes françaises aux cargos de bœuf et de produits laitiers, se dessine une écologie à deux vitesses : restrictive pour les citoyens, et profitable pour les multinationales. Derrière les discours «verts» il y a un sabotage méthodique du bon sens».
Dans l’épisode précédent, j’ai détaillé l’histoire du charbon Ibbenbüren, cette petite ville allemande devenue symbole mondial de l’absurde climatique avec la fermeture de sa mine automatisée, rentable et située à côté d’une centrale, ceci au nom de l’écologisme, et j’insiste sur le suffixe «isme» qui fait toute ma différence. Cette même centrale qui a continué de tourner durant plus de 3 ans en brûlant du charbon importé d’outre-mer (Russie, Colombie, USA, puis Australie, Afrique du Sud, Indonésie après 2022).
Pourquoi l’Alaska ? Parce que cet Etat, vendu par les Russes aux Américains en 1867, est proche de la Russie et parce que les États-Unis ne reconnaissent pas la juridiction de la Cour pénale internationale (CPI), qui a lancé un mandat d’arrêt international contre Poutine suite à l’invasion russe de l’Ukraine.
Il y a un postulat incontournable que les Européens évacuent bien naïvement : Poutine ne rendra jamais les cinq régions que son armée a conquises au prix de lourds sacrifices, contre une coalition de 50 nations russophobes. Ce n’est donc pas aux vaincus, Ukraine et Otan, d’imposer leurs conditions de paix au vainqueur.
par Pino Cabras
Source: https://www.sinistrainrete.info/articoli-brevi/31010-pino...
Qui sème la guerre récolte la vassalité. Trois jours, trois gifles. Une Union européenne à genoux devant le monde, incapable de relever la tête, bonne seulement à servir les intérêts américains et à opprimer ses propres citoyens
Que reste-t-il du « rêve européen » ? Rien. Si ce n'est une gigantesque machine technocratique qui détruit l'économie, humilie les nations et impose un carcan de censure, de taxes et désormais de guerre permanente.
Le lien entre immigration et criminalité est, une fois de plus, mis en lumière en Italie. Matteo Piantedosi, ministre de l’Intérieur, a affirmé que des migrants mineurs (ou se présentant comme tels) débarquent à Lampedusa avec une note leur demandant de rejoindre des points de deal à Rome.
La menace russe ?
Dans le discours occidental dominant, la Russie est dépeinte comme une menace militaire imminente, prête à envahir l'Europe et à déstabiliser l'ordre mondial.
Mais soyons réalistes : cette "menace" mérite un gros LOL. Derrière les alarmes sur les tanks russes et les missiles hypersoniques se cache une réalité bien plus prosaïque et économique.
L’Europe doute de pouvoir respecter l’entente et transmettre à l’Ukraine ses propres systèmes de missiles antiaériens Patriot en échange de livraisons de nouveaux systèmes par les États-Unis. Elle craint que cela puisse prendre de deux à sept ans.
En mode d’attente
Près d’un mois après avoir conclu un accord sur la livraison par les Européens à Kiev de leurs propres systèmes Patriot et d’autres armements en échange de l’achat de nouvelles armes aux États-Unis, les perspectives de sa réalisation sont très incertaines.