Europe et Union européenne - Page 271
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Il faut sauver le soldat Loukashenko... Pour le moment.
Quand on voit qui est contre Loukashenko, de Soros à Bernard Henri Lévy, des États Unis à la Pologne américanoïde, de la féministe Tikhanovskaia, égérie de la "révolution" à toute la lèpre progressiste, mondialiste et financiariste occidentale, des sémillants bobos de l'intelligentsia parisienne aux cloportes de la Commision européenne aux ordres de Washington et du Berlin de Merkel, on ne peut qu'être pour.Mais le régime de Minsk étant ce qu'il est, fragile et caricatural, le mieux serait encore l'annexion pure et simple de la Biélorussie - la "Russie blanche" - par Moscou comme a su si bien le faire Poutine avec la Crimée, au nom du retour à la mère Patrie.Tout ce qui fait obstacle au nouvel ordre mondial est bon pour nous. -
Le couple franco-allemand remplacé par l’axe Merkel-Erdoğan…
Depuis plusieurs semaines, la tension monte, en Méditerranée, entre la France et la Grèce d’une part, la Turquie de l’autre.Et les frictions se multiplient.
On a frisé un acte de guerre, il y a quelques semaines, au large de la Libye, quand une frégate française voulant contrôler un navire tanzanien au large de la Libye a failli être mis en joue par des vaisseaux turcs…
Eh oui, depuis des mois, Erdoğan joue un jeu dangereux, essaie d’étendre son influence au nord de la Syrie, au Proche-Orient, en Libye. Mais aussi, et surtout, à Chypre, île dont la Turquie occupe illégalement la partie nord depuis quarante-cinq ans sans susciter la moindre réaction de l’Union européenne (alors que Chypre en est membre), ni de l’OTAN.
Chypre est devenu un enjeu majeur depuis que des gisements de gaz colossaux ont été découverts dans les eaux territoriales de l’île. -
La justice suédoise refuse d’expulser un migrant condamné pour avoir violé un enfant “plus de 100 fois”
VA – La Suède est en émoi. Comme le relaye le site breitbart.com, un migrant avait été initialement reconnu coupable de viol et d’abus sexuels sur une petite fille et condamné à 12 ans, l’enfant qu’il violait n’ayant que dix ans lorsque les abus ont commencé. La cour d’appel a jugé que si l’homme est coupable de viol d’enfant, son cas ne répondait pas aux exigences de raisons exceptionnelles pour l’expulser du pays comme l’avait décidé le tribunal. Le procureur chargé de l’affaire a fait appel de la nouvelle décision et a demandé l’expulsion du violeur étranger. Selon un communiqué de presse du ministère public, l’homme vit en Suède depuis environ 22 ans, ce qui a été donné comme raison pour laquelle il ne devrait pas être expulsé.
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En pleine pandémie de Covid-19, l’Italie tente de faire face à une forte augmentation des arrivées de migrants
Les arrivées de migrants dans le pays ont augmenté de près de 150% depuis le début de l’année par rapport à la même période en 2019. Beaucoup proviennent de Tunisie et une délégation ministérielle italienne est attendue ce lundi à Tunis pour traiter notamment de cette question migratoire.
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Tensions en Méditerranée : que se passe-t-il entre la Grèce, la Turquie et la France ?, par Michaël Bloch.
Des navires turcs le 10 août en Méditerranée. (Reuters)
Source : https://www.lejdd.fr/
La Turquie a déployé lundi en Méditerranée un navire de recherche sismique, escorté par des bâtiments militaires. Une initiative qui a relancé les tensions dans une zone disputée et riche en gisements gaziers et qui a provoqué une réaction de la France.
Ce que l'on sait : La situation tendue depuis des semaines entre la Grèce et la Turquie s'est détériorée lundi après le déploiement par Ankara d'un navire de recherche sismique, escorté par des bâtiments militaires, dans le sud-est de la mer Egée, une zone de la Méditerranée disputée et riche en gisements gaziers. Les navires de recherche sismique ont pour mission de repérer d'éventuels gisements sous-marins. Selon la Grèce, les bâtiments turcs se trouvaient mercredi à 60 milles marins au sud de l'île grecque de Kastellorizo, soit sur le plateau continental grec, ce qui constitue une "violation" des frontières maritimes.
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Italie. Luigi Di Maio : « Il n’y a pas de place pour quiconque arrive irrégulièrement en Italie, car entrer en fraude signifie l’expulsion »
Il n’y aura plus de place pour les migrants illégaux en Italie, a averti lundi 17 août à Tunis le ministre italien des Affaires étrangères, Luigi Di Maio, à l’issue d’un entretien avec le président tunisien Kais Saied. L’arrivée de migrants en Italie a augmenté de près de 150% au cours des 12 derniers mois, la majorité arrivant de Tunisie. Luigi Di Maio a ajouté qu’”il n’y a pas de place pour quiconque arrive irrégulièrement en Italie, car entrer en fraude signifie l’expulsion.”
