
DR
L’un des plus célèbres penseurs politiques américains, théoricien de la “fin de l’Histoire”, Francis Fukuyama, le politologue de 68 ans et professeur à l’Université de Stanford, était en Grèce pour une Table ronde organisée par The Economist.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
DR
L’un des plus célèbres penseurs politiques américains, théoricien de la “fin de l’Histoire”, Francis Fukuyama, le politologue de 68 ans et professeur à l’Université de Stanford, était en Grèce pour une Table ronde organisée par The Economist.
Le 15 juin 1389 est une date fondamentale dans l'histoire de la Serbie. Lors de la bataille dite « du Champ des Merles », l'aristocratie locale est saignée à blanc au cours de ce paroxysme du vaste affrontement qui voit s’opposer depuis des décennies les chrétiens des Balkans à l’avancée de l’islam.
L’équilibre de l’Europe orientale, région dominée pendant plusieurs siècles par la puissance byzantine, se voit soudainement bouleversé par l’apparition des tribus turques à la fin du XIe siècle. En 1071 à la bataille de Manzikert, ces populations nomades issues de la steppe asiatique, récemment converties à l’islam sunnite, infligent une sévère défaite aux Grecs. Vaincus, les Byzantins doivent quitter le plateau anatolien et voient leur influence fortement réduite en Asie mineure.
Ce sont les pays qui sont de l’autre côté du nouveau mur de la honte édifié par ceux qui font régner leur dictature idéologique : Bulgarie, Croatie, Pologne, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Tchéquie, Hongrie.
Ces pays ont refusé de signer la lettre de soutien à la marche des fiertés de Budapest.
https://www.lesalonbeige.fr/8-pays-de-lue-refusent-le-matraquage-lgbt/
L’Autriche renforce la surveillance de ses frontières face à un nouvel afflux de migrants, particulièrement côté hongrois, ont annoncé samedi le ministre autrichien de l’Intérieur Karl Nehammer et la ministre de la Défense Klaudia Tanner.
Hommage à Jean de La Fontaine
La pandémie au Covid-19 a remis les pendules à l’heure en matière d’orthodoxie financière au sein de l’Union européenne (UE). Fini les règles tyranniques imposées par quelques Etats au reste de l’Union, comme ce fut le cas vis-à-vis de la Grèce en 2015 par exemple.
Entre le milieu de la troisième décennie du XXe siècle et les années 1960, penseurs, écrivains et journalistes de la Droite nationale d’inspiration catholique allaient rencontrer le président du Conseil portugais Antonio Salazar. Leurs lointains successeurs intellectuels font aujourd’hui le déplacement au bord du Danube afin d’y saluer le Hongrois Viktor Orbán.
Le premier ministre britannique, Boris Johnson, a choisi la veille de la trêve du Parlement britannique – et le jour de la fête nationale belge – pour signifier à Bruxelles, mercredi 21 juillet, qu’il souhaitait renégocier dans son ensemble le très sensible protocole nord-irlandais. Ultime joute avant la pause estivale, geste politique à l’égard d’une communauté loyaliste en difficulté, ou réel souci d’améliorer un texte jugé inadéquat ? « Nous n’accepterons pas une renégociation du protocole », a aussitôt répondu Maros Sefcovic, le vice-président de la Commission européenne, préférant ne pas jouer immédiatement la surenchère.
En pleine bataille avec l’Union européenne sur la question de l’Etat de droit, le Tribunal constitutionnel polonais, proche du pouvoir, refuse de se soumettre aux décisions de la Cour de justice de l’UE
La Pologne et l’Union européenne se sont livrées à un bras de fer par tribunaux interposés, ce mercredi, sur la question de l’Etat de droit, qui empoisonne les relations entre Varsovie et la Commission depuis l’arrivée au pouvoir de Droit et Justice, le parti ultraconservateur dirigé par Jaroslaw Kaczynski, en 2015.