Dans son obsession à faire taire le peuple, l’oligarchie européiste creuse sa tombe. Les Roumains, en portant hier soir George Simion spectaculairement en tête du premier tour de la présidentielle (plus de 40% des voix), ont refusé les intimidations morales d’une Union européenne supranationale. Sous son influence la Cour constitutionnelle roumaine avait invalidé discrétionnairement, le 6 décembre, la victoire au premier tour (23%) du souverainiste Calin Georgescu, qualifié d’extrême droite et de pro-Poutine par les censeurs. Simion a fait campagne en refusant de participer aux débats du système médiatique. Cette insurrection électorale reste à confirmer le 18 mai. Cependant, elle intervient alors qu’en Allemagne le renseignement intérieur a, vendredi, qualifié Atlernative für Deutschland (afD), deuxième parti politique du pays, de mouvement « extrémiste de droite confirmé ». Il lui est reproché son opposition à l’immigration musulmane.
Europe et Union européenne - Page 20
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Roumanie : leçon française d’une insurrection électorale
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Roumanie : la vengeance des peuples contre les euro-mondialistes ? - JT du lundi 5 mai 2025
Pour commencer cette édition, nous partirons en Roumanie où les euro-mondialistes ont reçu une gifle monumentale lors de la nouvelle élection présidentielle. Le candidat soutenu par Calin Georgescu, George Simion, est arrivé en tête au premier tour avec 40% des suffrages.
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Notre seule menace existentielle…
par François Marcilhac
Les fédéralistes européens pensent assister à un véritable alignement des planètes : un Donald Trump erratique qui afficherait la volonté d’un retrait américain de l’Europe, un Poutine toujours plus dangereux que ce même retrait américain et une paix bâclée (par les États-Unis) avec l’Ukraine rendraient toujours plus arrogant, la Russie devenant une « menace existentielle » pour l’ensemble du continent européen, la prise de conscience subséquente par les États de l’Union européenne de la nécessité de se prendre en main au plan de leur défense, pour faire face à cette « menace existentielle », une Commission européenne, enfin, prête à des révisions déchirantes en matière tant militaire que budgétaire, afin de donner un peu de corps à cet ectoplasme qu’a été jusqu’à présent la défense européenne — nous pensons évidemment au vrai-faux plan de 800 milliards, dont 150 milliards de prêts, présenté le 4 mars par Ursula von der Leyendestiné à renforcer ladite défense européenne et à soutenir l’Ukraine : « L’avenir d’une Ukraine libre et souveraine, d’une Europe en sécurité et prospère, est en jeu », a-t-elle alors assuré. Annonçant aussi sa volonté d’encourager les États membres à dépenser plus pour leur défense, sans souci du respect des règles budgétaires qui les obligent à limiter leur déficit public à 3% de leur produit intérieur brut : « Cela permettra aux États membres d’augmenter de manière significative leurs dépenses de défense sans déclencher la procédure de déficit excessif », a-t-elle déclaré.
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Royaume-Uni. Une ministre travailliste minimise le scandale des Grooming Gangs puis s’excuse…à demi mots…
Une déclaration glaçante, une indignation légitime. Lucy Powell, ministre du gouvernement travailliste britannique, est sous le feu des critiques depuis sa sortie polémique lors d’une émission diffusée le 2 mai sur la BBC Radio 4. Interpellée sur les scandales des Grooming Gangs commis par des groupes d’hommes majoritairement d’origine pakistanaise en Angleterre, elle a répondu par l’ironie et le mépris, provoquant la colère des victimes et de leurs familles.
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Roumanie : le candidat nationaliste arrive en tête ! Vers un nouveau coup d’État des juges ?
Le candidat nationaliste George Simion est arrivé en tête du premier tour de l’élection présidentielle roumaine avec plus de 30 % des voix, tandis que les scores des deux candidats de la coalition pro-occidentale, Crin Antonescu et l’indépendant Nicușor Dan, tous deux légèrement au-dessus de 20 %, sont encore trop serrés pour désigner le second à l’heure où nous écrivons ces lignes. Simion fait mieux que Calin Georgescu qui avait réalisé 23 % des suffrages en novembre 2024 et était donné favori pour le second tour.
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Royaume-Uni. Nigel Farage et Reform UK bouleversent le paysage politique lors des élections locales
Les élections locales britanniques de mai 2025 ont marqué un tournant majeur dans la politique anglaise : le parti Reform UK, dirigé par Nigel Farage, a réalisé une percée spectaculaire, bousculant l’équilibre historique entre travaillistes et conservateurs.
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La bataille de l’énergie
Le président Georges Pompidou était un homme sage et surtout de bon sens, tout sentiment qui échappera à ses successeurs. Pompidou est ce président qui, à la suite de De Gaulle, a industrialisé la France. Et pour se faire, il avait pour conseiller un certain Ambroise Roux, puissant patron de la CGE. Pompidou n’hésitait pas à suivre ses avis avisés. Depuis cette date, nos gouvernants ont fait tout et n’importe quoi, laissant ces imbéciles d’énarques de Bercy prendre de malheureuses initiatives.
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Le retour de Nigel Farage
Une élection partielle du nord de l’Angleterre a été remportée par Reform UK, le parti dirigé par Nigel Farage, champion du Brexit. Il s’agit d’un revers important pour le parti travailliste au pouvoir et notamment le Premier ministre Keir Starmer.
Nigel Farage, qui a fait campagne sur la lutte contre l’immigration irrégulière, souligne :
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Un vent de Liberté soufle sur le Royaume Uni
Hier, se déroulaient outre Manche des élections équivalentes à nos élections municipales en France. Les premiers résultats sont là, ils indiquent une poussée spectaculaire du parti national anglais Réform UK de Nigel Farage (cf. tableau ci-dessus). Il s'agit d'un véritable camouflé pour les partis moribonds du Système qui s'écroulent totalement.
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L’UE, c’est l’impuissance et l’appauvrissement #Frexit
« Faire l’Europe, c’est faire le poids » : c’était la promesse du PS en 1992. Encore une promesse qui n’a pas été tenue… C’est l’exact inverse que démontrent les dernières semaines, secouées par les initiatives brutales de Donald Trump. L’UE est ignorée dans les négociations sur l’Ukraine, et réagit de manière dérisoire aux conflits commerciaux. L’UE, c’est la paralysie et l’effondrement économique.