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On peut tortiller les choses de mille et une façon mais à la fin, la réalité reste là, impérieuse aux gesticulations et l’évidence s’impose : l’Union Européenne, c’est d’abord et avant tout l’Allemagne.
Ce n’est pas trop étonnant : la plus grosse économie européenne dicte en effet la plupart des politiques de l’Union. Cela lui a relativement bien servi, surtout lorsque la rigueur allemande a contrebalancé les prurits dépensiers de la France, par exemple, mais ce n’est plus le cas depuis quelques années…
Les partis allemands — les conservateurs de Friedrich Merz et le SPD de Lars Klingbeil — négocient actuellement la formation d’une coalition
Roumanie, Moldavie, France, maintenant Hongrie : après Georgescu, Le Pen, c’est au tour d’Orban d’être, à nouveau, dans l’œil de l’Union Européenne. Il faut punir Orban est le mot d’ordre bruxellois.
« Il faut régler le problème Orban »
L’UE fait face au Premier ministre hongrois : « Il faut régler le problème Orban » est le mot d’ordre de von der Leyen & Co. Le nouveau chancelier allemand, ancien de Black Rock, sera l’agent batailleur.
La bagarre sur la suppression des zones à faibles émissions illustre à merveille le processus à cliquets de la machine européenne dont la fonction principale ces dernières années est celui de la contrainte maximum, par la norme, des populations européennes, jusqu’à l’établissement d’une forme de codage permanent des comportements tenant de la dictature rouge/verte. Ces zones rappelons le, sous couvert de tri des voitures polluantes, sont en réalité un tri des populations avec deux objectifs, l’un de gentrification des hypercentres urbains, qui vont rester à ceux qui ont les moyens de se payer une voiture, laquelle a pris en moyenne 12 000 euros d’augmentation sur les dix dernières années. L’autre de rejet des populations moyennes dans les zones périurbaines, avec obligation de mixité sociale, en réalité mixité ethnique et rationnement de la place, le tout aux titres écologiques, celui du carbone et l’autre des espaces naturels préservés. Sauf que le carbone n’a jamais été un polluant et en plus, les particules issues des pneus et des freins sont au moins aussi nombreuses que celles des pots d’échappement, quelles que soit le mode de propulsion. Les premières conclusions ne montrent en plus pas d’améliorations très significatives dans les zones déjà mises en place.
«La cause fondamentale du problème est que dans le monde moderne, les stupides sont sûrs d’eux tandis que les intelligents sont pleins de doute» ~ Bertrand Russel
«L’intelligence d’un individu se mesure à la quantité d’incertitudes qu’il est capable de supporter». Kant, «Critique de la raison pure»
Philosofrite : Pourquoi les gens stupides ne doutent jamais d’eux-mêmes ? Découvrez l’effet Dunning-Kruger
Les personnes incompétentes manquent souvent de la compétence nécessaire pour reconnaître leur propre incompétence. Elles n’ont pas assez de connaissances pour comprendre ce qui leur échappe.
Au programme de cette édition, nous revenons sur cette incursion des juges dans la vie politique française. La condamnation de Marine Le Pen sidère bien au-delà des rangs du Rassemblement National qui se voit privé de sa candidate pour la prochaine présidentielle. Le député européen Virginie Joron nous livrera ses inquiétudes face à ces procédés de plus en plus fréquents au sein des institutions bruxelloises.
Le gouvernement de centre-droit finlandais souhaite prolonger jusqu’à la fin de l’année 2026 une loi lui permettant de refouler les migrants en situation irrégulière à sa frontière avec la Russie.
La France et le Royaume-Uni mènent la barque pour soutenir l’Ukraine.
Des dizaines de dirigeants européens, poussés par l’angoisse d’une Amérique dirigée par le président Trump dont ils craignent qu’on ne puisse plus compter sur lui comme l’allié inestimable qu’elle a été pendant trois générations, se sont réunis jeudi 27 mars 2025 à Paris pour délibérer sur l’intensification du soutien militaire à l’Ukraine et sur la sécurité du continent en général face à l’agression russe.
Depuis plusieurs siècles, l'Occident a exercé une influence considérable sur la scène mondiale, façonnant l'histoire par ses avancées scientifiques, son expansion économique et militaire, ainsi que par la promotion d'un universalisme politique ancré dans les droits et la démocratie. Cependant, cette position dominante est aujourd'hui remise en question par une érosion de la souveraineté des États, une recomposition des rapports de forces géopolitiques, l'ascension de nouveaux régimes, le renouveau d'anciennes puissances et des fragilités économiques grandissantes. L'idée même de l'hégémonie occidentale vacille, ébranlée par des interrogations profondes sur ses propres valeurs et son rôle dans le monde.
À quelques jours de la publication de l’ouvrage de François Bousquet sur ce grand tabou de l’époque qu’est le racisme anti-blanc, on apprend, via quelques lignes dans de rares médias, qu’une polémique en lien avec ce sujet agite actuellement le monde juridico-politique au Royaume-Uni. La cause de celle-ci : les « recommandations » du « Sentencing Council »1 suggérant que « les juges demandent désormais un rapport complémentaire pour les condamnés issus de minorités ethniques, culturelles, religieuses ou présentant des caractéristiques particulières ». Derrière cette formulation administrative, une scandaleuse réalité : la rupture avec le principe d’égalité devant la loi et l’instauration d’une justice à deux vitesses au détriment de la population autochtone (encore) majoritaire.
Loin de se réjouir de la stupidité de ceux qui se veulent leur adversaire, ce vice-premier ministre le déplore en particulier en ce qui concerne l’Allemagne et il tente de les convaincre qu’il est regrettable de briser une telle complémentarité… Cela dit puisqu’ils veulent négocier sous la contrainte peut-être vaut-il mieux négocier avec un adversaire qui s’est affaibli lui-même…
Danielle Bleitrach
La désindustrialisation de l’UE n’est pas la pire option pour nous, mais à qui vendrons-nous notre gaz ?
L’Europe connaît une désindustrialisation, mais la Russie ne s’en réjouit pas, car elle entretient traditionnellement des relations mutuellement bénéfiques avec l’Europe, a déclaré le vice-Premier ministre russe Alexei Overchuk.