Le chef de la diplomatie italienne effectue lundi une visite de travail à Tunis avec la ministre de l’Intérieur Luciana Lamorgese outre Oliver Varhelyi, commissaire européen à l’Élargissement et Ylva Johansson, commissaire européenne aux affaires intérieures. Après une rencontre avec le président tunisien, Luigi Di Maio a indiqué que son pays «est prêt à présenter toutes les aides nécessaires à la Tunisie» pour lutter contre l’immigration illicite.
Mais «il n’est pas question de laisser en Italie ceux qui arrivent d’une façon illégale», a-t-il ajouté selon un communiqué de la présidence de la République tunisienne. Les négociations entre l’Italie et la Tunisie se poursuivront «pour trouver des formules de coopération bilatérale», a indiqué encore le ministre italien, rapporte la même source. […]
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Le Coronacircus en marche vers le gouffre financier 1/2
Pieter Kerstens
Lorsque nous avions rédigé notre article dans le précédent numéro de la revue, la prévision et l’anticipation des conséquences d’une crise sanitaire, doublées par un chaos des marchés pétroliers, ignoraient alors la stratégie et les décisions aberrantes des gouvernements français et européens, face à la pandémie. En conclusion, nous jugions que « il suffirait d’une petite bourrasque comme…le Covid-19, qui pourrait entraver non seulement l’industrie chinoise, mais aussi par conséquence stopper l’activité de certains secteurs de l’économie mondiale et perturber les activités bancaires et financières, pour déclencher un nouveau krach mondial. »
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En Irlande, une importante banque taxe les liquidités des fonds de retraite : bientôt en France ?
La folie des taux bas ne cesse de gangrener l’économie de l’Union européenne. Les banques qui gardent des fonds dans leurs caisses sans les prêter sont taxées à 0,5 %. Or, les banques sont devenues frileuses et hésitent de plus en plus à prêter des fonds à des clients de moins en moins solvables ; avec la pandémie, la situation risque de s’aggraver. De ce fait, même sans verser un quelconque intérêt à ses clients, un établissement bancaire perd souvent de l’argent. On estime que ce prélèvement de la BCE coûte 7 milliards, principalement aux banques allemandes et françaises. Or, la solvabilité du système bancaire s’effrite ; on redoute une crise comparable à celle de 2008 et la faillite de nombreuses banques. Pour cette raison, pour limiter leurs frais, de nombreux établissements en Allemagne, en Suisse ou au Danemark répercutent les taux négatifs sur les clients institutionnels (assurances, caisses de retraite, fonds de pension).
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Merkel en maillon faible (2018)
On nous vend, à longueur de media, une réussite de l’Union européenne que tous, tant nos concitoyens que nos voisins, peinent à voir. Car, avant tout, Bruxelles est une succession de compromis sur une addition d’échecs. Angela Merkel en est, aujourd’hui, le signe le plus visible.
Fin juin, un nouveau sommet européen s'est ainsi soldé par une nouvelle réussite. Donald Tusk, le président du Conseil européen, affirmait en effet sur Twitter, élevé semble-t-il au rang de communication officielle de Bruxelles : « Les dirigeants de l’UE28 se sont accordés sur les conclusions du sommet, y compris la migration. »
Plus enthousiaste que jamais, le VRP européen Macron renchérissait : « Beaucoup prédisaient ce soir l'impossibilité d'un accord, beaucoup prédisaient le triomphe de solutions nationales, nous avons réussi ce soir à obtenir une solution européenne et un travail en collaboration. C'est la coopération européenne qui l'a emporté. »
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«L’UE risque de ne pas survivre» : George Soros s'en prend aux «nombreux ennemis» de l'union.
George Soros au Forum de Davos, le 23 janvier 2020, en Suisse.
Source : https://francais.rt.com/
Le financier philanthrope a fustigé les leaders eurosceptiques, mais aussi la Russie et la Chine, les accusant de mettre en danger le modèle de l'UE. Il considère une mort de l'union non plus comme «une possibilité théorique» mais comme «probable».
George Soros n'en démord pas, l'Europe possède de nombreux ennemis, aussi bien à l'intérieur de ses frontières qu'à l'extérieur. Dans un entretien accordé à l'Obs, mis en ligne le 12 août, le milliardaire americano-hongrois s'inquiète de la vulnérabilité du mode de gouvernance de l'Union européenne (UE) qui pourrait, selon lui, mener à sa perte.
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