
La police confirme qu’il existe des preuves montrant que le suspect a crié « Allah Akbar » après le crime. (…)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
La police confirme qu’il existe des preuves montrant que le suspect a crié « Allah Akbar » après le crime. (…)
JD Vance a rencontré Alice Weidel, dirigeante du parti allemand Alternative für Deutschland (AfD), abordant des sujets tels que la guerre en Ukraine, la politique intérieure allemande et le brandmauer, la barrière empêchant l’AfD d’intégrer une coalition gouvernementale.
J’ai découvert un article dans « Le Télégramme » du 13 février 2025 sous le titre « Washington met la pression sur l’Ukraine et l’Otan »
Devant la détermination de Donald Trump de vouloir mettre fin au conflit russo-ukrainien, l’auteur cite les propos du secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth : « Les pays européens devront, à l’avenir assurer l’ « écrasante » part de l’aide civile et militaire à l’Ukraine. »
JD Vance, vice-président des Etats-Unis, était à la conférence de Munich sur la sécurité en Europe. Il a été franc :
« La menace qui m’inquiète le plus vis-à-vis de l’Europe n’est pas la Russie, ni la Chine, ni aucun autre agent extérieur. Ce qui m’inquiète, c’est la menace intérieure. Le recul de l’Europe par rapport à certaines de ses valeurs les plus fondamentales, des valeurs partagées avec les États-Unis d’Amérique. »
Trump et Poutine se sont entretenus hier durant une heure et demie, le Tsar profitant de l’occasion pour inviter le président des Etats-Unis à Moscou. Depuis la visite d’Obama en Russie en 2013, aucun président américain n’est revenu dans le pays.
Voici les grandes lignes qui semblent se préciser :
– la paix et la fin du « massacre » sont une priorité pour la Maison-Blanche
– Trump est en accord avec Poutine pour établir les conditions d’une paix durable
– pas de troupes américaines en Ukraine
– pas d’adhésion de l’Ukraine à l’Otan (Mark Rutte en a avalé son chapeau)
par Pierre Duval
L’appel téléphonique de Trump à Poutine le 12 février a semé la peur et l’horreur à Kiev et dans les capitales européennes. Le président américain a effectivement commencé à normaliser ses relations avec la Russie. Trump a parlé à Poutine au téléphone sans s’entendre au préalable sur les détails avec l’Ukraine, et a annoncé plus tard que les pourparlers pour mettre fin à la guerre commenceraient «immédiatement».
par Vladimir Mashin
La stagnation de l’économie européenne au cours des trois dernières années est due à plusieurs raisons, mais le problème principal réside dans l’abandon du gaz russe relativement bon marché et le passage à d’autres sources d’énergie, en raison du ralentissement économique.
Les sanctions antirusses et l’affectation de grandes quantités de fonds pour le soutien financier et militaire à l’Ukraine ont divisé l’Union européenne.
Le second mandat de Donald Trump à la Maison-Blanche s’annonce comme un tournant dans les relations transatlantiques.
L’arrivée d’une nouvelle administration nourrit souvent l’espoir d’un apaisement, notamment dans l’application extraterritoriale du droit américain. Pourtant, la réalité est plus contrastée. Derrière le discours diplomatique, les États-Unis poursuivent leur politique juridique agressive, imposant leur vision du droit au-delà de leurs frontières et mettant sous pression les entreprises européennes. Cette situation pose une question fondamentale : l’Europe est-elle capable de riposter et de protéger efficacement ses intérêts économiques ?
Michel Festivi
Au moment même où aux États-Unis, Donald Trump pourfend l’idéologie transgenre et supprime tous les financements fédéraux aux associations wokistes chargées de cette promotion inepte, au moment où en Argentine, Javier Milei agit de même et coupe les vivres aux militants gauchistes et veut supprimer la loi qui permet aux mineurs de changer de sexe sans contrôle, la Commission européenne, elle, nage à contre-courant et dilapide nos sous, appliquant allègrement le principe « dans la gêne il n’y a pas de plaisir ! ». Il est vrai qu’elle n’a aucune légitimité populaire et qu’elle n’a de compte à rendre qu’à elle-même.