
Quand l’idéologie prédomine au point de tenir lieu d’arguments, en lieu et place d’une éthique de la confrontation des idées, le Diable peut gouverner sereinement en ricanant. C’est bien à cela que nous sommes confrontés. Les motions de censure contre la présidente de la commission Européenne Ursula Van Der Leyen, se succèdent, et pourtant sa place n’est pas menacée, la raison : le dogme qui influence les votants, contrarie les concordances qui se projettent artificiellement en alliance pour justifier de ne pas voter la motion concurrente. Résultat, les chances de voir tomber la princesse toute puissante sont nulles.