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Il a gardé un sourire énigmatique tout au long de l’audience. Et il n’a répondu à aucune question du tribunal. On n’a pas entendu le son de sa voix. Mais – soulagement pour les juges, pour la substitute du procureur et pour son avocate – il ne s’est pas déshabillé dans le box des prévenus. L’inquiétude n’était pas imaginaire : vendredi après-midi, ce Congolais de 49 ans s’est dénudé dans le dépôt du palais de justice.
Alors que la Russie et l'Ukraine ont entamé les premières négociations en trois ans, l'Union européenne a décidé de durcir les sanctions contre Moscou. Bruxelles menace de frapper durement le pétrole, le gaz et le secteur financier. De plus, l'UE envisage même l'option d'un embargo commercial total. Qu'est-ce qui pourrait en résulter ?
Un pays ne peut pas défendre la démocratie en la détruisant. Il ne peut pas non plus lutter contre l’ingérence en devenant le saboteur en chef. Ce ne sont pas des paradoxes. C’est la réalité politique de la Roumanie post-électorale de 2025, où la volonté du peuple a été piétinée par une union de technocrates, une pression des services de renseignement étrangers et un fiat judiciaire. Ce n’est pas la démocratie. Il s’agit d’une imitation de la démocratie, conçue pour des raisons optiques et des résultats contrôlés.
Première élection présidentielle en Roumanie de fin 2024 : Călin Georgescu 22.94%, Elena Lasconi 19.18%, Marcel Ciolacu 19.15%, George Simion 13.86%, Nicolae Ciucă 8.79%, Mircea Geoană 6.32%, Hunor Kelemen 4.50%, Cristian Diaconescu 3.10%, Cristian Terheş 1.04%, Ana Birchall 0.46%, Ludovic Orban 0.22%, Sebastian Popescu 0.16%, Alexandra Păcuraru 0.16%, Silviu Predoiu 0.12%. Bon, Călin n’a pas l’heur de plaire à Ursula… critique à l’égard de l’Empire et de l’OTAN, opposé à aider l’Ukraine, ce n’est pas comme ça qu’on entre dans les p’tits papiers de la Bruxelloise.
Chaque année, l’Union européenne accorde une multitude de subventions à diverses organisations. L’un des critères pour percevoir de telles aides étant de respecter « les valeurs de l’UE », à savoir « la liberté, la démocratie, l’égalité, l’État de droit, les droits de l’homme »… La liste des associations sélectionnées est ensuite diffusée sur un site internet public.
Certains se font des gorges chaudes de la décision de la justice Européenne qui vient de juger illégale la non-transmission des SMS échangés de janvier 2021 à mai 2022 entre Ursula Von-der-Leyen et le patron de Pfitzer. Avant de parler de vent de justice qui soudainement soufflerait sur l’Europe, il convient de rester prudent, il s’agit juste d’une petite brise pour le moment. Rappelons que ce verdict fait suite à une plainte déposée par la journaliste du New York Time, Matina Stevis, qui demandait, au nom du droit d’accès aux documents publics, de consulter ces échanges. Elle avait subi une fin de non-recevoir de la kommandantur européenne. C’est aussi pour cette raison qu’il n’y a pas de quoi se réjouir outre mesure, tant la princesse Ursula nous a habitués à se moquer des décisions de justice à son encontre et s’est systématiquement placée au-dessus de l’institution pour s’exonérer de devoir répondre à des convocations, ou se plier à une exigence de transparence. Comme chez nous, certains personnages d’État comme Alexis Kholer. Avant donc d’imaginer la chef inamovible contrainte de s’exécuter, il y a un monde, et des inconnues, notamment la contrainte qui pourrait lui être opposée si la dame refuse toujours de se conformer à la décision.
Plus ces excités gesticulent et brassent du vent, plus Trump et Poutine les ignorent.
Je pense même qu’ils les méprisent pour leur amateurisme et leur naïveté. Nos Rambo à la petite semaine sont tellement dépassés par la situation qu’ils ne mesurent même plus le grotesque de leurs initiatives.
Se rendre à Kiev en train depuis la Pologne, dans le plus grand secret, pour lancer un ultimatum à Poutine, ressemble davantage à une escapade de Pieds Nickelés qu’à une réunion sérieuse pour préparer un cessez-le-feu avec des arguments crédibles autres que la menace d’un 17e train de sanctions qui ne fera que ruiner l’Europe un peu plus.
Au programme ce soir, triste retour sur l’élection présidentielle roumaine. Le candidat mondialiste a remporté la victoire face au souverainiste de remplacement Simion. Une élection qui s’érigera en démonstration des ingérences étrangères, à commencer par celle de l’Elysée.
Bientôt une douche froide pour l'Ukraine de la part de la Pologne? Fervent soutien de Kiev, ce pays européen montre un refroidissement envers Kiev à la veille des élections présidentielles (dès le 18 mai).