
L’AfD a obtenu un score historique de 16,4% contre 5% il y a un an en Rhénanie du Nord-Westphalie, région traditionnellement acquise aux conservateurs de la CDU et aux socio-démocrates du SPD.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
L’AfD a obtenu un score historique de 16,4% contre 5% il y a un an en Rhénanie du Nord-Westphalie, région traditionnellement acquise aux conservateurs de la CDU et aux socio-démocrates du SPD.
La rédaction de Breizh-Info (cliquez ici)
Samedi 13 septembre, Londres a connu l’une des plus vastes mobilisations populaires de ces dernières années. Des foules immenses, Union Jack et croix de Saint-Georges au vent, ont envahi le cœur de la capitale britannique pour participer au rassemblement « Unite the Kingdom », organisé par Tommy Robinson. Les chiffres officiels, qui avancent timidement 110 000 à 150 000 participants, sont très largement en-deçà de la réalité : les images aériennes et les témoignages convergent vers plusieurs centaines de milliers de personnes, incapables pour beaucoup d’accéder aux lieux centraux tant la foule débordait.
Le président serbe accuse plusieurs pays d’avoir orchestré une opération coordonnée pour renverser le pouvoir en place. Aleksandar Vucic a affirmé que des services étrangers ont investi plus de 4 milliards de dollars dans cette tentative de révolution colorée, notamment via des réseaux d’étudiants et des médias financés par l’extérieur.
Quand l’idéologie prédomine au point de tenir lieu d’arguments, en lieu et place d’une éthique de la confrontation des idées, le Diable peut gouverner sereinement en ricanant. C’est bien à cela que nous sommes confrontés. Les motions de censure contre la présidente de la commission Européenne Ursula Van Der Leyen, se succèdent, et pourtant sa place n’est pas menacée, la raison : le dogme qui influence les votants, contrarie les concordances qui se projettent artificiellement en alliance pour justifier de ne pas voter la motion concurrente. Résultat, les chances de voir tomber la princesse toute puissante sont nulles.
par Lucas Leiroz
Berlin souhaite participer à un programme nucléaire commun avec la France et le Royaume-Uni.
La folie russophobe qui sévit en Allemagne conduit à un renversement accéléré des politiques historiques de démilitarisation et de pacifisme, faisant de Berlin un agent de plus en plus déstabilisateur en Europe. Aujourd’hui, les autorités allemandes revendiquent le «droit» d’accéder à l’arme nucléaire, ce qui pourrait entraîner une grave escalade des tensions dans la situation actuelle.
Alors que le Rassemblement National vient de déposer, devant le Parlement européen, une motion de censure contre la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, cette incompétente fanatique poursuit sa fuite en avant en œuvrant activement à l’éradication de la civilisation européenne, à la destruction de l’économie et de l’agriculture des pays membres, à l’islamisation de l’Europe – et aussi à la destruction d’Israël.
Fin août, le président polonais Karol Nawrocki a opposé son veto à un projet de loi visant à prolonger les prestations sociales existantes pour les citoyens ukrainiens résidant en Pologne, arguant que les finances publiques et « les émotions politiques et sociales ont changé » depuis l’introduction de cette mesure il y a plus de trois ans.
par Alexandre Lemoine
Les dirigeants européens persistent dans leurs projets de déployer des militaires en Ukraine, ce qui pourrait conduire à un conflit direct avec la plus grande puissance nucléaire. Il semble que l’Europe sabote délibérément les négociations de paix concernant l’Ukraine. Les plans de déploiement de troupes d’après-guerre soulèvent la question de savoir si la «coalition des volontaires» veut vraiment la paix.
Par Jean Charpentier
Il y a quelques semaines, des agriculteurs, membres de la Coordination rurale, ont repéré des boîtes d’œufs en provenance d’Ukraine et commercialisés dans un magasin Carrefour d’Amiens. Depuis lors, des consommateurs ont déniché également des œufs ukrainiens dans des magasins Leclerc et ailleurs. Dans un article paru dans Boulevard Voltaire, Étienne Lombard avait cru bon de signaler cette découverte, tant pour poser la question sanitaire que celle de la concurrence déloyale faite à nos éleveurs. Il a bien fait. Mais deux questions se posent. Pourquoi ces œufs pondus sur les bords du Dniepr font-ils leur apparition sur la Somme et, d’autre part, ont-t-il véritablement une nationalité ?